Accueil🇫🇷Chercher

Ray of Light (chanson)

Ray of Light est une chanson de l'artiste américaine Madonna, extraite de son album éponyme. Écrite par Madonna, William Orbit, Clive Maldoon, Dave Curtiss et Christine Leach, la chanson est sortie comme deuxième single en 1998.

Ray of Light
Description de cette image, également commentée ci-après
Logo de Ray of Light présent sur la pochette du single
Single de Madonna
extrait de l'album Ray of Light
Face B Has to Be
Sortie
Enregistré 1997
Durée 5:20 (version album)
4:35 (version radio)
Genre Pop
Format CD, Disque vinyle, Maxi 45 tours, Cassette vidéo
Auteur-compositeur Madonna
William Orbit
Clive Maldoon
Dave Curtiss
Christine Leach
Producteur Madonna
William Orbit
Label Maverick Records
Warner Bros. Records

Singles de Madonna

Pistes de Ray of Light

En 2001, le morceau fut choisi pour constituer la bande originale de la publicité du système d'exploitation informatique Windows XP de Microsoft[1]. Avant cela, il avait été utilisé par la marque de cosmétique Max Factor pour sa publicité en 1999[1].

Genèse et sortie

Depuis 1996, Madonna a vécu un certain nombre d'expériences qui ont changé sa vie, notamment la naissance de sa fille Lourdes, son intérêt pour le mysticisme oriental et la Kabbale, ainsi que le rôle principal qu'elle a tenu dans la comédie musicale Evita en 1996.Un an plus tard, elle commence à travailler sur Ray of Light, son septième album studio. Madonna a écrit les chansons avec William Orbit, Patrick Leonard, Rick Nowels et Babyface[2].

L'auteure Carol Benson a commenté qu'il s'agissait d'un "album de danse profondément spirituel", dont l'essentiel est basé sur la carrière de Madonna, son parcours et les nombreuses identités qu'elle a endossées au fil des ans.La maternité a adouci la chanteuse sur le plan émotionnel, ce qui se reflète dans les chansons[3].

Enregistrement et composition

Ray of Light a été enregistré avec le reste de l'album au Larrabee North Studio à North Hollywood en Californie, au milieu de l'année 1997. Il a été masterisé par Ted Jensen aux Sterling Studios à New York[4]. La cassette audio contenait la majeure partie des enregistrements de la chanson, ainsi que les sessions préliminaires de démo dans la maison de Madonna à New York, ainsi qu'aux Hit Factory Studios où Madonna a chanté la chanson pour la première fois. Comme pour la majeure partie de l'album, les sons synthétiques enregistrés pour Ray of Light ont été joués sur un Roland Juno-106. Madonna et Orbit avaient organisé une session avec un batteur à Los Angeles, mais cela n'avait pas été concluant. Orbit a finalement contacté Fergus Gerrand qui lui a fait écouter des échantillons de batterie à Londres. Orbit les a introduits dans sa station de travail et les a coupés manuellement, au lieu d'utiliser un logiciel d'édition automatique comme ReCycle[5].

Selon la partition de Musicnotes.com publiée par Alfred Publishing Co. Inc. , la mesure est à 4 temps avec un tempo modérément rapide de 126 battements par minute. La tonalité est si bémol majeur et le registre vocal s'étend des notes si bémol3 à fa 5. Elle suit une progression harmonique de si bémol - do m 7- ré m - mi bémol - si bémol dans l'introduction, puis passe à si bémol - mi bémol pendant les versets[6].

La chanson commence par un riff de guitare électrique comparable à la musique du groupe de rock alternatif anglais Oasis[7]. Les accords s'harmonisent entre eux, se poursuivant pendant 22 secondes[8]. La mélodie techno commence alors, consistant en un son synthétique principal oscillant sur la note musicale primaire, l'égaliseur se déplaçant entre les basses et les aigus[8] - [9]. Le rythme "agité " est accompagné d'un riff d'accords d'inspiration rock, la tonalité aigüe de Madonna étant plus élevée que celle des autres morceaux de l'album[8] - [10].

