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Plerneuf

Plerneuf [plɛʁnƓf] (Plerneg en breton) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor, en rĂ©gion Bretagne.

Plerneuf
Plerneuf
L'Ă©glise Saint-Pierre et Saint-Paul.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂŽtes-d'Armor
Arrondissement Guingamp
Intercommunalité Communauté de communes Leff Armor Communauté
Maire
Mandat
Philippe Le Méhauté
2020-2026
Code postal 22170
Code commune 22188
DĂ©mographie
Gentilé Plerneucois, Plerneucoise
Population
municipale
1 112 hab. (2020 en augmentation de 7,75 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 134 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 30â€Č 55″ nord, 2° 53â€Č 01″ ouest
Altitude 164 m
Min. 118 m
Max. 208 m
Superficie 8,3 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Brieuc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Plélo
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Plerneuf
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Plerneuf

    Ses habitants s'appellent les Plerneucois.

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes de Plerneuf
    Plélo Trémuson
    Plerneuf La MĂ©augon
    Plouvara Saint-Donan

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 847 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Brieuc », sur la commune de TrĂ©muson, mise en service en 1985[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[9] Ă  11,2 °C pour 1981-2010[10], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Plerneuf est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Brieuc, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 9 communes[15] et 95 528 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Brieuc, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 51 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (88 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (92,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (56,4 %), terres arables (31,6 %), zones urbanisĂ©es (8,5 %), forĂȘts (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ploharnoc en 1233, Ploernec en 1337, 1416 et en 1418, Plerneuc en 1427, Ploerneuc en 1480, Ploernuc en 1490, Pleerneuc en 1516, Plerneuc en 1543 et en 1546[22], Ploueneuc en 1569, Plerneuf en 1679[23].

    Plerneg en breton[24] et Pierneu en gallo.

    Plerneuf vient de l'ancien breton ploe (paroisse) et de Saint-Hernec[23].

    Histoire

    Période néolithique

    De nombreux vestiges, aujourd’hui malheureusement disparus, permettent de faire remonter l’habitat Ă  la pĂ©riode prĂ©celtique :

    • le menhir de la pierre blanche : renversĂ© en 1822, haut de 7 m, prĂšs de la Croix de Beauchamp.
    • une allĂ©e couverte qui conservait trois supports appuyĂ©s sur quatre montants d’un cĂŽtĂ© et trois de l’autre situĂ©e dans le champ de Keruault ou Kernaut (une des plus belles roches aux fĂ©es de Bretagne selon M. Jollivet).
    • une autre allĂ©e couverte dans le champ des Rochers ; deux tables supportĂ©es par 3 grosses pierres placĂ©es perpendiculairement.
    • un dolmen en ruine auprĂšs de cette allĂ©e couverte.
    • un tumulus en limite de Saint-Donan
    • un cromlech (cercle de pierres), non situĂ© ?
    • un menhir appelĂ© pierre longue Ă  la Landelle
    • des vestiges gallo-romains Ă  Belle-Issue.
    • Une motte castrale ou fĂ©odale (du haut Moyen Âge) Ă  la Ville Cario.

    Antiquité

    Une voie romaine qui reliait Yffiniac et Guingamp passait à Ploufragan, puis au Four de la Rue, le champ du Tertre, la Hélioterie sur la commune de La Méaugon, le Guéthébault, le bas de la rue et la croix de Belle-Issue sur la commune de Plerneuf, et se dirigeait vers la Ville Chevalier sur Plouvara. (On peut en emprunter une partie en marchant sur le sentier de randonnée qui fait le tour de Plerneuf).

    Au Ve et VIe siĂšcles, les Bretons quittĂšrent la Grande-Bretagne, fuyant les Anglo-Saxons qui envahissaient leur pays. Parmi eux, Erneuc, qui fonda Plerneuf.

    Plerneuf est une ancienne paroisse primitive qui englobait Ă  sa fondation les territoires de TrĂ© muson et Lann MĂ©augon. Le plou de Plerneuf (paroisse) qui englobe les Tre (hameaux importants des paroisses) et les Lann (subdivisions autour d’un ermitage).

    Sous l’ancien rĂ©gime, Plerneuf appartenait Ă  l’archidiaconĂ© du GoĂ«lo, Ă  l’évĂȘchĂ© de Saint-Brieuc et au comtĂ© du GoĂ«lo.

    PĂ©riode moderne

    En 1790, Plerneuf fait partie du canton de Plouvara avec Saint-Donan, Cohiniac et La MĂ©augon. La commune comptait 818 habitants. C’est le dimanche , lors d’une AssemblĂ©e cantonale Ă  l’église de Plouvara que l’on trouve le nom de Thomas TrĂ©hen, un des premiers Ă©lus de Plerneuf. Un prĂ©sident pour le canton, un agent et un adjoint par commune Ă©taient Ă©lus, ils remettaient leur mandat en jeu pĂ©riodiquement. Thomas TrĂ©hen et Pierre Guyot en l’an IV, Thomas TrĂ©hen et Pierre Courtel en l’an VI. Ils remplissaient les fonctions d’officiers d’état civil. Pour pouvoir voter, il fallait ĂȘtre ĂągĂ© de 25 ans au moins et payer l’impĂŽt.

