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Montboucher-sur-Jabron

Montboucher-sur-Jabron est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Montboucher-sur-Jabron
Montboucher-sur-Jabron
Usine saint Joseph vers 1910
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement DrĂ´me
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Montélimar-Agglomération
Maire
Mandat
Bruno Almoric
2020-2026
Code postal 26740
Code commune 26191
DĂ©mographie
Gentilé Montboucherois, Montboucheroises
Population
municipale
2 456 hab. (2020 en augmentation de 9,25 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 251 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 33′ 20″ nord, 4° 48′ 33″ est
Altitude Min. 96 m
Max. 170 m
Superficie 9,8 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montélimar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montélimar-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Montboucher-sur-Jabron
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Montboucher-sur-Jabron
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Montboucher-sur-Jabron

    GĂ©ographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Communes limitrophes

    Localisation

    La commune est située à km à l'est de Montélimar.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par :

    Urbanisme

    Typologie

    Montboucher-sur-Jabron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de MontĂ©limar, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 7 communes[4] et 56 765 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de MontĂ©limar dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,3 %), zones agricoles hétérogènes (18,3 %), zones urbanisées (8,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), forêts (3,1 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Projets d'aménagement

    La commune connait une expansion urbaine conséquente. Cette expansion se fait sur des terres arables constituant une artificialisation rapide des sols, ayant pour conséquence un recul de la biodiversité et de la biomasse[10]. La commune fait d'ailleurs partie des communes françaises consommant le plus d’espaces, dépassant la moyenne de 20 hectares[11] en 10 ans avec un cumul de 22,2 hectares bétonnés entre 2010 et 2020 [12].

    Cette artificialisation concerne avant tout une expansion des lotissements et habitats individuels concernant 18,6 hectares toujours sur cette période.

    Toponymie

    Attestations

    • 1237 : Mons Bocheri (de Coston, Étymologies de la DrĂ´me, 35)[13].
    • 1280 : de Montebocherio (cartulaire de MontĂ©limar, 53)[13].
    • 1336 : castrum de Monte Bocherio (cartulaire de MontĂ©limar, 101)[13].
    • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella Montis Bocheriis (pouillĂ© de Valence)[13].
    • 1380 : Montem Bocharium (Columbi, De reb. gest. episc. Valent. et Diens., 44)[13].
    • 1391 : Montboyssier (choix de docum., 214)[13].
    • 1509 : mention de l'Ă©glise paroissiale Saint-Blaise : ecclesia parrochialis Sancti Blasii Montis Bocherii (visites Ă©piscopales)[13].
    • 1529 : Montbochier (archives de la DrĂ´me, E 6764)[13].
    • 1793 : Montbouchet[14].
    • 1891 : Montboucher, commune du canton de MontĂ©limar[13].
    • 1920 : Montboucher-sur-Jabron[14].

    Étymologie

    Mons Bocheri signifie le « Mont du bois »[15].

    Histoire

    Antiquité : les Gallo-romains

    Origine gallo-romaine : tombes[15].

    Les maisons du VIe-VIIe siècle

    Reconstitution d'une maison du haut Moyen Ă‚ge en torchis.

    Des fouilles prĂ©ventives sur le tracĂ© de la ligne du TGV MĂ©diterranĂ©e se sont dĂ©roulĂ©es en 1996. Elles ont permis la dĂ©couverte de deux maisons du haut Moyen Ă‚ge Ă  la limite de la commune de Montboucher-sur-Jabron. Ces fouilles ont Ă©tĂ© faites sur la rive gauche du Vermenon, au lieu-dit Constantin, par une Ă©quipe sous la direction de Michel Goy et Isabelle RĂ©my. Elles concernaient une superficie de 3 000 m²[16].

    L'ensemble médiéval comprenait un bâtiment datable du VIe-VIIe siècle, construit en murs de terre sur solins de pierre et un bâtiment du IXe siècle détruit par un incendie. Le feu, par carbonisation, a préservé de nombreux éléments dont la datation a pu être possible grâce à l'étude de la vaisselle et par la méthode du C14 sur le bois. Cette chaumière fut habitée entre 1024 et 1060[16].

