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Reuil-en-Brie

Reuil-en-Brie est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de Seine-et-Marne en rĂ©gion Île-de-France.

Reuil-en-Brie
Reuil-en-Brie
La mairie-Ă©cole.
Blason de Reuil-en-Brie
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Patrick romanow
2020-2026
Code postal 77260
Code commune 77388
DĂ©mographie
Gentilé Reuillois
Population
municipale
822 hab. (2020 en diminution de 0,36 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 139 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 57â€Č 41″ nord, 3° 08â€Č 51″ est
Altitude Min. 51 m
Max. 185 m
Superficie 5,92 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine La Ferté-sous-Jouarre
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Ferté-sous-Jouarre
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Reuil-en-Brie
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Reuil-en-Brie
Liens
Site web reuil-en-brie.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Reuil-en-Brie dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune est située à km au nord-est de La Ferté-sous-Jouarre et à km au sud-ouest de Luzancy.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Reuil-en-Brie
    Chamigny Luzancy
    Reuil-en-Brie SaĂący-sur-Marne
    La Ferté-sous-Jouarre Jouarre

    GĂ©ologie et relief

    L'altitude de la commune varie de 51 mĂštres Ă  185 mĂštres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant Ă  environ 56 mĂštres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classĂ©e en zone de sismicitĂ© 1, correspondant Ă  une sismicitĂ© trĂšs faible[2].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Reuil-en-Brie.

    La commune est situĂ©e le long de la rive gauche de la riviĂšre la Marne, longue de 514,26 km[3], principal affluent de la Seine. Par ailleurs, son territoire est Ă©galement traversĂ© par l’aqueduc de la Dhuis.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 1,6 km[4].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon Ă©tat des eaux imposĂ© par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intĂ©grĂ©e s’articulent Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles : le SDAGE, Ă  l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, Ă  l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le dĂ©partement de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[5].

    La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvĂ© le . Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[6]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurĂ©s par le syndicat mixte d'amĂ©nagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifiĂ© de « structure porteuse »[7].

    Climat

    ParamÚtres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,9 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,8 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 723 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -3 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,1 j

    La commune bĂ©nĂ©ficie d’un « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France dĂ©finie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalitĂ© des communes de Seine-et-Marne[8].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[8]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[10]. Cette Ă©volution peut ĂȘtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve Ă  52 km Ă  vol d'oiseau[11], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour 1981-2010[12] Ă  11,6 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[14] - [15] - [16].

    Urbanisme

    Typologie

    Reuil-en-Brie est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 3] - [17] - [18] - [19]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de La FertĂ©-sous-Jouarre, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 3 communes[20] et 11 809 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[21] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23] - [24].

    Lieux-dits et Ă©carts

    La commune compte 72 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[25] (source : le fichier Fantoir) dont le Tillet, le Bréau (chùteau), Tartrel (chùteau).

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (69,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (70,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (61% ), terres arables (20,5% ), zones urbanisĂ©es (10,1% ), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (8,4 %)[26].

    ParallĂšlement, L'Institut Paris RĂ©gion, agence d'urbanisme de la rĂ©gion Île-de-France, a mis en place un inventaire numĂ©rique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dĂ©nommĂ© le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisĂ© rĂ©guliĂšrement depuis sa premiĂšre Ă©dition en 1982. RĂ©alisĂ© Ă  partir de photos aĂ©riennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, Ă©quipements, activitĂ©s Ă©conomiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'Ă  81 postes, diffĂ©rente de celle de Corine Land Cover[27] - [28] - [Carte 1]. L'Institut met Ă©galement Ă  disposition des outils permettant de visualiser par photo aĂ©rienne l'Ă©volution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvĂ©[29]. Le zonage rĂ©glementaire et le rĂšglement associĂ© peuvent ĂȘtre consultĂ©s sur le GĂ©oportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 368 dont 95,2 % de maisons et 4,5 % d'appartements[Note 6].

    Parmi ces logements, 85 % étaient des résidences principales, 5 % des résidences secondaires et 10 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 89,5 % contre 8,2 % de locataires et 2,3 % logés gratuitement[30].

    Transports

    La commune est desservie par les lignes d'autocars du réseau Transdev :

    • No 31 (La FertĂ©-sous-Jouarre - La FertĂ©-sous-Jouarre)[31] ;
    • No 32 (Saacy-sur-Marne - La FertĂ©-sous-Jouarre)[32] ;
    • No 32S (Bassevelle - La FertĂ©-sous-Jouarre)[33].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Radolium au IXe siÚcle[34] ; Monasterium Sancti Petri de Rodolio[35] et Tota villa Rodoliensis en 1184[36] ; Reuel vers 1222 (Livre des vassaux)[37] ; Prior de Radolyo en 1291[38] ; Ruolium en 1296[39] ; Rueil ou dyocese de Meaulx en 1364[40] ; Ruel en 1415[39] ; Ruel en Brye en 1600[41] ; Rueil en Brye en 1633[42].

    Nom d'origine gauloise ou gallo-romane issu du latin regalis qui signifie « royal », avec le suffixe elum, contraction de oialos, sous la forme euil, indiquant l'abondance[43], avec le sens de « domaine royal », présentant des anciennes dépendances ayant fait partie du domaine royal.

    La Brie (prononcĂ© [bʁi]) est une rĂ©gion naturelle situĂ©e dans la partie orientale du bassin parisien, entre les vallĂ©es de la Marne, de l'Orge, de la Seine et la cĂŽte d'Île-de-France.

    Histoire

    Prieuré bénédictin Saint-Pierre-Saint-Paul dépendant de l'abbaye de Cluny. Fondé au XIIe siÚcle, Hugues III d'Oizy qui était vicomte de Meaux y avait sa sépulture[44].