    La RĂ©volution

    Bastion rĂ©publicain au cƓur d’une rĂ©gion largement favorable aux Chouans, Plerneuf, subit Ă  de nombreuses reprises les assauts de ceux que l’on nommait « les brigands ». À cette Ă©poque, Plerneuf Ă©tait un point stratĂ©gique dans le canton et un tĂ©lĂ©graphe optique, inventĂ© par Claude Chappe, fut construit Ă  l’emplacement de l’actuel chĂąteau d’eau. Il correspondait avec celui de l’église Saint-Michel Ă  Saint-Brieuc et avec celui de Lanrodec. De son altitude de 190 mĂštres, on pouvait voir, dit-on, les clochers de 40 paroisses. On peut affirmer en tout cas qu’on distinguait parfaitement les feux des phares de BrĂ©hat et du Cap FrĂ©hel.

    Le 9 frimaire de l’an VII, (), Ă  la suite des nombreuses attaques des Chouans ; Apollinaire Hillion, alors PrĂ©sident de l'administration cantonale, demande l’organisation d’une garde nationale sĂ©dentaire pour le tĂ©lĂ©graphe ; le 13 florĂ©al de l’an VII (), il fut dĂ©cidĂ© de le faire garder par une patrouille de 5 hommes. Les attaques augmentant, la municipalitĂ© de canton dĂ©cida la fortification de la garde ; construction de barricades, puis rĂ©quisition de 53 hommes ; Plerneuf en fournit 6. RĂ©munĂ©rĂ©s grĂące Ă  une imposition extraordinaire sur les 20 plus grosses fortunes du canton. Puis PlĂ©lo, riverain du canton, fut sollicitĂ© pour 15 hommes et pour moitiĂ© aux frais de dĂ©fense. PlĂ©lo devait aussi fournir draps, couvertures, paillasses, paille et oreillers, les lits et autres fournitures Ă©taient Ă  la charge du canton. Les soldats rĂ©quisitionnĂ©s se rendaient au presbytĂšre de Plerneuf oĂč ils recevaient les consignes, ceux qui ne se prĂ©sentaient pas avaient une amende de 3 francs qui Ă©tait partagĂ©e entre ceux qui Ă©taient prĂ©sents.

    Vers 1800, la troupe fut rĂ©duite de moitiĂ©, puis le tĂ©lĂ©graphe fut dĂ©moli en 1854. Un tĂ©lĂ©graphe du mĂȘme type, entiĂšrement rĂ©novĂ©, existe Ă  Saint-Marcan, non loin du Mont Saint-Michel.

    À cette Ă©poque, il y avait beaucoup d’affaires judiciaires, et chaque canton Ă©lisait un juge de paix par canton avec 4 assesseurs par commune ; en l’an IV, pour Plerneuf, ce fut Mr MĂ©lĂ©ard, Pierre Le Moulnier, Jean Guyot et Jacques PĂ©dron. Les audiences avaient lieu alternativement Ă  Plouvara et Ă  Saint-Donan pour mĂ©nager les susceptibilitĂ©s entre ces 2 communes. On avait installĂ© une maison d'arrĂȘt Ă  La Cave au-dessous de la salle du presbytĂšre de Saint-Donan.

    Au temps de la RĂ©volution, Plerneuf est une commune de paysans qui rĂ©coltent l’avoine que l’on exporte. On y fabrique Ă©galement du cidre. En 1846, la population est de 928 habitants. À partir de cette date, la population diminue considĂ©rablement, 426 habitants en 1968 !

    Le XIXe siĂšcle

    La construction de la voie ferrĂ©e Paris-Brest, qui scinde la commune en 2 parties, fut dĂ©cidĂ©e en 1859 et la ligne qui mĂšne Ă  Guingamp fut ouverte en 1863. À l’occasion du creusement de la grande tranchĂ©e du chemin de fer, une grosse quantitĂ© de minerai de galĂšne argentifĂšre fut dĂ©couverte sur le remblai. Il fut alors dĂ©cidĂ© de forer un puits et on reprit l’exploitation des mines, dont la veine argentifĂšre principale venait de TrĂ©muson. L’électricitĂ© fut installĂ©e en 1936, et en 1954, Mr François Rivolet, maire, va crĂ©er le syndicat des eaux avec Plouvara, puis TrĂ©muson va les rejoindre en 1962 puis La MĂ©augon et Saint-Donan en 1968.

    Les guerres du XXe siĂšcle

    Le monument aux morts porte les noms de 27 soldats morts pour la Patrie[25] :

    La période contemporaine

    Les travaux de la RN 12, qui permet Ă  la commune d’ĂȘtre facilement accessible, ont dĂ©butĂ© en 1968 et se sont terminĂ©s 20 ans aprĂšs.

    Aujourd’hui la population est de 1 050 habitants.

    Histoire linguistique

    En 1843, dans son Dictionnaire géographique et historique de la province de Bretagne, Jean Ogée explique qu'on parle français et breton.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 Hervé Quéré
    mars 2001 23 mai 2020 Jean-Pierre Martin DVG Formateur
    23 mai 2020 En cours Philippe Le Méhauté[26] Agriculteur retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[28].

    En 2020, la commune comptait 1 112 habitants[Note 7], en augmentation de 7,75 % par rapport Ă  2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    818829816992977979925927894
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    861955922819794773693689673
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    677690604546550532509468470
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    4464255457558448861 0021 0191 002
    2017 2020 - - - - - - -
    1 0531 112-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Pierre-et-Saint-Paul.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Saint-Brieuc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Plerneuf et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 de Saint-Brieuc », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    22. Archives des Cîtes d’Armor, 1E1776
    23. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Motreff ».
    24. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    25. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    26. « Municipales Ă  Plerneuf. Conseiller pendant 31 ans, Philippe Le MĂ©hautĂ© Ă©lu maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Liens externes

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