AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Michel d'Orléans

Michel Joseph BenoĂźt Marie d’OrlĂ©ans, comte d’Évreux[1], est nĂ© le Ă  l’hĂŽpital Lyautey de Rabat, au Maroc alors sous protectorat français. C’est un membre de la maison d’OrlĂ©ans et un ancien grand maĂźtre ad interim de l’une des branches de l’ordre militaire et hospitalier de Saint-Lazare.

Michel d'Orléans
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Michel d’OrlĂ©ans, comte d'Évreux.
Biographie
Titulature comte d'Évreux
Dynastie Maison d’OrlĂ©ans
Nom de naissance Michel Joseph Benoßt Marie d'Orléans
Naissance
Rabat (Protectorat français au Maroc)
PÚre Henri d'Orléans, comte de Paris
MÚre Isabelle d'Orléans-Bragance
Conjoint BĂ©atrice Pasquier de Franclieu
Barbara de Posch-Pastor
Enfants Clotilde d'Orléans
Adélaïde d'Orléans
Charles-Philippe d'Orléans, duc d'Anjou
François d'Orléans, comte de Dreux
Description de l'image Coat of Arms of Prince Michel, Count of Évreux.svg.

Famille

Michel d'Orléans est le troisiÚme fils du comte de Paris, Henri d'Orléans (1908-1999), prétendant orléaniste au trÎne de France, et de son épouse Isabelle d'Orléans-Bragance (1911-2003).

Michel a dix frĂšres et sƓurs, parmi lesquels un frĂšre jumeau puĂźnĂ©, Jacques d'OrlĂ©ans (1941), duc d'OrlĂ©ans, que leur pĂšre, feu le comte de Paris, a dĂ©placĂ© dans l'ordre de succession avant lui. Cet ordre de succession a Ă©tĂ© ensuite confirmĂ© en 1999 par leur frĂšre, nouveau chef de la maison d'OrlĂ©ans, Ă  la mort de leur pĂšre[2] - [3].

Le , Michel d'OrlĂ©ans Ă©pouse, Ă  Casablanca, au Maroc, BĂ©atrice Pasquier de Franclieu (1941), fille du comte Bruno Pasquier de Franclieu (1914-1944) et de son Ă©pouse Jacqueline TĂ©risse (1918-1999, remariĂ©e en 1946 Ă  Michel O'Neill). Le comte et la comtesse d'Évreux sont sĂ©parĂ©s depuis 1994. Le , la Cour d'appel de Paris officialise leur divorce[4].

De cette union sont nĂ©s quatre enfants, d'abord exclus de la succession orlĂ©aniste Ă  la couronne de France et privĂ©s du prĂ©dicat de courtoisie d'altesse royale ainsi que du titre de courtoisie de prince (ou princesse) par leur grand-pĂšre[5] mais rĂ©intĂ©grĂ©s dans leurs « droits dynastiques Â» par leur oncle[6] :

  • 1. Clotilde d'OrlĂ©ans (nĂ©e le ), Mademoiselle d'Évreux[7], qui Ă©pouse, en 1993, Édouard CrĂ©py (1969), dont :
    1. Louis-Nicolas Crépy (né en 1995), fiancé le avec Carolina Torio Ballester[8]
    2. Charles-Édouard CrĂ©py (nĂ© en 1996), fiancĂ© le 25 fĂ©vrier 2023 avec Anna-Magdalena Goebel[9]
    3. Gaspard-Marie Crépy (né en 1999)
    4. Augustin Crépy (né en 2005)
    5. ÉlĂ©onore CrĂ©py (nĂ©e en 2007)
  • 2. AdĂ©laĂŻde d'OrlĂ©ans (nĂ©e le ), Mademoiselle AdĂ©laĂŻde d'Évreux[7], qui s'unit, en 2002, Ă  Pierre-Louis Dailly (1968), petit-fils d'Étienne Dailly, dont :
    1. Diego Dailly (né en 2003)
    2. Almudena Dailly (née en 2004)
    3. Gaetano Dailly (né en 2009)
  • 3. Charles-Philippe d'OrlĂ©ans (nĂ© Ă  Paris le ), comte Charles-Philippe d'Évreux[7] puis duc d'Anjou (2004), Ă©pouse en 2008 (divorce en dĂ©cembre 2022[10]) la capĂ©tienne portugaise Diana Álvares Pereira de Melo (1978), duchesse de Cadaval. Il se fiance avec Naomi-Valeska Kern (nĂ©e Salz) le 2 mars 2023[11]. De son premier mariage est nĂ©e :
    1. Isabelle d'Orléans (née le )
  • 4. François d'OrlĂ©ans (nĂ© le ), comte François d'Évreux[12] puis comte de Dreux (2014), Ă©pouse en 2014 l'aristocrate allemande Theresa von Einsiedel (1984), descendante de Florestan Ier, prince de Monaco, et de Guillaume IV, grand-duc de Luxembourg, dont :
    1. Philippe d'Orléans (né le )
    2. Marie-Amélie d'Orléans (née le )
    3. Raphaël d'Orléans (né le [13])

Le comte d'Évreux Ă©pouse en secondes noces Barbara Jeanne Louise Anne JosĂ©phine Elisabeth Françoise Marie de Posch-Pastor (nĂ©e le Ă  Madrid). Le mariage a lieu le Ă  Paris 16e[14] - [15] - [16].

Biographie

Enfance et adolescence

Michel et Jacques d’OrlĂ©ans voient le jour Ă  Rabat, dans le Maroc français, alors que leur pĂšre est encore interdit de sĂ©jour en mĂ©tropole par la Loi d'exil de 1886. AprĂšs cinq annĂ©es dans le protectorat, ils partent, en juillet 1946, au Portugal, oĂč ils s’installent, avec le reste de leur famille, Ă  la Quinta do Anjinho, Ă  Sintra[17]. TerrorisĂ©s par leur pĂšre, ceux que leurs partisans appellent les « Enfants de France » deviennent turbulents et, parfois mĂȘme, violents. À l’ñge de onze ans, Michel plante ainsi accidentellement un couteau dans le mollet gauche de sa sƓur Anne alors qu’il se dispute avec son frĂšre jumeau[18]. ConsternĂ© par l’attitude de sa progĂ©niture, le « comte de Paris » finit par Ă©loigner plusieurs de ses enfants du foyer familial. De septembre 1952 Ă  juillet 1956, Michel et Jacques sont ainsi envoyĂ©s dans des pensionnats français, d’oĂč ils finissent toujours par ĂȘtre renvoyĂ©s, avant d’ĂȘtre sĂ©parĂ©s Ă  la rentrĂ©e scolaire 1954 puis confiĂ©s ensemble Ă  un prĂ©cepteur particulier en 1956[19]. Cependant, les enfants finissent par revenir au Portugal lorsqu’est ouvert le lycĂ©e français Charles-Lepierre de Lisbonne, Ă  la rentrĂ©e 1956[20]. C’est donc dans ce pays que Michel d’OrlĂ©ans obtient son baccalaurĂ©at en 1960, Ă  la diffĂ©rence de son frĂšre Jacques, recalĂ©[21].

Formation universitaire et mariage

Michel d'OrlĂ©ans retourne ensuite Ă  Paris pour y effectuer ses Ă©tudes universitaires. Il s'inscrit Ă  la FacultĂ© des Sciences de Paris-Orsay et en ressort, trois ans plus tard, avec une licence en MathĂ©matiques, Physique et Chimie[22]. En 1964, il fait la connaissance de BĂ©atrice Pasquier de Franclieu, alors journaliste au Women's Wear Daily, lors d’une rĂ©ception organisĂ©e prĂšs d’Olivet. Rapidement, les deux jeunes gens se lient d'amitiĂ© puis commencent Ă  se frĂ©quenter[22]. Issue de la vieille noblesse catholique[23], la jeune fille semble possĂ©der tous les atouts pour sĂ©duire le chef de la maison d'OrlĂ©ans et ĂȘtre acceptĂ©e comme sa belle-fille. Mais son pĂšre, dont elle Ă©tait orpheline alors qu'elle avait Ă  peine 3 ans, avait Ă©tĂ© vichyste et proche du marĂ©chal PĂ©tain. Le comte de Paris, soucieux pour lui-mĂȘme de ne pas associer sa famille au souvenir de la Collaboration, interdit Ă  son fils de frĂ©quenter BĂ©atrice. Il rappelle aussi dans un acte du les conditions Ă  remplir pour que leurs mariages soient reconnus et leur progĂ©niture dynaste. Amoureux, le jeune homme ne cĂšde pas et dĂ©cide finalement d’épouser l’élue de son cƓur au Maroc, en 1967[24].

Différend avec son pÚre

Les consĂ©quences de cette fronde ne se font pas attendre. Michel d'OrlĂ©ans est exclu, avec tous ses futurs descendants, de la succession au trĂŽne de France par son pĂšre. Par ailleurs, aucun des membres de sa famille n’assiste Ă  son mariage, exceptĂ© un cousin du comte de Paris, Charles-Philippe d’OrlĂ©ans, duc de Nemours[25]. Deux ans plus tard, en 1969, son pĂšre confĂšre le titre de courtoisie de duc d'OrlĂ©ans Ă  Jacques, qui est pourtant le cadet de Michel, afin de rĂ©affirmer l'exclusion de ce dernier de la famille royale[26].

La rupture entre le chef de la maison d'OrlĂ©ans et son fils est ensuite longue Ă  cicatriser. Il faut en effet attendre l'annĂ©e 1978[27] pour que Michel d'OrlĂ©ans et son Ă©pouse BĂ©atrice soient finalement « pardonnĂ©s Â» par le comte de Paris et reçoivent en guise de rĂ©conciliation les titres de courtoisie de comte et comtesse d’Évreux[7]. Mais, mĂȘme aprĂšs cela, Michel d'OrlĂ©ans n'est que partiellement rĂ©intĂ©grĂ© Ă  la maison d'OrlĂ©ans et demeure exclu, ainsi que ses descendants, de la succession orlĂ©aniste[28]. Voici ici citĂ©e l'« ordonnance Â» prise par le prĂ©tendant orlĂ©aniste Ă  cette occasion :

En application de l’acte du et de celui du , le titre de Comte d’Évreux est confĂ©rĂ© Ă  Son Altesse Royale le Prince Michel d’OrlĂ©ans, Fils de France, et Ă  la postĂ©ritĂ© issue de son mariage avec Mademoiselle BĂ©atrice Pasquier de Franclieu.
En consĂ©quence, Son Altesse Royale le Prince Michel d’OrlĂ©ans portera le titre de Comte d’Évreux ; son Ă©pouse celui de Comtesse d’Évreux ; leurs descendants mĂąles aĂźnĂ©s porteront, aprĂšs la mort de leur pĂšre, le titre de Comte d’Évreux ; les cadets celui de Comte N. d’Évreux.
Le Comte d’Évreux portera comme armes :
D’azur Ă  trois fleurs de lis d’or Ă  la bande componĂ©e d’argent et de gueules.
Couronne des issus de France.
Tenants : deux anges. [29]

Fonctions dans l’« ordre de Saint-Lazare »

L’exclusion de Michel d’OrlĂ©ans de la famille royale ne l’empĂȘche pas de garder sa place au sein des cercles monarchistes français. Entre 1969 et 1970, il est ainsi nommĂ© coadjuteur du duc de Nemours qui est 46e grand maĂźtre de l'une des branches de l’ordre militaire et hospitalier de Saint-Lazare. AprĂšs la mort de son cousin, Michel d’OrlĂ©ans assure en outre l’intĂ©rim Ă  la tĂȘte de l’« ordre », et cela jusqu’en 1973, date Ă  laquelle il dĂ©missionne du fait de l’élection du duc de SĂ©ville comme nouveau grand maĂźtre[30].

Vie privée et professionnelle

AprĂšs leur mariage, Michel et BĂ©atrice vivent au Maroc, oĂč il est attachĂ© de direction dans une entreprise de travaux publics, puis en Grande-Bretagne, de 1970 Ă  1973, et enfin Ă  Madrid, Ă  partir de 1973[31]. En 1986, il quitte la sociĂ©tĂ© qui l’employait et est engagĂ© par le groupe Accor, dont il dirige la dĂ©lĂ©gation madrilĂšne[7]. De son cĂŽtĂ©, la comtesse d’Évreux entre chez Christian Dior en 1985 et ne tarde pas Ă  y ĂȘtre nommĂ©e directrice pour l’Espagne et le Portugal[7]. Cette fonction prestigieuse permet Ă  son Ă©pouse d’ĂȘtre rĂ©guliĂšrement placĂ©e sous les feux des projecteurs et de devenir ainsi l’une des personnalitĂ©s incontournables du gotha espagnol.

Mais alors que sa femme semble connaĂźtre de plus en plus de succĂšs dans sa vie professionnelle, le comte d'Évreux perd son emploi et des dissensions se font jour au sein du couple[32]. Les deux Ă©poux dĂ©cident donc de se sĂ©parer en fĂ©vrier 1994 avant de divorcer en 2012 (dĂ©cision de la cour d'appel de Paris). Michel d'OrlĂ©ans regagne la France en 1994, il trouve un emploi au conseil gĂ©nĂ©ral des Hauts-de-Seine, tandis que sa femme reste vivre Ă  Madrid, oĂč elle publie plusieurs ouvrages. Michel d'OrlĂ©ans travaille Ă  l'institut des Hauts-de-Seine de 1999 Ă  2006 puis il en est membre du bureau en tant que secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral adjoint[33].

Réintégration dans la « famille royale »

Peu de temps aprĂšs le dĂ©cĂšs de son pĂšre, le comte de Paris, le , le comte d'Évreux et ses enfants sont rĂ©intĂ©grĂ©s dans la maison d'OrlĂ©ans par le nouveau chef de la famille, Henri d'OrlĂ©ans (1933-2019), comte de Paris et duc de France[34]. Toutefois, Michel d’OrlĂ©ans ne retrouve pas son rang de frĂšre jumeau aĂźnĂ© et le prince Jacques, duc d’OrlĂ©ans, continue Ă  le prĂ©cĂ©der dans l'ordre de succession au trĂŽne[2] - [3].

Titulature et décorations

Titulature

Les titres portĂ©s actuellement par les membres de la maison d’OrlĂ©ans n’ont pas d’existence juridique en France et sont considĂ©rĂ©s comme des titres de courtoisie. Ils sont attribuĂ©s par le « chef de maison Â».

  • - : Son Altesse royale le prince Michel d'OrlĂ©ans (naissance) ;
  • depuis le : Son Altesse royale le comte d’Évreux.

DĂ©corations dynastiques Ă©trangĂšres

Ordre militaire et hospitalier de Saint-Lazare

Ascendance

Notes et références

  1. Il s'agit d'un titre de courtoisie.
  2. « Henri VII » rangea la branche du prince Michel aprÚs celle du prince Jacques (pourtant son jumeau cadet) dans l'ordre de succession. Il est vrai que juristes et médecins ont beaucoup débattu, jadis, de l'application du droit d'aßnesse aux frÚres jumeaux. Parfois, on privilégia le premier né, mais plus souvent, suivant la coutume populaire, la jurisprudence (ou « Ancien Droit ») pencha pour le second, réputé le premier conçu, selon la doctrine catholique de la conception marquant le début de la vie humaine.
  3. Léon de Maleville, De la Primogéniture entre les frÚres jumeaux, Montauban : typ. de Vidallet, 1877.
  4. Service de l'Ă©tat civil du ministĂšre des Affaires Ă©trangĂšres et du DĂ©veloppement international - Registres consulaires de Casablanca - AnnĂ©e 1967 - Acte no 131 - Extrait sans filiation : « Le 17 novembre 1967 Ă  Casablanca (Maroc) a Ă©tĂ© cĂ©lĂ©brĂ© le mariage de Michel, Joseph, Benoit, Marie d'OrlĂ©ans, nĂ© le 25 juin 1941 Ă  Rabat (Maroc) et de BĂ©atrice, Marie, Guillemine, Huguette Pasquier de Franclieu, nĂ©e le 24 octobre 1941 Ă  Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine). Mentions marginales : Mariage dissous. ArrĂȘt de divorce de la cour d'appel de Paris rendu le 28 novembre 2012 (ordonnance de non-conciliation du 14 septembre 2006). Nantes, le 19 juin 2014. »
  5. Acte du comte de Paris du . Philippe de Montjouvent, Le Comte de Paris et sa descendance, Éditions du Chaney, Paris, 1998, p. 312.
  6. « Succession dynastique dans la famille royale de France » par le comte de Paris et duc de France »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?)
  7. Collation du comte de Paris du 10 dĂ©cembre 1976. Philippe de Montjouvent, Le comte de Paris et sa descendance, Éditions du Chaney, p. 312.
  8. Nicolas Fontaine, « Le fils de la princesse Clotilde d’OrlĂ©ans fait sa demande en fiançailles Ă  Chantilly », sur histoiresroyales.fr, (consultĂ© le ).
  9. Nicolas Fontaine, « La princesse Clotilde d'Orléans annonce les fiançailles de son deuxiÚme fils, quelques mois aprÚs son aßné », sur Histoires Royales, (consulté le )
  10. Nicolas Fontaine, « Divorce du prince Charles-Philippe d’OrlĂ©ans et de la duchesse de Cadaval », sur histoiresroyales.fr, (consultĂ© le )
  11. Nicolas Fontaine, « Fiançailles du prince Charles-Philippe d'Orléans avec Naomi Kern : la future princesse n'exclut pas d'avoir des enfants », sur Histoires Royales, (consulté le )
  12. À sa naissance. Philippe de Montjouvent, Op. cit., p. 312.
  13. RĂ©gine, « Naissance du prince RaphaĂ«l, 3Ăšme enfant de François d’OrlĂ©ans, comte de Dreux », sur noblesseetroyautes.com, (consultĂ© le ).
  14. Mairie de Paris - Extrait d'acte de mariage - Année 2017 - Acte No 211 : Le 29 avril 2017 a été célébré en notre commune à Paris seiziÚme arrondissement le mariage de Michel, Joseph, Benoit, Marie d'Orléans, né le 25 juin 1941 à Rabat (Maroc) et de Barbara, Jeanne, Louise, Anne, Joséphine, Elisabeth, Françoise, Marie de Posch-Pastor, née le 02 mai 1952 à Madrid (Espagne).
  15. « Mariage civil du comte d’Évreux - Noblesse & RoyautĂ©s », Noblesse & RoyautĂ©s,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  16. « Point de Vue annonce le prochain mariage du prince Michel de France - Le blog de La Couronne », Le blog de La Couronne,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  17. Jacques d’OrlĂ©ans, Les TĂ©nĂ©breuses affaires du comte de Paris, Albin Michel, Paris, 1999, p. 9.
  18. Jacques d’OrlĂ©ans, Op. cit., p. 30.
  19. Jacques d’OrlĂ©ans, Op. cit. p. 35-39.
  20. Jacques d’OrlĂ©ans, Op. cit., p. 39.
  21. Jacques d’OrlĂ©ans, Op. cit., p. 52.
  22. Philippe de Montjouvent, Op. cit., p. 309.
  23. Les Pasquier de Franclieu sont connus depuis 1356 mais leur filiation n’est vĂ©ritablement Ă©tablie qu’à partir de 1561. Philippe de Montjouvent, Op. cit., p. 313.
  24. « Le mariage d'amour de Michel de France et Béatrice Pasquier de Franclieu » dans Paris Match no 974 du 9 décembre 1967.
  25. ArrĂȘtĂ© par la Gestapo pendant la DeuxiĂšme Guerre mondiale, le duc de Nemours est un ancien rĂ©sistant et sa prĂ©sence aux cĂŽtĂ©s de BĂ©atrice lors du mariage a donc une portĂ©e trĂšs symbolique. Philippe de Montjouvent, Op. cit., p. 310.
  26. Georges Poisson, Les OrlĂ©ans, Une famille en quĂȘte d'un trĂŽne, Perrin, Paris, 1999, p. 374.
  27. La réconciliation entre le comte de Paris date en fait de 1977 mais elle n'est rendue publique que l'année suivante du fait des ennuis de santé du prétendant orléaniste.
  28. Philippe de Montjouvent, Op. cit., p. 311.
  29. Ce texte mal identifiĂ© par l’auteur est reproduit par Philippe de Montjouvent, page 312 in Le comte de Paris et sa descendance, Du Chaney Eds, Paris, 1998, 988 pages.
  30. Dominique et MichÚle Frémy, Quid 2001, Robert Laffont, 2000, p. 575 b et c
  31. Philippe de Montjouvent, Op. cit., p. 311-312.
  32. Elena Pita, « Tuve que ponerme las pilas porque mi marido estaba en paro y necesitaba ganar dinero » dans El Mundo Magazine du 3 avril 2005.
  33. « - La succession se fait, dans la Famille Royale de France, par ordre de primogéniture de mùle en mùle la plus proche.
    - Nul n'a pouvoir de modifier l'ordre dynastique et d'écarter de la succession un prince de sang royal de France sauf à accepter son abdication dûment signée.
    - Au dĂ©cĂšs de mon pĂšre le 19 juin 1999, en me fondant sur ces principes j'ai remis dans la succession dynastique la branche de mon frĂšre SAR le Prince Michel de France, Comte d’Évreux et la branche de mon frĂšre SAR le Prince Thibaud de France Comte de la Marche. Aucun des deux n'avait en effet abdiquĂ© ses droits. » « Succession Dynastique dans la Famille Royale de France »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?) par Henri d'OrlĂ©ans, comte de Paris et duc de France, le 6 mars 2003.
  34. (en) Almanach de Gotha, John James, comte de Tara, (ISBN 9780993372582)

Annexes

Bibliographie

  • Georges Poisson, Les OrlĂ©ans, une famille en quĂȘte d'un trĂŽne, Perrin, Paris, 1999 (ISBN 2-26-201583-X).
  • Philippe de Montjouvent, « S.A.R. le Prince Michel de France, comte d’Évreux » dans Le Comte de Paris et sa descendance, Ă©ditions du Chaney, 1998, p. 307-324 (ISBN 2913211003).
  • Jacques d’OrlĂ©ans (avec la collaboration de Bruno Fouchereau), Les tĂ©nĂ©breuses affaires du comte de Paris, Albin Michel, Paris, 1999 (ISBN 2-22-611081-X).
  • Isabelle, comtesse de Paris, Tout m’est bonheur (t. 1), Robert Laffont, Paris, 1978, (ISBN 2-22-100107-9).
  • Isabelle, comtesse de Paris, Tout m’est bonheur, Les Chemins creux (t. 2), Robert Laffont, Paris, 1981, (ISBN 2-22-100834-0).

Articles connexes

Liens externes


Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.