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Rylsky

Ferdinand Albert François Joseph Ladislas ƚcibor-Rylski, dit Rylsky, Ă©galement connu sous le pseudonyme de AhĂŒ, nĂ© Ă  Paris 9e le et mort Ă  Paris 14e le [1], est un peintre et graveur français de la nouvelle École de Paris.

Rylsky
Naissance
DĂ©cĂšs
Nom de naissance
Ferdinand Albert François Joseph Ladislas ƚcibor-Rylski
Pseudonymes
Rylsky-AhĂŒ, AhĂŒ, S.-R. AhĂŒ
Nationalité
Activités

Biographie

François ƚcibor-Rylski naüt à Paris le dans le quartier de Montmartre alors en pleine effervescence artistique.

Son pĂšre, Kasimir ƚcibor-Rylski (1873-1957), nĂ© Ă  Anglet (PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques), est fils de l’un des instigateurs de l’insurrection polonaise de 1863, lequel, une fois rĂ©fugiĂ© en Suisse, rencontre une jeune anglaise, fille du gouverneur de l’Assam (Inde). Ils se marient Ă  Anglet, vivent un temps en Angleterre, puis Ă  Cracovie (Pologne), avant de retourner s’établir sur la cĂŽte basque. Kasimir ƚcibor-Rylski a une sƓur de deux ans son aĂźnĂ© : Rosalie ƚcibor-Rylska, la muse, l’amour cachĂ© de Paul Claudel[2]. Rylsky ne saura rien de ses origines paternelles. Le divorce de ses parents est prononcĂ© alors qu’il n’a pas encore 6 ans et il ne retrouvera jamais la trace de ce pĂšre en dĂ©pit de ses recherches.

Sa mĂšre, Catherine Trnka (1880-1939), nĂ©e Ă  Vienne (Autriche), se remarie en 1909 avec Abel AhĂŒ (1881-1953), architecte Ă  Paris et Vaux-sur-Eure. Le couple n’aura pas d’enfants. Abel AhĂŒ considĂšrera Rylsky comme son fils adoptif. Jusqu’en 1929, Rylsky sera appelĂ© « Albert AhĂŒ », « S.R. AhĂŒ » ou simplement « AhĂŒ ».

À l’École des beaux-arts de Paris, il s’inscrit en janvier 1918 dans l’atelier d’architecture de Louis Bernier[3]. Son professeur, auteur de la reconstruction de l’OpĂ©ra-Comique, mourra un an plus tard. Rylsky Ă©tudie en mĂȘme temps la peinture, car c’est Ă  cet art qu’il compte dĂ©dier sa vie, contre l’avis d'Abel AhĂŒ qui aimerait le voir reprendre son cabinet d’architecte.

Turquie (vers 1921-1922), localisation inconnue.

Il est incorporĂ© en 1920. Il passe au 43e bataillon du GĂ©nie en et part pour Constantinople[4] quelques jours aprĂšs la signature de l’accord d’Angora (aujourd'hui Ankara). StationnĂ© pendant plus d’un an, il rapportera de la capitale ottomane un important ensemble de dessins.

Raymond Renefer, un peintre ami de son beau-pĂšre Abel AhĂŒ, joua un grand rĂŽle dans l’engagement en peinture de Rylsky[5]. Peut-ĂȘtre l’a-t-il Ă©galement initiĂ© Ă  la gravure. Un atelier Renefer-AhĂŒ dĂ©diĂ© aux dessins de publicitĂ©s, Ă  la dĂ©coration est crĂ©Ă© en 1924. Renefer enseigne Ă  l’École ABC de Dessin et Rylsky Ă©galement dĂšs 1925. Si Ă  partir des annĂ©es 1930, Rylsky s’éloigne stylistiquement de son ainĂ© mais jamais leur amitiĂ© et leurs Ă©changes sur le mĂ©tier ne cesseront.

En 1924, il participe pour la premiÚre fois au Salon d'automne. Les années suivantes, il enverra ses toiles au Salon des indépendants.

En 1925, il se marie avec Marie-Louise Germaine Brochet et aura de cette union deux filles, Claude Colette et Catherine.

Bois gravé (1926), illustration pour Marise jeune fille de Pierre Villetard[6].

