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Neufchef

Neufchef [nƓfʃɛf] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Moselle en rĂ©gion Grand Est.

Neufchef
Neufchef
Église Saint-Denis.
Blason de Neufchef
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Moselle
Arrondissement Thionville
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Val de Fensch
Maire
Mandat
Charlotte Dite Carla Lambour
2020-2026
Code postal 57700
Code commune 57498
DĂ©mographie
Gentilé Neufchefois
Population
municipale
2 593 hab. (2020 en augmentation de 1,01 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 155 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 19â€Č 03″ nord, 6° 01â€Č 27″ est
Altitude Min. 205 m
Max. 365 m
Superficie 16,72 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Neufchef
(ville isolée)
Aire d'attraction Luxembourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Algrange
LĂ©gislatives HuitiĂšme circonscription
Localisation
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Neufchef
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Neufchef
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Neufchef
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Neufchef

    GĂ©ographie

    La ville de Neufchef se situe dans le dĂ©partement de la Moselle. La ville a Ă©tĂ© construite sur le plateau entre la vallĂ©e de la Fensch et le vallon du Conroy Ă  une altitude moyenne de 310 m. En observant la carte gĂ©ologique on remarque que le sillon dans lequel elle s’est installĂ©e correspond Ă  la faille gĂ©ologique de Hayange. Et c’est le long de la route qui reprend cet axe naturel de communication, que la ville s’est Ă©tablie.

    Sous le plateau, oĂč se trouve la ville, les galeries de la mine d’Hayange engendrent des zones d’effondrements comme dans de nombreuses communes de cette rĂ©gion.

    Le point culminant de la commune est de 354 m. Il se situe Ă  proximitĂ© de la route Blanche, ancienne route reliant autrefois Neufchef Ă  Fontoy.

    Depuis peu, les quelques maisons de la cité artisanale et ses habitants qui étaient sur la commune de Hayange, ont été rattachés administrativement au ban communal de Neufchef.

    Les forĂȘts alentour sont traversĂ©es notamment par le sentier de grande randonnĂ©e 5 (GR5), qui part des Pays-Bas jusqu'Ă  la MĂ©diterranĂ©e.

    Communes limitrophes

    Paysage

    Le vallon du Conroy est classĂ© en zone naturelle d’interĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique de type 1 (ZNIEFF).

    Communauté d'agglomération du Val de Fensch

    La ville de Neufchef et neuf autres communes (Algrange, Fameck, Florange, Hayange, Knutange, SerĂ©mange-Erzange, Nilvange, Ranguevaux et Uckange, soit prĂšs de 70 000 habitants) constituent la communautĂ© d'agglomĂ©ration du Val de Fensh CAVF, entitĂ© homogĂšne et cohĂ©rente. Son siĂšge se trouve Ă  Hayange, commune voisine de Neufchef.

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Conroy[Carte 1].

    Le Conroy, d'une longueur totale de 20,9 km, prend sa source dans la commune de Boulange et se jette dans l'Orne Ă  Moyeuvre-Grande, aprĂšs avoir traversĂ© sept communes[1].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Neufchef.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin ferrifĂšre ». Ce document de planification, dont le territoire correspond aux anciennes galeries des mines de fer, des aquifĂšres et des bassins versants associĂ©s, d'une superficie de 2 418 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est la rĂ©gion Grand Est[2]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le SDAGE du Bassin Rhin-Meuse[3].

    La qualitĂ© du ruisseau le Conroy peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Neufchef est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Neufchef, une unitĂ© urbaine monocommunale[7] de 2 580 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[8] - [9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10] - [11].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (76,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (76,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (76,8 %), terres arables (17,3 %), zones urbanisĂ©es (5,9 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[13].

    Toponymie

    • Formes anciennes[14]: Neufchiefs (1183), Nuefchiefz (1490), Muslinsen Neuchif (1544), Neunheuser et NeunhĂ€user[15] (1605), Noufchetz (1689), Neufchief (1749), NeunhĂ€user (1910-1918), Neunhausen (1940-1944).
    • En francique lorrain : NĂ€inhaiser[16] et NĂ©ngsen. En lorrain roman : Nieufchi[14].

    Hameviller

    • Formes anciennes[14] - [17] : Homeyrvilla (875), Hummervilla (962), Homervilla (1139), Humeiviller (1206), Humevillers (1236), Hune (1606), La cense d'Homervillers (1749), Homesviller (sans date), Homesweiller (1817), Hamevillers (1868).
    • En lorrain roman : HemvlĂ©[14].

    Histoire

    L’origine de Neufchef remonte Ă  l’époque gallo-romaine.

    Dans la vallée du Pérotin, se situait un petit hameau dénommé Tondar ; il semble que les conditions climatiques dans la vallée du Pérotin aient poussé les habitants de Tondar à s'installer sur la plateau actuel, aux conditions de vie plus clémentes.

    De ce fait, l'origine du nom de Neufchef reste controversĂ©e : Tondar aurait possĂ©dĂ© neuf maisons oĂč peut ĂȘtre neuf chefs de familles y auraient vĂ©cu d’oĂč l’origine de Neufchef (de familles), l'autre version soutenue par le Dictionnaire Ă©tymologique des noms et lieux de France, suppose que le nom de Neufchef provient simplement du latin Nova (nouvelle) et Casa (maison), nom obtenu lors de l'implantation du village sur le plateau.

    Reste que la date approximative de la migration du village de la vallée du Pérotin à son emplacement actuel reste inconnue.

    Le village dĂ©pendait de la seigneurie de Sancy, dans l’ancienne province du Barrois.

    La carte archĂ©ologique, conservĂ©e au Service rĂ©gional d’archĂ©ologie de Metz, nous apprend que des Ă©lĂ©ments de colonne datant de la pĂ©riode franque ont Ă©tĂ© retrouvĂ©s sur le site du PĂ©rotin. Mais le plus intĂ©ressant est la dĂ©couverte de nombreux restes de bas-fourneaux. Neufchef se situe au cƓur du bassin ferrifĂšre lorrain. L'exploitation du minerai de fer et son traitement remonterait donc remonter Ă  cette Ă©poque.

    La premiĂšre mention du village de Neufchef, Ă  proprement parler, date de 1183. On y constate une migration de la population du vallon du Conroy vers le plateau, ce qui permet aux habitants d'Ă©tendre les zones de culture.

    Neufchef, dépendance de la seigneurie de Sancy, est un village du duché de Bar, proche du duché de Luxembourg qui, est alors possession bourguignonne puis espagnole. Le traité des Pyrénées de 1659 entre l'Espagne et la France, en donnant Thionville et sa région à la France donne à Neufchef un voisin plus dangereux. Le village devient Français en 1766 quand le duché de Bar est rattaché à la France.

    En 1790, lors eu découpage de la France en départements par l'assemblée constituante, Neufchef est rattaché au département de la Moselle dont le chef-lieu est Metz.

    En dehors des donnĂ©es iconographiques du XVIIIe siĂšcle, comme la carte de Naudin ou celle de Cassini, la premiĂšre vĂ©ritable image de Neufchef que nous possĂ©dons remonte au cadastre napolĂ©onien de 1826. Le village s’étend alors le long de la rue principale qui relie la vallĂ©e de la Fensch au vallon du Conroy.

    En 1817, Neufchef avait pour annexes la ferme de Homesweiller et le moulin du Pérotin (Pirotin en 1779), ce qui représente 434 habitants répartis dans 100 maisons[17].

    En 1871, le traité de Francfort qui met fin à la premiÚre guerre franco-allemande donne Neufchef à l'Allemagne. Neufchef devient alors un village frontalier.

    En 1918, l'armistice qui met fin à la PremiÚre Guerre mondiale refait de Neufchef un village français. En 1940, Neufchef est de nouveau allemand mais redevient français en 1944.

    Les grands changements dans l’urbanisme de Neufchef vont se manifester Ă  partir des annĂ©es 1950. L’économie Ă  nouveau florissante et la crĂ©ation de la CommunautĂ© europĂ©enne du charbon et de l’acier transforment cette rĂ©gion de Lorraine en vĂ©ritable eldorado.

    Les entreprises De Wendel, propriĂ©taires de la mine d’Hayange, aident Ă  la construction des premiĂšres citĂ©s. La citĂ© artisanale en 1951, puis les citĂ©s Pinay, Castors, CECA, et Cherez sortent rapidement de terre. La ville va continuer sa progression durant les annĂ©es 1960 et 1970.

    À partir des annĂ©es 1970, la sidĂ©rurgie lorraine en dĂ©clin entame sa reconversion. Usinor-Sacilor qui a fĂ©dĂ©rĂ© une grande partie de la sidĂ©rurgie lorraine va commencer Ă  fermer les mines. Neufchef marque donc un temps d’arrĂȘt dans sa croissance.

    À partir des annĂ©es 1980, le dĂ©veloppement ne s’opĂšre plus par la construction de lotissements avec une unitĂ© architecturale. C’est l’explosion du pavillonnaire.

    Proche de la ville de Luxembourg, de nombreux travailleurs transfrontaliers viennent s’établir dans cette partie de la Lorraine. La vallĂ©e de la Moselle, entre Metz et Luxembourg voit de plus en plus la construction de lotissements. La constitution de ce type d’habitat pose des problĂšmes en ce qui concerne la gestion de l’espace, la relation avec le paysage, l'environnement urbain et la collectivitĂ©. Il arrive souvent de voir certains lotissements former de vĂ©ritables Ă©carts avec la ville. Ce genre d’intervention pose donc le problĂšme trĂšs actuel de la vie au sein d’une commune et d’une communautĂ©.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1891 1902 Jean-Louis Dantonel
    1903 1919 E. Peiffert
    1920 1929 Jacques Emilien
    1929 1935 EugĂšne Leleyter
    1935 1940 EugĂšne Friser
    1946 1947 Joseph Leleyter
    1947 1949 Prosper Friser
    1949 1959 Joseph Leleyter
    mars 1959 mars 1965 Denis Hottier
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 mars 2001 André Pauly PS Instituteur retraité
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton d'Algrange (1998 → 2004)
    mars 2001 mars 2003 Alain Fabre Directeur d'exploitation sécurité trafic
    Vice-prĂ©sident de la CA du Val de Fensch (2001 → 2003)
    mars 2003 mars 2014 Daniel Priscal DVD
    mars 2014 En cours
    (au 3 juin 2020)
    Carla Lambour PS Employée
    2e vice-présidente de la CA du Val de Fensch (depuis 2014)
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[19].

    En 2020, la commune comptait 2 593 habitants[Note 3], en augmentation de 1,01 % par rapport Ă  2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    450435438663499546565609568
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    574552601586596637700814802
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    9291 0269868551 3602 6162 9353 2262 922
    1990 1999 2006 2008 2013 2018 2020 - -
    2 5212 4832 5342 5492 5222 5912 593--
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee Ă  partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Moulin de PĂ©rotin.
    Chapelle-oratoire Notre-Dame-des-Neiges, oĂč se situaient, autrefois, des fĂȘtes en plein air et des messes catholiques occasionnelles.

    ÉcomusĂ©e des mines de fer de Lorraine

    Haut lieu chargĂ© de mĂ©moire (on y a retrouvĂ© une activitĂ© mĂ©tallurgique datant de l’époque gallo-romaine, musĂ©e de la dĂ©couverte de l’histoire et de l’univers de l’exploitation du minerai (la minette lorraine) et des mineurs, « les gueules jaunes » dans de vĂ©ritables galeries de mines de fer exploitĂ©es il y a 200 ans. Visite guidĂ©e par d’anciens mineurs, parcours souterrain long d’un kilomĂštre, trois salles d’expositions, projection d’images d’archives anciennes et contemporaines, collection unique de gros engins miniers et ferroviaires[22].

    Moulin de PĂ©rotin

    D’aprĂšs les vestiges dĂ©couverts il serait bĂąti sur les fondations d’une ancienne villa gallo-romaine.

    Le premier meunier fut Jean Demesse en 1747 et le dernier Jean-François Saint-Antoine.

    En 1860 Jean-François Saint-Antoine fait dĂ©molir l’ancien moulin et en reconstruit un autre plus moderne.

    En 1872, Neufchef Ă©tant devenue une ville frontaliĂšre Ă  la suite du rattachement de la Moselle Ă  l'Empire allemand, il y Ă©tablit une auberge et une Ă©picerie. À cette pĂ©riode de l'histoire, il fallait paradoxalement marcher sur le sol français sur une longueur de 200 mĂštres pour arriver au moulin, preuve s'il en est besoin, que la frontiĂšre n'Ă©tait pas Ă©tanche : la route Ă  partir du pont situĂ© au coin de la forĂȘt de Colmont Ă©tait restĂ©e française tandis que le prĂ© et le moulin se trouvaient dans l'Empire allemand.

    Plus tard Saint-Antoine vendit la propriĂ©tĂ© Ă  Guy de Wendel qui en 1914 transforma le vieux moulin en « maison de pĂȘche ». Le moulin avait fini d’exister.

    En , pendant la PremiĂšre Guerre mondiale, la « maison de pĂȘche » fut destinĂ©e par l'administration impĂ©riale Ă  devenir un dĂ©pĂŽt de 50 prisonniers de guerre russes qui furent employĂ©s comme bĂ»cherons. Trois de ces malheureux, moururent de faim et de fatigue durant l’hiver 1917. N'Ă©tant pas catholiques, ils ont Ă©tĂ© ensevelis dans le quartier protestant du cimetiĂšre de Neufchef.

    Édifices religieux

    • Église Saint-Denis nĂ©o-gothique, 1864 : christ de PitiĂ© XVIe, saint Denis XVIe.
    • Chapelle-oratoire Notre-Dame-des-Neiges, 1862 : statue XVe (emplacement de l’ancien couvent Saint-Blaise de HamĂ©viller) construit entre 1154 et 1184. Au XVIIIe siĂšcle, la chapelle et les bĂątiments tombaient en ruine. Sur cet emplacement, on Ă©leva un oratoire

    Plusieurs calvaires dans le village, en calcaire local, dans larue principale et au cimetiĂšre

    HĂ©raldique

    Blason de Neufchef Blason
    D'azur au massacre crucifĂšre d'or, surmontĂ© d'une Ă©toile Ă  six rais du mĂȘme.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Neufchef » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
    2. « QualitĂ© des eaux de riviĂšre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consultĂ© le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenĂȘtre "Rechercher".

    Références

    1. Sandre, « le ruisseau le Conroy »
    2. « SAGE Bassin ferrifÚre », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    3. « Les SDAGE des districts Rhin et Meuse (2022-2027) », sur www.eau-rhin-meuse.fr (consulté le )
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Neufchef », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    14. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868.
    15. Die FrÀnkischen und Alemannischen Siedlungen in Gallien Par Adolf Schiber
    16. Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun Ă€iser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1,‎ (ISSN 0762-7440).
    17. Viville, Dictionnaire du département de la Moselle, 1817.
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    22. ÉcomusĂ©e des mines de fer de Lorraine - MusĂ©es d'Aumetz et de Neufchef
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