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Mauves-sur-Loire

Mauves-sur-Loire est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Mauves-sur-Loire
Mauves-sur-Loire
Le pont de Mauves, sur la Loire.
Blason de Mauves-sur-Loire
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Nantes Métropole
Maire
Mandat
Emmanuel Terrien
2020-2026
Code postal 44470
Code commune 44094
Démographie
Gentilé Malviens
Population
municipale
3 259 hab. (2020 en augmentation de 2,94 % par rapport à 2014)
Densité 221 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 17′ 49″ nord, 1° 23′ 32″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 84 m
Superficie 14,75 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mauves-sur-Loire
(ville isolée)
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Carquefou
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Mauves-sur-Loire
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Mauves-sur-Loire
Liens
Site web mauvessurloire.fr

    Géographie

    Situation de la commune de Mauves-sur-Loire dans le département de la Loire-Atlantique.

    Situation

    Mauves-sur-Loire est située sur la rive nord de la Loire, à 15 km au nord-est de Nantes.

    Transports

    La gare de Mauves-sur-Loire est desservie par des trains TER Pays de la Loire circulant entre Angers-Saint-Laud et Nantes.
    C'était, jusqu'au , le seul moyen de transport collectif qui permettait aux malviens de rejoindre les autres communes formant Nantes Métropole, puisque Mauves fut la seule commune de l'agglomération nantaise à ne pas être desservie par le réseau TAN. Cependant, depuis cette date, cette situation d'exception a pris fin avec la mise en service de la ligne 67 qui circule entre Thouaré, le bourg et la commune du Cellier (qui ne fait pas partie de Nantes Métropole), qui remplaça la ligne 49 du réseau Lila (devenue Aléop en 2019). Cette navette possède une correspondance avec la ligne C7[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 794 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Haie-Fouassière », sur la commune de La Haie-Fouassière, mise en service en 1960[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 843,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 22 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Mauves-sur-Loire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mauves-sur-Loire, une unité urbaine monocommunale[18] de 3 215 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,6 %), prairies (24,3 %), terres arables (13,9 %), zones urbanisées (11,5 %), forêts (5,2 %), eaux continentales[Note 6] (3,6 %), zones humides intérieures (2,9 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées [Ecclesia sancti Dyonisii de] Malva[25], Malvam en 1123[26], et en 1287[27].

    Selon la plupart des étymologistes, le nom de Mauves se réfère à la couleur mauve d'une plante, la fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), qui poussait autrefois en abondance dans la Prairie de Mauves, sur les bords de la Loire[28] - [29].

    Le nom de Mauves en gallo, la langue d'oïl locale, est Mauv selon l'écriture ELG[30], ou Môv selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce [mov][31].

    En breton, son nom est Malvid [32].

    Histoire

    Lors de la période gallo-romaine, Mauves est une agglomération secondaire à la limite de la civitas des Namnètes. Le site de la ville présente les traces d'un habitat permanent, peut-être dispersé, et les éléments d'un sanctuaire[33] de pèlerinage, avec temple, thermes et édifice de spectacles[34].

    Emblèmes

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    De pourpre à la champagne d'argent surmontée d'un temple romain du même.
    Commentaires : Le temple romain rappelle que Mauves-sur-Loire fut un établissement religieux au temps de l'occupation romaine. Blason conçu par l'héraldiste Michel Pressensé (délibération municipale du ), enregistré en 1981.

    Devise

    La devise de Mauves-sur-Loire : Hodie Bona Gomina Mala Via Cras Optima. Devise qui remonte à 1852, lorsque le Vicomte De Bouyo instaura la première dime annuelle Bona Fide Barilla ouvrant la voie à la révolte fermière « du gros chêne » de 1854.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    novembre 1944 mars 1959 Marie-Paule Pasquier[Note 9]
    mars 1959 mars 1971 Jean Rivet[Note 10] Propriétaire, maire honoraire
    mars 1971 mars 1989 Gustave Dupé[Note 11]
    mars 1989[35] mars 2001 Jean-Claude Jouin[Note 12] Artisan
    mars 2001 mars 2014[36] Jean-François Retière[Note 13] DVG Retraité
    Vice-président de Nantes métropole
    mars 2014[37] mai 2020 Claudine Chevallereau[38] DVG Retraitée de l'Éducation nationale
    mai 2020[39] En cours Emmanuel Terrien SE Chef d’entreprise, ancien adjoint

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Mauves-sur-Loire est une ville isolée qui fait partie de l'aire urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Nantes[40]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 100 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses »[41].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[43].