Sur le plan lyrique, le morceau est optimiste, en accord avec le thème de la musique. Selon Madonna, les couplets sont un regard mystique sur l'univers et sur notre petitesse par rapport à lui[2]. Elle voulait capturer un sentiment d'émerveillement avec les paroles, comme si quelqu'un venait d'ouvrir les yeux et regardait le monde pour la première fois[11]. Dans une interview avec NME magazine, Madonna a précisé que les paroles transmettent le sentiment d'être petit par rapport au vaste univers. Elles évoquent également le fait que la vie ordinaire va à une vitesse plus rapide que celle de la lumière, mais que l'on peut sortir de ce voyage et se regarder d'un point de vue extérieur[12].

Accueil

Critiques de la presse

Madonna,avec ses danseurs, interprétant "Ray of Light" durant the Confessions Tour (2006)

La chanson Ray of Light a été acclamée par plusieurs critiques musicaux. Dans une critique de l’ensemble de l'album, Stephen Thomas Erlewine de AllMusic a décrit le morceau comme "tourbillonnant"[13].

Larry Flick de Billboard l'a décrit comme Madonna au meilleur de sa forme, la qualifiant de "chanson intense spirituellement et souvent poétique". Il a notamment mentionné la souplesse de sa voix et la progression de Madonna en tant qu'artiste[14]. Rob Sheffield de Rolling Stone, dans sa critique de l'album dans son ensemble, a écrit que, à l'instar des morceaux Swim et Drowned World/Substitute For Love, le son de Madonna dans la chanson est "positivement féroce"[7].

Sal Cinquemani de Slant Magazine a écrit que la chanson était une "célébration frénésique", et a souligné le chant exalté de Madonna[15]. Dans une critique de la deuxième compilation de hits de Madonna, GHV2 (2001), Cinequemani a écrit :

« Comme aucun autre tube de Madonna de mémoire récente, le frénétique "Ray of Light" a trouvé la chanteuse dans une célébration techno-frénésique. Qu'il s'agisse d'une révélation d'ordre spirituel ou sonore, son exaltation est indéniable. Les rythmes de synthétiseurs analogiques et de guitares électriques d'Orbit complètent parfaitement la capacité d'élasticité des nouvelles cordes vocales de Madonna. Elle n'avait jamais atteint de tels sommets depuis Deeper and Deeper[16]. »

Classements de la presse

Ray of Light est souvent classée comme étant l'une des meilleures chansons des années 1990[10]. En 2003, Q Magazine l'a classée 609ème dans sa liste des "1001 meilleures chansons de tous les temps"[17]. En 2005, la chanson a été placée en 401ème position dans la liste des "500 meilleures chansons depuis que vous êtes nés" par Blender[18].

Clip Vidéo

Le clip de Ray of Light a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© par Jonas Ă…kerlund, qui avait dĂ©jĂ  tournĂ© le clip controversĂ© de la chanson Smack My Bitch Up (1997) de The Prodigy[19]. Madonna a fait appel Ă  Ă…kerlund car le clip de la chanson Smack My Bitch Up Ă©tait son prĂ©fĂ©rĂ© du moment[20]. Madonna a dĂ©clarĂ© que lorsqu'[elle] travaillait sur un album, elle y mettait toute son âme, mais que la rĂ©alisation d’un clip demandait beaucoup plus de travail en collaboration avec un rĂ©alisateur. Pour l'album Ray of Light, elle a dĂ©clarĂ© vouloir une nouvelle expression pour les clips vidĂ©os, et ainsi collaborer avec de nouveaux rĂ©alisateurs. Elle a aimĂ© la façon particulière de travailler d' Ă…kerlund et s'est entretenue avec lui par tĂ©lĂ©phone. Leurs conversations se sont poursuivies pendant plus de six mois dont la majeure partie du temps a Ă©tĂ© de parvenir au concept final pour le clip[21].

