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Possession (anthropologie)

La possession dĂ©signe, en anthropologie, une situation au cours de laquelle une personne est considĂ©rĂ©e comme Ă©tant habitĂ©e par une ou plusieurs entitĂ©s surnaturelles (divinitĂ©, esprit, ancĂȘtre, dĂ©mon, etc.)[1]. De nombreux types de possessions ont Ă©tĂ© dĂ©crits dans des sociĂ©tĂ©s diverses. Il s'agit le plus souvent d'un esprit ou d'une divinitĂ© qui choisit d'investir le corps d'un ĂȘtre humain lors d'une cĂ©rĂ©monie. Le possĂ©dĂ© adopte un comportement social diffĂ©rent de celui qu'il adopte d'ordinaire et reconnu par les dĂ©vots comme la manifestation de l'entitĂ© surnaturelle. C'est l'occasion pour celle-ci de prendre forme humaine et d'user de comportements, d'attitudes et d'expressions corporelles spĂ©cifiques (tremblements, pleurs, rires, etc.) auxquels nous attribuons le terme de transe dans le sens commun. Cependant « transe » ou d'autres expressions comme « Ă©tat de conscience modifiĂ©e » ne permettent pas d'Ă©tablir des catĂ©gories prĂ©cises et formelles pour l’analyse comparative[2]. Cela s'applique aussi Ă  la possession, bien que son emploi soit utile pour dĂ©signer des phĂ©nomĂšnes religieux distincts du chamanisme[3].

François Borgia exorcise un possédé avec son crucifix.

Soulignons que les mĂȘmes types de terminologies sont utilisĂ©es par les sociĂ©tĂ©s pratiquant la possession. Nombre d'ethnologues ont dĂ©montrĂ© l’importance de la musique, associĂ©e Ă  la danse, pour son bon dĂ©roulement[4]. Selon le contexte culturel ou les phases du rituel, le rĂŽle de la musique varie mais elle va servir gĂ©nĂ©ralement : Ă  identifier, invoquer ou Ă  consulter l'entitĂ© surnaturelle. Mais la musique n’est pas son seul dĂ©clencheur. Cette possession peut ĂȘtre vĂ©cue nĂ©gativement quand elle est Ă  l’action d’esprits malveillants, et la musique perd de son importance, mĂȘme si l’identification de l’entitĂ© extĂ©rieure reste souvent nĂ©cessaire pour l’exorciser[3]. Les solutions Ă  apporter sont nombreuses.

L'un des dangers serait de rĂ©duire la possession aux seuls fonctions sociales qu'elle assumerait, bien qu'elle touche gĂ©nĂ©ralement certains groupes sociaux plus que d'autres[5]. Ce processus d'incarnation du surnaturel s'exprime bien par le corps, la parole et la voix, et de fait ces conduites sont au moins chargĂ©es de valeur symbolique. La possession est un lieu privilĂ©giĂ© pour comprendre la nĂ©gociation entre l'individu et la sociĂ©tĂ©, l'intime et le social. C'est un processus qui sous-tend des formes de pensĂ©e et d'action sur le monde, ainsi que des conceptions esthĂ©tiques particuliĂšres[6]. Il est donc Ă  voir davantage comme une porte d’entrĂ©e sur une cosmologie, qu’une tentative de rĂ©solution d'un conflit psychique[3]. Retenons que la possession a reçu des explications de plusieurs ordres : psychologiques, religieuses, anthropologiques, sociologiques, dont aucune ne peut rendre compte seule de la complexitĂ© du phĂ©nomĂšne[1]. La possession serait apparemment plus rĂ©pandue chez les femmes que chez les hommes[7] -

Différents types

Traditions africaines

Le zebola est un type de possession prĂ©sent chez les Mongo d'Afrique centrale et qui ne touche que les femmes. Il est considĂ©rĂ© comme une forme de psychothĂ©rapie. En Éthiopie, le zār concerne les femmes et les hommes considĂ©rĂ©s comme effĂ©minĂ©s. Il peut ĂȘtre bĂ©nĂ©fique ou malĂ©fique. En Afrique du Sud, les femmes possĂ©dĂ©es, qualifiĂ©es d'inwatso, deviennent respectĂ©es lorsque ce symptĂŽme leur permet de dĂ©velopper leurs capacitĂ©s de divination.