En 1926 et 1929 paraissent deux ouvrages illustrĂ©s d’aprĂšs les bois gravĂ©s de Rylsky, toujours sous le nom d’AhĂŒ : Marise jeune fille de Pierre Villetard et La Nuit de haschich et d’opium de Maurice Magre. Son Ɠuvre gravĂ© est saluĂ© par Marcel Roland dans La Gerbe qui tĂ©moigne : « C’est ainsi que le « bois » oĂč il a retracĂ© le visage de l’aviateur Roland Garros m’est restĂ© comme un des plus Ă©mouvant que j’ai vus[5] ».

De 1930[7] à 1970, Rylsky est directeur artistique et conseiller technique du service publicité des grands magasins parisiens Aux Trois-Quartiers et Madelios.

Un jour [
] les Trois Quartiers appellent comme chef de publicitĂ© un peintre qui, rĂ©solument, dĂ©cide de changer l’aspect des catalogues. [
] La nouvelle formule que S. Rylski a su imposer, semble avoir atteint son double but commercial et artistique. Le rĂ©sultat des ventes et les demandes de catalogues Ă©manant de toutes les parties du globe proclamĂšrent le succĂšs du bon goĂ»t sur la mĂ©diocritĂ© – ce qui est bien rĂ©confortant[8].

En 1930, il acquiert dans le Lot une maison mitoyenne avec celles de ses amis peintres, Jean LĂ©on et Roger BissiĂšre.

Au Salon des indĂ©pendants et au Salon de l'art français indĂ©pendant de 1930, Paul Fierens rend compte Ă  quelques mois d’intervalle : « Rylsky dĂ©marque Lurçat, sans pudeur[9]. » et « Georges Braque [
] impressionne profondĂ©ment trois exposants : BissiĂšre [
] Jeanneret [
] Rylsky enfin, qui regarde aussi du cĂŽtĂ© de chez Jean Lurçat[10]. » Le Salon de l’Art français indĂ©pendant devient Salon de l'Ɠuvre unique en 1932 et nomme Rylsky dans son comitĂ© aux cĂŽtĂ©s de BissiĂšre et d’autres artistes[11].

En ouvre Ă  Paris le premier Salon de l'art mural. Il est proposĂ© comme jury avec Nicolas Wacker. Il y envoie une Ɠuvre au sujet de laquelle Jacques Lassaigne Ă©crit : « Qui donc a travaillĂ© selon l’esprit vĂ©ritable du Salon de l’Art mural ? Bien peu d’artistes. Citons au moins Mario Tozzi et Rylsky, qui ont fait de belles fresques. Rylsky montre mĂȘme par l’excellente frise qui entoure son sujet, la juste place que doit tenir le motif dĂ©coratif dans l’art mural[12]. »

Sans doute enseigne-t-il Ă  l'AcadĂ©mie Ranson dĂšs ces annĂ©es-lĂ , avant la fermeture dĂ©finitive de l'acadĂ©mie en 1944. S’y trouvent alors BissiĂšre, Charles Malfray, Alfred Manessier, Jean Le Moal, Étienne-Martin, François Stahly, VĂ©ra Pagava, Nicolas Wacker
 dont « la plupart [
] s’orienteront par la suite vers un art abstrait ou informel[13] » et avec lesquels se nouent des liens indĂ©fectibles.

Sa premiĂšre femme et lui se sont sĂ©parĂ©s. Il fait la rencontre de Marcelle Fichet avec qui il aura deux autres filles : Christiane et Jacqueline. Ensemble ils dĂ©couvrent en 1936 Ă  Bajolet, hameau de Forges-les-Bains, une maison paysanne dont l’une des granges est rapidement transformĂ©e en atelier. Son ami Jean Bazaine possĂšde justement une maison de famille Ă  Forges-les-Bains.

Ange cousant un poÚme à la machine (1946), exposé au Salon des Tuileries, localisation inconnue.