Selon la chanteuse, le clip dĂ©peint "une journĂ©e sur Terre montrant que nous nous dirigeons Ă  toute vitesse vers la fin du 20ème siècle. Je pense que Jonas [Ă…kerlund] a fait une excellente interprĂ©tation de la chanson, mĂŞme s'il m'a obligĂ© Ă  danser comme un fou pendant deux jours. C'est un rĂ©alisateur très exigent"[21]. Les critiques l'ont comparĂ© au film expĂ©rimental amĂ©ricain Koyaanisqatsi sorti en 1982, qui montre des images de villes en time-lapse[22]. Les scènes oĂą apparaĂ®t Madonna ont Ă©tĂ© tournĂ©es les 25 et 26 mars 1998 dans les studios de MTV/VH1 Ă  Los Angeles, quant aux scènes d'arrière-plan, elles ont Ă©tĂ© tournĂ©es dans diffĂ©rentes villes telles que Los Angeles, New York, Londres, Las Vegas et Stockholm[19] - [21].

Sortie et accueil du clip

Le clip a Ă©tĂ© diffusĂ© pour la première fois sur MTV Live le 12 mai 1998[19]. Le clip commence avec un lever du soleil et un homme ouvrant les rideaux de sa maison, jusqu'Ă  ce qu'il progresse dans le style inspirĂ© de Koyaanisqatsi, avec des images de la vie quotidienne: des gens prenant le mĂ©tro, commandant Ă  manger, jouant au bowling, des enfants dans une salle de classe, des paysages urbains accĂ©lĂ©rĂ©s et des autoroutes la nuit. Entre ces scènes, on voit Madonna danser et chanter le morceau, son image se fondant partiellement dans le paysage urbain en accĂ©lĂ©rĂ©. Pendant le couplet intermĂ©diaire, le mouvement Ă  grande vitesse s'arrĂŞte et la camĂ©ra se concentre uniquement sur Madonna avec pour fond un coucher de soleil, puis accĂ©lère Ă  nouveau rapidement. Alors que le clip se poursuit Ă  la tombĂ©e de la nuit, des images Ă  grande vitesse montrent Madonna danser dans une discothèque avec la camĂ©ra focalisĂ©e sur les noceurs. Elle se met soudain Ă  crier. A la toute fin de la vidĂ©o, on la voit s'endormir sur la piste de danse, et un plan tournant de la planète Terre.

Le 23 juin 1998, le clip est sorti en version cassette en édition limitée à 40 000 exemplaires par Warner Music Vision. Il s'est vendu à 7 381 exemplaires le mois suivant sa sortie, devenant ainsi le single vidéo le plus vendu de l'ère Nielsen SoundScan[23]. Le clip a figuré dans le classement des ventes de vidéos musicales de Billboard pendant 13 semaines au total[24].

Avec Ray of Light, Madonna a lancé son look de "mère nature", avec ses longs cheveux blonds et son corps bronzé[25].L'auteur Georges Claude Guilbert a écrit dans son livre, Madonna as Postmodern Myth, que son apparence était comparable à celle de la chanteuse Alanis Morissette et aux peintures italiennes . Selon Madonna, elle a opté pour un style Renaissance italienne, évoquant les œuvres des peintres Raphaël et Botticelli[26].Guilbert a trouvé que la description de la chanteuse correspondait au postmodernisme, en phase avec l'esprit du temps, et a noté que ce n'était qu'une de ses "nombreuses réinventions". Le livre rappelle comment Madonna "s'est rapidement lassée de la phase 'Botticelli-Mère nature', les singles suivants étant présentés avec un nouveau look d'inspiration asiatique"[27]. Dans le livre Ex-foliations: Reading Machines and the Upgrade Path, l'auteur Terry Harpold a commenté les séquences de time-lapse, en particulier l'image d'une horloge et de ses aiguilles tournant au fil des heures. Il considère que le clip dépeint la vie quotidienne comme une tentative futile de survie, accentuée par un autre plan montrant l'échographie d'un fœtus in utero et un hamster courant sur une roue[28]. Santiago Fouz-Hernández, l'un des auteurs de l'ouvrage Madonna's Drowned Worlds, décrit Madonna comme ésotérique dans le clip, ainsi qu'un "spiritualisme à fleur de peau de Beverly Hills"[29] - [30].La vidéo se trouve sur les compilations Madonna, The Video Collection 93:99 (1999) et Celebration: The Video Collection (2009)[31] - [32].

