Naours
Naours (/na.uʁ/[1]) (en picard : Nor) est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Naours | |||||
La mairie | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Territoire Nord Picardie | ||||
Maire Mandat |
Jean-Michel Bouchy 2020-2026 |
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Code postal | 80260 | ||||
Code commune | 80584 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Noriens | ||||
Population municipale |
1 072 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 65 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 02′ 10″ nord, 2° 16′ 39″ est | ||||
Altitude | Min. 61 m Max. 154 m |
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Superficie | 16,55 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Corbie | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | naours.com | ||||
Géographie
Localisation
Naours est un village picard de l'Amiénois, situé à 18 km au nord d'Amiens, 33 km à l'est d'Abbeville et 46 km au sud-ouest d'Arras.
Hydrographie
La source de la Nièvre, affluent du fleuve côtier la Somme, se trouve dans la commune.
Voies de communication et transports
Naours est aisément accessible depuis la RN 25.
Il est desservi en 2019 par la ligne d'autocars no 56 (Havernas - Flesselles - Amiens) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés et la ligne no 25, le jeudi, jour de marché à Doullens[2].
Urbanisme
Typologie
Naours est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6] - [7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,9 %), prairies (18,2 %), forêts (8,4 %), zones urbanisées (3,5 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Communes limitrophes
Canaples | Bonneville | La Vicogne | ||
Wargnies | N | Talmas | ||
O Naours E | ||||
S | ||||
Flesselles |
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Nauurz et Narws (1064) ; Naors (1144) ; Naurs (1146) ; Naours (1145-1168) ; Naordis (1200) ; Naurdis (1200) ; Noourt (1503) ; Nort (1579) ; Naour (1733) ; Naur (1743) ; Nahoure (1764)[10].
Histoire
Gaëtan de Witasse indique que, sous l'Ancien Régime, la seigneurie appartenait « à l'abbaye de Corbie. On trouve deux versions sur l'origine de cette possession : l'une l'attribue à la charte de 662, comme faisant partie de la forêt de la Vicogne ; l'autre à la donation de l'abbé Mordrame, au VIIIe siècle. Le domaine comprend deux moulins et deux fours (banaux) en 1387, 442 journaux 1/4 de terre en 1388, 458 en 1547, 418 en 1640, 563 journaux 85 verges en 1742, non compris les biens de la prévôté qui sont 10 journaux 56 verges de prés et 56 journaux 34 verges de terre. Il y a une cense en 1547 et un château au commencement du XVIIe siècle, ruiné en 1640[11] »
Naours est connue grâce à la présence de carrières-refuges ou muches supposées commencées à l'époque des invasions normandes du IXe siècle[12].
Durant la Première Guerre mondiale, Naours est situé à l'arrière du front, et sert de lieu de visite touristique pour les soldats alliés au repos. De nombreux grafitis de soldats australiens ont été découverts dans les muches de Naours en 2014[13].
En , la commune a subi d'importantes inondations à la suite d'orages exceptionnels[14].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la première circonscription de la Somme.
Après avoir été chef-lieu de canton en 1793, Naours intègre le canton de Domart-en-Ponthieu en 1801[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Corbie.
Intercommunalité
Naours était membre de la communauté de communes Bocage Hallue, créée fin 1999.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité fusionne contre son gré[16] avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Territoire Nord Picardie dont Naours est désormais membre.
Liste des maires
Distinctions et labels
Le fleurissement de la commune est reconnu par deux fleurs au concours des villes et villages fleuris depuis 2016. La ville espère les conserver en 2019, malgré les fortes inondations de 2018 qui ont occasionné beaucoup de dégâts[21].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].
En 2020, la commune comptait 1 072 habitants[Note 3], en diminution de 0,28 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Cet ensemble de carrières aménagées et de muches[28] - [29] (ou souterrains-refuges), creusées dans la craie pour protéger les populations civiles lors des guerres, est mentionné à partir du XIVe siècle. En 1887, l'abbé Danicourt, curé du village redécouvrit l'entrée du site.