    Édifiée sur une terrasse graveleuse dominant la rivière, cette maison se situait alors aux confins des seigneuries de Montboucher et de La Bâtie-Rolland. Elle possédait un terroir fertile grâce au limon déposé par les crues du Vermenon et se situait sur un axe important de communication de la Valdaine nommé alors Gontardin ou Costardin qui a évolué en Constantin[16].

    Elle couvrait une superficie d'environ 30 m2 et sa structure Ă©tait constituĂ©e de poteaux en bois de chĂŞne assemblĂ©s Ă  l'aide de chevilles. Ses parois Ă©taient en torchis rĂ©alisĂ© par un mĂ©lange de terre, de vĂ©gĂ©taux et de tessons de poterie d'une Ă©paisseur de 10 cm[17].

    L'intĂ©rieur Ă©tait peint Ă  la chaux et le foyer installĂ© sur une sole constituĂ©e d'une pierre calcaire de 80x35 cm et d'une Ă©paisseur de 45 centimètres. Elle possĂ©dait un plancher cloutĂ© sur un châssis de solives qui formait un vide sanitaire. Le toit qui la recouvrait Ă©tait constituĂ© de vĂ©gĂ©taux provenant des roselières de la rivière[17].

    Le mobilier dĂ©couvert suffisait Ă  une seule famille vivant isolĂ©e pratiquant l'agriculture et dĂ©frichant sa terre. Il Ă©tait constituĂ© de vaisselle de terre, d'outillage et d'un coffre de bois. Ce dernier avait Ă©tĂ© fait avec de l'orme et contenait la rĂ©serve de cĂ©rĂ©ales. Pour l'outillage, outre un certain nombre d'outils pour travailler le bois, il y avait une lame de couteau mesurant 20 centimètres, des ferrures de porte, un morceau de clef et des clous de fer Ă  cheval, Ă  tĂŞte carrĂ©e, qui avaient servi Ă  clouter le plancher[18].

    La seigneurie

    Au point de vue féodal, Montboucher était une terre des comtes de Valentinois[13] :

    • 1283 : elle est infĂ©odĂ©e aux AdhĂ©mar.
    • 1405 : acquise par les MĂ©vouillon.
    • RecouvrĂ©e par les AdhĂ©mar.
    • 1511 : vendue aux Odoard.
    • 1576 : vendue aux LĂ©vis-Ventadour.
    • 1595 : cĂ©dĂ©e aux Bezanger (ou Besangier).
    • 1658 : passe aux Vesc.
    • 1754 : passe (par hĂ©ritage) aux Tulle, derniers seigneurs.

    1734 (démographie) : 71 familles[13].

    Avant 1790, Montboucher était une communauté de l'élection subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
    Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à Notre-Dame, et auparavant à saint Blaise, dépendait du prieur de Saint-Marcel-lès-Sauzet, qui y prenait la dîme et présentait à la cure[13].

    De la RĂ©volution Ă  nos jours

    En 1790, la commune est comprise dans le canton de Sauzet. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Montélimar[13].

    1799 (démographie) : 405 habitants[13].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1828 1843 (nov.) Jean-Pierre Bernard
    1843 (nov.) 1848 (mars) Henry Lacroix[19] industriel
    1848 (mars) 1859 (mars) Etienne Bonnardel
    1859 (mars) 1865 (août) Henry Lacroix industriel
    1865 (août) 1870 (sept.) Jean-Louis Constantin
    1870 (sept.) 1874 (mars) Pierre Larzelier
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 Pierre Larzelier maire sortant
    1874 1878 Henry Lacroix industriel
    1878 1887 (mai) Auguste Tavan
    1887 (mai)
    (statut ?)
    1888 Jean-Louis Faure
    1888 1892 Joseph Loubet adjoint de Jean-Louis Faure
    1892 1896 Auguste Tavan
    1896 1900 Franklin Durand
    1900 1904 Franklin Durand maire sortant
    1904 1906 (nov.) Franklin Durand maire sortant
    1906 (nov.)
    (statut ?)
    après 1919 Henri Rieux adjoint de Franklin Durand
    1908 1912 Henri Rieux maire sortant
    1912 1919 Henri Rieux maire sortant
    1919 1925 Henri Rieux maire sortant
    1925 ?
    1929 ?
    1935 ?
    1945 ?
    1947 ?
    1953 ?
    1959 ?
    1965 ?
    1971 1977 Édouard Gourtovoy[20] PS ingénieur et dirigeant de société
    vice-président du District de Montélimar (1975-1977)
    1977 1983 Raoul Valentin
    1983 1989 Jean-René Latarche PS retraité, gérant de société
    conseiller général du canton de Montélimar-2 (1998-2004)
    1989 1995 Jean-René Latarche maire sortant
    1995 2001 Jean-René Latarche maire sortant
    2001 2003 (28-02) Jean-René Latarche maire sortant
    2003
    (statut ?)
    2008 Bruno Almoric UDI dirigeant de société
    1er vice-président de Montélimar Agglomération (2014-)
    2008 2014 Bruno Almoric maire sortant
    2014 2020 Bruno Almoric maire sortant
    2020 En cours
    (au 27 décembre 2020)
    Bruno Almoric[21] maire sortant

