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Sepmeries

Sepmeries est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Sepmeries
Sepmeries
La mairie de Sepmeries.
Blason de Sepmeries
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Mormal
Maire
Mandat
Thierry Soszynski
2020-2026
Code postal 59269
Code commune 59565
Démographie
Population
municipale
649 hab. (2020 en diminution de 4,28 % par rapport à 2014)
Densité 108 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 17′ 01″ nord, 3° 33′ 53″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 106 m
Superficie 5,99 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Artres
(ville-centre)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-sur-Helpe
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Sepmeries
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Sepmeries
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Sepmeries
Liens
Site web site officiel

    Géographie

    Sepmeries se trouve administrativement dans l'Avesnois et historiquement dans le Hainaut. Le village est situé entre Le Quesnoy (à km) et Valenciennes (à 12 km).

    Hydrographie

    La commune est traversée par le ruisseau l'Hirondelle.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 767 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valenciennes », sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 708 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 47 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Sepmeries est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Artres, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[17] et 2 540 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,7 %), prairies (19,8 %), zones urbanisées (7,5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Étymologie

    • XIIe siècle : « Semeriis », « Sepmeries » ;
    • XIVe siècle : « Semeries » ;
    • XVIIe siècle : « Semmeries », « Semmerie » ;
    • XVIIIe siècle : « Sepmeries », « Semeries », « Semerie ».

    Histoire

    Antiquité

    Les premiers peuplements de Sepmeries sont inconnus mais deux hypothèses sont possibles : les Romains ou les Vikings :

    À l’époque romaine (fin du IIIe siècle), une voie romaine relie Bagacum (Bavay) à Camaracum (Cambrai). Connue sous le nom de ‘’Chaussée Brunehaut’’, celle-ci traverse le territoire actuel de Sepmeries. Une voie secondaire relie Hermoniacum (Bermerain) à Fanum Martis (Famars).

    Pour alimenter Famars en eau, un aqueduc romain traversait Sepmeries.

    Lors de fouilles ont été découverts, une partie de l’aqueduc, des objets divers, des monnaies, des tessons, un habitat en torchis, des céramiques[24].

    Moyen Âge

    Au IXe siècle, les guerriers Vikings, à bord de leurs drakkars, se trouvent dans l’impossibilité de remonter le cours de l’Escaut par manque d’un tirant d’eau suffisant. Ils vont se disperser et peupler la région.

    D’autre part, en 2004, une motte castrale du haut Moyen Âge a été trouvée[25] . Ces vestiges sont les plus anciens témoins de la présence d’une seigneurie au Xe siècle.

    Du XIe siècle à la fin du Moyen Âge

    Auteur du Miroir des nobles de Hesbaye, le chroniqueur liégeois Jacques de Hemricourt (1333-1403) mentionne « l’importante seigneurie de Semeries (orthographe à cette époque), relevant du comte de Hainaut… ». Durant le Moyen Âge, Sepmeries a donc appartenu à de puissants seigneurs et dames.

    En 1069, Amaury[26], puissant seigneur du Cambrésis et de l’Artois, est seigneur de Croisilles et Semeries (orthographe du village à cette époque).

    En 1141, l’évêque de Cambrai donne l’autel de Semeriis à l’abbaye Saint-Jean-Baptiste de Valenciennes, ce qui est confirmé par le pape Alexandre III dans une bulle écrite en 1173[27].

    Les seigneurs au XIIIe siècle font partie des familles nobles de Roisin[28] et de Lallaing[29] .

    Suivent au XIVe siècle des Lallaing[30], Beaumont[29] et Chabot[31].

    Arrivent ensuite jusqu’à la fin du Moyen Âge (1453) des Turck[32], Chabot[33], Arnemuyden (famille de la comtesse du Hainaut)[34] puis les Trazegnies[34] .

    Époque moderne

    Pour Sepmeries, elle va de la fin du Moyen Âge au dernier seigneur de Sepmeries

    Plusieurs seigneurs de la famille de Trazegnies sont retrouvés dont Robert de Trazegnies (1464-1550)[35]. Leur succèdent les François (Severin, Philippe, Philippe (1610-1677), Charles Philippe ( ?-1683), Marie-Anne (1654-1693) sont retrouvés[36] . Séverin François, seigneur de Sepmeries, a été pendant 40 ans lieutenant du grand bailli du Hainaut. Lors des troubles qui ont affecté la ville de Mons, il a tenté de contrôler le peuple, mais après avoir subi plusieurs mauvais traitements, a été chassé de la ville avec son fils. Philippe François, son petit-fils, natif de Mons, seigneur de Sepmeries et de Quévelon (Quiévelon?), bénéficie le de lettres d'anoblissement données à Bruxelles[37]. Marie-Anne François devient en 1683 la dernière dame connue de Sepmeries. Elle est la fondatrice de la Sainte et Noble Famille de Lille (communauté de jeunes filles nobles, de père et de mère déchus de biens). Cette maison ferme à la Révolution, ses pensionnaires sont conduites à l’Hôpital général. Le bâtiment reçoit l’Hospice Stappaert en 1884. Par testament, toutes les possessions de Marie-Anne de François vont appartenir à la Sainte et Noble Famille de Lille et donc à partir de la Révolution aux Hospices de Lille.

    Divers administrateurs deviennent par la suite Seigneurs de Sepmeries.

    Les derniers seigneurs appartiennent à la famille des Cossée :

    • Charles Antoine Dieudonné Cossée (1701-1753) repose dans la cathédrale Saint Wandru de Mons, tout comme
    • Bonne Charles Eléonore Cossée (1732-1765).
    • Charles Bonaventure Cossée (1759-1817) est le dernier seigneur de Sepmeries[38]

    Depuis 1789

    À partir de la Révolution, il n’y a plus de seigneurie à Sepmeries.

