Accueil🇫🇷Chercher

Maxstadt

Maxstadt [makʃtat] est une commune française, faisant partie de l'Agglo Saint-Avold Centre mosellan, située dans le département de la Moselle et le bassin de vie de la Moselle-Est, en région Grand Est.

Maxstadt
Maxstadt
l'église Saint-Jacques-le-Majeur.
Blason de Maxstadt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Forbach-Boulay-Moselle
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint-Avold Synergie
Maire
Mandat
Sébastien Lang
2020-2026
Code postal 57660
Code commune 57453
Démographie
Gentilé Maxstadtois
Population
municipale
297 hab. (2020 en diminution de 9,17 % par rapport à 2014)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 42″ nord, 6° 47′ 39″ est
Altitude Min. 259 m
Max. 308 m
Superficie 7,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Avold (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sarralbe
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Maxstadt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Maxstadt
Géolocalisation sur la carte : Moselle
Voir sur la carte topographique de la Moselle
Maxstadt
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Maxstadt
Liens
Site web http://www.maxstadt.fr

    Depuis le dernier recensement de 2009 à 2013, la population a fortement augmenté de 10,5 % en passant de 295 à 326 habitants. Ses 326 habitants vivent sur une superficie totale de 7,91 km2 avec une densité de 41 habitants par km2 et une moyenne d’altitude de 283,5 m.

    Biding, Barst, Leyviller, Altrippe, Frémestroff, Laning, Lixing-lès-Saint-Avold et Vahl-Ebersing sont ses villages voisins[1].

    La grande ville la plus proche de Maxstadt est Saint-Avold et se trouve à 9,5 kilomètres au nord à vol d'oiseau [2].

    Les gares ferroviaires les plus proches de Maxstadt sont à Valmont, (Gare TER de Sain-Avold ; 9,9 kilomètres) et Forbach (Gare TGV de Forbach ; 23,4 kilomètres).

    Bien qu'aucun gentilé officiel ne soit déposé, les habitants du village ont pour habitude de s'appeler les "Maxstadtois".

    Géographie

    Localisation

    Carte de la commune de Maxstadt et des communes limitrophes.
    Le centre du village et l'église Saint-Jacques-le-Majeur.

    Maxstadt est une commune située dans le département de la Moselle (région de Lorraine). Sa superficie est de 7,91 km2. Maxstadt porte le code Insee 57453 et est associée au code postal 57660. Elle se situe géographiquement à une altitude de 280 mètres environ[3]. À vol d'oiseau, elle se situe à 45 km de Metz[4], préfecture du département. La commune fait partie du bassin de vie de Saint-Avold[F 1] dont elle est éloignée de 9,5 km[2].

    Son paysage est constitué de vastes prairies, de terres labourables et de forêts. De petits ruisseaux, affluents du Langenbach puis de la Nied allemande, encerclent le village par l'est.

    Communes limitrophes

    Les communes les plus proches sont : Laning (1,5 km), Biding (1,7 km), Altrippe (2,5 km), Lixing-lès-Saint-Avold (km), Vahl-Ebersing (km), Fremestroff (3,1 km), Leyviller (3,4 km), Barst (km), Freybouse (4,4 km) et Cappel (5,2 km)[1]

    Hydrographie

    La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de l'Étang de Maxstadt, le ruisseau le Graben et le ruisseau le Langenbach[Carte 1].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Maxstadt.

    Urbanisme

    Typologie

    Maxstadt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Avold (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,6 %), prairies (23,8 %), forêts (12 %), zones urbanisées (3,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Logement

    En 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 131, alors qu'il était de 92 en 1999[F 2]. Cette augmentation suit la hausse démographique, la commune ayant gagné 74 habitants dans l'intervalle[F 3].

    En 2013, parmi ces logements, 94 % étaient des résidences principales et 6 % des logements vacants. Notons qu'il n'y a pas de résidences secondaires. Ces logements étaient pour 95,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,5 % des appartements[F 4].

