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Villers-Pol

Villers-Pol est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Villers-Pol
Villers-Pol
La mairie de Villers-Pol.
Blason de Villers-Pol
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité CC du Pays de Mormal
Maire
Mandat
Olivier Yzanic
2020-2026
Code postal 59530
Code commune 59626
Démographie
Population
municipale
1 295 hab. (2020 en augmentation de 5,54 % par rapport à 2014)
Densité 106 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 17′ 08″ nord, 3° 37′ 01″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 124 m
Superficie 12,17 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Quesnoy
(banlieue)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-sur-Helpe
Législatives 12e circonscription du Nord
Localisation
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Villers-Pol
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Villers-Pol
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Villers-Pol
Liens
Site web http://villerspol.fr

    Géographie

    Description

    Villers-Pol fait partie de l'Avesnois, région naturelle composant elle-même la partie sud du Hainaut. L'urbanisation de la Commune s'est initialement développée le long de la Rhonelle puis, plus récemment, vers la route départementale 934. Villers-Pol se situe sur une des sept anciennes voies romaines autour de Bavay à km au nord du Quesnoy. Hameau : En son extrémité nord-ouest, elle comprend un hameau dénommé "Le Wult" situé également sur le territoire des communes voisines de Préseau et Maresches.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Rhonelle, affluent du fleuve l'Escaut.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 789 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valenciennes », sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 708 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 49 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Villers-Pol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine du Quesnoy, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[17] et 8 020 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,8 %), prairies (17,6 %), zones urbanisées (7,6 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie-Etymologie

    Noms anciens : 1057 : Vilarium, 1121 : Vilare episcopi, 1142 : Vileirs , 1186 : Villers-Sirpol, Etymologie : La terminaison "Pol" du nom de la Commune correspond probablement au nom d'un des seigneurs de la localité, à savoir Polius de Vileir.

    Histoire

    De traces d'habitations romaines ont été trouvées à Villers-Pol. Un texte de 885 mentionne Villare, quae est sita in pago hagnoense (Villare dans le pays d'Hainaut) Il fallait bien specifier, avec tant de villages nommé Villers. Le clergé utilisait (1142) le latin Villare episcopi [24]. Il n'en était pas pareil pour le peuple: Vulgo dictus Villare Polii, Gallicè Villers Pol (Appelé par le peuple Villare Polii, en français Villers Pol)[25]

    Le seigneur de Villare episcopi était donc un évêque: c'était celui de Cambrai, qui possédait dès 885 la terre et la cure. Dans la période féodale l'évêque offre des parties de la terre en don, il les reprend, mais toujours les liens de dépendance envers l'évêché de Cambrai restent enracinés.

    Toujours au Moyen Âge, sous les ducs de Bourgogne comtes palatins de Hainaut, le bourg est signalé dans les actes des échevins, Villers Monseigneur Polle. Des notables de Valenciennes et de Le Quesnoy possédaient également des bois (futaies), prés, terres ahanables (labourables), et courtils sur l’entité. En effet, dans les archives du Chapitre métropolitain de Cambrai[26], des parchemins mentionnent entre les années 1451 et 1457, les héritages que ces familles possédaient sur Villers-Pol et, dont certaines firent des donations partielles à l’évêché : telles, Marguerite des Ghaukiers veuve de Jehan de Mons, châtelain, gouverneur du Quesnoy et, Marguerite de Maroilles veuve de Jehan de Surie (ou, de Sury(e)), échevin de Le Quesnoy, qui détenaient ensemble des prés au lieu-dit « au chemin Tommesiau », attenant aux terres de la Maison (cense) de le Follie, aux terres de la cense du Linsoit et aux terres de l’abbaye d’Orsinval [27]; héritages de bois (futaies), au lieu-dit « au chemin de le Haie » détenus par les hoirs Jacquemart de Bohaing et de Piérart de Ruesnes ; les terres de Hauwain de Kievraing (ou, Hauwiel de Quiévrain, chevalier) et de Jacquemart dou Melz (ou, du Melz), près de « l’arbre de la Croisette » ; les terres de Jehan d’Oisy, de Jehan de Segry, et de Martin de Frasnes, attenant au lieu-dit « aux buissons à Welt », etc. Ces parchemins, riches d’enseignement pour la connaissance des anciens lieux-dits de la commune, nous relatent aussi les mouvances de fiefs et les passations d’héritages familiaux, dont une partie, comme signalé plus haut, tombait dans l’escarcelle de l’évêché. La paroisse de Villers-Pol, qui comprenait aussi Orsinval, dépendait du décanat de Valenciennes, et cela du XIIe siècle jusqu'à la Révolution.

    En 1790, un incendie détruit les archives et ravage l'église ainsi qu'une trentaine de maisons.

    Villers-Pol, occupé pendant la Première Guerre mondiale presque jusqu'à la fin du conflit, voit couler beaucoup de sang pour sa libération, début .