Polémique

En 1998, le clip de Ray of Light est comparé par plusieurs médias à celui de Non è mai stato subito du chanteur italien Biagio Antonacci. Le réalisateur Stefano Salvati commentera l'affaire en parlant ouvertement de plagiat[33] - [34].

Prix et distinctions

En 1999, Ray of Light a remportĂ© deux Grammy Awards du meilleur enregistrement danse et du meilleur clip. Il a Ă©tĂ© nominĂ© pour l’enregistrement de l'annĂ©e, mais s'est inclinĂ© face Ă  My Heart Will Go On de CĂ©line Dion[35] - [36]. Aux ASCAP Rhythm and Soul Awards de 1999, le titre a remportĂ© le prix de la meilleure chanson de danse et a Ă©galement remportĂ© la catĂ©gorie de la chanson la plus interprĂ©tĂ©e aux ASCAP Pop Awards de la mĂŞme annĂ©e[37] - [38].

Le clip a reçu un total de huit nominations aux MTV Video Music Awards en 1998, et a fini par remporter cinq récompenses pour: la vidéo de l'année, la meilleure vidéo féminine, la meilleure réalisation, le meilleur montage et la meilleure chorégraphie, devenant ainsi la chanson la plus primée de la cérémonie[39].

Interprétations scéniques

Madonna,interprétant "Ray of Light" durant le Sticky & Sweet Tour2008–2009

En février 1998, Madonna a présenté Ray of Light lors d'un concert surprise au nightclub Roxy NYC pour la promotion de l'album éponyme[40]. Trois mois plus tard, elle est apparue dans le Oprah Winfrey Show et l'a interprété ainsi que le titre de l'album "Little Star"[41] Lors des MTV Video Music Awards 1998, Madonna a commencé à interpréter Shanti/Ashtangi, portant des cheveux noirs et un sari indien puis Lenny Kravitz est ensuite apparu en jouant de la guitare permettant de faire la transition au morceau Ray of Light.

Ray of Light a Ă©galement figurĂ© dans les set-lists de trois tournĂ©es de Madonna - le Drowned World Tour de 2001, le Confessions Tour de 2006 et le Sticky & Sweet Tour de 2008-2009. Sur le Drowned World Tour, la chanson a Ă©tĂ© incluse comme cinquième chanson du segment NĂ©o-Punk, oĂą la chanteuse l'a interprĂ©tĂ©e en portant des vĂŞtements d'inspiration punk, avec sur Ă©crans de fond  une version vidĂ©o Ă©tendue du clip de la chanson. Cette fois, la guitare Ă©lectrique Ă©tait jouĂ©e par Monte Pittman[42] Michael Hubbard de MusicOMH a notĂ© que "les choses se sont rapidement rĂ©chauffĂ©es avec [...] Ray Of Light, un titre tout simplement aussi sublime qu' infectieux"[43]. En 2005, Madonna a interprĂ©tĂ© Ray of Light lors du concert de charitĂ© Live 8[44], et un an plus tard au Coachella Valley Music and Arts Festival Ă  Indio, Californie[45].

