Mont-de-Lans
Mont-de-Lans est une ancienne commune française située dans le département de l'IsÚre en région Auvergne-RhÎne-Alpes. Depuis le , elle est l'une des deux communes déléguées, avec Vénosc, composant la commune nouvelle des Deux Alpes. Mont-de-Lans était jusque-là l'une des deux communes composant la station de sports d'hiver des Deux Alpes. Ses habitants sont appelés les Lantillons (Lantillones).
Mont-de-Lans | |
Vue générale de Mont-de-Lans. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Auvergne-RhĂŽne-Alpes |
DĂ©partement | IsĂšre (Grenoble) |
Arrondissement | Arrondissement de Grenoble |
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Oisans |
Statut | Commune déléguée |
Maire délégué Mandat |
Stéphane Sauvebois 2017-2020 |
Code postal | 38860 |
Code commune | 38253 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Lantillons |
Population | 1 169 hab. (2014 ) |
Densité | 37 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 45° 02âČ 12âł nord, 6° 07âČ 53âł est |
Altitude | Min. 732 m Max. 3 285 m |
Superficie | 31,6 km2 |
Ălections | |
DĂ©partementales | Oisans-Romanche |
Historique | |
Fusion | |
Commune(s) d'intégration | Les Deux Alpes |
Localisation | |
GĂ©ographie
La commune, traversée par le 45e parallÚle nord, est de ce fait située à égale distance du pÎle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).
Mont-de-Lans est l'une des vingt communes qui composent l'Oisans. Située entre la vallée de la Romanche et la vallée du Vénéon, elle s'étend sur 4166 hectares.
Outre le chef-lieu qui porte son nom, le territoire communal comprend plusieurs hameaux dissĂ©minĂ©s dont les plus importants sont Cuculet, Bons et l'Alpe de Mont-de-Lans formant avec l'Alpe de Venosc la station des Deux Alpes, autrefois un alpage oĂč l'on faisait les foins au col de l'Alpe.
Aux portes du parc national des Ăcrins, la commune de Mont-de-Lans est l'une des deux communes qui composait la station de sports d'hiver des Deux Alpes. Familial ou d'affaires, le tourisme reprĂ©sentait l'activitĂ© Ă©conomique majeure de la commune de Mont-de-Lans.
LâaccĂšs Ă Mont-de-Lans s'effectue par la route dĂ©partementale 1091 : Ă partir de Grenoble, en remontant la vallĂ©e de la Romanche en passant notamment par les communes de Vizille, Livet-et-Gavet, Le Bourg-d'Oisans ; ou depuis Briançon et le col du Lautaret, en passant par la commune de La Grave. Au niveau du barrage du Chambon, la route dĂ©partementale 1091 propose un embranchement sur la route dĂ©partementale 213 qui mĂšne Ă Mont-de-Lans et aux Deux Alpes.
Il est aussi possible dâarriver Ă Bons (hameau de Mont-de-Lans) par la route dĂ©partementale 220.
Communes limitrophes
Histoire
L'histoire de Mont-de-Lans remonte trÚs loin dans le temps. La voie entre Grenoble et le col du Lautaret y passait pour éviter les gorges de la Romanche. Depuis 1860, ont été retrouvées de nombreuses tombes avec des corps inhumés dans des coffres de pierre parés de trÚs nombreux bracelets de bronze et de fer de fabrication locale mais aussi importés de l'Est de la France, ainsi qu'une pendeloque venue d'Italie. Elles s'étendent de la fin du premier ùge du Fer à l'époque gauloise[1].
En dessous du hameau de Bons, on peut observer des traces de voie antique, et surtout la fameuse « Porte Romaine ». De nombreux savants et chercheurs, intrigués par cette curiosité, sont venus la voir et l'étudier sur place.
DÚs 1073, la commune apparaßt sur les documents anciens sous le nom de « Parocchia de Lento ». On peut suivre au fil du temps l'existence de cette bourgade, importante puisque située sur une des rares voies de communication avec l'Italie appelée « la petite route ». Cette petite route n'était en fait qu'un mauvais chemin muletier praticable aux petites charrettes seulement 3 ou 4 mois dans l'année.
En 1502, Louis XII, se rendant dans le duchĂ© de Milan, s'y arrĂȘta avec une partie de sa suite. En 1509, ce fut Bayard Ă la tĂȘte de ses soldats. L'histoire de Mont-de-Lans est jalonnĂ©e de passages de troupes selon les diffĂ©rentes guerres avec l'Italie, et la population eut beaucoup Ă souffrir de ces visiteurs qui rĂ©quisitionnaient, pillaient, volaient, laissant la dĂ©solation derriĂšre eux.
Les guerres de religion puis la Révolution française passÚrent sur le village sans atrocité ni exécution barbare, comme il s'en commit hélas, dans les communes voisines.
