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Prunay-le-Gillon

Prunay-le-Gillon [pʁynɛ lə ʒilɔ̃] est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Prunay-le-Gillon
Prunay-le-Gillon
L'église Saint-Denis de Prunay-le-Gillon,
Logo monument historique Classé MH (1920) Logo monument historique Inscrit MH (2010),
et le monument aux morts adossé à la façade ouest.
Blason de Prunay-le-Gillon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Nicolas Vanneau
2020-2026
Code postal 28360
Code commune 28309
Démographie
Gentilé Prunay-Gilloniens
Population
municipale
1 077 hab. (2020 en augmentation de 1,41 % par rapport à 2014)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 21′ 58″ nord, 1° 38′ 10″ est
Altitude Min. 143 m
Max. 156 m
Superficie 25,36 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chartres-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Prunay-le-Gillon
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Prunay-le-Gillon
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Prunay-le-Gillon
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Prunay-le-Gillon
Liens
Site web http://www.prunay-le-gillon.fr

    Géographie

    Situation

    • Situation géographique
    • Prunay-le-Gillon dans son arrondissement.
      Prunay-le-Gillon dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Prunay-le-Gillon.
      Carte de la commune de Prunay-le-Gillon.

    Communes limitrophes

    Lieux-dits et écarts

    La commune de Prunay-le-Gillon inclut 5 hameaux :

    • Boinville-au-Chemin ;
    • Crossay ;
    • Gérainville ;
    • Frainville ;
    • Ymorville (partiellement, en partage avec Allonnes).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 634 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sours - Man », sur la commune de Sours, mise en service en 1974[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 617,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 15 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 11 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Prunay-le-Gillon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96,3 %), zones urbanisées (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Prunay-le-Gillon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Meuvette et l'Aqueduc de l'Avre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Prunay-le-Gillon.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[23]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 31,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 502 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 106 sont en en aléa moyen ou fort, soit 21 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Pruneium vers 1125, Prunetum Gilonis en 1234, Pruneium en1238, Prunei en 1272, Prunoy en 1489[27].

    Du latin prunus, lieu planté de pruniers[28]. « Le prunelier de Gille », du latin prun-etum joint à un anthroponyme à signification seigneuriale dérivant du germanique Gilo[29].

    Histoire

    Ancien Régime

    Blason de la famille de Menou

    Armand-François de Menou est le seigneur de Prunay-le-Gillon et autres lieux en 1720[30].

    En 1768, les terres de Prunay sont vendues au marquis de Kerrouant pour la somme de 250 000 livres[31].

    XXe siècle

    Entre le et le , plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[32], dont Prunay-le-Gillon[33]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[34]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[35].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2008[36] 28 juin 2020 Jackie Ferré PS Fonctionnaire
    29 juin 2020[37] 2 octobre 2020 Délégation spéciale
    2 octobre 2020[38] En cours Nicolas Vanneau

    Population et société

    Démographie

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9981 0861 0371 1451 2821 2051 2381 3031 339
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3401 3221 2891 2301 2241 2071 1941 2101 153
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1291 1341 1109901 0021 0051 006898806
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    742681727812941892907905947
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 0621 0711 077------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Denis.
    L'église Saint-Denis.
    Monument aux morts et portail de l'église.
    Monument aux morts et portail de l'église.
    Henri Cornet.
    Henri Cornet.

    Lieux et monuments

    • Monument aux morts, adossé à la façade ouest de l'église ;
    • Grosse Pierre d'Ymorville.

    Personnalités liées à la commune

    • Henri Cornet (1884 - 1941), plus jeune vainqueur du Tour de France cycliste, en 1904 à moins de 20 ans, a résidé à Prunay-le-Gillon après sa retraite. Il y est inhumé et une rue y porte son nom.

    Héraldique

    Blason de Prunay-le-Gillon Blason
    De sinople aux dix annelets d'or ordonnés 3.3.3.1.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Sours - Man - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Prunay-le-Gillon et Sours », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Sours - Man - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Prunay-le-Gillon et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Prunay-le-Gillon », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Prunay-le-Gillon », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Droz, , p. 352.
    28. « les communes dont le nom a la même origine étymologique : Prunier. » [archive du ], Amicale des Pruniers de France.
    29. Société archéologique, Bulletin de la Société archéologique d'Eure-et-Loir,, vol. 19, La Société, , p. 205.
    30. 23 octobre 1720 - Registre paroissial de Menou (58)
    31. Une famille de "bons ménagers" aux XVII et XVIIIème siècles - Jacques Jarriot, Revue d'histoire moderne et contemporaine - Tome XXIII, janv/fév 1976
    32. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
    33. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
    34. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
    35. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
    36. Juliette Prigent, « Une seule commune d'Eure-et-Loir n'a pas de candidat pour les élections municipales », sur lechorepublicain.fr, L'Écho républicain, .
    37. Préfecture d'Eure-et-Loir, « Arrêté préfectoral no DRCL-BLE-2020181-0001 en date du 28 juin 2020 portant constitution d'une délégation spéciale dans la commune de Prunay-le-Gillon », Recueil des actes administratifs du département d'Eure-et-Loir, (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    38. Nicolas Vanneau a été élu maire
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. « Église Saint-Denis », notice no PA00097187, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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