    Politique et administration

    Maire en 1802-1803 : Al. Dubuissez[28].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1919 1944 Jules Carlier-Caffieri[29] Rad. ind. Député du Nord (1926 → 1932)
    Conseiller général du Quesnoy-Ouest (1919 → 1928)
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977[30] janvier 2013 René Locoche Apparenté UDF Conseiller général du Quesnoy-Ouest (2001 → 2015)
    Démissionnaire[31]
    juin 2013 mars 2014 Jean-François Chabot[30] - [31] Enseignant retraité
    mars 2014[32] juillet 2020[33] Jean-Marie Simon DVD Éducateur retraité
    juillet 2020[34] - [35] En cours
    (au 4 juillet 2020)
    Olivier Yzanic Agriculteur

    Population et société

    L'école

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

    En 2020, la commune comptait 1 295 habitants[Note 8], en augmentation de 5,54 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9541 0411 1441 2861 4211 4841 5071 5731 485
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4491 4581 4911 4411 4001 4131 3981 3981 435
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4231 4071 4551 3431 3711 2471 2611 2031 197
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 1371 0981 0361 2141 2561 2541 2481 2471 239
    2017 2020 - - - - - - -
    1 2761 295-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 639 hommes pour 645 femmes, soit un taux de 50,23 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    1,2
    7,2
    75-89 ans
    8,5
    19,0
    60-74 ans
    20,0
    21,1
    45-59 ans
    20,0
    17,5
    30-44 ans
    18,8
    15,5
    15-29 ans
    13,4
    19,6
    0-14 ans
    18,0
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin de 1772, ravagée par un incendie en 1790, reconstruite.
    • Plusieurs chapelles, dont celle de Sainte-Geneviève datant de 1632, la plus ancienne du canton.
    • Calvaire de 1852 et 1909.
    • Monument de l'abbé Lehu, curé de Villers-Pol et Orsinval tué en .
    • L'extension du cimetière communal de Villers-Pol héberge 119 tombes de guerre de soldats tombés en à la Libération. Au cimetière, il y a aussi 74 Allemands enterrés.
    • Ferme, brasserie dite brasserie Monier.
    • L'église Saint-Martin
      L'église Saint-Martin
    • L'église, statue St.Saulve
      L'église, statue St.Saulve
    • Le monument aux morts
      Le monument aux morts
    • Chapelle de la Vierge Marie
      Chapelle de la Vierge Marie
    • Calvaire
      Calvaire

    Héraldique

    armes de Villers-Pol

    Les armes de Villers-Pol se blasonnent ainsi : D’argent à la bande de sable chargée de trois fleurs de lis d’or.[42]

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Valenciennes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Villers-Pol et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Valenciennes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Villers-Pol et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 du Le Quesnoy », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Charles Mériaux, Gallia irradiata: saints et sanctuaires dans le nord de la Gaule du haut Moyen Âge, 2006, pg 337
    25. Baldericus Noviomensis (évêque de Noyon et Tournai), environ 940, édition imprimé par Georgius Colvenerius, 1651: Chronicon Cameracense et Atrebatense, sive historia utriusque ecclesiae, III
    26. A.D.N. à Lille, Archives du Chapitre métropolitain de Cambrai. Donations et acquisitions à Villers-Pol (lez Le Quesnoy) entre les années 1451 et 1457, par l’évêché de Cambrai. Série « 4G133 », parchemins n°s 1994, 1995 (4 et 7 juin 1456), et 4726 (31 décembre 1453).
    27. Abbaye d’Orsinval : il s’agissait en réalité, du prieuré d’Orsinval près de la ville de Le Quesnoy, occupé par des moniales se rattachant à l’abbaye Notre-Dame d’Avesnes, de l’Ordre de Saint-Benoît. In « Nobiliaire universel de France ou recueil général de généalogies.. », vol 21, par Nicolas Viton de Saint-Allais, Chez l’auteur, Paris, 1843, p. 369.
    28. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
    29. « Jules, Léon, Ferdinand Carlier-Caffieri (1878-1964) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    30. « Dans le Quercitain, le conseil municipal de Villers-Pol est assis entre deux chaises », Nord Éclair,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    31. Estelle Baillieux, « Villers-Pol: Jean-François Chabot ne s’est jamais «imaginé être maire» », La Voix du Nord, édition Maubeuge et ses environs,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    32. « Un nouveau maire qui veut déjà préparer sa relève », L'Observateur de l'Avesnois, no 19461,‎ , p. 28 (ISSN 0183-8415).
    33. E. B., « Villers-Pol: le second tour reporté, Jean-Marie Simon reste aux manettes malgré lui : Jean-Marie Simon s’apprêtait à raccrocher et à passer la main d’ici à quelques semaines. Au premier tour, aucun candidat des trois listes n’a été élu. Le report du deuxième tour le contraint à continuer sa mission de premier édile », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le )« À 72 ans, il avait pris sa décision de ne pas briguer de second mandat, pour « raisons médicales ».
    34. Paul Sion, « Villers-Pol : Olivier Yzanic arrive en tête au second tour des municipales avec 48,2% des voix », L'Observateur de l'Avesnois,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il décroche donc 12 sièges sur 15 et s’assure la majorité au conseil municipal. Daniel Lotteau arrive en deuxième position avec 33,94 % des voix et obtient 2 sièges. Thierry Buissé ferme la marche avec 17,88 % des suffrages exprimés et 1 siège ».
    35. René Harbonnier, « Villers-Pol: Olivier Yzanic devient maire : Samedi matin, les 15 membres du conseil ont procédé à l’élection de leur maire et de ses quatre futurs adjoints », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villers-Pol (59626) », (consulté le ).
    41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    42. http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f59626
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