May-sur-Orne
May-sur-Orne est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 2 016 habitants[Note 1].
May-sur-Orne | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Normandie |
DĂ©partement | Calvados |
Arrondissement | Caen |
Intercommunalité | Communauté de communes Vallées de l'Orne et de l'Odon |
Maire Mandat |
Jean-Luc Mottais 2020-2026 |
Code postal | 14320 |
Code commune | 14408 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Mayens |
Population municipale |
2 016 hab. (2020 ) |
Densité | 578 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 49° 06âČ 01âł nord, 0° 22âČ 26âł ouest |
Altitude | Min. 5 m Max. 80 m |
Superficie | 3,49 km2 |
Unité urbaine | Saint-Martin-de-Fontenay (ville-centre) |
Aire d'attraction | Caen (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton d'Ăvrecy |
LĂ©gislatives | SixiĂšme circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.may-sur-orne.fr |
GĂ©ographie
May-sur-Orne est située dans l'Ouest de la France dans le département du Calvados (ex-Basse-Normandie), à 9 km au sud du centre de Caen. C'est une commune péri-urbaine qui se situe dans le canton de Bourguébus. En 2020 , le nombre d'habitants était de 2 016 habitants, soit 578 habitants au km2.
à l'ouest, May-sur-Orne est séparée de Feuguerolles-Bully par l'Orne, fleuve cÎtier traversant la ville de Caen plus au nord. Au sud, la limite communale avec Laize-la-Ville et Clinchamps-sur-Orne suit le cours de la Laize, qui se jette dans le fleuve au Val de Clinchamps.
Le territoire est traversĂ© par la dĂ©partementale 562 et par la dĂ©partementale 41b, qui forme un ensemble perpendiculaire. La commune est desservie par deux lignes du rĂ©seau des Bus verts du Calvados desservant quatre arrĂȘts sur la commune : Ăglise, Gaucamps, Les Toumalines, FleurTerre :
- ligne 34 (Flers < > Caen Gare) ;
- ligne 12 (Mutrécy/Rocquancourt < > Caen).
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Fresney Le Vieu », sur la commune de Fresney-le-Vieux, mise en service en 1988[9] et qui se trouve Ă 11 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 809,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et Ă 11 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,9 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă 11,2 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 11,5 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
May-sur-Orne est une commune urbaine[Note 7] - [16]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Martin-de-Fontenay, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[19] et 6 351 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[20] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (61,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (66,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (37,4 %), zones urbanisĂ©es (28,2 %), prairies (23,9 %), forĂȘts (10,4 %)[24].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[25].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Mayeium en 1050 (charte de Fontenay) ; Moe en 1136 (ibidem) ; Maeium en 1195 (Magni rotuli, p. 52, 2.) ; Mae super Olnam en 1227 (charte de l'abbaye d'Ardenne, n° 135) ; Maieum en 1228 (charte de Fontenay) ; Meium en 1253 (Ibid., p. 110) ; Moeium en 1273 (Ibid., n° 133.) ; Moie en 1294 (charte de Barbery, n° 163) ; Moée, Mayeum et May sur Orne en 1371 ; May sur Oulne en 1416 (charte de Cordillon) ; Moy en 1667 (carte de Le Vasseur) ; Maye en 1682 (carte de Jolliot)[26].
Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romaine en -acum, dont le premier élément May-, représente le nom de personne gallo-romain Maius[27].
L'Orne est un fleuve cÎtier du nord-ouest de la France, dans les deux départements de l'Orne et du Calvados.
Remarque : on attendrait une forme ancienne du type *Maiacum, mais la latinisation médiévale est fautive et a été faite sur la forme d'ancien français en -ei, terminaison qui représente généralement l'aboutissement évolutif du suffixe -(i)acum.
Le gentilé est Mayen.
Histoire
La commune Ă©tait indirectement desservie par deux lignes ferroviaires :
- par la ligne Caen - Cerisy-Belle-Ătoile sur l'axe Caen â Flers â Laval (gare de Feuguerolles-Saint-AndrĂ©, Ă moins de deux kilomĂštres Ă vol d'oiseau du centre de la commune) ;
- par la ligne Caen â Falaise des Chemins de fer du Calvados entre 1902 et 1933.
La commune a Ă©tĂ© marquĂ©e par une activitĂ© miniĂšre (minerai de fer) Ă faible profondeur (« bassin minier de May-sur-Orne »[28]), avec sĂ©quelles miniĂšres (dont mouvements de terrain et affaissements miniers, en raison de la prĂ©sence dans le substrat schisto-grĂ©seux de « couches de fort pendage (de 50 ° Ă 90°) et de puissance moyenne 3 Ă 4 m, mais pouvant atteindre localement plus de 10 m. Lâexploitation en chambres verticales ou trĂšs inclinĂ©es a engendrĂ© la crĂ©ation de vides sur une hauteur relativement importante, avec des volumes dĂ©pilĂ©s pouvant ĂȘtre consĂ©quents ») susceptibles d'affecter les infrastructures de transport de biens, d'Ă©nergie et de personnes, et les habitations ou d'autres constructions. Des Ă©tudes d'alĂ©as ont Ă©tĂ© faites dans les annĂ©es 2000, sur la base notamment de plans dressĂ©s par Geomines en 1970 qui avaient dĂ©jĂ mis en Ă©vidence des « zones Ă©boulĂ©es, de galeries inaccessibles, de toits de chambre ou de galeries dĂ©gradĂ©s », confirmĂ©es par des inspections ultĂ©rieures[29]. Les communes voisines de Fontenay-le-Marmion, Saint-AndrĂ©-sur-Orne, Saint-Martin-de-Fontenay sont Ă©galement impactĂ©es. Les inspections ont aussi montrĂ© qu'Ă quelques reprises (nord de la mine) un lĂ©ger manque d'oxygĂšne (18 %) alors accompagnĂ© d'une augmentation du taux de CO2 (2 %), mais sans grisou (mĂ©thane). Les dosimĂštre que portaient les personnels ont montrĂ© que les concentrations de radon « Ă©taient relativement importantes et qu'il convenait dâen tenir compte pour la cartographie de l'alĂ©a ».
