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Pimbo

Pimbo est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Pimbo
Pimbo
Le chevet de la collégiale Saint-Barthélemy.
Blason de Pimbo
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes Chalosse Tursan
Maire
Mandat
André Passicos
2020-2026
Code postal 40320
Code commune 40226
DĂ©mographie
Population
municipale
203 hab. (2020 en diminution de 0,98 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 19 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 34â€Č 37″ nord, 0° 22â€Č 36″ ouest
Altitude Min. 100 m
Max. 213 m
Superficie 10,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Chalosse Tursan
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Pimbo
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Pimbo
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Pimbo
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Pimbo

    Le toponyme se traduit par thym en gascon.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est situĂ©e dans la rĂ©gion du Tursan (sud-est des Landes), dans le vignoble du mĂȘme nom. Elle est limitrophe du dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont ClĂšdes, Lacajunte, Lauret, Miramont-Sensacq, Philondenx, Puyol-Cazalet, Arzacq-Arraziguet et Poursiugues-Boucoue.

    Hydrographie

    Le Bas, affluent droit du Gabas, traverse les terres de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 075 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bahus Fleton », sur la commune de Bahus-Soubiran, mise en service en 1995[8] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 997,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et Ă  36 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Pimbo est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (88 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (88 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (55,3 %), terres arables (22,8 %), forĂȘts (11,9 %), prairies (9,9 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Pimbo est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e)[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Gabas et le Bas. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999 et 2009[23] - [21].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[24]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pimbo.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 80,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 121 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 117 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 97 %, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Histoire

    La tradition attribue la fondation de la collégiale à Charlemagne en 778. Il y eut trÚs tÎt des bénédictins.

    Le , un contrat de paréage fut signé entre l'abbé Arnaud de Sanguinet et cinq chanoines de la collégiale de Pimbo, d'une part, et Thomas d'Ypergrave sénéchal de Gascogne, représentant du roi-duc Henri III d'Angleterre, d'autre part. Ce contrat de fondation de la plus ancienne bastide landaise prévoit aussi la construction d'un chùteau sur une terre donnée par l'abbé. Il y eut alors trois églises, Sainte-Marie-Madeleine, Notre-Dame et Saint-Barthélemy, collégiale qui, seule, demeure.

    Le premier document connu est le contrat de paréage, de 1268, caractéristique des fondations des bastides. Il partage les droits sur un fief entre deux seigneurs (un religieux et un laïc généralement). En échange des droits de justice et des droits fonciers partagés entre les deux seigneurs, les nouveaux habitants bénéficient d'une protection religieuse de la collégiale et militaire du chùteau. En effet, la création de bastides anglaises ou françaises, phénomÚne politique du XIIIe et du XIVe siÚcle du Sud-Ouest de la France, a pour but l'implantation d'habitants qui se voient attribuer de nombreux avantages garantis par l'octroi d'une coutume (droits des habitants à l'intérieur d'une cité).

    Si la plupart de ces villes nouvelles, que sont les bastides, ont un plan orthogonal rĂ©gulier, certaines d'entre elles ont dĂ» s'adapter aux configurations du terrain ou Ă  la prĂ©sence d'un bourg ancien. C'est le cas Ă  Pimbo, bastide-rue, bĂątie sur une crĂȘte Ă©troite permettant la construction d'une rue unique reliant la collĂ©giale Ă  ce qui fut le chĂąteau.

    En 1399, le roi d'Angleterre fait don de Pimbo Ă  Raymond Bertrand de Castelnau, dont la famille a autoritĂ© sur le Tursan. En 1569, les troupes huguenotes menĂ©es par Montgomery dĂ©truisent le chĂąteau fort, la bastide et la collĂ©giale[27]. Cette derniĂšre est reconstruite par les religieux quand la paix est ramenĂ©e dans le royaume par le roi Henri IV. La RĂ©volution française amĂšne son lot de destructions, entraĂźnant la suppression du collĂšge des neuf chanoines. La chĂątelaine, madame de Portets, dont le mari a Ă©migrĂ© en Espagne, accueille les prĂȘtres rĂ©fractaires et les cache dans son chĂąteau de Barenne[28].