Comme dans de nombreux villages de montagne, les hommes Ă©migraient pendant l'hiver, quand les travaux des champs Ă©taient achevĂ©s, pour tenter de gagner leur vie en faisant du colportage. Les femmes restaient Ă la maison avec les vieillards et les enfants et s'occupaient du bĂ©tail. Les colporteurs avaient leurs tournĂ©es auxquelles ils Ă©taient habituĂ©s : le nord, l'est et le centre de la France, Ă pied ou avec un mulet. Quelquefois beaucoup plus loin : l'Espagne, la Russie, l'AmĂ©rique et mĂȘme la Chine. Si quelques-uns faisaient fortune, ce n'Ă©tait pas le cas du plus grand nombre et certains revenaient ruinĂ©s ou mĂȘme ne revenaient pas du tout, morts au loin de misĂšre et de maladie.
Au début du XIXe siÚcle, le Premier Empire commence la construction de la route actuelle reliant Grenoble à Briançon, suivant la vallée de la Romanche. Les travaux dureront 70 ans. Il fallut percer des tunnels pour franchir le fameux « verrou de Mont de Lans » : l'Infernet. Mais l'ouverture à la circulation de cette nouvelle route, en 1807, relégua Mont-de-Lans dans l'isolement. Pendant de longues années, la commune resta desservie uniquement par son vieux chemin muletier.
En 1885, Mont-de-Lans reçut un accĂšs carrossable par des encorbellements hardis au-dessus de lâInfernet. C'est l'actuelle « route des Travers », une route de montagne Ă©troite. La route actuelle permettant l'accĂšs depuis le barrage du Chambon ne date que de 1938.
1938, date de la mise en eau du lac du Chambon, est une autre date importante pour la commune. Les travaux du barrage hydroĂ©lectrique, commencĂ©s en 1926, durĂšrent 12 ans. Trois hameaux furent noyĂ©s, et le paysage dĂ©finitivement changĂ©. Mont-de-Lans va s'Ă©veiller Ă la vie moderne. AprĂšs la seconde guerre mondiale, et dans les annĂ©es 1950, la station de sports d'hiver, qui ne s'appelle pas encore les Deux Alpes, prend son envol ; d'abord doucement puis de plus en plus vite. Dans les annĂ©es 1970, c'est une vĂ©ritable fiĂšvre de construction et d'innovation : Mont-de-Lans et sa voisine Venosc ont donnĂ© naissance aux Deux Alpes, station aujourd'hui de renommĂ©e internationale, oĂč l'on peut goĂ»ter les joies du ski, du VTT et de la montagne, aussi bien l'hiver que l'Ă©tĂ©.
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Ă partir du , les populations lĂ©gales des communes sont publiĂ©es annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose dĂ©sormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une pĂ©riode de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[2]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[3] - [Note 1].
En 2014, la commune comptait 1 169 habitants, en diminution de â2,01 % par rapport Ă 2009 (IsĂšre : 3,74 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Sports
De nombreux sports de plein air se pratiquent sur le domaine de la commune, dont :
- bateau, avec la base nautique - plan d'eau du lac du Chambon
- alpinisme
- randonnée en montagne
- VTT, vélo de descente
- ski alpin, notamment aux Deux Alpes (station de sports d'hiver)
- randonnée avec raquettes à neige
Culture locale et patrimoine
Porte romaine de Bons
La porte romaine de Bons est situĂ©e au-dessous du hameau de Bons, sur la commune de Mont-de-Lans, sur le chemin descendant vers le Chatelard et Le Bourg-dâOisans. Câest un arc monumental taillĂ© dans le rocher, les traces dâoutils sont nettement visibles sur une des parois. Une demi-arche, dâune ouverture de 3 mĂštres et dâune flĂšche de 1 mĂštre domine lâensemble. Au niveau du sol, sa largeur est de 2,50 m, une banquette Ă 50 cm de hauteur la borde des deux cĂŽtĂ©s. Une corniche souligne Ă©lĂ©gamment la naissance de lâarc. Le sol est un rocher trĂšs lisse sur lequel se distinguent trĂšs nettement deux rainures profondes, de 6 Ă 15 cm, et prĂ©sentant un Ă©cartement variant de 1,41 m Ă 1,48 m. En plusieurs endroits du chemin, ces traces se retrouvent.
La prĂ©sence de cet ouvrage travaillĂ© en pleine nature, loin de toute habitation pose de nombreuses questions. Le sculpteurs qui lâont creusĂ©e ont certainement voulu signifier quelque chose, lâhypothĂšse actuelle est quâelle symbolise la moitiĂ© du parcours de Grenoble Ă Briançon, et quâelle pouvait Ă©galement servir de poste de pĂ©age.