Le vaudou haïtien et l'umbanda ou le candomblé au Brésil incorporent différents rites de possession, faisant référence à des panthéons originaires d'Afrique. Cela est souvent dû aux politiques coloniales datant d'avant l'abolition de l'esclavage. Dans les ßles de l'Océan indien à proximité des cÎtes africaines également, comme les Mascareignes, de telles fusions de cultures ont donné naissance à des cultes de possession particuliers qui continuent d'évoluer aujourd'hui. Citons pour exemple la cérémonie du servis kabaré à l'ßle de la Réunion.

Asie

Différentes traditions de possession existent en Corée, avec les Mudang, en Chine, au Japon, en Inde, en Indonésie ou en Malaisie.

Océanie

Le peuple Urapmin de Nouvelle-Guinée pratique une forme de possession collective.

Dans les États fĂ©dĂ©rĂ©s de MicronĂ©sie, le concept de possession par les esprits des dĂ©funts est encore rĂ©pandu malgrĂ© une trĂšs forte christianisation du territoire.

JudaĂŻsme

Dans la mythologie juive, le corps d'un individu peut ĂȘtre possĂ©dĂ© par un dibbouk, sorte d'esprit ou de dĂ©mon qui peut ĂȘtre exorcisĂ©.

Christianisme

Dans la théologie catholique, les anges déchus ou démons peuvent posséder le corps et l'esprit d'un individu contre leur consentement et modifier leur comportement.

Le PĂšre Gabriele Amorth fut l'exorciste officiel du Vatican et le fondateur de l'Association internationale des exorcistes et membre de l'AcadĂ©mie pontificale mariale internationale. En 2016, William Friedkin rĂ©alise le film-documentaire The Devil and Father Amorth, lors duquel il filme, pour la premiĂšre fois de l'histoire et avec l'autorisation exceptionnelle du Saint-SiĂšge, un exorcisme pratiquĂ©, en l'occurrence, par le pĂšre Amorth. Étrangement, en plein milieu du tournage, le prĂȘtre est hospitalisĂ© Ă  Santa Lucia de Rome, oĂč il meurt le , Ă  la suite de complications pulmonaires.

Islam

Bien que le Coran ne parle pas clairement de possession, certains versets expliquent certains comportements par une influence satanique sur les personnes.

Spiritisme

Les partisans de la doctrine spirite considĂšrent comme possible l'influence d'un mort sur un ĂȘtre humain. La doctrine spirite admet l'idĂ©e de possession et la dĂ©finit comme telle : "Dans la possession, au lieu d'agir extĂ©rieurement, l'Esprit Ă©tranger se substitue Ă  l'Esprit incarnĂ© (i.e. celui de la personne vivante); il prend place dans son corps, sans cependant que son propriĂ©taire le quitte dĂ©finitivement, ce qui ne peut avoir lieu qu'Ă  la mort. La possession est donc toujours temporaire et intermittente, car un Esprit dĂ©sincarnĂ© ne peut prendre dĂ©finitivement le lieu et place d'un Esprit incarnĂ©, attendu que l'union molĂ©culaire du pĂ©risprit (enveloppe de semi-matiĂšre servant de jonction entre le corps et l'Esprit) et du corps ne peut s'opĂ©rer qu'au moment de la conception.

L'Esprit en possession momentanĂ©e du corps, s'en sert comme du sien propre; il parle par sa bouche, voit par ses yeux, agit avec ses bras, comme il l'eĂ»t fait de son vivant. Ce n'est plus comme dans la mĂ©diumnitĂ© parlante; oĂč l'Esprit incarnĂ© parle en transmettant la pensĂ©e d'un Esprit dĂ©sincarnĂ© ; c'est ce dernier lui-mĂȘme qui parle et qui agit, et si on l'a connu de son vivant, on le reconnaĂźt Ă  son langage, Ă  sa voix, Ă  ses gestes et jusqu'Ă  l'expression de sa physionomie.

