Popian
Popian est une commune française située dans le centre du département de l'Hérault en région Occitanie.
Popian | |
Mairie et chĂąteau | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | HĂ©rault |
Arrondissement | LodĂšve |
Intercommunalité | Communauté de communes Vallée de l'Hérault |
Maire Mandat |
Marie-AgnĂšs Sibertin-Blanc 2020-2026 |
Code postal | 34230 |
Code commune | 34208 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Popianais |
Population municipale |
356 hab. (2020 ) |
Densité | 61 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 43° 37âČ 15âł nord, 3° 32âČ 09âł est |
Altitude | 50 m Min. 47 m Max. 130 m |
Superficie | 5,86 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Montpellier (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Gignac |
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau de l'Aurelle, le ruisseau de Lussac et par un autre cours d'eau.
Popian est une commune rurale qui compte 356 habitants en 2020, aprÚs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Popianais ou Popianaises.
GĂ©ographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Le Pouget », sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[6] et qui se trouve Ă 3 km Ă vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 680,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de SĂšte, mise en service en 1949 et Ă 27 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis Ă 15,8 °C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13] - [14] - [15].
Urbanisme
Typologie
Popian est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [16] - [I 1] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96,2 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (96,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (85,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,3 %), zones urbanisĂ©es (3,8 %)[18].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Popian est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[19]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[20].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 2002, 2014 et 2019[21] - [19].
Popian est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et sâappliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă moins de 200 mĂštres de celles-ci. LâarrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment dâapporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 6] - [22].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 164 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 164 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[24].
Toponymie
La commune est connue sous la variante « Poupian »[25].
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Histoire[26]
Ă lâĂ©poque carolingienne, Popian Ă©tait le siĂšge de la seule viguerie de la moyenne vallĂ©e de lâHĂ©rault. Le viguier Ă©tait le reprĂ©sentant du vicomte de BĂ©ziers et dâAgde, chargĂ© dâexercer la justice royale. Construit au Xe siĂšcle, le castrum de Popian a Ă©tĂ© rattachĂ© au domaine des seigneurs de Montpellier au XIe siĂšcle. On retrouve le chĂąteau de Popian parmi les biens de Guillaume de Montpellier en 1114. Fortement implantĂ©s au Pouget, les Guillaume ont probablement contribuĂ© au maintien du siĂšge de la viguerie, la plus haute autoritĂ© rĂ©gionale. En 1535, les terres et seigneuries de Popian sont recensĂ©es au nom de Girard de Popian. Apparaissent les noms de Antoine de Tavaux, seigneur de Popian, et de François Tuffet, chanoine de la cathĂ©drale Saint-Nazaire de BĂ©ziers et archiprĂȘtre du Pouget. De l'Ă©difice mĂ©diĂ©val, seule subsiste la tour datant du XIVe siĂšcle. Construction du corps principal au dĂ©but du XIXe siĂšcle.
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[28].
En 2020, la commune comptait 356 habitants[Note 7], en augmentation de 2,59 % par rapport Ă 2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Revenus
En 2018, la commune compte 159 mĂ©nages fiscaux[Note 8], regroupant 398 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 21 170 âŹ[I 4] (20 330 ⏠dans le dĂ©partement[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 6] | 8,7 % | 9,4 % | 7,1 % |
DĂ©partement[I 7] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entiĂšre[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 225 personnes, parmi lesquelles on compte 80 % d'actifs (72,9 % ayant un emploi et 7,1 % de chÎmeurs) et 20 % d'inactifs[Note 9] - [I 6]. En 2018, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 40 emplois en 2018, contre 38 en 2013 et 48 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 166, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 66,9 %[I 10].
Sur ces 166 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 33 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,8 % les transports en commun, 2,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
25 établissements[Note 10] sont implantés à Popian au [I 13]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 25 entreprises implantées à Popian), contre 14,2 % au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande cÎtiÚre du département de l'Hérault[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 20 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] Ă 22 en 2000 puis Ă 15 en 2010[33] et enfin Ă 19 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 5 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 67 % de ses exploitations[34] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 211 ha en 1988 Ă 203 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne reste stable Ă 11 ha[33].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Vincent de Popian. L'Ă©difice est rĂ©fĂ©rencĂ© dans la base MĂ©rimĂ©e et Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral RĂ©gion Occitanie[35].
