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May-sur-Orne

May-sur-Orne est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Calvados en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 2 016 habitants[Note 1].

May-sur-Orne
May-sur-Orne
Blason de May-sur-Orne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Communauté de communes Vallées de l'Orne et de l'Odon
Maire
Mandat
Jean-Luc Mottais
2020-2026
Code postal 14320
Code commune 14408
DĂ©mographie
Gentilé Mayens
Population
municipale
2 016 hab. (2020 en augmentation de 8,97 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 578 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 06â€Č 01″ nord, 0° 22â€Č 26″ ouest
Altitude Min. 5 m
Max. 80 m
Superficie 3,49 km2
Unité urbaine Saint-Martin-de-Fontenay
(ville-centre)
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Évrecy
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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May-sur-Orne
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May-sur-Orne
Liens
Site web www.may-sur-orne.fr

    GĂ©ographie

    May-sur-Orne est situĂ©e dans l'Ouest de la France dans le dĂ©partement du Calvados (ex-Basse-Normandie), Ă  km au sud du centre de Caen. C'est une commune pĂ©ri-urbaine qui se situe dans le canton de BourguĂ©bus. En 2020 en augmentation de 8,97 % par rapport Ă  2014, le nombre d'habitants Ă©tait de 2 016 habitants, soit 578 habitants au km2.

    À l'ouest, May-sur-Orne est sĂ©parĂ©e de Feuguerolles-Bully par l'Orne, fleuve cĂŽtier traversant la ville de Caen plus au nord. Au sud, la limite communale avec Laize-la-Ville et Clinchamps-sur-Orne suit le cours de la Laize, qui se jette dans le fleuve au Val de Clinchamps.

    Le territoire est traversĂ© par la dĂ©partementale 562 et par la dĂ©partementale 41b, qui forme un ensemble perpendiculaire. La commune est desservie par deux lignes du rĂ©seau des Bus verts du Calvados desservant quatre arrĂȘts sur la commune : Église, Gaucamps, Les Toumalines, FleurTerre :

    • ligne 34 (Flers < > Caen Gare) ;
    • ligne 12 (MutrĂ©cy/Rocquancourt < > Caen).

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 735 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Fresney Le Vieu », sur la commune de Fresney-le-Vieux, mise en service en 1988[9] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 809,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et Ă  11 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,9 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  11,2 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    May-sur-Orne est une commune urbaine[Note 7] - [16]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[17] - [18]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Martin-de-Fontenay, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 3 communes[19] et 6 351 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (61,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (66,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (37,4 %), zones urbanisĂ©es (28,2 %), prairies (23,9 %), forĂȘts (10,4 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Mayeium en 1050 (charte de Fontenay) ; Moe en 1136 (ibidem) ; Maeium en 1195 (Magni rotuli, p. 52, 2.) ; Mae super Olnam en 1227 (charte de l'abbaye d'Ardenne, n° 135) ; Maieum en 1228 (charte de Fontenay) ; Meium en 1253 (Ibid., p. 110) ; Moeium en 1273 (Ibid., n° 133.) ; Moie en 1294 (charte de Barbery, n° 163) ; Moée, Mayeum et May sur Orne en 1371 ; May sur Oulne en 1416 (charte de Cordillon) ; Moy en 1667 (carte de Le Vasseur) ; Maye en 1682 (carte de Jolliot)[26].

    Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romaine en -acum, dont le premier élément May-, représente le nom de personne gallo-romain Maius[27].

    L'Orne est un fleuve cÎtier du nord-ouest de la France, dans les deux départements de l'Orne et du Calvados.

    Remarque : on attendrait une forme ancienne du type *Maiacum, mais la latinisation médiévale est fautive et a été faite sur la forme d'ancien français en -ei, terminaison qui représente généralement l'aboutissement évolutif du suffixe -(i)acum.

    Le gentilé est Mayen.