- Située jusqu'à 33 mètres de profondeur dans le flanc de la colline, la cité souterraine compte 20 galeries (soit 2 km de longueur), près de 130 « chambres » d'après le plan de l'abbé Danicourt, six cheminées, des places publiques, une chapelle (ces deux derniers éléments ont été créés par l'abbé Danicourt), elle est ouverte au public[29]. Elle fut utilisée particulièrement durant les guerres de Religion.
- Un modeste musée présente une petite quinzaine de personnages en cire rappelant les professions locales traditionnelles. Le centre d'interprétation des soldats voyageurs, à proximité, présente les graffitis de soldats australiens engagés dans la bataille de la Somme durant la Première Guerre mondiale[29].
- Les moulins :
Pour rappeler les anciens moulins ayant existé route d'Amiens à Naours (sur le lieu-dit le moulin), la cité souterraine de Naours a acquis un moulin à Linselles, "le moulin du Belcan[30]", puis un autre en 1963 "le moulin de Stavele"[31] en Belgique, pour servir de pièces détachées à la rénovation du premier.
- Cependant, les deux furent conservés et montés sur la colline du Guet[32].
- Le moulin de Stavele, dit de « Westmolen », y a fonctionné pendant plus de trois siècles. En mauvais état, il a dû être démonté en 2017, il est en attente de restauration[33] - [34].
- Le moulin de Belcan.
- Le moulin de Westmolen.
- Le moulin de Westmolen vu différemment.
- Château de Naours
Le château de Naours[35] est issu d’un site féodal très ancien qui remonte vraisemblablement au haut Moyen Âge et qui aurait pris la place d’un établissement de l’époque romaine.
- Le château était entouré de douves qui ont été comblées. Il était protégé par une muraille complète avec tours d’angle. À l’emplacement approximatif de la grille se trouvait un pont-levis. Les murs ont été modifiés depuis. Les parties les plus anciennes sont le mur (brique et pierre) style Louis XIII et les restes d’un ancien donjon (sans doute du XVe siècle) sur la face nord.
- Plusieurs constructions se sont succédé. Après les guerres du XVIIe siècle, au cours desquelles il fut en partie détruit, il fut reconstruit (au début du XVIIIe siècle) et a subsisté dans son ensemble jusqu’à nos jours.
- Le pigeonnier menaçait de tomber en ruine et n’était plus en harmonie avec le nouveau château : en 1737, l’abbé Corbie fit dresser un projet par divers artisans (archives départementales). Il fut achevé en 1738 puis partiellement restauré en 1987.
- Le château était une dépendance de la très puissante abbaye de Corbie, qui selon les périodes, laissa plus ou moins d’autonomie à son représentant. Il semble même que celui-ci ait fini par jouir d’une véritable indépendance car, en 1435, l’abbaye dut racheter le fief de Naours à un seigneur voisin[36]) À la Révolution française, le château fait partie des biens nationaux et est vendu en adjudication[37] le 31 janvier 1783 à un Amiénois. Aux XIXe et XXe siècles, le château sera la plupart du temps la propriété des notaires résidant à Naours.
- Le château de Naours est transformé en lieu de réception pour les professionnels et les particuliers.
- Église Saint-Martin[38] - [39].
- Monument aux morts. Dressé à l'intérieur du cimetière, juste à l'une des deux entrées de celui-ci, en contrebas de l'église, il est dans l'axe de la rue qui remonte en direction de Flesselles.
- L'arbre de la liberté de Naours, arbre remarquable[40].
Personnalités liées à la commune
- Ernest Danicourt, abbé, le découvreur des grottes.
- Francis Delattre, député du Val-d'Oise, né à Naours en 1946.