HĂ©ricart de Thury signale deux portes sous Bons, au dĂ©but du XIXe siĂšcle. La seconde, situĂ©e en aval, se serait Ă©croulĂ©e trĂšs tĂŽt, mais lors de la visite de Florian Vallentin, en 1876 et 1877, il rĂ©vĂšle quâil a remarquĂ© les vestiges de cette seconde porte, Ă 50 mĂštres en aval. Le cadastre de Mont-de-Lans semble avoir conservĂ© ce souvenir, puisque le lieudit se nomme « les Portes » et non pas la porte.
Florian Vallentin note Ă©galement Ă Mont-de-Lans, la prĂ©sence dâun banc de rochers, taillĂ© de main dâhomme, « au pied du Calvaire » qui attesterait du passage de la voie romaine en ce lieu.
La porte romaine de Bons est inscrite au titre des monuments historiques par arrĂȘtĂ© du [6].
LâĂ©glise
LâĂ©glise de Mont-de-Lans qui domine le village, a Ă©tĂ© construite en plusieurs Ă©pisodes. On retrouve son origine dans lâappellation « ecclesia de lento » en 1028. Sa partie ancienne prĂ©sente des dĂ©corations en tuf.
Le clocher actuel, de style roman a Ă©tĂ© construit en 1627 par les gens du pays. Mais une cloche avait Ă©tĂ© fabriquĂ©e en . En 1772, le curĂ©, Laurent Barruel entreprend de faire agrandir les bĂątiments, contre lâavis dâune partie de la population, dont le consul Pellorce. Cependant avec lâaide bĂ©nĂ©vole dâautres membres de la communautĂ© il parvient Ă ses fins. Dans les annĂ©es 1930, deux chapelles ont Ă©tĂ© dĂ©molies car leur vĂ©tustĂ© devenait dangereuse. Au mĂȘme moment, pour protĂ©ger la pierre extĂ©rieure des intempĂ©ries, le conseil municipal vote des travaux de rĂ©paration et dĂ©cide dâenduire les murs dâun crĂ©pi gris. En 2007 et 2008 des travaux de rĂ©fection ont Ă©tĂ© entrepris pour enlever le crĂ©pi fait en 1931. Aujourdâhui mĂȘme si elle nâest plus utilisĂ©e pour des messes dominicales rĂ©guliĂšres, elle reste le centre du village et le bĂątiment qui rĂ©unit les habitants pour des concerts.
Le clocher
PrĂ©sentait sur sa face sud un cadran solaire, dont la devise Ă©tait : Tempus orandi et memorandi novissima nostra (le moment de prier et de penser Ă nos derniers instants). Il abrite Ă lâheure actuelle : trois cloches. de taille et de poids diffĂ©rents, leur acte de naissance est inscrit sur leurs flancs. La plus ancienne qui est aussi la plus petite fut fondue et installĂ©e durant le sacerdoce de M. le curĂ© Laurent Barruel, le prĂȘtre Ă lâorigine de lâagrandissement de lâĂ©glise.
no 1 : DiamĂštre : 1 170 mm, poids : 980 kg
Je mâappelle Marie AmĂ©lie ThĂ©rĂšse, je suis don de M. Julien Marie Fleur. Mon parrain : Daniel ClĂ©mence Ramel de New York, alliĂ© Pierre AmĂ©lie Villard.
Mon petit parrain : Oddoux Pierre de Bons, fils Oddoux Albert, petit-fils Albert Rousset.
Ma Marraine, Marie Sidonie AmĂ©lie Ătienne Pierre Veyrat, nĂ©e Et. Pellorce ex maire de Mont de Lans.
Ma petite Marraine, Mle Adélaïde Pellorce.
G Aymard le curé. Pierre Veyrat Maire du Mont de Lans, .
Monet et C. fondeurs Ă Lyon
Laudate Dominum.
no 2 : DiamĂštre 870 mm, poids 400 kg, Faite par don de M. Michel Martin, Sainte Marie Majeur Priez pour nous.
Mon parrain M. Grégoire Anselme Perrin entrepreneur de la nouvelle ..(route)
Ma marraine dame Euphrosine Bertrand, née Gondrand
M. Jacques Roux Maire
M. A Bouvier recteur
An Aoust 1810
no 3 : DiamĂštre 710 mm, poids 250 kg
Sieur Jean Veyrat parrain
Dle Madeleine Vieux Marraine
Messire Laurent Barruel curé
Sr Ătienne Pellorce consul
1766 « Sainte Marie Priez pour nous »
Les fonts baptismaux datent de la fin du XIXe siĂšcle, (1880)
Les bénitiers
Lâancien est une grosse pierre brute, creusĂ©e, incrustĂ©e dans le mur prĂšs de lâancienne porte dâentrĂ©e. donnant sur le cimetiĂšre. Le ânouveauâ date de 1838. Câest une vasque de pierre Ă©vidĂ©e, gravĂ©e « Chalvin » une partie est Ă©brĂ©chĂ©e, Ă la suite d'une chute durant des travaux rĂ©cents. Cette vasque est supportĂ©e par un trĂ©pied, et ceinturĂ© de mĂ©tal peint en noir dans laquelle est gravĂ© en creux : Pierre Bellet 1838.