    La même année, 94,4 % des résidences principales étaient occupées par leur propriétaire et 3,2 % par des locataires. Le taux de propriétaires a stagné en quatorze ans, puisqu'il était de 94 % en 1999[F 5].

    En 2013, sur les 124 ménages habitant la commune, 5 soit 4 % y vivaient depuis moins de deux ans, 15 ménages, soit 12,1 % y vivaient depuis deux à quatre ans, 30 ménages, soit 24,2 % y vivaient depuis cinq à neuf ans, et 74 ménages soit 59,7 % depuis plus de dix ans[F 6]

    Évolution du nombre de logements par catégorie et type de logements[F 4]
    1999 2006 2008 2013
    Ensemble 9294108131
    Résidences principales 8391104124
    Résidences secondaires et logements occasionnels 0000
    Logements vacants 9348
    Maisons 8891106126
    Appartements 4326

    Toponymie

    Extrait du : Dictionnaire Topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868[12] :

    Outre les noms dont la terminaison en -ac représentait un enclos ou domaine rustique, les Gaulois en avaient d’autres dont la terminaison -mag donnait l’idée d’une construction plus importante, terminaison que les Romains ont transformée en magus et dont nous avons fait meix dans le vieux langage français. Les « Maxes », « Mégange », etc. ont conservé la trace de cette forme de noms.

    • Forme ancienne : Machistat, date 875 (abbaye. Sainte-Glossinde. charte. Louis le Germanique).
    • Forme ancienne : Madastat, date 960 (abbaye Saint-Pierre, charte Othon Ier)
    • Forme ancienne : Machestat, date 962 (abbaye Sainte-Glossinde charte conf.)
    • Forme ancienne : Madalsteit, date 993 (abb. Saint-Pierre, charte Othon II)
    • Forme ancienne : Makestach, date 1293 (abb. Sainte-Gloss. état des biens)
    • Forme ancienne : Mackstadt, date 1365 (Kremer, Ard. Gesch. II, 509)
    • Forme ancienne : Maxtat, date 1377 (abb. Sainte-Gloss. Liasse Maxstadt)
    • Forme ancienne : Magstadt, date 1441 (arrêt de réunion de 1680)
    • Forme ancienne : Maixtadt, date 1429 (archives Historiques de A11)
    • Forme ancienne : Mackstat, date 1471 (cartulaire év. de Metz, t. V, p. 146 V°v)
    • Forme ancienne : Maxstatd, date 1525 (Henri Lepage, documents inédits sur la guerre des rustauds 1861)
    • Forme ancienne : Machstat et Magstat, date 1544 (pouillé de Metz)
    • Forme ancienne : Magstatt, date 1595 (archives de Saint-Avold, charte du duc Charles)
    • Forme ancienne : Magstat, date 1609 (abb. Sainte-Gloss. liasse Host)
    • Forme ancienne : Maxtat, date 1779 (Dur. Lorr.)
    • Forme ancienne : Marcstatte, date 1793 (Bulletin des lois de la Republique Francaise - Volumes 3 à 4 - Page 266)
    • Forme ancienne : Marcstatte, date 1826 (Collection complète des lois, décrets d'intérêt général, ... - Page 98)
    • Forme ancienne : Magtat, (carte Cassini)
    • Forme ancienne : Maxtadt, (carte de l'État-Major)

    Extrait de : Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Volumes 2 à 4[13] :

    Le nom de la commune provient à la fois du patronyme d’un homme germanique Mago (changer en Macho) et du suffixe issu de l’ancien haut allemand Statt (la place, la localité). La première mention du nom de la commune Machistat (ou Maxtat) qui atteste de la réunion de ces deux éléments, remonte à l’an 875. À partir du Xe siècle, la composition du nom connaît quelques modifications : on passe à la graphie Machestat en 962, puis Malchistat en 974 ou encore Machistat en 1139. Vers 1322, le « h » cède sa place au « k » afin d’obtenir Makestat et Mackstat/Mackstadt en 1365 tandis que la lettre « x » caractéristique de l’orthographe actuelle apparaît en 1377 avec le nom Maxstat. Suit une période pendant laquelle la commune est connue sous l’appellation Magstadt de 1441 à 1779 avant de prendre le nom de Maxstatt. Le toponyme se fixe définitivement en 1869, ayant été maintenu dans cette graphie durant les deux annexions de l'Alsace-Moselle (1871-1918 et 1940-1945).