    Le pĂšlerinage de Compostelle

    Pimbo est sur la via Podiensis du pÚlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. On vient de Miramont-Sensacq (8,5 km), le village suivant traversé est Arzacq-Arraziguet (6,5 km).

    PĂšlerin arrivant Ă  Pimbo par le chemin de Compostelle.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1977 1995 Lucien René Theux ... Agriculteur
    mars 2001 2014 Jean-Marc Peyrucat ... Exploitant agricole
    mars 2014 En cours André Passicos DVD Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[30]. En 2020, la commune comptait 203 habitants[Note 6], en diminution de 0,98 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    526429513508603608605576500
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    516558538428465435432374354
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    324333331313279277282295277
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    257229224195181179184186202
    2018 2020 - - - - - - -
    209203-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Depuis quelques annĂ©es, les fĂȘtes de la Saint-BarthĂ©lemy connaissent un vĂ©ritable succĂšs populaire, attirant tous les jours des milliers de personnes venant de tous les horizons, dans un village comptant une centaine d'Ăąmes.

    Elles se composent de quatre journées bien remplies avec concerts, bal gigantesque, jeux pour enfants, repas festifs, grand feu d'artifice et la traditionnelle course landaise[33].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Aquarelle de l'abbaye de Pimbo dans le département français des Landes.
    • Maison Ă  colombage, garnie de pierre et de torchis.
    • À l'extrĂ©mitĂ© ouest du village, une enceinte de 20 m de diamĂštre, talus d'une ancienne fortification.
    • CollĂ©giale Saint-BarthĂ©lemy de Pimbo : malgrĂ© de nombreuses destructions et restaurations, elle conserve encore son aspect militaire et dĂ©fensif et un intĂ©ressant dĂ©cor sculptĂ© de la fin du XIIe siĂšcle, notamment les modillons du chevet roman. L’intĂ©rieur, en berceau, a davantage souffert, tant des protestants au XVIe siĂšcle, que des travaux de fortification au XIVe siĂšcle, et du remplacement des pierres Ă©rodĂ©es par un dĂ©cor de stuc depuis. On peut y voir un crucifix de bois XVIIe siĂšcle et deux statues de saint Marc et saint BarthĂ©lĂ©my. Le portail sculptĂ© fin XIIe siĂšcle s'ouvre en avancĂ©e avec un petit toit, sur un puissant mur pignon ajourĂ© de deux arcades portant deux cloches, et coiffĂ© du chemin de ronde. Une dĂ©coration naĂŻve et faussement primitive juxtapose des disques d'allure celtique, des pommes de pin, et des personnages assis et parfois enlacĂ©s.
    • La façade de la collĂ©giale Saint-BarthĂ©lĂ©my.
      La façade de la collégiale Saint-Barthélémy.
    • Le portail gothique de la collĂ©giale Saint-BarthĂ©lĂ©my.
      Le portail gothique de la collégiale Saint-Barthélémy.
    • Le chevet de la collĂ©giale Saint-BarthĂ©lĂ©my et son jardin de curĂ©.
      Le chevet de la collégiale Saint-Barthélémy et son jardin de curé.

    HĂ©raldique

    Blason de Pimbo Blason
    D'azur à la fasce cousue* de gueules chargée d'un léopard d'or et accompagnée en chef de deux coquilles d'argent et en pointe d'une pomme de pin versée d'or[34].
    DĂ©tails
    * Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la rÚgle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : gueules sur azur.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Bahus Fleton - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Pimbo et Bahus-Soubiran », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Bahus Fleton - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Pimbo et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Pimbo », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Pimbo », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. Voir les guerres de Religion dans les Landes
    28. L'almanach du Landais 2009, Ă©ditions CPE, Bernadette Hourtolou, p 110-111
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. http://www.myspace.com/pimbo40 Programme des FĂȘtes de la Saint-BarthĂ©lemy
    34. « 40226 Pimbo (Landes) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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