Le maĂźtre-autel
Il est peint en trompe-l'Ćil imitant le marbre et prĂ©sente une Ă©lĂ©vation imposante Ă©voquant la silhouette dâun personnage aux bras grands ouverts, en signe dâaccueil. De chaque cĂŽtĂ©, deux autels latĂ©raux supportant des statues dorĂ©es. Celui de droite, est dĂ©diĂ© Ă la Vierge, celui de gauche, Ă saint Joseph et JĂ©sus. Lâenfant, la main droite levĂ©e en un signe de bĂ©nĂ©diction, tient un lys blanc sur son bras gauche. Sur les murs latĂ©raux de la nef, sont accrochĂ©s des tableaux reprĂ©sentant les 13 stations du chemin de croix. Ils ont Ă©tĂ© exĂ©cutĂ©s par des Ă©lĂšves peintres, habitant Mont-de-Lans pour la majoritĂ©, sous la direction de leur maĂźtre, Madame « Marion ».
Patrimoine culturel
Musée Chasal-Lento
Le musĂ©e Chasal-Lento : Maison des traditions et des Arts de Mont-de Lans, musĂ©e municipal, ouvert en 1993, il a pour but la conservation et la prĂ©sentation des objets de la vie dâautrefois en Oisans. Dans lâancien presbytĂšre restaurĂ©, six salles aux diffĂ©rents thĂšmes accueillent le visiteur derriĂšre une grosse porte ancienne. Dans les deux premiĂšres, se trouvent deux expositions permanentes oĂč des voix de personnes du pays enregistrĂ©es guident le visiteur, dĂ©crivant des Ă©lĂ©ments de leur quotidien et leur intimitĂ© ; elles Ă©voquent des activitĂ©s qui, il y a peu, se pratiquaient encore beaucoup en Oisans. La seconde est la reconstitution dâune Ă©curie, abritant les outils agricoles.
Ă lâĂ©tage, on survole le territoire de Mont-de-Lans et l'on dĂ©couvre les fameux colporteurs Uissans (terme dĂ©signant les habitants de l'Oisans). La visite permet Ă©galement de dĂ©couvrir l'histoire du barrage du Chambon et ses hameaux engloutis. Les combles sont rĂ©servĂ©s Ă des expositions temporaires, qui ont concernĂ© notamment : les copies de maĂźtres peintes par des habitants, le colportage, de lâAlpe aux Deux Alpes, Mont-de-Lans et ses hameaux, le soleil a rendez-vous avec la lune, Mont de l'an 2000, la porte et la voie romaines de lâOisans.
Le Chasal-Lento prĂ©sente actuellement : « Les TrĂ©sors de Mont-de-Lans : prĂ©sentation des richesses de notre village... Parfois oubliĂ©es, ou mĂȘme ignorĂ©es ».
La Maison de la Montagne
La Maison de la Montagne permet de dĂ©couvrir lâhistoire des montagnes, en prĂ©sentant la gĂ©ologie, la faune et la flore de l'Oisans.
Amphibia
Amphithéùtre de 368 places situé sur la commune de Mont-de-Lans aux 2 Alpes, Amphibia est un centre sportif, culturel et de congrÚs adapté à une multitude d'activités et d'événements. Séminaires d'entreprises, salons, congrÚs, conventions, soirée de gala, cocktails, événements sportifs, spectacles culturels, concerts, représentations théùtrales, défilés de mode...
Espaces verts et fleurissement
En , la commune confirme le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris, ce label récompense le fleurissement de la commune au titre de l'année 2016[7].
Jumelages
Pour lâinstant Mont-de-Lans nâa pas de jumelages.
Notes et références
Notes
- Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de nâafficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă 1999, que les populations correspondant Ă une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par lâInsee pour l'ensemble des communes.
Références
- Aimé Bocquet, L'IsÚre pré et protohistorique, Gallia-Préhistoire 1969, fasc. 2 pages 288-291.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « ArrĂȘtĂ© no 2014108-0011 publiĂ© au Recueil Normal no 47 le 07/05/2014 »(Archive.org âą Wikiwix âą Archive.is âą Google âą Que faire ?), http://www.rhone-alpes.territorial.gouv.fr
- « Les villes et villages fleuris > IsÚre », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).