    Histoire

    Le village appartenait, dès le IXe siècle, à l'abbaye Sainte-Glossinde de Metz. Il faisait communauté avec Hoste, et était siège d'une justice haute, moyenne et basse en 1681, sous la châtellenie de Hombourg. — Cure de l’archiprêtré de Morhange, qui avait pour annexe Barst et dépendait de l’abbaye Sainte-Glossinde. — Il y avait de plus une chapelle dédiée à sainte Odile[12].

    De 1751 à 1790, Maxstadt faisait partie du bailliage de Boulay, sous la coutume de l'Évêché de Metz[12].

    De 1790 à 1802, le village fit partie du canton de Hellimer puis passa en 1802 dans le canton de Grostenquin[12].

    Depuis le : fait partie du canton de Sarralbe.

    Politique et administration

    Situation administrative

    D'un point de vue administratif, Maxstadt est une petite commune du département de la Moselle, dépendante de la sous-préfecture de Forbach, située dans le canton de Sarralbe de l'arrondissement de Forbach-Boulay-Moselle.

    Maxstadt est membre de l'Agglo Saint-Avold Centre mosellan.

    Maxstadt relève de la quatrième circonscription de la Moselle, dont le député est Alain Marty (UMP) depuis les élections de 2012[14]

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[15]

    Depuis les élections municipales de 2014, Sébastien Lang, tête de liste, a été élu dès le premier tour et a proposé de s'entourer de 3 adjoints. Le maire de Maxstadt a donné son parrainage à Jean-Luc Mélenchon pour l'élection présidentielle de 2017. Sur les 11 membres du conseil municipal, le maire et 3 autres conseillers sont issus du mandat précédent et 8 sont nouvellement élus. Le conseil municipal est composé de 3 femmes et 8 hommes[16]

    La mairie emploie une secrétaire, un ouvrier communal, un agent d'entretien et une responsable du bureau de Poste.

    Liste des maires

    La plupart des maires de Maxstadt ont effectué plusieurs mandats, et 21 maires différents se sont ainsi succédé depuis 1814. Deux maires ont effectué trois mandats successifs, il s'agit de Julien Thiel, en poste de 1956 à 1977, et Joseph Schmitt, de 1977 à 1995. Henriette Kinosky est la seule femme à avoir été élue maire de la commune de 1995 à 2001, sur l'ensemble des élus et sur ces 2 derniers siècles.

    Liste des maires successifs depuis 1814
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1947 Victor Kinosky
    1947 1956 Jean Reheis
    1956 mars 1977 Julien Thiel
    mars 1977 mars 1995 Joseph Schmitt
    mars 1995 mars 2001 Henriette Kinosky
    mars 2001 mars 2014 André Bousser UMP
    mars 2014 En cours Sébastien Lang
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].

    En 2020, la commune comptait 297 habitants[Note 3], en diminution de 9,17 % par rapport à 2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    276310425438504500499512485
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    457434363367378393366345270
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    256283277223239265259265269
    1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2020 -
    264252263259295327298297-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La forte augmentation de cette dernière décennie est due à l'aménagement d'un lotissement situé à l'ouest du village[F 7].