    Important centre d'extraction meuliĂšre aux XVIIIe et XIXe siĂšcles (grand nombre d'anciennes carriĂšres de pierre meuliĂšre au hameau du Tillet).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1908 ? Albert Londe Ingénieur chimiste
    1972 21 novembre 1996[45] Lucien Maillet Apparenté PCF
    janvier 1997 mars 2001 Christine Favier
    mars 2001 En cours
    (au 28 juillet 2020)
    Patrick Romanow Enseignant
    Vice prĂ©sident de la CC du Pays Fertois ( ? → 2017)
    Vice-prĂ©sident de la CA Coulommiers Pays de Brie (2018 → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[46] - [47]

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usĂ©es et pluviales relĂšve des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rĂŽle des EPCI Ă  fiscalitĂ© propre en leur transfĂ©rant cette compĂ©tence. Ce transfert devait en principe ĂȘtre effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilitĂ© d’un report de ce transfert au [48] - [49].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Reuil-en-Brie est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [50] - [51] - [52].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[53]. La communautĂ© d'agglomĂ©ration Coulommiers Pays de Brie (CACPB) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[50] - [54].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [50] - [55].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[57].

    En 2020, la commune comptait 822 habitants[Note 7], en diminution de 0,36 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    407403411375413386398416416
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    392434431394376400385320286
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    302332365349339348354261250
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    255312378388508819862863842
    2015 2020 - - - - - - -
    822822-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee Ă  partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    • Centre Ă©questre.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de mĂ©nages fiscaux de la commune Ă©tait de 318, reprĂ©sentant 828 personnes et la mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation de 25 230 euros[60].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone Ă©tait de 68, occupant 416 actifs rĂ©sidants. Le taux d'activitĂ© de la population (actifs ayant un emploi) ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©levait Ă  72,1 % contre un taux de chĂŽmage de 7,9 %. Les 20 % d’inactifs se rĂ©partissent de la façon suivante : 10,9 % d’étudiants et stagiaires non rĂ©munĂ©rĂ©s, 5,7 % de retraitĂ©s ou prĂ©retraitĂ©s et 3,3 % pour les autres inactifs[61].

    Entreprises et commerces

    En 2019, le nombre d’unitĂ©s lĂ©gales et d’établissements (activitĂ©s marchandes hors agriculture) par secteur d'activitĂ© Ă©tait de 40 dont 1 dans l’industrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres, 9 dans la construction, 10 dans le commerce de gros et de dĂ©tail, transports, hĂ©bergement et restauration, 2 dans l’Information et communication, 2 dans les activitĂ©s financiĂšres et d'assurance, 1 dans les activitĂ©s immobiliĂšres, 5 dans les activitĂ©s spĂ©cialisĂ©es, scientifiques et techniques et activitĂ©s de services administratifs et de soutien, 2 dans l’administration publique, enseignement, santĂ© humaine et action sociale et 8 Ă©taient relatifs aux autres activitĂ©s de services[62].

    En 2020, 6 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 5 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hîtel et de terrain de camping[63].

    Agriculture

    Reuil-en-Brie est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux riviÚres, en limite de la Brie[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est l'élevage de bovins pour le lait[64].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂȘte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomĂšne de disparition des terres cultivables (prĂšs de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[65]. Cette tendance n'est pas confirmĂ©e au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. ParallĂšlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 30 ha en 1988 Ă  81 ha en 2010[64]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Reuil-en-Brie, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Reuil-en-Brie entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[64] - [Note 9]
    Nombre d’exploitations (u) 1 1 1
    Travail (UTA) 4 2 2
    Surface agricole utilisée (ha) 30 90 81
    Cultures[66]
    Terres labourables (ha) s s s
    Céréales (ha) s s s
    dont blé tendre (ha) s s s
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 0 s s
    Tournesol (ha) 0
    Colza et navette (ha) 0
    Élevage[64]
    Cheptel (UGBTA[Note 10]) 92 112 175

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Jacques-et-Saint-Philippe.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

    De gueules Ă  la croix d'or, cantonnĂ©e au premier d'une coquille renversĂ©e, au deuxiĂšme d'une croisette latine renversĂ©e, au troisiĂšme d'un chĂȘne et au quatriĂšme d'une meule de moulin, le tout d'argent.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Reuil-en-Brie », p. 551

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Le cours et le point de confluence donnĂ© par SIGES est contestable, celui-ci Ă©tant au milieu de la Marne, limite administrative entre Chamigny et Reuil-en-Brie. Le point terrestre oĂč le canal rejoint la Marne est sur la commune de Chamigny.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou Ă©cart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcĂ©ment un lieu habitĂ©, il peut ĂȘtre un champ, un carrefour ou un bois...
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours Ă©gale Ă  100 %.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    10. L'UnitĂ© gros bĂ©tail alimentation totale (UGBTA) est une unitĂ© employĂ©e pour pouvoir comparer ou agrĂ©ger des effectifs animaux d’espĂšces ou de catĂ©gories diffĂ©rentes (par exemple, une vache laitiĂšre = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mĂšre = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Reuil-en-Brie - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aĂ©rienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consultĂ© le ).
    3. « GĂ©oportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Reuil-en-Brie » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    2. « Plan séisme consulté le 4 juin 2021 ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Marne (F---0100) » (consulté le ).
    4. 77388 Site SIGES – Seine-Normandie (SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consultĂ© le 21 janvier 2019
    5. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    6. « SAGE Petit et Grand Morin - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    7. site officiel du Syndicat Mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    9. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le ).
    10. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    11. « Orthodromie entre Reuil-en-Brie et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Reuil-en-Brie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Reuil-en-Brie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Liste des espaces protégés sur la commune de Reuil-en-Brie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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