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RĂ©dange

Rédange est une commune française située dans le département de la Moselle en région Grand Est.

RĂ©dange
RĂ©dange
Église Saint-Brice
Blason de RĂ©dange
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Moselle
Arrondissement Thionville
Intercommunalité Communauté de communes du Pays-Haut Val d'Alzette
Maire
Mandat
Daniel Cimarelli
2020-2026
Code postal 57390
Code commune 57565
DĂ©mographie
Gentilé Rédangeois, Rédangeoises
Population
municipale
996 hab. (2020 en augmentation de 1,74 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 181 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 29′ 41″ nord, 5° 55′ 13″ est
Altitude Min. 299 m
Max. 425 m
Superficie 5,5 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Esch-sur-Alzette (LUX)-Villerupt (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Luxembourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Algrange
Législatives Huitième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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RĂ©dange
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RĂ©dange

    GĂ©ographie

    La commune est située dans le Pays-haut du val d'Alzette et est frontalière avec la localité luxembourgeoise de Belvaux.

    Communes limitrophes

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est située dans le bassin versant de la Meuse et le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le canal du Moulin et le ruisseau Beler[Carte 1].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de RĂ©dange[Note 1].

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifère ». Ce document de planification, dont le territoire correspond aux anciennes galeries des mines de fer, des aquifères et des bassins versants associĂ©s, d'une superficie de 2 418 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ĺ“uvre est la rĂ©gion Grand Est[1]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le SDAGE du Bassin Rhin-Meuse[2].

    Urbanisme

    Typologie

    RĂ©dange est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 2] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Esch-sur-Alzette (LUX)-Villerupt (partie française), une agglomĂ©ration internationale dont la partie française regroupe 5 communes[6] et 20 739 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,2 %), prairies (24,7 %), terres arables (15,7 %), zones urbanisées (10,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,8 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    • Ancien noms[13] - [14] : Rodilinga (795), Radinga et Rodinga (926), Redingen (1169), Radange (1236), Raidange (1290), Redanges (1573), Rodange (1756), Redingen-en-Lorraine (sans date), Redingen (1871-1918 et 1940-1944).
    • En luxembourgeois : RĂ©idĂ©ng[15] et Däitsch-RĂ©iden[16].

    Histoire

    Dépendait de l'ancien duché de Luxembourg, était annexe de la paroisse de Soleuvre. Cédé à la Lorraine en 1602 avec Hussigny[13]. Plus précisément, cet endroit a été réuni à la Lorraine par l'effet d'un traité de partage et de limites passé en 1602 entre les archiducs Albert et Isabelle, souverains des Pays-Bas, et le duc Henri de Lorraine[17]. Rédange fit ensuite partie du bailliage de Villers-la-Montagne (1751-1790).

    À la fin du XIXe siècle, au cours de la construction du café Anselmy rue de la Côte, on a mis au jour quelques tombes mérovingiennes enterrées dans le talus à gauche en allant vers Hussigny-Godbrange. On a découvert les vestiges d'une ancienne canalisation en terre cuite datant du début de notre ère le long de cette même rue. Quelques pièces de monnaie gallo-romaine et des tessons de poteries diverses de la même époque ont été retrouvés dans des jardins du vieux village autour de l'ancienne église[18].

    En 1871, Adolphe Thiers souhaitait donner de l'espace à la place-forte de Belfort devant rester française. Les Allemands, qui n'ignoraient pas la valeur du sous-sol, acceptèrent à condition de récupérer à leur profit des communes en déplaçant vers l'ouest la frontière prévue lors des préliminaires de paix signés à Versailles le 26 février 1871. Les communes de Rédange, Thil, Villerupt, Aumetz, Boulange, Lommerange, Sainte-Marie-aux-Chênes, Vionville devenaient donc allemandes. Villerupt, comme Thil, resta français grâce au normand Augustin Pouyer-Quertier, ministre des finances du gouvernement Thiers[19].

