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Pindray

Pindray est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Pindray
Pindray
Le château de Pruniers.
Blason de Pindray
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes Vienne et Gartempe
Maire
Mandat
Jean-Marie Glain
2020-2026
Code postal 86500
Code commune 86191
Démographie
Population
municipale
246 hab. (2020 en diminution de 5,75 % par rapport à 2014)
Densité 9,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 29′ 32″ nord, 0° 48′ 46″ est
Altitude Min. 81 m
Max. 155 m
Superficie 26,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montmorillon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montmorillon
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Pindray

    Géographie

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le territoire communal est arrosé par la rivière Gartempe.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 786 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montmorillon », sur la commune de Montmorillon, mise en service en 1990[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 789,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 40 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Pindray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montmorillon, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,9 %), forêts (21,9 %), prairies (17,4 %), zones agricoles hétérogènes (15,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Pindray est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Gartempe. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2010[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pindray.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[23]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[24]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[25]. 98,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [26].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2005, 2016, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].

    Risque technologique

    La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Civaux, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de km se mettent à l'abri[Note 9]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 10] - [27] - [28].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Jean-Marie Robin
    mars 2008 mars 2014 Francis Servat

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2020, la commune comptait 246 habitants[Note 11], en diminution de 5,75 % par rapport à 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    476407460403594567567614622
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    605617618617642638616613590
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    590581563482491457435405367
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    330308275278255258256255264
    2018 2020 - - - - - - -
    251246-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 9,6 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Selon la direction Régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Foret de Poitou-Charentes[34], il n'y a plus que 14 exploitations agricoles en 2010 contre 22 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 827 hectares en 2000 à 1 652 hectares en 2010 dont 131 sont irrigables[34]. 31 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 11 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 38 % pour le fourrage et 13 % reste en herbes. En 2000,un hectare (zéro en 2010) était consacré à la vigne.

    8 exploitations en 2010 (contre 11 en 2000) abritent un élevage de bovins (1 489 têtes en 2010 contre 1 163 en 2000)[34]. C’est un des troupeaux de bovins les plus importants de la Vienne qui rassemblent 48 000 têtes en 2011[35].

    7 exploitations en 2010 (contre 11 en 2000) abritent un élevage d'ovins (2 098 têtes en 2010 contre 2 312 têtes en 2000)[34]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[35]. En 2011, le nombre de têtes dans le département de la Vienne était de 214 300[36].

    L'élevage de volailles a disparu au cours de cette décennie[34].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Pindray (86) en mars 2011.
    • Château et pigeonnier de Pruniers : Illustration filmée dans l'émission "La Carte Au Trésor" diffusée sur France 3 le . Le château est inscrit comme Monument Historique depuis 1973 pour son pigeonnier et sa toiture[37]. L'illustration ci-contre représente toutefois le pigeonnier du château de Pindray[38].
    • Le prieuré de Saint-Pardoux : Le prieuré dépendait de l'abbaye charentaise de Lesterps. Il accueillait des chanoines réguliers qui vivaient selon la règle de saint Augustin. Le prieuré reste modeste jusqu'à la Révolution française. Les parties les plus anciennes de l'édifice remonteraient au XIe siècle. L'église prieurale a été restaurée au XVIIe et au XIXe siècle. Elle présente un plan rectangulaire et une abside à trois plans. Entre le chÅ“ur et la nef, émerge la souche d'un clocher roman. Il est coiffé d'une flèche à égouts retroussés couverte d'ardoises. Des modillons romans soutiennent la corniche de la voûte en berceau conservée sous le clocher. Ils reprennent l'iconographie classique de l'époque romane : des atlantes, des animaux domestiques ou sauvages. L'un d'eux représente, d'ailleurs, un loup tenant dans sa gueule et ses pattes des parchemins roulés. Le voûte en berceau est en plâtre. Elle est du XXe siècle. La nef possède huit travées avec des bandeaux plats. Sur un culot, un angelot aux ailes déployées épouse la forme de la pierre. La tête androgyne, les manches amples et la position des mains qui tiennent un écu, semblent correspondre à un motif que le maître verrier de l'église Saint-Martial a multiplié sur les vitraux pour porter les armoiries des corporations des métiers. Le culot en plâtre du XIXe siècle est surmonté d'une statue de saint Pardoux.
    • Le château de Pindray qui date du XIXe siècle: Le fief de Pindray avait droit de haute justice. Citée dès la fin du XIème siècle, la seigneurie de Pindray dépendait de la châtellenie de Montmorillon. Il existait à Pindray un château fort des XIème et XIIème siècles, qui avait été précédé par une motte féodale et une maison forte. Il fut détruit au cours des guerres de religion, puis reconstruit, peu après cette période. Laissé plus ou moins à l'abandon, il fut démoli en 1865 et on édifia alors un nouveau château, de style néo-renaissance, achevé en 1869. Il est doté de jolies dépendances et d'un beau pigeonnier, daté du 17ème siècle, coiffé de la caractéristique girouette à tête de loup (voir photo), un ancien propriétaire, le baron Arthur de La Besge, ayant été lieutenant de louveterie[39]. En mai 2012 le château de Pindray fut entièrement détruit par un incendie. Seuls demeurent une tour, les communs et le pigeonnier[40] - [41].

    Personnalités liées à la commune

    Charles de Pindray, aventurier.

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    D'argent au sautoir de gueules.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    9. Le périmètre de km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
    10. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Montmorillon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Pindray et Montmorillon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Montmorillon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Pindray et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montmorillon », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Pindray », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Pindray », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    27. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Civaux - plaquette de présentation. », sur www.edf.fr (consulté le )
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    29. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    35. Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
    36. Panorama de l’Agriculture en Vienne – Juin 2012 – Chambre d’Agriculture de la Vienne
    37. inventaire.nouvelleaquitaine.fr/dossier/chateau-fort-dit-chateau-de-pruniers
    38. manyphoto.com/fr/pindray/poitou-charente
    39. Equipage de Pindray-1851-1914-memoiredesequipages.fr
    40. inventaire.nouvelle-aquitaine.fr/dossier/chateau-pindray
    41. chateau-fort-manoir-chateau/chateau.eu/chateaux-vienne-chateau-a-pindray
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