    Histoire

    La commune Ă©tait indirectement desservie par deux lignes ferroviaires :

    La commune a Ă©tĂ© marquĂ©e par une activitĂ© miniĂšre (minerai de fer) Ă  faible profondeur (« bassin minier de May-sur-Orne »[28]), avec sĂ©quelles miniĂšres (dont mouvements de terrain et affaissements miniers, en raison de la prĂ©sence dans le substrat schisto-grĂ©seux de « couches de fort pendage (de 50 ° Ă  90°) et de puissance moyenne 3 Ă  4 m, mais pouvant atteindre localement plus de 10 m. L’exploitation en chambres verticales ou trĂšs inclinĂ©es a engendrĂ© la crĂ©ation de vides sur une hauteur relativement importante, avec des volumes dĂ©pilĂ©s pouvant ĂȘtre consĂ©quents ») susceptibles d'affecter les infrastructures de transport de biens, d'Ă©nergie et de personnes, et les habitations ou d'autres constructions. Des Ă©tudes d'alĂ©as ont Ă©tĂ© faites dans les annĂ©es 2000, sur la base notamment de plans dressĂ©s par Geomines en 1970 qui avaient dĂ©jĂ  mis en Ă©vidence des « zones Ă©boulĂ©es, de galeries inaccessibles, de toits de chambre ou de galeries dĂ©gradĂ©s », confirmĂ©es par des inspections ultĂ©rieures[29]. Les communes voisines de Fontenay-le-Marmion, Saint-AndrĂ©-sur-Orne, Saint-Martin-de-Fontenay sont Ă©galement impactĂ©es. Les inspections ont aussi montrĂ© qu'Ă  quelques reprises (nord de la mine) un lĂ©ger manque d'oxygĂšne (18 %) alors accompagnĂ© d'une augmentation du taux de CO2 (2 %), mais sans grisou (mĂ©thane). Les dosimĂštre que portaient les personnels ont montrĂ© que les concentrations de radon « Ă©taient relativement importantes et qu'il convenait d’en tenir compte pour la cartographie de l'alĂ©a ».

    HĂ©raldique

    Blason de May-sur-Orne Blason
    De gueules Ă  deux pics de mineurs passĂ©s en sautoir et chargĂ©s d'une lampe de mineur brochante et surmontĂ©e d'un casque de mineur, le tout d'argent brochant sur un soc de charrue du mĂȘme en pointe; au chef d'azur chargĂ© de la devise « PAX.LABOR » en lettres capitales d'argent[30].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    La nouvelle mairie.
    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1989 mars 2008 Daniel Derbias
    mars 2008[31] juillet 2020 Martial Desflaches[32] SE Technicien
    juillet 2020[33] En cours Jean-Luc Mottais SE
    puis Horizons[34]
    Chef de projets au conseil régional
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[36].

    En 2020, la commune comptait 2 016 habitants[Note 9], en augmentation de 8,97 % par rapport Ă  2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    322352374463536464517527551
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    579610588557564619642599619
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    701678704686668740639432715
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 0491 0851 2401 3451 6351 7161 8591 8021 955
    2020 - - - - - - - -
    2 016--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Malgré les combats et les bombardements de l'été 1944, la ville conserve un riche patrimoine.