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (33,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,2 % la même année, alors qu'il est de 26,2 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 158 hommes pour 149 femmes, soit un taux de 51,47 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,92 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[21]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    2,1
    7,2
    75-89 ans
    11,7
    11,8
    60-74 ans
    15,9
    28,8
    45-59 ans
    25,5
    16,3
    30-44 ans
    20,7
    13,7
    15-29 ans
    6,9
    22,2
    0-14 ans
    17,2
    Pyramide des âges du département de la Moselle en 2018 en pourcentage[22]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,4
    6,7
    75-89 ans
    9,6
    16,6
    60-74 ans
    17,5
    21,5
    45-59 ans
    21,1
    19,3
    30-44 ans
    18,5
    17,8
    15-29 ans
    15,9
    17,6
    0-14 ans
    16

    Ménages

    En 2010, la commune comptait 124 ménages. La part de ménages d'une personne, 18,52 % correspondait presque à la moitié de la moyenne nationale, 34 %. En revanche, la proportion de ménages avec famille, 81,48 % à Maxstadt est bien plus importante que dans la France entière avec 66 %. Maxstadt est un village, résolument familiale, avec un taux de 48,15 % de ménages composés de 3 à 4 personnes.

    Les ménages en 2010
    Ménages de : 1 personne 2 pers. 3 pers. 4 pers. 5 pers. 6 pers. ou +
    Maxstadt 18,52 % 29,63 % 22,22 % 25,93 % 3,7 % 0 %
    France métropolitaine 34 % 33,07 % 14,48 % 12,21 % 4,56 % 1,69 %
    Sources des données[F 8]:'[23]

    Association Foncière[24]

    L'Association Foncière de Maxstadt (l'AF) a été créée à la suite du remembrement périphérique de la commune, effectué entre 1995 et 1997. Elle regroupe principalement les agriculteurs de la commune. Cette création a été indispensable car le remembrement a supprimé de nombreuses routes et chemins communal qui permettaient auparavant, l'accès aux différentes parcelles d'exploitations privées. Afin de garantir et facilité les accès aux nouvelles parcelles, l'AF a du recréer des routes et chemins privés supplémentaires, en cédant une partie de ses terres. Aujourd'hui, l'AF continue la gestion de l'entretien de ces routes et chemin privés ainsi que de leurs fossés de drainages.

    Amicale des Sapeurs Pompiers de Maxstadt[24]

    Le Corps et l'Amicale des Sapeurs Pompiers de Maxstadt, a été refondé en 1953 par M. Schmitt Joseph, chef de corps et président de l'amicale jusqu'en 1974. À partir de 1974, Raymond Kinosky prend le relai, puis il passe le flambeau en 1984 à Lucien Kieffer jusque vers 1995. Aujourd'hui, à cause d'un effectif trop faible et d'un manque de moyens, le corps et ses membres ont disparu, mais l'amicale existe toujours[25].

    Depuis le milieu des années 1990, Maxstadt dépend du centre d'intervention de Vahl-Ebersing.

    Les Amis de Chapelle[24]

    Attribut des Amis de la chapelle de Maxstadt (colorisé, non officiel).

    L'association « les Amis de la Chapelle » a été créée par la commune le , pour organiser la restauration de la chapelle Sainte-Odile du village.

    Elle a pour objectifs :

    • restaurer la chapelle Sainte-Odile ;
    • canaliser les énergies des personnes de bonne volonté qui désireraient prendre part bénévolement à cette restaurations ;
    • organiser le travail de ces bénévoles ;
    • tenir des assemblées périodiques ;
    • exercer toute activité et organiser toute manifestation propre à réaliser les buts que s'est fixés l'association ;
    • l'association ne poursuit aucun but lucratif, politique, ou religieux.

    Aujourd'hui, l'association organise, le de chaque année, une marche populaire et un repas afin de subvenir à l'entretien et au fonctionnement de la chapelle.

    Cultes

    Notre-Dame du Vahl.

    La paroisse catholique Saint Jacques de Maxstadt est regroupée en la Communauté de Paroisses Notre Dame du Vahl, qui fait partie de l'Archiprêtré de Saint-Avold, de la zone pastorale de Saint-Nabor, du diocèse de Metz.

    Cette communauté est composée de huit paroisses et ses messes sont régulièrement célébrées à[26] :

    L'église Saint-Jacques de Maxstadt appartient à la commune, qui entretient essentiellement le bâtiment et son extérieur. Les biens de la paroisse sont gérés par le conseil de fabrique, régi par le "droit local" toujours en vigueur dans les départements d'Alsace et de Moselle.