    La commune est maintenant administrée par un maire, le premier étant Hippolyte Lecerf.

    : une éolienne de 43 tonnes (rotor + 3 pales) est montée sur Sepmeries.

    Politique et administration

    Situation administrative

    La commune de Sepmeries se situe dans le département du Nord et fait partie de la région Hauts-de-France. Bien qu'elle soit plus proche de Valenciennes (à 12 km), elle appartient à l'arrondissement et au canton d'Avesnes-sur-Helpe (à 37 km).

    Maire en 1802-1803 : Lecerf[39].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1707 1724 Pierre REGNIER
    1838 1843 Sylvain BRUYERE
    1843 1852 Constant DERVILLERS
    1852 1860 Benoist BANTEGNIES
    1860 1870 Charles WALLERAND
    1870 1881 Placide DERVILLERS
    1881 1884 Jean-Baptiste WALLERAND
    1884 1896 Placide DERVILLERS
    1896 1912 Valéry DUPIRE
    1912 1919 Hippolyte DURIEUX Maire pendant la grande guerre 1914-1918
    1919 1936 Dieudonné DERVILLERS
    1937 1945 Irénée BOUCHEZ
    1945 1947 Léon LEFAUX
    1947 1959 Etienne LEFAUX
    1959 Mars 1983 Georges DURIEUX
    Mars 1983 mars 1993 Jean-Claude BEAUVOIS
    Mars 1993 mars 2001[40] Michel VERCHAIN
    Mars 2001 mars 2014 Gérard DOURIEZ
    Mars 2014 mai 2020 Jean-José CIR[40] - [41] Cadre retraité
    Mai 2020 En cours Thierry SOSZYNSKI (suite élection du 15 mars 2020)

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].

    En 2020, la commune comptait 649 habitants[Note 8], en diminution de 4,28 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    400453534649772786791855873
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    891884900911872852842781803
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    830836815663660650609646615
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    578593587562489523548555677
    2018 2020 - - - - - - -
    653649-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,5 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 314 hommes pour 339 femmes, soit un taux de 51,91 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[46]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,3
    90 ou +
    0,6
    5,1
    75-89 ans
    6,8
    14,6
    60-74 ans
    12,7
    20,1
    45-59 ans
    15,9
    26,8
    30-44 ans
    25,4
    13,1
    15-29 ans
    13,6
    19,1
    0-14 ans
    25,1
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[47]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La mairie de 1868.
    • Le monument aux morts ; autrefois un monument aux morts de soldats allemands existait, mais il a été supprimé.
    • L'église Saint-Côme et Saint-Damien du XIXe construite en 1874-1875 en lieu et place de la vieille église détruite en 1874 car trop vétuste pour être réhabilitée ; dans l'église une statue de saint Nicolas (vers 1600) classée au titre objet.
    • L'ancien Hôtel des Seigneurs de Sepmeries, classé monument historique.
    • Sont également classés : les bâtiments de l'ancienne brasserie Dervilers qui a fonctionné d'avant 1888 à 1914 et ceux de la brasserie coopérative, qui, ouverte en 1913, n'a fonctionné qu'une seule fois.
    • L'église Saint-Côme et Saint-Damien
      L'église Saint-Côme et Saint-Damien
    • Tympan décoré de l'église
      Tympan décoré de l'église
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    • Michel Bernard (1931 - 2019), ancien international français d'athlétisme y est né.

    Héraldique

    Les armes de Sepmeries se blasonnent ainsi : D’azur à la croix ancrée d’argent, cantonnée de quatre étoiles à six rais du même.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Valenciennes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Sepmeries et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Valenciennes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Sepmeries et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 d'Artres », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Carte archéologique de la Gaule – le Nord sous la direction de Roland Delmaire.
    25. Procès-verbal du Préfet de Région du dans lequel notamment le conservateur régional de l’archéologie écrit ‘’Le diagnostic archéologique a révélé la présence de vestiges liés à la présence d’une occupation de type seigneuriale du Xe siècle.
    26. Jean Le Carpentier Histoire de Cambrai et du Cambrésis tome 1.
    27. AdN Miroeus tome 2.
    28. AdN Abbayes de Fontenelle et de Saint Jean de Valenciennes.
    29. AdN Abbaye Saint Jean de Valenciennes.
    30. AdN Abbaye Saint Jean de Valenciennes et Chambre des Comptes de Lille.
    31. Cartulaire des Comtes du Hainaut tome 2.
    32. Jacques de Hemricourt.
    33. Cartulaire des Comtes du Hainaut tome 5.
    34. Plumet – les Seigneurs de Trazegnies au Moyen Âge.
    35. Plumet – les Seigneurs de Trazegnies au Moyen Âge et archives personnelles de Olivier de Trazegnies XIe Marquis de Trazegnies.
    36. AdN Maison de la Noble Famille de Lille.
    37. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 217, lire en ligne
    38. AdN Abbaye d’Anchin et la Belgique héraldique.
    39. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
    40. « Sepmeries: Jean-José Cir, ancien premier adjoint, candidat pour «dynamiser le village» », La Voix du Nord, édition Maubeuge et ses environs,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    41. « À Sepmeries, une équipe jeune et motivée, au service de la population », L'Observateur de l'Avesnois, no 19461,‎ , p. 31 (ISSN 0183-8415).
    42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    46. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sepmeries (59565) », (consulté le ).
    47. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
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