Lacajunte
Lacajunte (La Cau Junta, en occitan[1]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).
Lacajunte | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Landes | ||||
Arrondissement | Mont-de-Marsan | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Chalosse Tursan | ||||
Maire Mandat |
Christian Boulin 2020-2026 |
||||
Code postal | 40320 | ||||
Code commune | 40136 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
156 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 35âČ 39âł nord, 0° 25âČ 26âł ouest | ||||
Altitude | Min. 94 m Max. 174 m |
||||
Superficie | 5,63 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Chalosse Tursan | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Landes
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | Site officiel de Lacajunte | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Au sud-est du département, la commune est limitrophe de celui des Pyrénées-Atlantiques.
Commune situĂ©e dans le Tursan, dans le vignoble du mĂȘme nom.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Arboucave, Philondenx, Pimbo, Puyol-Cazalet et Malaussanne.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bahus Fleton », sur la commune de Bahus-Soubiran, mise en service en 1995[9] et qui se trouve Ă 11 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 997,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et Ă 34 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă 13,5 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 13,9 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Lacajunte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (89,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (66 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (23,8 %), forĂȘts (10,2 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Lacajunte est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Gabas et le Louts. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999, 2009 et 2018[24] - [22].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 18,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 77 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 27 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 35 %, Ă comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par une ou des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[27].
Histoire
Protohistoire
Pierre-Eudoxe Dubalen fouille un tumulus sur . junte[28].
Entre ThÚze (Pyrénées-Atlantiques) et Lacajunte, le plateau forme un couloir étroit et la densité de tumulus y est importante ; les tertres y sont regroupés en nécropoles[29].
Ainsi, sur Lacajunte au lieu-dit landes de Cazaou se trouve un site comprenant un grand tumulus isolé, haut d'environ 2 m encore en 1987 ; une nécropole de 7 tertres plus petits et presque arasés (en 1987) que les anciennes études nomment « de Fratis » ; et une mare fossile avec un déversoir emmenant l'eau au ruisseau du Lous[30].
G. Fabre (1943) mentionne succinctement dans la lande ProrÚs un grand tumulus[31] déjà fouillé en 1912 par l'abbé Beaumont et Joseph de Laporterie[32] ; elle cite Vidal : « [le tumulus] offrait dans son ensemble un aspect chaotique de charbons, de cendres de lames d'épées plantées verticalement et une masse considérable de scories de fer ; remarque importante, pas trace d'ossements, c'était sûrement une forge. Dans le quartier Ouest de ce tertre, non affecté par la brûlerie[33] », Dubalen a découvert quelques urnes ; l'une d'elles, recouverte d'une coupe et contenant un petit vase, serait un vestige de tombe[31].
Politique et administration
Liste des maires
Politique environnementale
Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[34].
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[36]. En 2020, la commune comptait 156 habitants[Note 6], en augmentation de 1,96 % par rapport Ă 2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Sports
Il existe un club de football dans la commune : Football club Lacajunte Tursan.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Michel de Lacajunte.
HĂ©raldique
Blason | D'or au pin de sinople, au lĂ©vrier de gueules accolĂ© d'argent et attachĂ© au tronc de l'arbre par une chaĂźne du mĂȘme; au chef d'azur chargĂ© d'un croissant d'argent accostĂ© de deux Ă©toiles d'or. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Communauté de communes du Tursan
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Diccionari toponimic occitan de las Lanas e deu Baish Ador », sur locongres.org (consulté le ).
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Bahus Fleton - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lacajunte et Bahus-Soubiran », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Bahus Fleton - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lacajunte et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Lacajunte », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
- [Simonet 2014] AurĂ©lien Simonet, « Brassempouy (Landes). PrĂ©sentation du site et des collections Dubalen et de Laporterie » (chap. 1), Bulletin e la FĂ©dĂ©ration ArchĂ©ologique des PyrĂ©nĂ©es occidentales et des Landes, no 6 (hors sĂ©rie) « ArchĂ©ologie des PyrĂ©nĂ©es occidentales et des Landes. Brassempouy. Les collections Dubalen et de Laporterie »,â , p. 7-17 (lire en ligne [PDF] sur hal.archives-ouvertes.fr, consultĂ© en ), voir rĂ©sumĂ©.
- [Didierjean 1989] François Didierjean, « Apport de l'archĂ©ologie aĂ©rienne Ă l'Ă©tude des nĂ©cropoles tumulaires des Chalosses », dans Les Landes - ForĂȘt - Thermalisme (Actes du 40e congrĂšs d'Ă©tudes rĂ©gionales, Dax, 3-5 avril 1987), FĂ©dĂ©ration Historique du Sud-Ouest, , 435 p. (lire en ligne [PDF] sur clubdubalen.fr), p. 73-82. Voir p. 79.
- Didierjean 1989, p. 78, fig. 3.
- [Fabre 1943] Gabrielle Fabre, « Contribution Ă l'Ă©tude du protohistorique du Sud-Ouest de la France », Gallia, t. 1, no 1,â , p. 43-79 (lire en ligne [sur persee]), p. 61-62.
- [Simonet 2015] AurĂ©lien Simonet, « Brassempouy (Landes). PrĂ©sentation du site et des collections Dubalen et de Laporterie » (chap. 1), Bulletin de la FĂ©dĂ©ration ArchĂ©ologique des PyrĂ©nĂ©es occidentales et des Landes, no 6 (hors sĂ©rie) « ArchĂ©ologie des PyrĂ©nĂ©es occidentales et des Landes. Brassempouy. Les collections Dubalen et de Laporterie »,â , p. 7-17 (lire en ligne [PDF] sur hal.archives-ouvertes.fr, consultĂ© en ). Voir RĂ©sumĂ©.
- [Vidal 1927] AndrĂ© Vidal, « (titre chapitre ?) », dans Nos Landes. Vision d'Ensemble sur le Pays Landais (collectif de 20 auteurs dont les fondateurs d'Hossegor, J.-H. Rosny jeune, Barranx, Dubalen, Claude Fayet, AndrĂ© Vidal,âŠ), Mont-de-Marsan, Ă©d. David Chabas, , XII-374 p. CitĂ© dans Fabre 1943, p. 61.
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.