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

    En 2020, la commune comptait 2 456 habitants[Note 3], en augmentation de 9,25 % par rapport Ă  2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4104055296566777758369561 020
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0511 104906922931919865888771
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    764809773668696655644567631
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    6396676931 0421 2781 4241 8232 1652 273
    2020 - - - - - - - -
    2 456--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee Ă  partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune de Montboucher-sur-Jabron fait partie de l'Académie de Grenoble. Les élèves débutent leur scolarité dans l'école primaire Hubert Reeves du village[25].

    Manifestations culturelles et festivités

    FĂŞte : premier dimanche de septembre[15].

    Cultes

    • Culte catholique : Ă©glise Saint-Martin[26].

    Économie

    En 1992 : céréales, vergers, vignes, porcins, ovins, bovins[15].

    La commune de Montboucher-sur-Jabron fait partie de la zone d'appellation de plusieurs produits agricoles :

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château-village : il a Ă©tĂ© dĂ©vastĂ© en 1789 puis restaurĂ©. Il reste deux tours tronquĂ©es sur quatre, et des vestiges de l'enceinte[15].
      • Restes de logis et enceinte flanquĂ©e de tours rondes remaniĂ©es au XXe siècle.
    • Tour surmontĂ©e d'un beffroi (clocher de la vieille Ă©glise du XIIe siècle) : fresques, Vierge Ă  l'Enfant (XIXe siècle)[15].
    • Le Monard, maison forte mĂ©diĂ©vale remaniĂ©e aux XIe et XVIIe siècles.
    • Église Saint-Martin de Montboucher-sur-Jabron, pseudo-romane (XIXe siècle)[15].

    Patrimoine culturel

    • MusĂ©e de la Soie[15].

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Montboucher-sur-Jabron possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Bibliographie

    • Collectif, ArchĂ©ologie sur toute la ligne. Les fouilles du TGV MĂ©diterranĂ©e dans la moyenne vallĂ©e du RhĂ´ne, Éd. Le MusĂ©e de Valence/Semgy, Éditions d'Art, 2001, (ISBN 285056513X).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Montélimar », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. https://www.ecologie.gouv.fr/sites/default/files/Les%20enjeux%20de%20l%E2%80%99artificialisation%20des%20sols.pdf.
    11. « La consommation d’espaces et ses déterminants d’après les Fichiers fonciers de la DGFiP : Etat des lieux au 1er janvier 2016 », sur Cerema (consulté le ).
    12. https://sparte.beta.gouv.fr/project/7536/tableau-de-bord/consommation.
    13. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 224.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Montboucher-sur-Jabron.
    16. Michel Goy et Isabelle Rémy, Archéologie sur toute la ligne, p. 130.
    17. Michel Goy et Isabelle Rémy, Archéologie sur toute la ligne, p. 131.
    18. Michel Goy et Isabelle Rémy, Archéologie sur toute la ligne, pp. 132-133.
    19. « En 1841, Henri Lacroix épouse sous le système dotal Clothilde Thibaud, fille d'un juge de paix de Bagnols. Les affaires sont florissantes et l'année 1843 marquera la reconnaissance vouée à monsieur Lacroix. Il est nommé maire de Montboucher »
    20. Notice GOURTOVOY Édouard, Georges par Gilles Morin, version mise en ligne le 14 juillet 2010, dernière modification le 14 juillet 2010
    21. http://www.mairesdeladrome.fr/annuaire/
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    25. Ă©cole primaire du village
    26. Ă©glise de Montboucher-sur-Jabron
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