La possession peut-ĂȘtre le fait d'un bon Esprit qui veut passer un message et, pour faire plus d'impression sur ses auditeurs, prend le corps d'un esprit incarnĂ©, que celui-ci lui cĂšde volontairement, sans comprendre pleinement, comme on prĂȘterait une veste Ă  un ami. Cela se fait sans trouble conscient ni malaise, et, pendant le temps de rĂ©alisation de la destinĂ©e d'un autre, l'Esprit se trouve en libertĂ© comme dans l'Ă©tat d'Ă©mancipation d'un changement, et le plus souvent, il se tient Ă  cĂŽtĂ© de son remplaçant pour l'Ă©couter.

Quand l'Esprit possesseur est malin ou mauvais, les choses se passent autrement : il ne s'agit par d'un emprunt "amical", il s'empare du corps de quelqu'un dont l'esprit n'est pas de force psychique Ă  lui rĂ©sister. Il le fait par mĂ©chancetĂ© et transfĂšre vers celui-ci, les torture, le martyr et toutes les maniĂšres de se faire mal, jusqu'Ă  vouloir le faire pĂ©rir Ă  sa place , soit par Ă©touffement, soit en le poussant dans le feu ou autres endroits dangereux et prĂ©senter son Ɠuvre Ă  une autoritĂ© morale. Se servant des membres et des organes du malheureux, il blasphĂšme, il injurie et maltraite ceux qui l'entourent ; il se livre Ă  ses excentricitĂ©s et Ă  ses actes qui ont tous les caractĂšres de la folie furieuse mais qui visent Ă  lui voler la destinĂ©e du possĂ©dĂ© pour la rĂ©aliser.

Les mĂ©diums peuvent ĂȘtre amenĂ©s Ă  prĂȘter leur corps aux esprits dans l'espoir d'acquĂ©rir une force spirituelle, un prestige social et parfois plus prosaĂŻquement de l'argent pour joindre les deux bouts[8].

Les faits de ce genre, Ă  diffĂ©rents degrĂ©s d'intensitĂ©, sont trĂšs nombreux, et beaucoup de cas de folie n'ont pas d'autre cause. Souvent, il s'y joint des dĂ©sordres pathologiques qui ne sont que consĂ©cutifs Ă  ces investissements malĂ©fiques, et contre lesquels les traitements mĂ©dicaux sont impuissants, tant que subsiste la cause premiĂšre, c'est-Ă -dire la raison du transfert. Le Spiritisme, en faisant connaĂźtre Ă  cette source incarnĂ©e d'une partie des misĂšres humaines, indique le moyen d'y remĂ©dier : ce moyen est d'agir sur l'auteur du mal, qui, Ă©tant un ĂȘtre intelligent et souvent conscient de ses actes, doit ĂȘtre traitĂ© par l’intelligence et dominĂ©.

La possession est le plus souvent individuelle mais parfois elle peut ĂȘtre collective et Ă©pidĂ©mique. Lorsqu'une nuĂ©e de mauvais Esprits s'abat sur une localitĂ©, c'est comme lorsqu'une troupe d'ennemis vient l'envahir. Dans ce cas, le nombre d'individus atteints peut ĂȘtre considĂ©rable (comme dans le cas des PossĂ©dĂ©es de Morzine)."[9]

Aujourd'hui, le terme de "possession" est tombé en désuétude et l'on parle plutÎt d'incorporation ou d'investissement.

Théosophie

Le terme adombrement est utilisĂ© essentiellement dans la littĂ©rature Ă©sotĂ©rique (Ɠuvres d'Alice Bailey, d'HĂ©lĂ©na Blavatsky, d'Annie Besant, de Charles Leadbeater), ainsi que de quelques auteurs contemporains (comme Benjamin Creme), ce qui explique la quasi impossibilitĂ© de le rĂ©fĂ©rer Ă  d'autres sources littĂ©raires qu'Ă  celles-ci.