    Un autre lieu de culte catholique est aussi présent sur la commune : La chapelle Sainte-Odile.

    Appartenant également à la commune, sa gestion et son entretien intérieur sont effectués par l'association "Les Amis de la chapelle", créée en 1996 pour sa restauration.

    Un dernier lieu est à noter, il s’agit d'une grotte à Marie. Cette grotte privée appartient et a été construite par la famille Hertzog.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine historique

    • Vestiges de nombreuses villas (sites non fouillés).
    L'église Saint-Jacques-le-Majeur
    L'Église Saint-Jacques, patron de la paroisse.
    • 1762 : Construction de l'Église Saint-Jacques-le-Majeur
    • (...)
    • 1939 à 1945 : Détruite durant cette seconde guerre
    • 1950 à 1960 : Reconstruite en une église dite "moderne"
    • (...)
    • : Réfection du parvis de l'église ; aménagement d'une place de parking, d'un accès à l'église et de l'ancien cimetière, pour les personnes à mobilité réduite
    La Chapelle Sainte-Odile

    .

    La chapelle Sainte-Odile[24]

    La chapelle Sainte-Odile est une des rares chapelles du département qui soient dédiées à la grande sainte alsacienne Odile de Hohenbourg.

    La source qui s'y trouve était vénérée par nos ancêtres celtes comme déesse guérisseuse, son eau était de toute éternité connue pour guérir les maladies des yeux.

    Après les grands-parents druides qui y célébraient un culte à Sirona, Mithra ou autre déesse, un moine irlandais s'établit probablement dans cette thébaïde en y créant un ermitage.

    En 1267, le seigneur voué du village, Guillaume de Deneuvre-Blamont (54) y fit construire en l'honneur de son épouse Odile de Hénaménil une chapelle dédiée à sainte Luce et sainte Odile.

    Sainte Lucia, était une noble vierge de Syracuse, où elle vécut vers 400, donna tous ses biens aux pauvres et fit vœu de virginité, ce qui irrita son fiancé qui la fit assassiner. La martyre envoya ses yeux à son fiancé (qui en avait apprécié la beauté), pour le guider dans la vie. Elle est vénérée surtout en Suède, le , comme sainte Odile.

    Cette dernière est née vers 700, fille du duc d'Alsace Aldaric d'où est sortie la lignée des ducs de Lorraine. Son père avait voulu la faire périr parce qu'elle était née aveugle, sa mère la sauva et la confia à un couvent où elle guérit miraculeusement le jour de son baptême. Son père converti, lui offrit le château de Hohenbourg, situé au mont Sainte-Odile, où elle fonda un couvent. Elle fut proclamée patronne de l'Alsace.

    Jadis, à partir du , nos ancêtres fermaient hermétiquement, la nuit, portes et fenêtres afin d'empêcher les mauvais esprits, les sorciers et les démons d'y entrer et d'étouffer leurs bébés dans les berceaux et ou le bétail dans les étables. Pour les éloigner, les jeunes gens du village sillonnaient les rues en faisant claquer leurs fouets les 12 nuits précédent Noël.

    Autrefois, la chapelle se lovait au milieu d'arbres centenaires, un appentis la jouxtait servant d'abri aux pèlerins qui venaient nombreux de toute la région pour soigner leurs yeux malades.

    En 1588, le baron de Braubach, seigneur du lieu nomme un chapelain et ainsi notre chapelle deviendra irrégulièrement un bénéfice, où il est dit une messe par mois, alors qu'auparavant on y célébrait deux offices par semaine.

    En 1607, la chapelle disposait des revenus ci-après :

    15 jours de terres labourables, 7 fauchées de prés, 1chénevrière, 2 petits jardins au pourtour, 1 maisonnette, disparue pendant les guerres le tout rapportait 22 francs l'an.

    En 1734, Becker Antoine, encore séminariste se fit attribuer la chapelle en bénéfice par la cour souveraine de Nancy mais la communauté de Maxstadt fait opposition en prétextant que Becker a obtenu ce bénéfice par surprise alors que le curé y disait jusque-là une messe par semaine, le samedi.

    Becker prétend qu'il détient un titre en bonne et due forme fixant les messes à 13 par an, suivant une ordonnance de l'évêque datant de 1607 (adm.g.388) et que lors d'une convention de 1634 entre le chapelain Etienne Stock et le curé Fréminius fixait elle aussi les offices à 13 par an. L'abbé Becker, alors vicaire à Biding, disait bien une messe par semaine, mais lorsqu'il fut nommé curé de Roupeldange, qui se trouve à 28 km de Maxstadt, il fit dire par son chapelain 13 messes par an. Par ailleurs, Becker reproche aux habitants de Maxstadt d'avoir vendu la cloche de la chapelle de 100 kg à ceux de Biding pour s'en faire fondre une autre de 250 kg pour qu'elle s'accorde avec la sonnerie de celles de l'église et qu'ils ont même fait limer le nom du chapelain sur la vieille cloche de la chapelle. Il s'ensuivit une suite de procès de 1742 qui ne finirent qu'à la Révolution. Becker propose de dire les messes à Roupeldange, car les vicaires de Biding, de Barst et Hoste refusent tous de les dires, car les ornements sont sales et moisis et qu'il faut chaque fois battre le village pour trouver un servant de messe. Enfin, dans les dernières années de la Révolution, Becker âgé et impotent ne viendra que deux fois par an dire la messe à la chapelle.

    Chronologie de la chapelle :

    • dès la nuit des temps, source déesse des celtes
    • VIIIe siècle, ermitage probable
    • 1267, édification de la chapelle
    • 1588, nomination d'un chapelain par Braubach
    • 1607, ordonnance évêchoise fixant 13 messes par an
    • 1622, la chapelle est gravement ruinée par la soldatesque
    • 1634, convention entre le chapelains et le curé
    • 1718, restauration par les habitants
    • 1721, l'évêque ordonne la séparation du bénéfice
    • 1734, le bénéfice est attribué aux séminaristes Becker de Maxstadt
    • 1742, début des procès et conclusion en 1775
    • 1794, la femme Martin Hemmer, arrière-grand-mère de Mélanie Martin, se rendit à pieds au district de Sarreguemines pour acquérir pour 100 francs la chapelle comme hangar agricole pour la sauver des destructions révolutionnaires
    • 1811, la communauté rachète la chapelle aux Martin pour le même prix et la restaure
    • 1856, chaque semaine s'y déroule un marché très fréquenté
    • 1940-1945, lors de la libération du village, la chapelle est l'un des rares bâtiments qui a échappé aux destructions de la guerre.
    • 1996-2004, quatrième restauration et inauguration le en présence de Pierre Raffin, évêque de Metz.
    Élément de la ligne Maginot Aquatique
    Insigne régimentaire du 82e Régiment d'infanterie.

    La fortification présentent sur la banc de Maxstadt faisait partie du Secteur fortifié de la Sarre. Il dépendait du sous secteur de Leyviller et était sous les ordres du 82e régiment d'infanterie (France) (82° RMIF)[27]

    Aux alentours ou sur le banc, on peut y trouver :

    • Le P.A. de Maxstadt
    • Le P.A. du Weiher
    • La Casemate MC19
    • La défense du bois du Schirmenstuden
    • Les blockhaus du Strangetzel
    • Blockhaus du Rebberg
    • Les observatoires du Rebberg
    • Le P.A. du Scheidwald


    Dans le P.A. du Weiher, se trouve le Blockhaus 2 (ou C5B - Weiher 2[28]). Ce petit blockhaus antichar est une curiosité probablement unique sur l'ensemble de la Ligne Maginot. Il possède en effet dans sa chambre de tir des rails à voie de 60 ! Ceux-ci, disposés à angle droit et ayant en commun une plaque tournante, permettaient à un chariot supportant l'affût d'un canon AC de 47 M de se déplacer d'un créneau à l'autre et donc d'agir alternativement dans deux directions à 90° (c’est un "affût pivot"). On ignore comment le recul du canon était absorbé par le chariot[29]...