La France entre en guerre. Il est rappelĂ© d’urgence le . Fait prisonnier par les Allemands le en Meurthe-et-Moselle, il est internĂ© dans un camp Ă  ChĂąlons-sur-Marne puis admis Ă  l’hĂŽpital des prisonniers de guerre. AprĂšs une grĂšve de la faim de 33 jours, il est reconnu inapte dĂ©finitivement, Ă©chappant ainsi au Service du travail obligatoire (STO), avant d’ĂȘtre dĂ©mobilisĂ© le [4]. Pendant ce temps, Marcelle et leurs deux jeunes enfants se rĂ©fugient un temps dans le Lot Ă  BoissiĂšrette chez Roger BissiĂšre. Sa propre maison sera occupĂ©e par une autre peintre du groupe de l’AcadĂ©mie Ranson, Charlotte Henschel, qui y demeurera jusqu’à l’hiver 1958.

Il retrouve son travail Aux Trois Quartiers. Il n’est plus seulement chargĂ© des catalogues de la maison mais, entre 1942 et 1945, de la direction de la galerie des Trois Quartiers situĂ©e au 4e Ă©tage du cĂ©lĂšbre grand magasin du boulevard de la Madeleine[14]

Ces deux activitĂ©s lui permettent en outre, dans la France occupĂ©e, d’aider ses amis — y compris ceux d’origine juive — en leur passant commande pour des illustrations et en les exposant. Le magazine suisse Graphis consacre un article aux catalogues conçus par Rylsky[8], illustrĂ©s entre autres par Jean LĂ©on, Jean Lurçat, Galanis, Mariano Andreu, et recherchĂ©s par les plus grandes institutions internationales comme le Victoria and Albert Museum de Londres.

En 1942, il envoie ses toiles au Salon des Tuileries puis Ă  nouveau au Salon d'automne. Il participe Ă  quelques expositions dont plusieurs dans un but philanthropique, au profit des prisonniers de guerre, des veuves et orphelins des FTP.

Bien qu’il soit locataire d’un atelier à Paris dans le quartier de Montparnasse, au 117, rue Notre-Dame-des-Champs[15], il passe l’essentiel de son temps dans son atelier de Bajolet, ne se rendant plus que deux fois par semaine à Paris.

En 1946, il participe en tant que membre du conseil de direction et conseiller graphique à la revue Quadrige, fondée et dirigée par René Huyghe, conservateur du département des peintures du musée du Louvre[16].

Il s’intĂ©resse Ă  la photographie et part en 1947 avec BrassaĂŻ Ă  Grasse pour le compte de la Maison Chiris.

En 1948, Rylsky fait une exposition personnelle Ă  la galerie Jeanne Bucher Ă  Paris. En 1951 et 1952, il participe aux expositions collectives de la galerie. Dans sa chronique parisienne, la revue suisse en langue allemande Werk publie :

La Galerie Jeanne Bucher nous montre de bons tableaux rĂ©cents de Jean Bertholle et de Vieira da Silva. Un peu moins connu mais pourtant tout Ă  fait digne d'ĂȘtre remarquĂ©, le peintre Rylski expose avec eux. Ses tableaux sont tout Ă  fait Ă  la hauteur des exigences de ceux de Bertholle et de Vieira da Silva. Son cubisme, Ă  la construction rigoureuse, mais extrĂȘmement sensible et personnel, laisse entrevoir Ă  son tour qu'il puise ses sources dans la richesse inĂ©puisable de la nature."[17]

  • ƒuvres de Rylsky exposĂ©e Ă  la galerie Jeanne Bucher
  • ƒuvre de 1947, localisation inconnue.
  • ƒuvre de 1950, Ă©galement exposĂ©e au Salon de mai, localisation inconnue.
L'Eau (vers 1962-1963), vitrail, abside de l'Ă©glise Saint-Étienne Ă  Angervilliers.

Tout comme Bazaine, Manessier, Le Moal, Jean Bertholle, Elvire Jan, Rylsky s’engage dans l’art sacrĂ©. Sa formation d’architecte lui permet, qui plus est, de rĂ©pondre Ă  des demandes de rĂ©novations multidisciplinaires : il rĂ©alise autant les vitraux, les icĂŽnes, que le mobilier, la maçonnerie, etc.

En 1925, il est comme architecte, avec le sculpteur Étienne Forestier[18], auteur d’un monument Ă©rigĂ© Ă  la mĂ©moire de Roland Garros. Celui-ci est inaugurĂ© sur les Champs-ÉlysĂ©es avant de rejoindre la ville natale de l’aviateur, Saint-Denis (La RĂ©union)[19].

