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Saint-André-sur-Orne

Saint-André-sur-Orne est une commune française située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 1 814 habitants[Note 1].

Saint-André-sur-Orne
Saint-André-sur-Orne
Le village de Saint André-sur-Orne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Caen la Mer
Maire
Mandat
Christian Delbruel
2020-2026
Code postal 14320
Code commune 14556
Démographie
Population
municipale
1 814 hab. (2020 en augmentation de 1,17 % par rapport à 2014)
Densité 493 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 07′ 09″ nord, 0° 22′ 55″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 53 m
Superficie 3,68 km2
Unité urbaine Saint-Martin-de-Fontenay
(ville-centre)
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Caen-5
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Saint-André-sur-Orne
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Saint-André-sur-Orne
Liens
Site web www.saint-andre-sur-orne.com

    Géographie

    Commune située à 7 km au sud de Caen et à 35 km au sud-est de Bayeux.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 713 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[9] à 11,2 °C pour 1981-2010[10], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-André-sur-Orne est une commune urbaine[Note 6] - [12]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13] - [14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Martin-de-Fontenay, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[15] et 6 351 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (26,3 %), terres arables (25,6 %), prairies (21 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), mines, décharges et chantiers (9,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attestée sous les formes ecclesia S. Andree vers 1060[22], Saint-André-de-Fontenay en 1801. En 1911, Saint-André-de-Fontenay est rebaptisé Saint-André-sur-Orne[23].

    La paroisse est dédiée à l'apôtre André.

    L'Orne, fleuve côtier dans les deux départements de l'Orne et du Calvados, est en limite nord-ouest du territoire de la commune.

    Histoire

    L'histoire de Saint-André est intimement liée à celle de l'importante abbaye fondée par Raoul Tesson (ou Taisson) sur son fief de Fontenay vers 1047. L'actuelle « Sente aux Moines » (qui débute rue du Minerai à Saint-André et se poursuit jusqu'à l'autre côté de la route d'Harcourt à Saint-Martin-de-Fontenay) perpétue le souvenir des moines bénédictins qui furent présents sur cette commune pendant près de 700 ans, du XIe au XVIIIe siècle.

    La paroisse de Fontenay fut divisée une première fois pour former les paroisses et seigneuries de Fontenay-le-Marmion et Fontenay-le-Tesson. Entre le XIe et le XIVe siècle, cette dernière fut divisée à nouveau pour former Saint-Martin-de-Fontenay et Saint-André-de-Fontenay[24].

    En 1827, Saint-André-de-Fontenay absorbe la commune voisine d'Étavaux[23], dotée d'un très ancien village adjacent à la commune d'Allemagne (aujourd'hui Fleury-sur-Orne).

    La vie de ce village d'agriculteurs et d'artisans se transforme profondément à la fin du XIXe siècle avec l'arrivée du chemin de fer en 1873 (gare de Feuguerolles - Saint-André), ainsi que l'extension de la carrière d'Étavaux (toujours en activité aujourd'hui) tandis que, en bordure de la commune voisine de May-sur-Orne, s'ouvrent en 1893 des mines (minerai de fer) qui seront exploitées jusqu'à leur fermeture en 1968.

    Durant la Seconde Guerre mondiale, lors de la bataille de Caen, de nombreux écoliers de la Maison du Clos (à Caen) ont été « rapatriés » par les nazis à Saint-André-sur-Orne. Mais le village fut peu de temps après libéré par les armées britanniques et surtout canadiennes dans le cadre de l'opération Spring[25]. Les combats furent acharnés, les destructions nombreuses, près de cent jeunes Canadiens donnèrent leur vie pour la libération du village en , d'où les noms de la rue du Royal Black Watch (le régiment canadien), et de l'artère principale du vieux bourg : rue des Canadiens. Les soldats canadiens tués pendant l'opération reposent au cimetière militaire canadien de Bretteville-sur-Laize à côté de Cintheaux.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989 mars 2008 Jean-Claude Carabeufs PS[26] Conseiller général du canton de Bourguébus (1988-1992 et 1994-2011)
    mars 2008 En cours Christian Delbruel[27] PS Cadre La Poste (retraité)
    Les données manquantes sont à compléter.

    La commune a intégré la communauté d'agglomération Caen la Mer le [28].