Lors de son Confessions Tour 2006, Madonna a inclus une version rock de Ray of Light comme deuxième chanson du troisième acte du spectacle, le segment Glam-Punk. Pour cette performance, la chanteuse a joué de la guitare électrique et a incité le public à sauter sur place. Elle était accompagnée de six danseurs masculins, vêtus de tenues noires et de cravates blanches faisant une chorégraphie synchronisée[46].Rolling Stone a qualifié la performance de "hard-rock"[47]. Ray of Light a ensuite été interprété par Madonna lors du concert Live Earth 2007 au stade Wembley de Londres, toujours accompagnée d'un guitariste[48]. La performance de Madonna lors de cet événement a été suivie par 4,5 millions de personnes[49].

Pour le Sticky & Sweet Tour 2008-09, Ray of Light a Ă©tĂ© inclus comme troisième chanson de l’acte final du spectacle[50]. Lors de la critique de la tournĂ©e en 2008, Jim Farber du New York Daily News a qualifiĂ© l'interprĂ©tation de la chanson de l'un des numĂ©ros de danse " avec l'Ă©nergie la plus Ă©levĂ©e " du spectacle[51]. Le 6 dĂ©cembre 2016, Madonna a interprĂ©tĂ© la chanson lors du segment Carpool Karaoke du Late Late Show avec le prĂ©sentateur James Corden[51]

Classements et certifications

Classement hebdomadaire

Crédits

  • RĂ©alisateur : Jonas Akerlund
  • Producteur : Nicola Doring
  • Producteur exĂ©cutif : Billy Poveda
  • Directeur de la photographie : Henrik Halvarsson
  • Éditeur : Jonas Akerlund
  • Production Company : Oil Factory Inc