    La Fontaine Saint Jacques[24]
    La fontaine Saint-Jacques.
    La fontaine Saint-Jacques actuelle.

    C’est proche du centre du village, non loin de l’église, en face de la rue de la Fontaine et à l’entrée de la rue de la Chapelle, que se dresse fièrement depuis le début du XXe siècle, cette belle fontaine dédiée à saint Jacques le Majeur, patron de la paroisse.

    Avant que ce monument soit érigé, c’est en 1881 que s’achevèrent les premiers travaux de captage de la source du lieu-dit « Rohr » entre les parcelles 172 et 173, ainsi que la canalisation, longue de plus de 800m, acheminant son eau jusqu’à deux points d’eau dans le village. Un dans la rue de la Fontaine au lieu « am winkeller » (les caves à vin) et un autre à l’entrée de la rue de la Chapelle, en face de l’ancienne boulangerie-épicerie. C’est ce dernier point d’eau qui deviendra « La fontaine St. Jacques ».

    À leurs origines, les deux points d’eau devaient avoir le même aspect et étaient indispensable aux habitants car ils servaient d’abreuvoir pour leurs chevaux et leur bétail, quand ceux-ci allaient ou rentraient des champs.

    C’est plus de vingt ans plus tard, que le conseil municipal, présidé par le maire Jean Schwartz (1841-1909), décide la rénovation de la fontaine située à l’entrée de la rue de la Chapelle. Aujourd’hui encore, on peut y lire sur le monument : « Erneuert durch den burgermeister Schwartz » (restauré par le maire Schwartz).

    L’étude et le suivi furent confiés au « wiesenbaumeister » Braunstetter (l’architecte Braunstetter), de Faulquemont.

    Le montage de l’ensemble fut confié au maçon Jean Kinosky de Biding (village voisin de Maxstadt), que tout le monde surnommait « Meister Kinosky » (Maitre Kinosky) et qui était bien connu des anciens de son village. Quelques-uns de ses ouvrages sont encore visibles aujourd'hui à Biding et notamment, la grotte dans l’entrée de l’église, ainsi que les deux maisons Estreich et Helleringer, encore présentes à la sortie du village vers Vahl-Ebersing.

    L’ensemble des pierres qui constituent l’ouvrage sont des pierres de Jaumont extraites des carrières de Roncourt.

    Les travaux de terrassement et d’installation débutèrent après la Toussaint de 1903 et s’achevèrent le de cette même année.

    Le monument est solidement ancré sur un socle de pierres, aujourd’hui disparu sous un remblai d’une épaisseur d’un demi mètre environ, à la suite des travaux de réaménagement du village, à la dernière guerre.

    Jean Kinosky eut toutes les peines du monde pour ériger le monument, surtout pour la stèle de grande taille et dont le poids était excessif pour les faibles moyens de levage qui existaient à cette époque dans nos campagnes. Ce n’est qu’au soir du jeudi que « le meister » eut l’idée d’utiliser un palan monté sur des rails afin de pouvoir mettre rapidement en place la stèle sur le socle de pierre et la statue sur sa stèle.

    La stèle est un gros bloc monolithe sur lequel figure la mitre épiscopale qui rappelle que Maxstadt était jadis propriété de l’Évêque de Metz. C’est aussi de cette pierre que s’écoule l’eau de la source par l’intermédiaire de deux tuyaux en fonte reliés à la canalisation du captage.

    Enfin, la statue de saint Jacques le Majeur repose sur cette stèle et l’ensemble mesure environ 3,50 mètres aujourd’hui.

    Au début de l'après-midi du , il ne reste plus qu’à installer les deux abreuvoirs en tôle de grandes dimensions, pesant chacun plus de 500 kg et posés sur dix pierres de taille. Ces deux abreuvoirs furent fabriqués par l’entreprise Schmitt de St Avold. À l’origine, ils se rejoignaient bout-à-bout au centre du monument, d’où l’utilité des deux sorties d’eau (une pour chaque abreuvoir). Ce n’est que par la suite qu’ils ont été déplacés vers la droite, pour finalement disparaitre après-guerre.

