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Orsinval

Orsinval est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Orsinval
Orsinval
Église Saint-Nicolas avec campanile.
Blason de Orsinval
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Mormal
Maire
Mandat
Valérie Cochez
2020-2026
Code postal 59530
Code commune 59451
Démographie
Gentilé Orsinvalois
Population
municipale
555 hab. (2020 en augmentation de 1,09 % par rapport à 2014)
Densité 166 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 16′ 28″ nord, 3° 37′ 53″ est
Altitude Min. 74 m
Max. 123 m
Superficie 3,34 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Quesnoy
(banlieue)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-sur-Helpe
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Orsinval
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Orsinval
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Orsinval
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Orsinval
Liens
Site web http://www.orsinval.fr
    Calvaire funéraire.

    Géographie

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Orsinval
    Villers-Pol
    Orsinval Frasnoy
    Le Quesnoy

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 790 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valenciennes », sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 708 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 51 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Orsinval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine du Quesnoy, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[17] et 8 020 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,4 %), prairies (31,7 %), zones urbanisées (13,9 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Histoire

    On trouve une première mention de ce village en 1186 lorsque celui-ci s'appelle "Ursina Vallis". Ce village a été donné en 1111 au chapitre de la cathédrale de Cambrai par l'évêque Odon. Au XIIe siècle, il accueillait un petit monastère de femmes dont il ne subsiste plus aucun vestige.

    Les armoiries d’Orsinval (trois lions surmontés d’une vierge à l’enfant) ont fait penser que ce blason rappelait, comme beaucoup, l’époque des croisades. Dans l’Album du Prince Charles de Croÿ (2500 gouaches), au tout début du XVIIe siècle, le peintre valenciennois Adrien de Montigny représente le village étalé le long de la Rhônelle que barre un joli moulin.

    Avant la Révolution française, Orsinval était le siège d'une seigneurie. Au début du XVIIIe siècle, elle est détenue par Jacques Pédecœur, écuyer, conseiller du roi, auditeur et contrôleur des comptes de Valenciennes, marié à Jeanne Quartier. Leur fille Marie Claire épouse à Valenciennes le , Philippe François Théodore Hannecart ou Hanecart (1697-1751), seigneur de Briffœil, magistrat au Parlement de Flandres[24].

    Le territoire de la commune d’Orsinval est traversé par la chaussée menant de Valenciennes aux places-fortes du Quesnoy et de Landrecies, implantée sur le haut du plateau quercitain. Le cœur ancien du village est situé à l’ouest de cette voie, le long du vallon de la Rhonelle. Lorsque le noyau, d’abord constitué d’une rue, s’éloigne du cours de la rivière, il devient triple, avant de rejoindre la chaussée, se densifiant au niveau du carrefour. Le bâti ancien est également composé de quelques grandes fermes sur plateau, ainsi que du secteur du moulin, à l’ouest, en contrebas de la chaussée. Implanté dans une vallée assez profonde, le territoire communal est caractérisé par des pentes marquées, en particulier à l’ouest. Le bâti pavillonnaire s’est implanté de manière linéaire, sur la D73, dans le prolongement de Villers-Pol.

    Évolution du nom de la commune

    1111 : Ursenens villa, cartulaire de l'église de Cambrai

    1170 : Orsina vallis, cartulaire de l'abbaye de Vicogne

    1181 : Orsineval, cartulaire de l'église de Cambrai

    1186 : Ursina vallis, cartulaire de Vicogne

    1189 : Ursini val, id

    1194 : Ursineval, 2e cartulaire de Flandre

    Toponymie

    domaine d'Ursin. Jacques de Guyse raconte le combat du Roi Ursys contre la reine Ursa. Une Ursa surnommée "Beere". Dans toute l'Europe du nord, ber est le nom de l'ours. Orsinval, la vallée des ours. Et ce, que l'on prenne son étymologie latine ou néerlandaise. Ors a l'étymologie tout aussi claire. Oui, dans le passé, il y avait des ours dans la région.

    Héraldique

    Les armes de Orsinval se blasonnent ainsi : D’or à trois lions d’azur, au chef de gueules chargé d’une Notre-Dame-de-Grâce à mi-corps, de carnation, vêtue de gueules et d’azur et tenant l’enfant Jésus à senestre.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Élisabeth Debruille devient maire à l'issue des élections municipales de mars 2001.

    Élisabeth Debruille fait en 2019 le choix de ne pas se représenter pour un quatrième mandat. Le premier tour des élections municipales de 2020 se déroule le . Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde de deux mois l'élection des maires par les nouveaux conseils municipaux. Valérie Cochez est élue maire le avec quatorze voix et un bulletin nul.

    Liste des maires

    Maire de 1802 à 1807 : Nicolas Hottelart[25] - [26].

    Titulaires de la fonction de maire d'Orsinval
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Maurice Delmarle (d)[27]
    ( - )
    années 1980 divers droite
    Élisabeth Debruille (d)[28]
    (née le )
    19 ans et 2 mois
    Valérie Cochez (d)[29]
    (née le )
    En cours3 ans, 1 mois et 11 jours

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

    En 2020, la commune comptait 555 habitants[Note 8], en augmentation de 1,09 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    350262361436478503497528526
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    554486495521515503474475420
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    412412380355356363339342346
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    320332336389440457462543545
    2020 - - - - - - - -
    555--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 272 hommes pour 280 femmes, soit un taux de 50,72 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,5
    4,2
    75-89 ans
    6,7
    22,8
    60-74 ans
    20,8
    21,0
    45-59 ans
    20,0
    22,5
    30-44 ans
    20,1
    14,3
    15-29 ans
    13,6
    15,2
    0-14 ans
    17,3
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Lieux et monuments

    Le village a su garder, en plusieurs endroits, son pittoresque. Deux sites se distinguent d’ailleurs par leur environnement frais et vert : la chute de l’ancien moulin et, non loin de là, l’ancien lavoir dit « Belle Fontaine ».

    La grange dite « de Malbrough » (10, route de Valenciennes) rappelle une tradition chère aux Orsinvalois : c’est là que la célèbre chanson aurait été composée, au soir de la Bataille de Malplaquet (1709), alors que les troupes françaises se repliaient sur le Quesnoy et que le bruit courait que le général anglais était mort sur le champ de bataille.

    L’église Saint-Nicolas est l’ancienne chapelle d’un couvent, détruit sous Louis XIV. À l’intérieur, on remarque surtout une grande pieta attribuée à un élève de Van Dyck. Mais ce qui fait l’originalité de cette église, c’est son campanile qui, à quelques pas de l’église même, laisse admirer sa cloche et sa charpente.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Valenciennes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Orsinval et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Valenciennes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Orsinval et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 du Le Quesnoy », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.75 (lire en ligne).
    25. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
    26. « Annuaire statistique du Département du Nord. Année 1807. », p. 144-145.
    27. E. B., « Orsinval : André Martens et Micheline Huin, dans la course des municipales », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
      « La vie municipale, il la connaît bien, pour avoir été adjoint au maire de 1983 à 1989, sous Maurice Delmarle. »
    28. E. B., « Orsinval : un dernier mandat pour Élisabeth Debruille consacré à la sécurité », La Voix du Nord,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
      « Après dix-neuf à la tête de la mairie, Élisabeth Debruille a décidé de ne plus briguer de nouveau mandat. »
    29. L. C., « Valérie Cochez succède à Élisabeth Debruille », La Voix du Nord, no 24240,‎ , p. 35 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne)
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Orsinval (59451) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
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