De 1953 Ă  environ 1963, il participa Ă  la rĂ©novation de l’église Saint-Étienne d’Angervilliers (Essonne). Rylsky rĂ©alise un autel en tressage de tuiles (aujourd’hui dĂ©truit), un tabernacle, le tout surplombĂ© d’un Christ en croix en bois polychrome d’inspiration byzantine, dorĂ© Ă  la feuille d’or, de 2,25 mĂštres de haut, ainsi que trois vitraux en dalles de verre colorĂ©, de plusieurs centimĂštres d’épaisseur, jointoyĂ©es par du ciment qui symbolisent l’eau, l’air et le feu. Le quatriĂšme Ă©lĂ©ment, la terre, n’a pas Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©. Rylsky s’était formĂ© auprĂšs d’un maĂźtre verrier de la cathĂ©drale de Chartres[20].

De 1955 Ă  1956, il travaille Ă  la rĂ©novation intĂ©rieure de l’église Saint-LĂ©ger Ă  Bouclans (Doubs).

Vers 1950-1960, pour l'Ă©dification d’un oratoire dans la commune de Bonnelles (Yvelines), il orne la niche d'une icĂŽne de la Vierge du Signe. Mais peu de temps aura passĂ© avant que l’orante de Rylsky ne soit dĂ©robĂ©e[21].

De plus en plus reclus dans son atelier, il s’adonne Ă  la peinture, ainsi qu'Ă  la poterie, la cĂ©ramique, la sĂ©rigraphie, sonde davantage encore les techniques de la dĂ©trempe, de la peinture Ă  l’Ɠuf etc. Il n’exposera plus, lui qui Ă©crivait : « [
] mais le temps Ă©tait gris, mes sentiments Ă©galement et ce que j’ai fait m’a laissĂ© cette espĂšce de mĂ©contentement que je ressens Ă  peu prĂšs chaque fois que j’expose [
] ». Un autre jour Ă  sa femme : « Le renouveau du spectacle journalier m’émeut sans jamais de lassitude, que ce soit toi, les enfants, le jour, la nuit, la peinture, les plantes, un morceau de bois ou de fer travaillĂ© et la grande ombre ironique me dit, doucement penchĂ©e sur moi « il faudra tout quitter, il faudra tout quitter et tu n’auras jamais fini
 Quoi que ce soit. »

Rylsky meurt Ă  Paris le .

ƒuvres

  • Les Danseuses, 1949[22].
  • ƒuvres de Rylsky
  • Montmartre (1926), localisation inconnue.
    Montmartre (1926), localisation inconnue.
  • Peinture, localisation inconnue.
    Peinture, localisation inconnue.
  • Peinture (1961), localisation inconnue.
    Peinture (1961), localisation inconnue.
  • Peinture (1962), localisation inconnue.
    Peinture (1962), localisation inconnue.

Ouvrages illustrés

  • Pierre Villetard, Marise jeune fille, bois gravĂ©s de AhĂŒ (pseudonyme de Rylsky), Paris, J. Ferenczi et fils, 1926.
  • Maurice Magre, La Nuit de haschich et d’opium, bois gravĂ©s en couleurs de AhĂŒ (pseudonyme de Rylsky), Paris, Flammarion, 1929.