HĂ©raldique
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Les armoiries de Popian se blasonnent ainsi : |
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Personnalités liées à la commune
- Fernand Raux (1863-1955) : Haut fonctionnaire français, il est PrĂ©fet de Police de Paris de 1917 Ă 1921 aprĂšs avoir Ă©tĂ© nommĂ© plusieurs fois Sous-prĂ©fet et chef adjoint du ministre de l'IntĂ©rieur Georges Clemenceau en 1906. Officier de la LĂ©gion d'honneur et dĂ©corĂ© de la Croix de guerre 1914-1918, Fernand RAUX demeure propriĂ©taire d'une maison Ă Popian oĂč il est inhumĂ© en 1955 aux cĂŽtĂ©s de son Ă©pouse Jane (1869-1967) et de ses parents : Marie Laval (1844-1931) et Etienne Raux (1842- 1915), adjoint au maire de Montpellier de 1904 Ă son dĂ©cĂšs.
- Joseph Railhac (1875-1945) : Avocat, chevalier de la Légion d'honneur, propriétaire foncier à Popian, il est maire de LodÚve de 1900 à 1925, conseiller général de l'Hérault de 1907 à 1925 (Canton de LodÚve) et député de l'Hérault de 1924 à 1928. PÚre d'Andrée Railhac, il est de fait le beau-pÚre de Paul Coste-Floret.
- Rolland de Villario (1885-1955) : Architecte, il naĂźt Ă Popian le 29 janvier 1885 alors que son pĂšre est maire de la commune. AprĂšs avoir dessinĂ© les plans de l'hĂŽtel CĂŽte d'Opale, Rolland de Villario fait partie des principaux architectes du Touquet-Paris-Plage, commune oĂč il dĂ©cĂšde le 9 octobre 1955. Il est inhumĂ© Ă Popian.
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu dâassurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et dâautre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Popian » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Popian » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Popian » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Popian » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Le Pouget - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Popian et Le Pouget », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Le Pouget - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Popian et SÚte », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Popian », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Popian », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Popian », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Popian », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Les risques majeurs dans l'HĂ©rault », sur www.herault.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Popian », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Claude Motte, Paroisses et communes de France - Dictionnaire d'histoire administrative et dĂ©mographique - HĂ©rault, Paris, Ăditions du centre national de la recherche scientifique, , 490 p. (ISBN 2-222-04293-3), p. 338.
- Webmaster (Super User), « Patrimoine - Site officiel de la ville de Popian », sur popian.net (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de lâagriculture et de lâalimentation, 10 dĂ©cembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Popian - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
- « Eglise paroissiale Saint-Vincent », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
- Joseph BerthelĂ©, « Quelques documents concernant les moulins de Carabottes au XIIIe siĂšcle, d'aprĂšs les archives du chĂąteau de Lestang », MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique de Montpellier, 2e no 3,â , p. 335-339
- Alphonse Delouvrier, Histoire de la vicomté d'Aumelas et de la baronnie du Pouget, Gignac, BibliothÚque 42, , 350 p. (lire en ligne)
- René Girard (de), L'an mille, naissance de l'urbanisme européen, 2 types de politiques : Popian et Puéchabon, coll. « Mémoire d'Oc » (no 79), , 72 p.
- StĂ©phane Maune et Bernard Pauzes, « Une tombe du Ier siĂšcle apr. J.-C. Ă Popian (nĂ©cropole du Sigala) », ArchĂ©ologie en Languedoc, no 18,â , p. 121-129
- Bernard Pauzes, Pour servir l'histoire de Popian : au cĆur de la VallĂ©e de l'HĂ©rault, Gignac, BibliothĂšque 42, , 17 p.
- Laurent Schneider, « Une Vicaria languedocienne du Xe siĂšcle : Popian en Biterroi », Annales du Midi, t. CIX, nos 219-220,â , p. 401-415
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Popian (1645-1825) [0,34 ml]. Cote : 208 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :