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Nernier

Nernier est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie du Chablais et de l'agglomération transfrontalière du Grand Genève.

Nernier
Nernier
Vue du port de Nernier.
Blason de Nernier
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Haute-Savoie
Arrondissement Thonon-les-Bains
Intercommunalité Thonon Agglomération
Maire
Mandat
Marie-Pierre Berthier
2020-2026 démission en décembre 2021, remplacée par Christian Breuza
Code postal 74140
Code commune 74199
DĂ©mographie
Gentilé Néroniens[1]
Population
municipale
398 hab. (2020 en diminution de 8,51 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 219 hab./km2
Population
agglomération
6 523 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 21′ 53″ nord, 6° 18′ 23″ est
Superficie 1,82 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Messery
(banlieue)
Aire d'attraction Genève - Annemasse (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Sciez
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Nernier
Liens
Site web https://www.nernier.eu/

    GĂ©ographie

    La commune est riveraine du lac Léman sur sa rive sud. Elle est située entre Yvoire et Messery.

    Accès : depuis Annemasse, prendre la direction de Thonon-les-Bains jusqu'à Douvaine, puis jusqu'à Nernier en passant par Messery.

    Urbanisme

    Typologie

    Nernier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Messery, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 4 communes[5] et 6 523 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8] - [9].

    La commune, bordĂ©e par un plan d’eau intĂ©rieur d’une superficie supĂ©rieure Ă  1 000 hectares, le LĂ©man, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[10]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[11] - [12].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (43,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (46,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,4 %), zones urbanisées (34,5 %), forêts (20,5 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), eaux continentales[Note 3] (1,5 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Toponymie

    En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Narnî (graphie de Conflans) ou Nèrniér (ORB)[14].

    Histoire

    Périodes préhistorique et antique

    Sur le site de Nernier, existait une cité lacustre préhistorique et une bourgade existait au temps des romains. La vigne et le blé y étaient alors cultivés.

    La seigneurie de Nernier

    Le château relève des seigneurs de Gex jusqu'à ce que ces derniers le vendent aux Savoie, au cours du XIIIe siècle[15]. Une partie du château revient, en 1302, à la famille noble de Nernier, puis totalement en 1343[15]. En 1428, Girard, coseigneur de Nernier, teste en faveur du duc de Savoie[15]. Ce dernier vend la moitié du fied, en 1432, au seigneur de Neuvecelle, et donne le château et la juridiction l'année suivante à Nicod de Menthon[15]. Lors de la mort du seigneur de Menthon, le château retourne au domaine ducal[15].

    Au cours de l'occupation de la partie nord du duché de Savoie par les Bernois, au XVIe siècle, le château et le bourg sont pris. La seigneurie est de nouveau partagée. La famille de Neuvecelle conserve une moitié de la seigneurie, tandis que la partie ducale est donnée à François de Saint-Jeoire, dit d'Antioche[15].

    La seigneurie appartient à différentes familles, les Fornier, les Chissé, les Costa de Beauregard, etc.[15]. Le château appartient à la famille de Brotty par mariage de Percevaude de Saint-Jeoire, dite d'Antioche avec Charles de Brotty[15]. En 1895, le château était toujours au sein de cette famille, dont le représentant est le comte Adhémar de Brotty d'Antioche[15].

    De 1451-1517, Nernier est le centre d'une châtellenie. Dans le comté de Savoie et la région, le châtelain est un « [officier], nommé pour une durée définie, révocable et amovible »[16] - [17]. Il est chargé de la gestion de la châtellenie ou mandement, il perçoit les revenus fiscaux du domaine, et il s'occupe de l'entretien du château[18].

    PĂ©riode contemporaine

    Au XVIIIe siècle, le duc de Savoie fait construire le clocher de la commune, et à la fin du XIXe siècle.

    Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 651 signatures[Note 4], dont 30 pour la paroisse[22]. Le duché est réuni à la France à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? »[23].

    Napoléon III fit construire le port.

    Durant les derniers siècles, le village a vécu d'une importante activité de tannage des peaux, de la pêche et d'une activité de contrebande avec la Suisse.

    Politique et administration

    Le clocher de Nernier.

    Situation administrative

    La commune de Nernier, au lendemain de l'Annexion de la Savoie à la France de 1860, intègre le canton de Douvaine[24]. Elle appartient, depuis 2015, au canton de Sciez, qui compte selon le redécoupage cantonal de 2014 25 communes[25].

    La commune est membre, avec dix-sept autres, de la communauté de communes du Bas-Chablais.

    Nernier relève de l'arrondissement de Thonon-les-Bains et de la cinquième circonscription de la Haute-Savoie, dont la députée est Marion Lenne (LREM) depuis les élections de 2017. La maire Marie-Pierre Berthier démissionne et le nouveau maire actuel est Christian Breuza depuis le 04 février 2022, précédemment son 1er adjoint

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 ? Francis Croset
    1987 mars 2001 Bruno de Leusse Diplomate et haut fonctionnaire
    mars 2001 mars 2008 Paul Fort
    mars 2008 mars 2014 François Luginbühl Directeur de développement retraité
    mars 2014 En cours
    (au 26 mai 2020)
    Marie-Pierre Berthier SE-DVD[26] Cheffe d'entreprise
    Réélue pour le mandat 2020-2026[27] démissionne en décembre 2021, remplacée par Christian Breuza son ex 1er adjoint

    Population et société

    DĂ©mographie

    Ses habitants sont appelés les Néroniennes et les Néroniens[1].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

    En 2020, la commune comptait 398 habitants[Note 5], en diminution de 8,51 % par rapport Ă  2014 (Haute-Savoie : +6,65 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    183208211257294306251268257
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    224215212215206201206194210
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    160145158143153157152144167
    1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020 - -
    205290361420467382398--
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Dans la commune, appelée « La perle du Léman », se sont installés de nombreux artistes de 22 nationalités. Près de cinq cents habitants y vivent lors de la belle saison.

    Radios et télévisions

    La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, ODS Radio, Radio Chablais… Enfin, la chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement l'émission La Place du village expose la vie locale. France 3 et sa station régionale France 3 Alpes, peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.

    Presse et magazines

    La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré, L'Essor savoyard, Le Messager - édition Chablais, le Courrier savoyard.

    Économie

    Tourisme

    Le lac LĂ©man Ă  Nernier.

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château de Nernier, en bordure du lac. Possession des sires de Gex, avant de passer aux Savoie au XIIIe siècle[15].
    • Église Saint-Martin. On la trouve mentionnĂ©e au XIIIe siècle dans une bulle du pape Innocent IV (1250) dans laquelle la paroisse est placĂ©e sous l'autoritĂ© de l’abbaye de Filly. On estime cependant qu'elle puisse ĂŞtre plus ancienne. Reconstruction, au bord du lac, en 1840[31] ;
    • Chapelle de Notre-Dame-du-Lac (1850)[31] ;
    • Chapelle de Brotty d'Antioche (Ă©difiĂ©e entre 450-1550)[31].

    La commune possède des maisons de molasses et de chaux vive, aux roses trémières et vignes grimpantes.

    • Les maisons Ă  arche ouvertes directement sur le lac.
    • Le port de plaisance peut accueillir 250 bateaux dont le Calypso, voilier de 1911, appartenant Ă  l'association Amerami et classĂ© monument historique en 1991.
    • Le sentier romantique relie l'entrĂ©e du village, au port et au château. Il rend hommage aux artistes qui ont sĂ©journĂ© dans la commune en Ă©tant jalonnĂ© de fresques et de poèmes inclus dans la pierre.

    Personnalités liées à la commune

    Lamartine.
    • Le poète Alphonse de Lamartine sĂ©journa longtemps au village.
    • Mary Shelley, inspirĂ©e par le lac, Ă©crivit quelques pages de son cĂ©lèbre roman Frankenstein lors d'un sĂ©jour Ă  Nernier.
    • Enrico Vegetti : peintre et graveur (1863 Turin - 1951 Nernier). Mère d'origine savoyarde. Peintre, dessinateur, graveur, son Ĺ“uvre comporte des paysages de Savoie, des scènes de la vie quotidienne, des dessins et eaux-fortes.

    HĂ©raldique

    Armes de Nernier

    Les armes de Nernier se blasonnent ainsi :

    D'azur aux deux brochets adossés d'argent.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Cette pĂ©tition rĂ©unit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenu par l’Angleterre[20] - [21].
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Nernier », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Messery », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    11. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 18
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
      .
    15. A. Rouget, A. Vachez, Monuments historiques de France publiĂ©s par dĂ©partements : Haute-Savoie, Lyon, 1895, 61 planches, 24,5 Ă— 31,5 cm, Archives dĂ©partementales de la Savoie.
    16. Christian Sorrel, Histoire de la Savoie : images, récits, La Fontaine de Siloé, , 461 p. (ISBN 978-2-84206-347-4, lire en ligne), p. 146-147.
    17. Nicolas Carrier, « Une justice pour rétablir la « concorde » : la justice de composition dans la Savoie de la fin du Moyen Âge (fin XIIIe -début XVIe siècle) », dans Dominique Barthélemy, Nicolas Offenstadt, Le règlement des conflits au Moyen Âge. Actes du XXXIe Congrès de la SHMESP (Angers, 2000), Paris, Publications de la Sorbonne, , 391 p. (ISBN 978-2-85944-438-9), p. 237-257.
    18. Alessandro Barbero, « Les châtelains des comtes, puis ducs de Savoie en vallée d'Aoste (XIIIe-XVIe siècle) », dans Guido Castelnuovo, Olivier Mattéoni, « De part et d'autre des Alpes » : les châtelains des princes à la fin du moyen âge : actes de la table ronde de Chambéry, 11 et 12 octobre 2001, , 266 p. (lire en ligne).
    19. ADS1.
    20. Luc Monnier, L'annexion de la Savoie Ă  France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
    21. Paul Guichonnet, Histoire de l'annexion de la Savoie Ă  la France, Le Messager : Horvath, , p. 163.
    22. Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 p. (lire en ligne), p. 139.
    23. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (lire en ligne), p. 18.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. « Décret no 2014-185 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Haute-Savoie », Légifrance, (consulté en ).
    26. Extrait de la fiche de Mme Marie-Pierre BERTHIER, sur lesbiographies.com
    27. Brigitte Zisset, « Marie-Pierre Berthier réélue maire de Nernier : L’actuelle maire du village lémanique va attaquer son deuxième mandat a la tête de la mairie. », Le Messager,‎ (lire en ligne)
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Histoire des communes savoyardes 1980, p. 334.
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