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Montrelais

Montrelais est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Montrelais
Montrelais
La mairie, le centre d'art et l'église
Blason de Montrelais
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes du pays d'Ancenis
Maire
Mandat
Joël Jamin
2020-2026
Code postal 44370
Code commune 44104
Démographie
Gentilé Montrelaisiens
Population
municipale
833 hab. (2020 en diminution de 3,7 % par rapport à 2014)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 23′ 23″ nord, 0° 57′ 55″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 62 m
Superficie 13,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Ancenis-Saint-Géréon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ancenis
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Montrelais
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Montrelais
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Montrelais
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Montrelais

    La commune possède un important passé minier lié à l'exploitation du bassin houiller de Basse Loire par la compagnie des mines de Montrelais.

    Géographie

    Situation

    Situation de la commune de Montrelais dans le département de la Loire-Atlantique.

    Montrelais est située le long de la Loire, à 55 km de Nantes et 35 km d’Angers et à 18 km à l'est d'Ancenis.

    Les communes limitrophes sont Loireauxence, dans le département de la Loire-Atlantique, et Ingrandes-Le Fresne sur Loire et Mauges-sur-Loire en Maine-et-Loire.

    Hydrographie

    Outre la Loire qui borde la partie sud de la commune, on trouve le ruisseau de Bray ainsi qu'un ancien bras de la Loire, la Boire Torse.

    Géologie

    La commune est traversée par le bassin houiller de Basse Loire. Celui-ci commence à Nort-sur-Erdre à une quarantaine de kilomètres de la commune et se termine à Doué-la-Fontaine en Maine-et-Loire[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 703 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Pommeraye », sur la commune de Mauges-sur-Loire, mise en service en 1980[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 670,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 55 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Montrelais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Ancenis-Saint-Géréon, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,6 %), prairies (35,6 %), zones agricoles hétérogènes (20,1 %), zones urbanisées (3,1 %), eaux continentales[Note 6] (1,8 %), forêts (1,7 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Monaterium Legum en 1123[22], de Musterlensi en 1144, Mosterleis en 1196, Monosterium Legum en 1287, Monstrelais en 1624[23].

    Montrelais possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Monterlaè (écriture ELG)[24].

    La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Mousterlez[23].

    Histoire

    Au Moyen Âge, Montrelais est une seigneurie qui dépasse le territoire actuel. Elle englobe alors La Chapelle-Saint-Sauveur (devenue paroisse autonome en 1767, puis commune en 1793) et Le Fresne-sur-Loire (devenue commune en 1904).

    La compagnie des mines de Montrelais fut au XVIIIe siècle l'une des premières sociétés minières à exploiter du charbon, en utilisant des machines à feu de Thomas Newcomen. En 1767, la paroisse de La Chapelle-Saint-Sauveur se détache de Montrelais. En 1904, c'est Le Fresne-sur-Loire qui prend son indépendance[25].

    Le , le conseil municipal décide lors d'un vote de ne pas poursuivre la réflexion à laquelle la commune était associé avec Belligné, La Chapelle-Saint-Sauveur, La Rouxière et Varades, devant mener à la création de la commune nouvelle de Loireauxence qui ne sera finalement créée le qu'avec quatre communes[26].

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    D'or à trois jumelles d'azur posées en bandes.
    Commentaires : Armes de la famille de Montrelais (sceau de 1218). Jean de Montrelais (mort en 1391) fut évêque de Vannes puis de Nantes. Hugues de Montrelais (mort en 1390) fut évêque de Tréguier, de Saint-Brieuc, puis cardinal et chancelier du duc Jean IV de Bretagne.

    Politique et administration

    La mairie (à gauche)
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1831 1844 Julien Pergeline négociant
    mars 2001 mars 2008 Marie-Andrée Dougé
    mars 2008 2014 Jean-Marcel Nicolas
    2014 En cours Joël Jamin[Note 7]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Montrelais est une commune multipolarisée. Elle fait partie de la zone d'emploi d'Anetz et du bassin de vie de Varades. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[27]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 88 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 12 % dans des zones « très peu denses »[28].

    Évolution démographique

    La commune est démembrée en 1903 pour la création du Fresne-sur-Loire.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

    En 2020, la commune comptait 833 habitants[Note 8], en diminution de 3,7 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 7802 3642 5502 5152 4802 4572 2572 2432 159
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0611 9761 9791 9601 8881 8451 7491 6361 619
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 646804797671693657618593598
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    558514541587587664791827864
    2018 2020 - - - - - - -
    844833-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,0 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 426 hommes pour 418 femmes, soit un taux de 50,47 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,58 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,2
    5,6
    75-89 ans
    6,2
    14,1
    60-74 ans
    13,9
    23,7
    45-59 ans
    21,1
    21,6
    30-44 ans
    22,5
    10,6
    15-29 ans
    12,0
    24,4
    0-14 ans
    24,2
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Vie locale

    Culture

    La commune accueille le Centre d'art de Montrelais, lieu d'exposition et de conférences[35].

    Lieux et monuments

    L'ancienne mine de Montrelais qui appartenait à la Compagnie des mines de Montrelais témoigne du passé minier de la commune. On peut aussi noter les quatre villages de mineurs.

    L'église Saint-Pierre, construite du XVe au XVIIIe siècle, est inscrite aux monuments historiques depuis 1982[36]. Elle possède une grande verrière datant de 1535.

    • Le centre d'Art de Montrelais.
      Le centre d'Art de Montrelais.
    • L'église Saint-Pierre.
      L'église Saint-Pierre.
    • La tour de l'église.
      La tour de l'église.
    • L'impasse de la gare située en plein cÅ“ur du village.
      L'impasse de la gare située en plein cœur du village.
    • Vallée du ruisseau de Bray.
      Vallée du ruisseau de Bray.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Réélu en 2020
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. H. Etienne et J.-C. Limasset, Ressources en charbon de la région Pays-de-la-Loire : Loire-Atlantique, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et Vendée, Nantes, BRGM, (lire en ligne [PDF]).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France La Pommeraye - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Montrelais et Mauges-sur-Loire », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France La Pommeraye - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Montrelais et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Dans une charte du roi Louis VI.
    23. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    24. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    25. Montrelais, consulté le .
    26. « Commune nouvelle : ce sera sans Montrelais », Ouest France,‎ (lire en ligne).
    27. « Commune de Montrelais (44104) », Insee (consulté le ).
    28. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montrelais (44104) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
    35. Centre d'art de Montrelais, consulté le .
    36. Notice no PA00108647, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Rodolphe Bresdin, Biographie Chronologique », sur expositions.bnf.fr, BNF (consulté le ).
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