Expositions

Exposition personnelle

Expositions collectives

Salons

Notes et références

  1. Acte de naissance à Paris 9e, n° 913, vue 15/31, avec mentions marginales de deux mariages à Paris en 1925 et 1941 et du décÚs à Paris 14e en 1970.
  2. ThĂ©rĂšse Mourlevat, La passion de Claudel : la vie de Rosalie ƚcibor-Rylska, Paris, Pygmalion, , 286 p. (ISBN 2-85704-703-7).
  3. Archives nationales, Archives de l’École nationale supĂ©rieure des beaux-arts, cote : AJ52 248, 429 « Scibor Rylski dit AhĂŒ ».
  4. Archives de Paris, Registres matricules du recrutement (1887-1921), cote D4R1 2285.
  5. Marcel Roland, « S.-R. AHÜ », La Gerbe, vol. 2,‎ , p. 9-12 (lire en ligne).
  6. Reproduit dans ABC Magazine d'art, avril 1926, p. 111.
  7. DÚs 1927 pour la Société Paris-France.
  8. (fr + en + de) Colette Vasselon, « Les catalogues des "Trois Quartiers" », Graphis,‎ no. 11/12, oct.-dĂ©c. 1945, p. 359-361.
  9. Journal des débats politiques et littéraires, 17 janvier 1930, p. 3.
  10. Journal des débats politiques et littéraires, 6 mai 1930, p. 3.
  11. L'Intransigeant, 18 février 1932, p. 2.
  12. Jacques Lassaigne, « Les expositions », Sept,‎ , p. 10 (lire en ligne).
  13. Montparnasse années 30 : éclosions à l'académie Ranson [
], Gand (Belgique), Snoeck, , 95 p. (ISBN 978-90-5349-796-8), p. 68.
  14. Les expositions temporaires et les accrochages s’y succùdent :
  15. Ce fut Ă©galement l’adresse de l’atelier de Camille Claudel en 1886-1887 (cf. museecamilleclaudel.fr) et de ses amis Jean Le Moal et Alfred Manessier.
  16. « Revue - Quadrige (1945-1948) », sur AGORHA (consulté le ).
  17. (de) « Pariser Kunstchronik », Werk,‎ no. 5, mai 1951, p. 61 (lire en ligne).
  18. Un portrait de Rylsky (AhĂŒ) par Forestier est reproduit dans Marcel Roland, op. cit.
  19. Excelsior, 30 novembre 1925 et 3 décembre 1925.
  20. Jacqueline Ferreri, Rylsky l’artiste peintre et l'Ă©glise Saint-Étienne d’Angervilliers, 2018.
  21. ClichĂ© de Marc Vaux reproduisant l’icĂŽne de Rylsky (Centre Pompidou, bibliothĂšque Kandinsky, cote : MV 10599).
  22. (en) Martin Wolpert, and Jeffrey Winter, Modern Figurative Paintings : The Paris Connection, Atglen (Pennsylvanie), Schiffer Publishing, , 288 p. (ISBN 0-7643-1962-0), p. 234.
  23. « Archives : François Rylsky », sur Jeanne Bucher Jaeger (consulté le ).
  24. Exposition du 18 dĂ©cembre 1942 au 5 janvier 1943 « vernie sous la prĂ©sidence de M. Pierre LadouĂ©, conservateur en chef du DĂ©partement de l’Art moderne », ComƓdia, 19 dĂ©cembre 1942.
  25. « Archives : 1952 », sur Jeanne Bucher Jaeger (consulté le ).
  26. Pierre Sanchez, Dictionnaire du Salon d’Automne [
] : 1903-1945, Dijon, L’Échelle de Jacob, , 1426 p. (ISBN 2-913224-67-9), p. 70 (t. 1) sous le nom d’Albert AhĂŒ.
  27. Pierre Sanchez, op. cit., p. 1209 (t. 3) sous le nom de François Rylsky.
  28. Catalogue du Salon de 1948, nos 1239 et 1240, sous le nom de Rylsky.
  29. Catalogue du Salon de 1961, no 576, sous le nom de François Rylsky.
  30. Pierre Sanchez, Dictionnaire des IndĂ©pendants [
] : 1920-1950, Dijon, L’Échelle de Jacob, , 1484 p. (ISBN 978-2-913224-77-3), p. 49 (t. 1) sous le nom de Albert ou S.R. AhĂŒ.
  31. Pierre Sanchez, op. cit., t 3, sous le nom de Francis [sic] Rylsky.
  32. Compte rendu de la 3e Ă©dition par G. de Pawlowski dans Le Journal, 25 avril 1931, p. 4.
  33. Pierre Sanchez, Dictionnaire du Salon des Tuileries [
] : 1923-1962, Dijon, L’Échelle de Jacob, , 770 p. (ISBN 978-2-913224-72-8), p. 651 (t. 2) sous le nom de Francis [sic] Rylsky.
  34. Catalogue du Salon, s.d., no 209, sous le nom de Rylsky.
  35. DeuxiĂšme Salon de l’art sacrĂ©, du 1er au , musĂ©e d'Art moderne de la ville de Paris, no 81.
  36. Catalogue du Salon de 1952, musée de Picardie, nos 91 et 92.

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