    En 2020, la commune comptait 3 259 habitants[Note 14], en augmentation de 2,94 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7668921 0351 1051 1971 3691 4091 4761 482
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3911 3701 4171 3381 3481 3811 4141 3921 405
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3691 3221 2981 1761 1901 1001 0421 3031 448
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 3591 4031 7412 1392 1382 4082 8072 8603 033
    2015 2020 - - - - - - -
    3 2003 259-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,4 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 582 hommes pour 1 648 femmes, soit un taux de 51,02 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[46]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2,7
    5,3
    75-89 ans
    5,9
    14,7
    60-74 ans
    15,2
    24,2
    45-59 ans
    21,5
    19,0
    30-44 ans
    20,2
    15,0
    15-29 ans
    14,4
    20,9
    0-14 ans
    20,2
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[47]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Lieux et monuments

    En 1867, il fut la propriété des frères Jules et Victor Fleury. Ce dernier fut maire de la commune et beau-frère du Jules Verne qui y fit de nombreux séjours[51].
    La Droitière entre dans le domaine hospitalier en 1932 en tant que maison de convalescence privée, puis se transforme en sanatorium avec aménagement d'une galerie de cure.
    Le C.H.U. de Nantes acquiert le domaine en 1963 pour y installer un service de convalescents de 124 lits, puis un service de long-séjour de 150 lits pour personnes âgées dépendantes. L'ensemble des bâtiments a été fermé en 1990, après le départ des derniers patients pour l'hôpital Saint-Jacques, avant d'être vendu en 2000 à un groupe hôtelier qui souhaitait y ouvrir un hôtel de luxe, mais le projet a été abandonné[52] - [53].
    • Église Saint-Denis.
    • L'église Saint-Denis.
      L'église Saint-Denis.
    • Fontaine Saint-Denis.
      Fontaine Saint-Denis.
    • Villa de Beaulieu.
      Villa de Beaulieu.
    • Château de La Droitière
      Château de La Droitière

    Personnalités liées à la commune

    • Théophile Marie Legrand de La Liraÿe, missionnaire puis membre de l'administration coloniale en Indochine, y est né 25 juillet 1819.
    • Jules Verne y séjournait régulièrement chez l'une de ses trois sÅ“urs, Mathilde, épouse de Victor Fleury, qui fut maire de Mauves de 1870 à 1874 et de 1876 à 1884, lesquels demeuraient au château de La Droitière[53].
    • Patrick Jouin, designer français, né en 1967.

    Jumelages

    Voir aussi

    Bibliographie

    • La Loire-Atlantique des origines à nos jours, Saint-Jean-d'Angely, Éditions Bordessoules, , 2e éd., 463 p. (ISBN 2-903504-16-4)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Réélu en 1935.
    8. Nommé maire par le préfet de la Loire-Inférieure.
    9. Élue en 1945, réélue en 1947 et 1953. [PDF]
    10. Réélu en 1965.
    11. Réélu en 1977 et 1983.
    12. Réélu en 1995.
    13. Réélu en 2008.
    14. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Mairie, « Le Cellier (44) - Transports > Lila et Tan : LILA et TAN », sur mairie-lecellier.fr, (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Haie-Fouassière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Mauves-sur-Loire et La Haie-Fouassière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Haie-Fouassière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Mauves-sur-Loire et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Mauves-sur-Loire », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. A. MARTEVILLE et P. VARIN, vérificateurs et correcteurs d'Ogée. 1843.
    26. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 34.
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    28. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 429a.
    29. Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de villes et villages - Loire-Alantique, Saint-Jean-d'Angély, Éditions Boudessoules, , 287 p. (ISBN 2-913471-45-5), p. 169.
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    32. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    33. Martial Monteil, Yvan Maligorne, Gérard Aubin, Paul-André Besombes, Jean-Philippe Bouvet, David Guitton et al., « Le sanctuaire gallo-romain de Vieille-Cour à Mauves-sur-Loire (Loire-Atlantique) : bilan des connaissances », Revue archéologique de l'Ouest, vol. 26,‎ (DOI 10.4000/rao.861, lire en ligne, consulté le ).
    34. La Loire-Atlantique des origines à nos jours, œuvre collective, 1984, Éditions Bordessoules, (ISBN 2-903504-16-4), p. 81.
    35. « Jean-Claude Jouin maire aborde son premier mandat avec confiance », Ouest-France,‎ .
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    37. « Claudine Chevallereau devient la 2e femme maire de Mauves », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
    38. « Mauves. Claudine Chevallereau, de conseillère municipale à maire », Presse Océan,‎ (lire en ligne)
    39. Véronique Escolano, « Mauves-sur-Loire. Emmanuel Terrien, un jeune maire indépendant : Il n'avait jamais porté l'écharpe tricolore. Ce mardi 26 mai, Emmanuel Terrien est devenu officiellement maire de Mauves-sur-Loire à l'issue du conseil municipal. », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
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    43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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    49. "Notice n°PA44000055", base Mérimée, ministère français de la Culture
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    54. « Présentation de la commune », sur mauvessurloire.fr (consulté le ).
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