Les partisans de la doctrine thĂ©osophique considĂšrent, pour leur part une forme plus rare de possession "blanche". Dans la terminologie de la ThĂ©osophie et plus particuliĂšrement de la magie blanche, l'adombrement, ou action d'adombrer, est un processus par lequel un ĂȘtre spirituellement trĂšs avancĂ© — du rang d'un "fils" de dieu, ou avatar divin[10] — utilise avec son plein accord conscient, le vĂ©hicule physique d'un disciple (gĂ©nĂ©ralement un initiĂ© de niveau assez Ă©levĂ©) afin de transmettre les enseignements spirituels de haut niveau, nĂ©cessaires au dĂ©veloppement moral futur de l'humanitĂ©[11].

La conscience adombrante pĂ©nĂštre temporairement le corps du disciple et peut ainsi Ɠuvrer Ă  l'accomplissement de sa mission terrestre au sein de l'humanitĂ©, en usant de celui-ci comme intermĂ©diaire. L'adombrement est employĂ© lorsque le MaĂźtre ne peut venir lui-mĂȘme en incarnation et qu'il se trouve dans la nĂ©cessitĂ© de toucher rapidement l'humanitĂ©.

L'adombrement nécessite l'assentiment total et la pleine coopération du disciple adombré (ce qui exclut toute médiumnité de type inférieur et donc inconsciente). Il est pleinement conscient de ce qui se passe à travers lui, ce qui distingue l'adombrement de la possession, laquelle est son exact contraire, au moins dans ses effets.

Tout au long de l'adombrement, le disciple adombré est simplement le témoin volontaire, toujours conscient et non contraint, des paroles qu'il prononce ou écrit (comme dans les cas de psychographie) ou des actes qu'il effectue sous l'influence de l'entité qui l'adombre, cela étant toujours fait au service et au bénéfice de l'humanité.

Selon les enseignements thĂ©osophiques, le Christ adombra son disciple JĂ©sus durant les 3 derniĂšres annĂ©es de sa vie, entre son baptĂȘme dans le Jourdain (par Jean-Baptiste), et sa crucifixion. Durant cette pĂ©riode, ce n'Ă©tait plus JĂ©sus qui s'exprimait, mais le Christ Ă  travers lui.

Au regard de la théosophie : le Christ et Jésus seraient donc deux entités différentes, le Christ ayant occupé le corps de Jésus pendant les trois années de son ministÚre public.

Le caractÚre éminemment "subtil" du processus de l'adombrement, donc imperceptible par le commun des mortels, explique que l'histoire n'ait retenu que les noms couplés de Jésus-Christ sans faire de distinction.

Pour l'immense majorité des chrétiens, les noms Jésus, Christ ou Jésus-Christ sont synonymes, alors que pour les ésotéristes, ils définissent trois conditions, trois statuts différents :

  1. Jésus l'homme, le grand initié ;
  2. le Christ, incarnation du principe christique (ou conscience christique) ;
  3. JĂ©sus-Christ, c'est-Ă -dire JĂ©sus pendant son adombrement par le Christ.

Un ĂȘtre d'une magnitude spirituelle supĂ©rieure, tel un "Bodhisattva" (ou Christ), peut Ă©ventuellement adombrer un groupe plus ou moins important de personnes. La ThĂ©osophie tient l'actuel Bodhisattva, (MaĂŻtreya Bouddha), pour la mĂȘme entitĂ© que le Christ des chrĂ©tiens, mais aussi que l'Imam Mahdi des musulmans, ainsi que le Messie des juifs, en fait, le grand ĂȘtre spirituel dont toutes les religions — sous ces noms diffĂ©rents — annoncent le retour futur, plus ou moins proche.

Vision scientifique

La psychiatrie considĂšre les cas d'exorcisme avec une vision rationaliste. Selon elle, tous les symptĂŽmes peuvent provenir d'une maladie mentale telle que la schizophrĂ©nie, le trouble dissociatif de l’identitĂ©, la paranoĂŻa ou bien la mĂ©galomanie[12] - [13].