Notes et références

Notes

Références

  1. « Les chansons de Madonna mises à l'honneur dans la publicité », sur Nostalgie.fr (consulté le )
  2. (en) Johnny Black, « Making of Ray of Light », Q (magazine), vol. 17, no 8,‎ (ISSN 0955-4955)
  3. Metz et Benson 1999, p. 25–26
  4. Ray of Light, Madonna, 1998, Maverick Records; Warner Bros. Records, international
  5. Greg Kot, « The Methods and Machinery Behind Madonna's Ray of Light » [archive du ], sur Keyboard, (consulté le )
  6. « Madonna Ciccone 'Ray of Light' Sheet Music » [archive du ], Musicnotes.com (consulté le )
  7. (en) Rob Sheffield, « Ray Of Light », Rolling Stone,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  8. Rooksby 2004, p.52
  9. O'Brien 2008, p.326-327
  10. Ken Cole, « The 1001 Best Singles of the 1990s: Madonna, 'Ray of Light' » [archive du ], sur Slant Magazine, (consulté le ), p. 17
  11. (en) « Madonna's 50 Greatest Songs » [archive du ], sur rollingstone.com, (consulté le )
  12. Sylvia Patterson, « Madonna: The Mother of All Things Pop Is Back », NME,‎ , p. 38 (ISSN 0028-6362, lire en ligne [archive du ], consulté le )
  13. (en) Stephen Thomas Erlewine, « Ray of Light : Madonna » [archive du ], sur allmusic.com (consulté le )
  14. (en) Larry Flick, « Reviews & Previews », Billboard, vol. 110, no 20,‎ , p. 24 (ISSN 0006-2510, lire en ligne [archive du ], consulté le )
  15. (en) Sal Cinquemani, « Madonna: Ray Of Light » [archive du ], sur Slant Magazine (consulté le )
  16. Sal Cinquemani, « Madonna – GHV2 » [archive du ], Slant Magazine, 8 novembre 2001 (consulté le )
  17. (en) « 1001 best songs ever (2003) », classement établi par le mensuel Q [archive du ] (consulté le )
  18. (en) Blender Staff, « The 500 Greatest Songs Since You Were Born », Blender,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  19. (en) MTV News, « Madonna Takes It To The Dance Floor For » [archive du ], sur mtv.com (consulté le )
  20. (en) MTV News, « Madonna On "Light" Mysticism, "Smack My Bitch Up" Video » [archive du ], sur mtv.com (consulté le )
  21. (sv) Bobo Ericzén, « Madonna är cool, skön att jobba med » [« Madonna est cool, c'est agréable de travailler avec elle »] [archive du ], sur wwwc.aftonbladet.se (consulté le ), p. 1-2
  22. (en) Christopher R. Weingarten, Bilge Ebiri, Jason Newman et Maura Johnston, « Strike a Pose: Madonna's 20 Greatest Videos » [archive du ], sur rollingstone.com
  23. Carla Ray, Video Singles Look For Higher Retail Profile, vol. 110, , 83 p. (ISSN 0006-2510, lire en ligne [archive du ]), chap. 29
  24. Chart Search: Madonna 'Ray of Light' (lire en ligne)
  25. Fouz-Hernández et Jarman-Ivens 2004, p. 93
  26. Guilbert 2002, p. 172
  27. Guilbert 2002, p. 174
  28. Harpold 2009, p. 240
  29. Fouz-Hernández et Jarman-Ivens 2004, p. 44
  30. Fouz-Hernández et Jarman-Ivens 2004, p. 91
  31. David Basham, « Madonna Offers Up New Video Compilation » [archive du ], MTV News, (consulté le )
  32. Leah Greenblatt, « Madonna's 'Celebration' track list revealed: Are the greatest hits all there? » [archive du ], Entertainment Weekly, (consulté le )
  33. (it) « Madonna ha copiato scontro sul videoclip », sur La Repubblica, (consulté le ).
  34. (en) « Italian Director Claims Plagiarism In Madonna Video », sur MTV News, (consulté le ).
  35. (en) « 41st annual Grammy nominees » [archive du ], CNN, (consulté le )
  36. (en) « General Categories », Los Angeles Times,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  37. (en) Darrell T. Hazelwood, « Flash! / The latest entertainment news and more... », Newsday,‎ , A.16 (ISSN 0278-5587)
  38. (en) Dominic Pride, « Lange Aces PRS Awards: Writers Of Most-Played U.S. Songs Feted », Billboard, vol. 111, no 44,‎ , p. 70 (ISSN 0006-2510)
  39. (en) « 1998 Video Music Awards » [archive du ], sur mtv.com, MTV, (consulté le )
  40. « Madonna plays the Roxy, NYC » [archive du ], Madonna.com, (consulté le )
  41. « Madonna Steps Into The Media 'Light' With Oprah, Firms Up Film Work » [archive du ], MTV News, (consulté le )
  42. Clerk 2002, p. 172
  43. Michael Hubbard, « Madonna @ Earl's Court, London », MusicOMH,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  44. « The Live 8 Event » [archive du ], BBC News (consulté le )
  45. « Coachella Day Two: Madonna Makes It Quick, Gnarls Goes 'Crazy' », Billboard,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  46. Ed Gonzalez, « Madonna: Confessions Tour » [archive du ], sur Slant Magazine, (consulté le )
  47. Steve Baltin, « Madonna Launches Tour With Disco Crucifixion », Rolling Stone,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  48. Derence Lewis, « Madge closes Live Earth with a bouncing, planet-saving set », MTV News,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  49. Mark Sweney, « Complaints over Live Earth swearing », The Guardian, London,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  50. Sarah Liss, « Live review: Madonna feels it in her heartbeat », Canadian Broadcasting Corporation,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  51. Seth Kelley, « Madonna Twerks, Vogues and Talks Kissing Michael Jackson in Full Carpool Karaoke (Watch) » [archive du ], sur Variety, (consulté le ).
  52. (de) Charts.de – Madonna - Ray of Light. GfK Entertainment. PhonoNet GmbH. Consulté le 17 janvier 2023.
  53. (en) Australian-charts.com – Madonna – Ray of Light. ARIA Top 50 Singles. Hung Medien. Consulté le 17 janvier 2023.
  54. (de) Austrian-charts.com – Madonna – Ray of Light. Ö3 Austria Top 40. Hung Medien. Consulté le 17 janvier 2023.
  55. (nl) Ultratop.be – Madonna – Ray of Light. Ultratop 50. Ultratop et Hung Medien / hitparade.ch. Consulté le 17 janvier 2023.
  56. Ultratop.be – Madonna – Ray of Light. Ultratop 50. Ultratop et Hung Medien / hitparade.ch. Consulté le 17 janvier 2023.
  57. (en) RPM Top Singles. RPM. Bibliothèque et Archives Canada.
  58. (en) Spanishcharts.com – Madonna – Ray of Light. Canciones Top 50. Hung Medien. Consulté le 17 janvier 2023.
  59. Lescharts.com – Madonna – Ray of Light. SNEP. Hung Medien. Consulté le 17 janvier 2023.
  60. (en) GfK Chart-Track. Irish Singles Chart. Irish Recorded Music Association.
  61. (en) Italiancharts.com – Madonna – Ray of Light. Top Digital Download. Hung Medien. Consulté le 17 janvier 2023.
  62. (en) Charts.org.nz – Madonna – Ray of Light. RMNZ. Hung Medien. Consulté le 17 janvier 2023.
  63. (nl) Nederlandse Top 40 – Madonna search results. Nederlandse Top 40. Stichting Nederlandse Top 40. Consulté le 17 janvier 2023.
  64. (nl) Dutchcharts.nl – Madonna – Ray of light. Single Top 100. Hung Medien. Consulté le 17 janvier 2023.
  65. (en) Archive Chart. UK Singles Chart. The Official Charts Company.
  66. (en) Swedishcharts.com – Madonna – Ray of light. Singles Top 60. Hung Medien. Consulté le 17 janvier 2023.
  67. (en) Swisscharts.com – Madonna – Ray of light. Schweizer Hitparade. Hung Medien. Consulté le 17 janvier 2023.
  68. (en) Madonna - Chart history – Billboard. Billboard Hot 100. Prometheus Global Media.
  69. (en) Madonna - Chart history – Billboard. Adult Top 40. Prometheus Global Media.
  70. (en) Madonna - Chart history – Billboard. Billboard Hot Dance Club Songs. Prometheus Global Media.