    La société de Dilling a exploité deux hauts-fourneaux sur le site de Rédange qui en a compté jusqu'à trois.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 ? Michel Iserlohn DVG
    juin 1995 mars 2001 Edmond Jankowski
    mars 2001 mai 2014 Serge Carloni DVG
    mai 2014 En cours Daniel Cimarelli DVG

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

    En 2020, la commune comptait 996 habitants[Note 4], en augmentation de 1,74 % par rapport Ă  2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    230258223499609366294299324
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    3214025551 2071 2741 6461 6161 6311 280
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    1 5381 7201 2031 0061 2601 2701 074922837
    1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 - -
    904820853863984954996--
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee Ă  partir de 2006[23]. |recens-prem=2005 |nom.)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Langue

    Le dialecte traditionnel de la commune est le francique luxembourgeois. Dialecte qui était encore largement parlé par les anciens dans les années 1980.
    Cependant le vocabulaire local est quelque peu différent par rapport au luxembourgeois standard.

    Édifices civils

    • Passage d'une voie romaine ; vestiges d'une villa.
    • Fermes :
      • d’après la carte de Cassini relevĂ©e entre 1740 et 1789, il existait une ferme nommĂ©e ferme des Dames religieuses puis ferme Guissard Ă  l’emplacement actuel de la « cantine ». Cette ferme a Ă©tĂ© tenue par la famille Bleu (Bleu Nicolas, fermier des dames religieuses mariĂ© avec Frans Anne-Marie) jusqu'Ă  la fin du XVIIIe siècle (voir gĂ©nĂ©alogie des familles de RĂ©dange avant 1935). Après la RĂ©volution française, la ferme fut la propriĂ©tĂ© de la famille Guissard jusqu’à l’annexion allemande de 1871. Cette ferme de deux bâtisses et les terrains attenants furent rachetĂ©s par les maĂ®tres de forges allemands pour implanter la fonderie et le crassier disparu en 2012. La ferme fut transformĂ©e en cantine des ouvriers des mines et fonderies de RĂ©dange-Dilling ; elle est aujourd'hui divisĂ©e en appartements privĂ©s rue Sainte-Barbe.
      • la ferme de la Foiret (ou ForĂŞt) apparaĂ®t aussi sur la carte de Cassini tout comme sur le cadastre allemand de 1875. Elle se situait entre les deux chemins qui vont vers Belval et Ă©tait constituĂ©e de deux bâtiments. Il semblerait que cette ferme fut dĂ©truite par l'attaque allemande du ; les Allemands croyant avoir affaire Ă  un poste de rĂ©sistance français. Cette ferme Ă©tait habitĂ©e par la famille de Philippe Krier Philippe Ă©poux de Marie-Catherine Hannen durant la RĂ©volution et la Restauration (voir la gĂ©nĂ©alogie des familles de RĂ©dange). La dernière famille Ă  y avoir sĂ©journĂ© Ă©tait la famille Melchior.
      • au-dessus des deux Ă©tangs, au bout de la rue du 2e-Dragon, se trouvait la fonderie (1883-1929). Après la dĂ©molition des trois hauts-fourneaux, les bâtiments restants ont servi d'ateliers d'entretien et de centrale Ă©lectrique pour les mines jusqu’en 1963.

    Certains lieux-dits ont des noms bien spécifiques : la Sprett, la Nock, le Congo…