Héraldique
Blason | D'azur à l'épée basse d'or posée en bande, à la lampe à huile du même, allumée de gueules, la flamme à senestre (au comble de sable chargé de l'inscription « NAOURS » d'or)[41]. |
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Détails | La lampe à huile allumée et l'épée évoquent le village souterrain creusé pour protéger les villageois lors des guerres depuis le IXe siècle. Blason utilisé dans les années 1960 et 1970 dont le statut actuel reste à déterminer. |
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Site des grottes de Naours
- Naours sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Naours (80584) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Prononciation en français de France standardisé retranscrite selon la norme API.
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 99 (lire en ligne sur DicoTopo) .
- Gaëtan de Witasse, Géographie historique du département de la Somme : état religieux, administratif et féodal des communes et de leurs dépendance, t. II, Abbeville, Imprimerie Veuve Lafosse, coll. « Mémoires de la société d'émulation d'Abbeville », , 717 p. (lire en ligne), p. 371-373, lire en ligne sur Gallica.
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 118 (ASIN B000WR15W8).
- Zoé Varier, « 12 mai 2014, Gilles Prilaux découvre des graffitis de la Grande Guerre dans la cité souterraine de Naours », France Inter / Une journée particulière, (lire en ligne [audio], consulté le ).
- « À Naours, le jour d’après semble bien long », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Benoît Delespierre, « Bocage-Hallue apporte une belle corbeille avant la fusion », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- Quotidien « Le Courrier picard », édition Région d'Amiens du 1er avril 2008
- « Un maire, les pieds dans la boue », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Élu depuis 2001, maire depuis 2008, il vit désormais chaque printemps dans la hantise des orages ».
- « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- « Vignacourt, Naours: deux communes, un seul enjeu fleuri : Ils n’ont pas le même nombre de fleurs, et pourtant l’objectif est le même pour Vignacourt et Naours : conserver leur classification lors du passage du jury Villes et Villages fleuris 2019, ce jeudi 1er août », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Les souterrains-refuges de Naours. - Imp.-Lith. E. Winckler-Hiver, Abbeville (Extrait du "Cabinet historique de l'Artois et de la Picardie", pl. IX, n° de février 1888) », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « A) L'église de Naours. B) Plan des souterrains-refuges de Naours modifié d'après les fouilles opérées depuis dis ans, 1905. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Entrée des souterrains de Naours, canton de Domart-en-Ponthieu, d'après nature, 15 sept. 1889. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- Les muches de Naours
- Sabine Jeannin. Plongée dans les dessous d'une vieille cité picarde. L'Humanité Magazine, n°813, 30 juin 2022, pp. 62-63.
- « Moulin de Belcan », notice no PA00116209, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin à vent dit Westmolen », notice no PA00116210, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le réveil du moulin de Stavele (de Westmolln)
- Émilie Da Cruz, « Nouvelle vie pour le moulin de Stavele : Norpatrimoine et la Fondation du patrimoine lancent une souscription de financement pour rebâtir l’édifice à Naours. Le but ? Le faire tourner et l’animer », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Anthony Hoyer, « Naours : pour le moulin de Stavèle, jusqu’à présent, pas d’effet loto du patrimoine », L'Abeille de la Ternoise, (lire en ligne, consulté le ).
- bignet, « Home - Château de Naours », sur Château de Naours (consulté le ).
- Archives départementales
- « Vente du vieux château de Naours », Tableau des biens particuliers et journal des domaines nationaux qui sont à vendre, , p. 7 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Naours, d'après nature, 19 mai 1876. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Naours. Partie absidiale, canton de Domart-en-Ponthieu, d'après nature, 1889 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- Thierry Griois, « Des étudiants à la recherche de l'arbre rare : Treize étudiants en Master Dynamique et géographie des territoires établissent, dans le cadre de leurs études à l'université, un inventaire des arbres remarquables », Courrier picard, , p. 11.
- « Naours (Somme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).