    Aujourd’hui, il ne reste plus qu’un modeste bac en béton, posé devant le monument entre les années 1950 et 1960. Avec plus de 110 ans, le monument encore fonctionnel, est toujours visible comme un élément de décoration dans village.

    De même que pour le second point d’eau, toujours présent « am winkeller » et fonctionnel, sert encore aux agriculteurs, qui y viennent remplir leur citerne durant la belle saison, pour abreuver leur bétail dans les champs.

    Personnalités liées à la commune

    La commune ne comporte pas de personnalités particulières liées à son histoire.

    Notons tout de même qu'il existe de nombreuses familles aux États-Unis, portant le nom de "MAXSTADT". L’origine est-elle liée à la commune ? (des recherches sont en cours)

    Héraldique

    Blason de Maxstadt Blason
    Parti d'azur à la crosse d'or, et de gueules à la crosse contournée d'argent, à la bordure du même.
    Détails
    Le blason rappelle que Maxstadt était partagé entre trois abbayes : celle de Saint-Pierre de Metz, celle de Sainte-Glossinde de Metz (qui portait "d'azur, à sainte Glossinde surmontée d'une couronne portée par deux anges, le tout d'or") et celle de Saint-Avold (qui portait "d'azur, à un moine bénédictin tenant de la dextre un livre ouvert et de la senestre une crosse abbatiale posée en barre, le tout d'or")[30].

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Maxstadt » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).

    Site de la mairie

      Fiche Insee de la commune

      1. « Fiche communale », sur http://www.insee.fr/ (consulté le ).
      2. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
      3. POP T1M - Population.
      4. LOG T2 - Catégories et types de logements.
      5. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
      6. LOG T6 - Ancienneté d'emménagement dans la résidence principale en 2013.
      7. POP T2M - Indicateurs démographiques.
      8. « MEN1 - Ménages par taille du ménage et catégorie socioprofessionnelle de la personne de référence - Extrait du tableau, commune 57453 », INSEE (consulté le ).

      Autres sources

      1. « Villes les plus proches de Maxstadt », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
      2. « sur le site lion1906 de Lionel Delvarre », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
      3. http://www.lion1906.com/departements/moselle/maxstadt.php
      4. « Orthodromie entre "Maxstadt" et "Metz" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
      5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Avold (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
      9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      12. Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868, Paris, Impr. nationale, 1874.
      13. Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, volumes 2 à 4.
      14. « Site internet du ministère de l'Intérieur », sur http://www.interieur.gouv.fr/ (consulté le ).
      15. « Site internet du service public de la diffusion du droit » (consulté le ).
      16. « Site internet du ministère de l'Intérieur », sur http://www.interieur.gouv.fr/ (consulté le ).
      17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
      21. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Maxstadt (57453) », (consulté le ).
      22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Moselle (57) », (consulté le ).
      23. « MEN1 - Ménages par taille du ménage et catégorie socioprofessionnelle de la personne de référence - Niveau agrégé (France Métropolitaine) », INSEE (consulté le ).
      24. Extrait des archives présentes à la mairie du village
      25. « AMICALE DES POMPIERS », sur societe.com (consulté le ).
      26. « Site internet du Diocèse de Metz », sur http://metz.catholique.fr/ (consulté le ).
      27. « Le secteur fortifié de la Saare », sur le site FORT DE SCHOENENBOURG (67250 Hunspach - France) (consulté le ).
      28. « Blockhaus C5B - Weiher 2 », sur le site http://wikimaginot.eu (consulté le ).
      29. « La Ligne Maginot des intervalles, Page 4 sur 5 (Installations et curiosités diverses) », sur Le site de Jean-Bernard Wahl et de Félix Dimitric "Atlantik-Wahl Fortifications du 20e siècle" (consulté le ).
      30. « Maxstadt », sur Généalogie de la famille Bisval (consulté le ).

      Liens externes

      Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.