    • L'Ă©glise Saint-Firmin. Elle date de la reconstruction de 1955 Ă  1960.
    • Le musĂ©e. SituĂ© dans le parc de la mairie, ce lieu de mĂ©moire retrace le passĂ© industriel de la commune, depuis l'exploitation du grĂšs jusqu'Ă  celle du minerai de fer.
    • La discordance de May-sur-Orne. D'intĂ©rĂȘt gĂ©ologique important, la discordance du calcaire jurassique sub-horizontal sur du calcaire cambrien plissĂ© est visible prĂšs des stades de football.
    • Le chĂąteau Sainte-Marie du XVIIIe siĂšcle ayant appartenu Ă  la famille Sainte-Marie, seigneurs de May.
    • Le chĂąteau Druelle, datant du XVIIIe siĂšcle, construit en pierre de Caen et en grĂšs de May.
    • Les moulins situĂ©s en contrebas proche de l'Orne.
    • L'ancienne mairie situĂ©e sur l'ancien temple protestant dĂ©truit au cours de l'Ă©tĂ© 1944.
    • L'ancienne Ă©cole Sainte-ThĂ©rĂšse, fondĂ©e dans les annĂ©es 1930, a fermĂ© en 2011 et a Ă©tĂ© dĂ©molie Ă  la fin des annĂ©es 2010[39]. Elle Ă©tait le seul bĂątiment de la ville portant encore les stigmates de la guerre et contenait une statue de sainte ThĂ©rĂšse dĂ©placĂ©e dans la salle paroissiale.
    • Le calvaire sur la route d'Harcourt.
    • Des vestiges de la mine comme deux silos Ă  minerai, un visible de loin, ou encore des centres d'hĂ©bergements pour les ouvriers.
    • L'Ă©glise Saint-Firmin.
      L'Ă©glise Saint-Firmin.
    • En souvenir des travailleurs des mines.
      En souvenir des travailleurs des mines.

    Personnalités liées à la commune

    • Ernest Chollet, nĂ© le Ă  May-sur-Orne[40]. Il devient maire de la commune en 1870 Ă  l'Ăąge de 25 ans et il garde ce poste pendant 47 ans jusqu'Ă  son dĂ©cĂšs en septembre 1917.
    La légende veut qu'à l'automne 1891, il s'interrogeùt sur la roche dense et rouge qu'il rencontrait en plantant ses pommiers. Les résultats des analyses qu'il fit faire conclurent à la présence du minerai de fer. Il lança l'extraction et jusqu'en 1969, 20 millions de tonnes de minerai de fer furent extraits.
    • Dom Aubourg ( - ), moine bĂ©nĂ©dictin, natif de la commune[41].
    • Fabrice Divert, footballeur ayant vĂ©cu dans la commune.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • « May-sur-Orne », dans Louis Le Roc'h MorgĂšre, Bernard Gourbin, Philippe Bernouis et al., Le Patrimoine des communes du Calvados, Paris, Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1715 p. (ISBN 2-84234-111-2)
    • Revue Art de Basse-Normandie (Caen), no 129, 4e trimestre 2003 : May, Saint-AndrĂ© et Saint-Martin-de-Fontenay. Trois communes sƓurs.

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Fresney Le Vieu - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre May-sur-Orne et Fresney-le-Vieux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Fresney Le Vieu - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre May-sur-Orne et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Saint-Martin-de-Fontenay », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    26. Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du département du Calvados, Paris, 1883, p. 185 .
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 444
    28. Bassin minier de May-sur-Orne. Concessions de Bully, Maltot, May-sur-Orne et Saint- AndrĂ©-sur-Orne (Calvados). Étude prĂ©liminaire Ă  la rĂ©alisation d’un Plan de PrĂ©vention des Risques Miniers (PPRM). Cartographie de l’alĂ©a « mouvement de terrain ». Rapport GEODERIS 4BNO2600-R02-CF, 14 juin 2004.
    29. Bassin ferrifÚre de Normandie. Convention May-sur-Orne (Calvados). Inspection géotechnique des galeries de niveau supérieur. Rapport INERIS-DRS-06-68230/R01, mars 2006
    30. « 14408 - MAY SUR ORNE (Calvados) », sur L'Armorial des villes et des villages de France (consulté le )
    31. « Martial Desflaches, élu au poste de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    32. Réélection 2014 : « May-sur-Orne (14320) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    33. « Municipales à May-sur-Orne. Jean-Luc Mottais élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    34. https://horizonsleparti.fr/comites-municipaux/
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. « Démolition/désamiantage sites école Sainte-ThérÚse et maison suédoise », sur centraledesmarches.com, Medialex (consulté le )
    40. « Les archives du Calvados », sur archives.calvados.fr (consulté le )
    41. https://www.ouest-france.fr/normandie/bayeux-14400/73e-d-day-dom-aubourg-t-il-sauve-bayeux-en-1944-5041748
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