HĂ©raldique
Blason | De gueules Ă deux pics de mineurs passĂ©s en sautoir et chargĂ©s d'une lampe de mineur brochante et surmontĂ©e d'un casque de mineur, le tout d'argent brochant sur un soc de charrue du mĂȘme en pointe; au chef d'azur chargĂ© de la devise « PAX.LABOR » en lettres capitales d'argent[30]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[36].
En 2020, la commune comptait 2 016 habitants[Note 9], en augmentation de 8,97 % par rapport Ă 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
Malgré les combats et les bombardements de l'été 1944, la ville conserve un riche patrimoine.
- L'Ă©glise Saint-Firmin. Elle date de la reconstruction de 1955 Ă 1960.
- Le musée. Situé dans le parc de la mairie, ce lieu de mémoire retrace le passé industriel de la commune, depuis l'exploitation du grÚs jusqu'à celle du minerai de fer.
- La discordance de May-sur-Orne. D'intĂ©rĂȘt gĂ©ologique important, la discordance du calcaire jurassique sub-horizontal sur du calcaire cambrien plissĂ© est visible prĂšs des stades de football.
- Le chĂąteau Sainte-Marie du XVIIIe siĂšcle ayant appartenu Ă la famille Sainte-Marie, seigneurs de May.
- Le chĂąteau Druelle, datant du XVIIIe siĂšcle, construit en pierre de Caen et en grĂšs de May.
- Les moulins situés en contrebas proche de l'Orne.
- L'ancienne mairie située sur l'ancien temple protestant détruit au cours de l'été 1944.
- L'ancienne école Sainte-ThérÚse, fondée dans les années 1930, a fermé en 2011 et a été démolie à la fin des années 2010[39]. Elle était le seul bùtiment de la ville portant encore les stigmates de la guerre et contenait une statue de sainte ThérÚse déplacée dans la salle paroissiale.
- Le calvaire sur la route d'Harcourt.
- Des vestiges de la mine comme deux silos à minerai, un visible de loin, ou encore des centres d'hébergements pour les ouvriers.
- L'Ă©glise Saint-Firmin.
- En souvenir des travailleurs des mines.
Personnalités liées à la commune
- Ernest Chollet, né le à May-sur-Orne[40]. Il devient maire de la commune en 1870 à l'ùge de 25 ans et il garde ce poste pendant 47 ans jusqu'à son décÚs en septembre 1917.
- La légende veut qu'à l'automne 1891, il s'interrogeùt sur la roche dense et rouge qu'il rencontrait en plantant ses pommiers. Les résultats des analyses qu'il fit faire conclurent à la présence du minerai de fer. Il lança l'extraction et jusqu'en 1969, 20 millions de tonnes de minerai de fer furent extraits.
- Dom Aubourg ( - ), moine bénédictin, natif de la commune[41].
- Fabrice Divert, footballeur ayant vécu dans la commune.
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- « May-sur-Orne », dans Louis Le Roc'h MorgÚre, Bernard Gourbin, Philippe Bernouis et al., Le Patrimoine des communes du Calvados, Paris, Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1715 p. (ISBN 2-84234-111-2)
- Revue Art de Basse-Normandie (Caen), no 129, 4e trimestre 2003 : May, Saint-AndrĂ© et Saint-Martin-de-Fontenay. Trois communes sĆurs.
Liens externes
- Site municipal
- Résumé statistique de May-sur-Orne sur le site de l'Insee
- Monographie communale et inventaire des archives communales sur le site des Archives départementales du Calvados
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Fresney Le Vieu - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Station Météo-France Fresney Le Vieu - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du département du Calvados, Paris, 1883, p. 185 .
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 444
- Bassin minier de May-sur-Orne. Concessions de Bully, Maltot, May-sur-Orne et Saint- AndrĂ©-sur-Orne (Calvados). Ătude prĂ©liminaire Ă la rĂ©alisation dâun Plan de PrĂ©vention des Risques Miniers (PPRM). Cartographie de lâalĂ©a « mouvement de terrain ». Rapport GEODERIS 4BNO2600-R02-CF, 14 juin 2004.
- Bassin ferrifÚre de Normandie. Convention May-sur-Orne (Calvados). Inspection géotechnique des galeries de niveau supérieur. Rapport INERIS-DRS-06-68230/R01, mars 2006
- « 14408 - MAY SUR ORNE (Calvados) », sur L'Armorial des villes et des villages de France (consulté le )
- « Martial Desflaches, élu au poste de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- Réélection 2014 : « May-sur-Orne (14320) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- « Municipales à May-sur-Orne. Jean-Luc Mottais élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- https://horizonsleparti.fr/comites-municipaux/
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Démolition/désamiantage sites école Sainte-ThérÚse et maison suédoise », sur centraledesmarches.com, Medialex (consulté le )
- « Les archives du Calvados », sur archives.calvados.fr (consulté le )
- https://www.ouest-france.fr/normandie/bayeux-14400/73e-d-day-dom-aubourg-t-il-sauve-bayeux-en-1944-5041748