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PĂ©riers

PĂ©riers est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche et la rĂ©gion Normandie. Lors du recensement de 2020[Note 1], la commune comptait 2 244 habitants.

PĂ©riers
PĂ©riers
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul un jour de marché.
Blason de PĂ©riers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Manche
Arrondissement Coutances
Intercommunalité Communauté de communes CÎte Ouest Centre Manche
Maire
Mandat
Gabriel Daube
2020-2026
Code postal 50190
Code commune 50394
DĂ©mographie
Gentilé Prisiais
Population
municipale
2 244 hab. (2020 en diminution de 5,12 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 153 hab./km2
Population
agglomération
6 209 hab. (2016)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 11â€Č 11″ nord, 1° 24â€Č 26″ ouest
Altitude Min. 6 m
Max. 36 m
Superficie 14,62 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Périers
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton d'Agon-Coutainville
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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PĂ©riers
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PĂ©riers
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PĂ©riers
Liens
Site web www.ville-periers.fr

    GĂ©ographie

    La commune est au nord du Pays de Coutances. Son bourg est Ă  10 km au sud-est de Lessay, Ă  16 km au nord-est de Coutances, Ă  18 km au sud-ouest de Carentan et Ă  26 km au nord-ouest de Saint-LĂŽ[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 876 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Coutances », sur la commune de Coutances, mise en service en 1974[10] et qui se trouve Ă  16 km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 061,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12].

    Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et Ă  41 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14] Ă  11,9 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Périers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19].

    Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de PĂ©riers, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant deux communes[20] et 2 593 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[21] - [22].

    La commune est en outre hors attraction des villes[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (88,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (90,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (48 %), prairies (37,6 %), zones urbanisĂ©es (7,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (4,2 %), terres arables (2,6 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes : Periers en 962 et 996[27] ; Perers en 1159 et 1181[27] ; de Piris vers 1245[27].

    Ce toponyme est le pluriel d'une forme dialectale du français poirier, issu du bas latin pirarius[28].

    Le gentilé est Prisiais.

    Histoire

    En 1256, Raoul de Grosparmy, Ă©vĂȘque d'Évreux puis cardinal, accueillit le roi Saint Louis Ă  PĂ©riers[29].

    L'affaire criminelle Blanche Hébert, un terrible fait divers, s'est déroulée à Périers le [30].

    HĂ©raldique

    Armes de PĂ©riers

    Les armes de la commune de PĂ©riers se blasonnent ainsi :
    D'argent au poirier arraché de sinople et fruité de gueules accompagné de deux lions de sable, l'un en chef à senestre, l'autre contourné en pointe à dextre, à la bande d'azur chargée de trois molettes d'éperon d'or posées à plomb brochant sur le tout et à la trangle de gueules brochant en pointe sur la bande[31].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1838 1860 Gustave Regnault MĂ©decin
    1860 1866 L. Lescaudey de Manneville
    1866 1871 EugĂšne d'Halwin, marquis de Piennes Bonapartiste Diplomate
    1873 1873 Alfred Regnault Propriétaire
    1873 1876 Albert Le Brun de Blon
    1876 1923 Alfred Regnault Propriétaire
    1924 1935 François Le Conte
    1936 1937 André LefÚvre Médecin
    1937 1944 François Le Conte
    juillet 1944 novembre 1944 Charles Tollemer Abbé
    1944 1944 François Le Conte
    1945 1947 Gilles DĂ©an
    1947 1954 Auguste Lhoste
    1954 avril 1966
    (décÚs)
    Robert Schmitt MRP Industriel, conseiller général
    1966 1971 François Le Conte (fils)
    1971 mars 1983 Raymond Burckart RPR Architecte, conseiller général (1975-1985)
    mars 1983 juin 1995 Michel Ciubucciu DVD Notaire, conseiller général (1985-1992)
    juin 1995 mars 2001 Didier Lecerf DVD Médecin, conseiller général (1992-1998)
    mars 2001 mars 2008 Damien Pillon DVD Banquier
    mars 2008[32] En cours Gabriel Daube[33] DVD puis MoDem puis UDI Consultant en management et formateur au CNFPT, conseiller départemental (depuis 2015)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints[33].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[35].

    En 2020, la commune comptait 2 244 habitants[Note 8], en diminution de 5,12 % par rapport Ă  2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). PĂ©riers a comptĂ© jusqu'Ă  2 902 habitants en 1806.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 4732 5572 9022 6422 6052 6402 8562 8802 901
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 8562 7942 7042 5152 6152 6522 6442 6892 720
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 6222 4652 4532 1462 1522 2022 2851 8092 543
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 4642 5862 7122 7412 5662 5532 4502 4372 355
    2017 2020 - - - - - - -
    2 2592 244-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et CrÚme d'Isigny[38].

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul (XIIIe, XIVe, XVe – XXe siĂšcle), classĂ©e aux monuments historiques par liste de 1862[39]. Elle abrite de nombreux meubles et objets liturgiques classĂ©s Ă  titre d'objets.
    • HĂŽtel de ville (1875).
    • Maison Tollemer, en centre-ville.
    • Les Quatre Braves, sculpture de Patrick Cottencin en l'honneur de la 90e division d'infanterie amĂ©ricaine, inaugurĂ©e en .
    • La voie de la LibertĂ© 1944 : une borne est sur le territoire.
    • ChĂąteau de Basmaresq (XVe, XVIIe – XIXe siĂšcle).

    Activité et manifestations

    Jumelage

    Sport

    PĂ©riers Sport fait Ă©voluer trois Ă©quipes de football en divisions de district[40].

    PĂ©riers dans les arts

    Cinéma : dans le film Il faut sauver le soldat Ryan (1998), une pancarte de direction, visible dans le village fictif de Ramelle, indique que Périers se situe à seulement sept kilomÚtres à l'ouest dudit village.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale légale en 2023.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur trente ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routiĂšres les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Coutances - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Périers et Coutances », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Coutances - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Périers et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    15. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    16. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Périers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    27. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, GenÚve, (lire en ligne), p. 1327.
    28. RenĂ© Lepelley, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de communes de Normandie, CondĂ©-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 196.
    29. RenĂ© Gautier et al. (prĂ©f. Jean-François Le Grand, postface DaniĂšle PolvĂ©-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « InĂ©dits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 457.
    30. Jean-François Miniac, Les Nouvelles Affaires criminelles de la Manche, de Borée, Paris, avril 2012.
    31. « GASO, la banque du blason - Périers - Manche » (consulté le ).
    32. « Gabriel Daube succÚde à Damien Pillon », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. Réélection 2020 : « Municipales à Périers : Gabriel Daube réélu sans surprise », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. AOP Beurre d'Isigny et CrĂšme d'Isigny
    39. « Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    40. « Périers S. », sur Site officiel de la Ligue de Basse-Normandie (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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