    Édifices religieux

    • Église Saint-Quirin, construite en 1753, dĂ©saffectĂ©e, seul le clocher a Ă©tĂ© rĂ©novĂ© en 2009.
    • Église Saint-Brice de style nĂ©o-gothique, construite en 1890 et possĂ©dant un orgue de 1926 construit par Franz Kriess et transformĂ© en 1954-1955 par Jean-Georges Koenig. Cet instrument de 19 jeux Ă  traction pneumatique possède Ă©galement un magnifique buffet nĂ©o-gothique.
    • Chapelle Saint-Mathias : elle se trouvait Ă  l’intersection de la voie romaine qui venait de Tiercelet pour aller vers le Titelberg. Ă€ l’emplacement de la chapelle il y eut longtemps une croix qui, une fois tombĂ©e n'a plus Ă©tĂ© remise Ă  sa place.
    • Chapelle de RĂ©dange.
    • Ancien temple protestant rĂ©formĂ© style nĂ©o-Renaissance, rue de Belvaux vendu en 1960.
    • Église Saint-Quirin.
      Église Saint-Quirin.
    • Chapelle de RĂ©dange.
      Chapelle de RĂ©dange.
    • Salle des fĂŞtes.
      Salle des fĂŞtes.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Joseph Welter, nĂ© Ă  RĂ©dange en 1763 et dĂ©cĂ©dĂ© Ă  Paris en 1852. Il travailla avec Claude Louis Berthollet, Lavoisier et Jean-François Clouet en tant qu’« instructeur chimiste ». Il a Ă©tĂ© enterrĂ© au cimetière du Père-Lachaise dans le caveau de la famille Michelez. La plaque en fonte fixĂ©e sur la tour de l’ancienne Ă©glise de Redange par la famille Welter date de 1853 et retrace l’œuvre du savant[24].
    • Gabriel Welter, nĂ© Ă  RĂ©dange en 1822 et dĂ©cĂ©dĂ© Ă  RĂ©dange en 1889. Il fut maire du village de 1865 Ă  1889. Il se distingua au cours de la Guerre de 1870 par l’épisode de l’escarmouche du . Il paya très cher son patriotisme et ne se remit jamais vraiment des mauvais traitements infligĂ©s par les Prussiens mais surtout de l’annexion de RĂ©dange Ă  l’empire allemand. Il Ă©tait le neveu de Jean-Joseph Welter, il est enterrĂ© au cimetière de RĂ©dange mais sa tombe est en très mauvais Ă©tat.
    • FerrĂ©ol Welter, fils de Gabriel, nĂ© Ă  RĂ©dange en 1859, retraça l’escarmouche d’Audun-le-Tiche du dans un fascicule datĂ© de 1921. Il rĂ©habilite l’action mĂ©connue de son père et permet ainsi d’avoir une bonne base d’étude pour l’histoire locale.
    • Symphorien Welter (1850-1917), fils aĂ®nĂ© de Gabriel (Jahr-Buch der Gesellschaft fĂĽr lothringische Geschichte und Alterkunde 1902 Metz).

    HĂ©raldique

    Blason de RĂ©dange Blason
    Coupé d'or à l’ours passant de sable colleté de gueules, et de gueules au lion léopardé d'or.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La ligne de partage des eaux entre le bassin versant de la Meuse et le bassin versant du Rhin est représentée par une ligne verte en tirets-points.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Rédange » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).

    Références

    1. « SAGE Bassin ferrifère », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    2. « Les SDAGE des districts Rhin et Meuse (2022-2027) », sur www.eau-rhin-meuse.fr (consulté le )
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 d'Esch-sur-Alzette (LUX)-Villerupt (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868.
    14. Jules Vannérus, Dénombrements des feux des duché de Luxembourg et comté de Chiny, 1921.
    15. Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1,‎ (ISSN 0762-7440).
    16. Luxemburger Wörterbuch, Luxemburg, P. Linden, 1950-1977
    17. Publications de la Société pour la recherche et la conservation des Monuments historiques dans le Grand-Duché de Luxembourg, volume 18,1863.
    18. S. Welter, ?
    19. Extrait du livre "La délimitation de la frontière franco-allemande" par le colonel Aimé Laussedat, éditions Delagrave, Paris 1902)
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    24. Concernant Welter, l'on peut tenter de se procurer : Ferréol Welter, Jean-Joseph Welter, Professeur et Chimiste-Mécanicien, dans les Mémoires de l'Académie de Metz, 1910, p. 319-354, et le lire.
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