    École élémentaire René-Goscinny

    Le , l'école primaire de Saint-André-sur-Orne a été baptisée du nom du scénariste de bandes dessinées René Goscinny, créateur d’Astérix, du Petit Nicolas et d'Iznogoud notamment. Lors de l'inauguration, de nombreuses personnalités étaient présentes : Albert Uderzo, Anne Goscinny, Enki Bilal, Frank Margerin, Philippe Druillet, Pierre Tchernia et Guy Vidal. Une plaque en verre représentant Astérix et Obélix a été fixée près de l'entrée de l'établissement[29].

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 1 814 habitants[Note 8], en augmentation de 1,17 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    417513363340440453445443434
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    453425401467394456493412404
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    497529530608628546523442674
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    9051 0441 1561 2421 3101 6061 8571 8921 827
    2017 2020 - - - - - - -
    1 8311 814-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La chapelle Saint-Orthaire d'Étavaux.
      La chapelle Saint-Orthaire d'Étavaux.
    • La porte de la chapelle Saint-Orthaire.
      La porte de la chapelle Saint-Orthaire.
    • Le cadran canonial de la chapelle.
      Le cadran canonial de la chapelle.
    • L'église Saint-André.
      L'église Saint-André.
    • Le cadran solaire sur l'église Saint-André.
      Le cadran solaire sur l'église Saint-André.
    • L'abbaye Saint-Étienne de Fontenay (bâtiment conventuel du XIIIe siècle).
      L'abbaye Saint-Étienne de Fontenay (bâtiment conventuel du XIIIe siècle).

    Personnalités liées à la commune

    • Henri V d'Angleterre (1387 - 1422), roi d'Angleterre de 1413 à 1422. Alors qu'il menait avec son armée une vaste opération de reconquête du territoire français, le roi passa la nuit du lundi à l'abbaye Saint-Étienne de Fontenay[36].
    • Pierre-Daniel Huet (1630-1721), natif de Caen, sous-précepteur du Grand Dauphin à la Cour, membre de l'Académie française (1674), évêque d'Avranches, fut abbé de l'abbaye de Fontenay, qu'il aménagea et où il résida, de 1699 à 1721.
    • Juan Bautista Alberdi (1810-1884) : Argentin, homme politique et juriste de classe internationale, inspirateur de la Constitution argentine de 1853, ministre plénipotentiaire à Paris, vient passer ses étés à Saint-André où une rue conserve son souvenir.
    • Alexandre Carel (1833-1896), commandeur de l'ordre de Saint-Grégoire-le-Grand, avocat, professeur, collaborateur puis successeur de Demolombe dans la chaire de procédure civile à l'université de Caen, auteur de La France après le traité de Brétigny. Un monument lui est consacré au palais de justice de Caen[37]. Il fait l'acquisition de l'ancienne abbaye de Fontenay en 1872.
    • Maurice Fouque (1899 - 1945), résistant né à Saint-André-de-Fontenay, déporté et mort au Schloss Hartheim. Un stade porte son nom à Caen, et une rue à Mondeville.
    • Ernest Bourgault (1918 - 2009), écrivain canadien. Séjourna à Saint-André-sur-Orne durant la Seconde Guerre mondiale. Il raconte cet épisode dans son livre Ma guerre buissonnière[38].

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    Altitudes, superficie : répertoire géographique des communes[39].
    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Caen-Carpiquet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-André-sur-Orne et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 de Saint-Martin-de-Fontenay », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 1529.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. M. F. Vaultier, « Recherches historiques sur l'ancien doyenné de Vaucelles, au diocèse de Bayeux » dans les Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie, 2e série, vol. XII, Hardel, Caen, 1841
    25. Nancy Amis, « Les orphelins de la Normandie », Anthenium Books, New York and London, 2003
    26. « Le figaro - Cantonales 2004 » (consulté le )
    27. Réélection 2020 : « Municipales à Saint-André-sur-Orne. Christian Delbruel réélu sans surprise », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    28. Communiqué de presse, 11 juin 2012
    29. Archives en ligne de l'INA
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. « Église », notice no PA00111656, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Église d'Étavaux, dite aussi chapelle Saint-Orthaire », notice no PA00111657, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Ancienne abbaye Saint-Etienne-de-Fontenay », notice no PA00111655, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Livre "The Chronica maiora of Thomas Walsingham, 1376-1422" de Thomas Walsingham, David Preest, James G. Clark, Oxford, 2005
    37. Voir monument à l'ancien Palais de Justice de Caen
    38. Livre "Ma guerre buissonnière" d'Ernest Bourgault, ed. Boréal, 2000
    39. Site de l'IGN.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Art de Basse-Normandie (Caen), no 129, 4e trim. 2003 : "May, Saint-André et Saint-Martin-de-Fontenay. Trois communes sÅ“urs"

    Liens externes

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