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Popian

Popian est une commune française située dans le centre du département de l'Hérault en région Occitanie.

Popian
Popian
Mairie et chĂąteau
Blason de Popian
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement LodĂšve
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de l'Hérault
Maire
Mandat
Marie-AgnĂšs Sibertin-Blanc
2020-2026
Code postal 34230
Code commune 34208
DĂ©mographie
Gentilé Popianais
Population
municipale
356 hab. (2020 en augmentation de 2,59 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 61 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 37â€Č 15″ nord, 3° 32â€Č 09″ est
Altitude 50 m
Min. 47 m
Max. 130 m
Superficie 5,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Gignac
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Popian
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Popian
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Popian
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Popian

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau de l'Aurelle, le ruisseau de Lussac et par un autre cours d'eau.

    Popian est une commune rurale qui compte 356 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelĂ©s les Popianais ou Popianaises.

    GĂ©ographie

    Carte

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 14,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 774 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 6,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 2,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Le Pouget », sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[6] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 680,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de SĂšte, mise en service en 1949 et Ă  27 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă  15,4 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  15,8 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13] - [14] - [15].

    Urbanisme

    Typologie

    Popian est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [16] - [I 1] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96,2 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (96,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (85,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,3 %), zones urbanisĂ©es (3,8 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Popian est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[19]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[20].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 2002, 2014 et 2019[21] - [19].

    Popian est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt du fait de la prĂ©sence sur son territoire. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 6] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Popian.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 164 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 164 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[24].

    Toponymie

    La commune est connue sous la variante « Poupian »[25].

    Plan par masse de culture (an XII)

    .

    Histoire[26]

    À l’époque carolingienne, Popian Ă©tait le siĂšge de la seule viguerie de la moyenne vallĂ©e de l’HĂ©rault. Le viguier Ă©tait le reprĂ©sentant du vicomte de BĂ©ziers et d’Agde, chargĂ© d’exercer la justice royale. Construit au Xe siĂšcle, le castrum de Popian a Ă©tĂ© rattachĂ© au domaine des seigneurs de Montpellier au XIe siĂšcle. On retrouve le chĂąteau de Popian parmi les biens de Guillaume de Montpellier en 1114. Fortement implantĂ©s au Pouget, les Guillaume ont probablement contribuĂ© au maintien du siĂšge de la viguerie, la plus haute autoritĂ© rĂ©gionale. En 1535, les terres et seigneuries de Popian sont recensĂ©es au nom de Girard de Popian. Apparaissent les noms de Antoine de Tavaux, seigneur de Popian, et de François Tuffet, chanoine de la cathĂ©drale Saint-Nazaire de BĂ©ziers et archiprĂȘtre du Pouget. De l'Ă©difice mĂ©diĂ©val, seule subsiste la tour datant du XIVe siĂšcle. Construction du corps principal au dĂ©but du XIXe siĂšcle.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    an I François Combrenous Membre du conseil général de la commune
    an I an IV Jean Ratier Membre du conseil général de la commune
    an IV an IX Pierre Poumier Adjoint
    an IX 1811 Guillaume Lautier
    1811 1818 Charles Lautier
    1818 1821 Jean-Pierre Lautier
    1821 1830 Barthélemy Pommier
    1830 1846 François Gazagne
    1846 1848 François Hilaire Bonnel
    1848 1848 Hippolyte Pioch
    1848 1850 Jean PĂ©ligry
    1851 1863 Philippe Poumier
    1863 1865 Adolphe Dejean
    1865 1884 Albin Gazagne Grand-pĂšre d'Emile Combes, maire de 1934 Ă  1944
    1884 1889 Charles de Villario Démissionne en août 1889 : nommé percepteur à Cotignac.
    1889 1900 Martin Bonnel
    1900 1901 Guillaume Lautier
    1901 1938 Ferdinand Lapeyre Chevalier de la LĂ©gion d'honneur. Grand-pĂšre de Philippe Lapeyre, maire de 1965 Ă  1989
    1938 1944 Émile Combes Chevalier de la LĂ©gion d'honneur
    1944 1947 Auguste Pons Président du Comité de Libération nationale de 1944 à 1945 puis maire de 1945 à 1947.
    1947 1959 Aimé Bonnel
    1959 1965 Pierre Vailhé Avocat
    1965 1989 Philippe Lapeyre
    1989 2007 Fernand Nadal
    2007 2008 Norbert Sanchez
    2008 En cours Marie-AgnĂšs Sibertin-Blanc Sans Ă©tiquette Avocat

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[28].