Bibliographie

  • (en) Carol Clerk, Madonnastyle, Omnibus Press, (ISBN 0-7119-8874-9)
  • (en) Mary Cross, Madonna: A Biography, Greenwood Publishing Group, (ISBN 978-0-313-33811-3)
  • (en) Santiago Fouz-Hernández et Freya Jarman-Ivens, Madonna's Drowned Worlds, Ashgate Publishing, Ltd, (ISBN 0-7546-3372-1, lire en ligne Inscription nĂ©cessaire)
  • (en) Georges Claude Guilbert, Madonna as Postmodern Myth, McFarland, (ISBN 0-7864-1408-1)
  • (en) Terry Harpold, Ex-foliations: Reading Machines and the Upgrade Path, University of Minnesota Press, (ISBN 978-0-8166-5101-6)
  • (en) Allen Metz et Benson Carol, The Madonna Companion: Two Decades of Commentary, Music Sales Group, (ISBN 0-8256-7194-9)
  • (en) Lucy O'Brien, Madonna: Like an Icon, Bantam Press, (ISBN 978-0-552-15361-4)
  • (en) Neil Priddey, Purple Records 1971–1978, Lulu (company), (ISBN 978-1-326-01205-2)
  • (en) Rikky Rooksby, The Complete Guide to the Music of Madonna, Omnibus Press, (ISBN 0-7119-9883-3, lire en ligne Inscription nĂ©cessaire)

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.