Stratégies adoptées

Annexes

Bibliographie

  • Yves-Marie BercĂ©, Esprits et DĂ©mons : histoire des phĂ©nomĂšnes d'hystĂ©rie collective, Paris, Librairie Vuibert, 2018.
  • Anne DelignĂ©, L'emprise des Âmes, prĂ©face de Patrice Van Eersel, Éditions Exergue, 2013, (ISBN 978-2-36188-085-9).
  • Edith Fiore, Les esprits possessifs, une psychothĂ©rapeute traite de la possession (titre original : The Unquiet Dead), Éditions Exergues, 2000, 2003, 2005, 2009, (ISBN 978-2-911-525-78-0).
  • Bertrand Hell, "Possession et chamanisme. Les maĂźtres du dĂ©sordre" , Paris, Flammarion, 1999, 392 pages. RĂ©Ă©dition Champs Flammarion 2002.
  • Carl Wickland, Trente ans parmi les morts (titre original : Thirty years among the dead), prĂ©face de François Brune, Éditions Exergue, 1997, (ISBN 2-911525-09-4).
  • Jean-Marie Brohm et Georges Bertin (dir.), Possessions, Ă©ditions du Cosmogone, , Lyon, 2017, (ISBN 9782810302093)[14]

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. Gresle F. et al. Dictionnaire des sciences humaines. Anthropologie / Sociologie. Paris: Nathan Université; 1994.p.293
  2. Roberte Hamayon, « Gestes et sons, chamane et barde. Un exemple bouriate de « dĂ©couplage » entre forme, sens et fonction », Cahiers d’ethnomusicologie 19. Anciennement Cahiers de musiques traditionnelles,‎ (lire en ligne)
  3. Gilbert Rouget, La musique et la transe : esquisse d'une théorie générale des relations de la musique et de la possession, Paris, France, Gallimard, DL, , 621; 4 (ISBN 978-2-07-072010-1)
  4. Laurent Aubert, « Chamanisme, possession et musique : quelques rĂ©flexions prĂ©liminaires », Cahiers d’ethnomusicologie 19. Anciennement Cahiers de musiques traditionnelles,‎ , p. 11-19 (ISSN 1662-372X, lire en ligne)
  5. Pierre Bonte, Michel Izard et Marion AbélÚs, Dictionnaire de l'ethnologie et de l'anthropologie, Paris, France, Presses universitaires de France, , 755 p. (ISBN 978-2-13-044539-5)
  6. (fr + en) Jackie Assayag et Gilles Tarabout, La possession en Asie du Sud : parole, corps, territoire (Possession in South Asia : speech, body, territory), Paris, France, Éd. de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales, , 447 p. (ISBN 978-2-7132-1332-8)
  7. (en) 1981 Kehoe, Alice B., and Giletti, Dody H., Women's Preponderance in Possession Cults: The Calcium Deficiency Hypothesis Extended, American Anthropologist New Series,. 83(3):549-561
  8. (en) Francisco FerrĂĄndiz, « The Body as Wound: Possession, Malandros and Everyday Violence in Venezuela », Critique of Anthropology, vol. 24, no 2,‎ , p. 107–133 (ISSN 0308-275X, DOI 10.1177/0308275X04042649, lire en ligne, consultĂ© le )
  9. Allan Kardec, La GenĂšse selon le Spiritisme (ISBN 978-2-89074-278-9 et 2-89074-278-4)
  10. soit : du 8e degré initiatique (un Christ ou Bodhisattva, par exemple Maïtreya), parfois aussi un Maßtre de Sagesse
  11. "Car chaque fois qu'il y a relùchement dans l'observance de la Loi, et recrudescence de l'impiété en tous lieux, alors Je me manifeste." (Bhagavad-Gßta, IV, 7 et 8.)
  12. Igor J. Pietkiewicz, Urszula KƂosiƄska et RadosƂaw Tomalski, « Delusions of Possession and Religious Coping in Schizophrenia: A Qualitative Study of Four Cases », Frontiers in Psychology, vol. 12,‎ (ISSN 1664-1078, DOI 10.3389/fpsyg.2021.628925/full, lire en ligne, consultĂ© le )
  13. (en) « Demonic possession or dissociative identity disorder ? », sur www.psychologs.com (consulté le )
  14. [PDF] Possessions, Éditions du Cosmogone, Cercle d’Études nouvelles d’anthropologie.
  15. Rituel du ZĂąr, Maison des Cultures du Monde.
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.