    En 2020, la commune comptait 356 habitants[Note 7], en augmentation de 2,59 % par rapport Ă  2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    183153198199174180168154170
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    153128149159157123118141140
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    171182156187225251239169217
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    233214198168195248322343346
    2018 2020 - - - - - - -
    351356-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 159 mĂ©nages fiscaux[Note 8], regroupant 398 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 21 170 â‚Ź[I 4] (20 330 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]8,7 %9,4 %7,1 %
    DĂ©partement[I 7]10,1 %11,9 %12 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  225 personnes, parmi lesquelles on compte 80 % d'actifs (72,9 % ayant un emploi et 7,1 % de chĂŽmeurs) et 20 % d'inactifs[Note 9] - [I 6]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement, alors qu'en 2008 il Ă©tait supĂ©rieur Ă  celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 40 emplois en 2018, contre 38 en 2013 et 48 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 166, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 66,9 %[I 10].

    Sur ces 166 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 33 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,8 % les transports en commun, 2,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Activités hors agriculture

    25 Ă©tablissements[Note 10] sont implantĂ©s Ă  Popian au [I 13]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santĂ© humaine et l'action sociale est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 28 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (7 sur les 25 entreprises implantĂ©es Ă  Popian), contre 14,2 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Agriculture

    La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande cÎtiÚre du département de l'Hérault[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations20221519
    SAU[Note 12] (ha)211251188203

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 20 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] Ă  22 en 2000 puis Ă  15 en 2010[33] et enfin Ă  19 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 5 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 67 % de ses exploitations[34] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 211 ha en 1988 Ă  203 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne reste stable Ă  11 ha[33].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    HĂ©raldique

    Les armoiries de Popian se blasonnent ainsi :

    De vair au sautoir losangé d'or et de gueules.

    Personnalités liées à la commune

    Fernand Raux à la Préfecture de police (Paris)

    - Fernand Raux (1863-1955) : Haut fonctionnaire français, il est PrĂ©fet de Police de Paris de 1917 Ă  1921 aprĂšs avoir Ă©tĂ© nommĂ© plusieurs fois Sous-prĂ©fet et chef adjoint du ministre de l'IntĂ©rieur Georges Clemenceau en 1906. Officier de la LĂ©gion d'honneur et dĂ©corĂ© de la Croix de guerre 1914-1918, Fernand RAUX demeure propriĂ©taire d'une maison Ă  Popian oĂč il est inhumĂ© en 1955 aux cĂŽtĂ©s de son Ă©pouse Jane (1869-1967) et de ses parents : Marie Laval (1844-1931) et Etienne Raux (1842- 1915), adjoint au maire de Montpellier de 1904 Ă  son dĂ©cĂšs.

    - Joseph Railhac (1875-1945) : Avocat, chevalier de la Légion d'honneur, propriétaire foncier à Popian, il est maire de LodÚve de 1900 à 1925, conseiller général de l'Hérault de 1907 à 1925 (Canton de LodÚve) et député de l'Hérault de 1924 à 1928. PÚre d'Andrée Railhac, il est de fait le beau-pÚre de Paul Coste-Floret.

    - Rolland de Villario (1885-1955) : Architecte, il naĂźt Ă  Popian le 29 janvier 1885 alors que son pĂšre est maire de la commune. AprĂšs avoir dessinĂ© les plans de l'hĂŽtel CĂŽte d'Opale, Rolland de Villario fait partie des principaux architectes du Touquet-Paris-Plage, commune oĂč il dĂ©cĂšde le 9 octobre 1955. Il est inhumĂ© Ă  Popian.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Popian » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Popian » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Popian » (consulté le ).
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    Voir aussi

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    Articles connexes

    Liens externes

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