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Marboué

Marboué est une commune française située dans le sud du département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Marboué
Marboué
L'église Saint-Pierre
Logo monument historique Classé MH (1908)[1].
Blason de Marboué
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Châteaudun
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Châteaudun
Maire
Mandat
Gaëlle Chasseloup
2020-2026
Code postal 28200
Code commune 28233
Démographie
Population
municipale
1 156 hab. (2020 en augmentation de 4,71 % par rapport à 2014)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 06′ 50″ nord, 1° 19′ 50″ est
Altitude Min. 106 m
Max. 158 m
Superficie 26,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châteaudun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châteaudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Marboué
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Marboué
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Marboué
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Marboué
Liens
Site web http://www.marboue.fr

    Géographie

    Situation et géographie générale

    Le village de Marboué est situé dans la vallée creusée par la rivière le Loir. Le territoire de la commune s'étend jusque dans les dernières plaines de Beauce à l'ouest, où se situent quelques hameaux dépendants de cette commune : Mortiers, Vilsard, Anouillet, le Plessis, le Tronchet et Villarmoy.

    L'occupation du sol est dominée par la culture d'openfield sur une mince couche de limons fertiles posé sur un calcaire de Beauce assez argileux. Les cultures s'étendent jusque dans la plaine alluvionnaire de la vallée du Loir. La commune est désormais en situation périurbaine de la ville de Châteaudun.

    • Situation géographique
    • Marboué dans son arrondissement.
      Marboué dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Marboué.
      Carte de la commune de Marboué.

    Communes limitrophes

    Hameaux, lieux-dits et écarts

    • Anouillet : sur la route de Logron à Marboué, compte 24 habitants.
    • Écoublanc : lieu avec un moulin qui appartenait aux religieuses bénédictines de l'abbaye Saint-Avit-les-Guêpières. En , l'abbesse Catherine I d'Illiers de Balsac passe un marché devant le notaire Charles Mauduit pour faire procéder à la réparation des chaussées de ce moulin[2].
    • Mortiers : un hameau de 21 habitants, à proximité de Logron et de son hameau Le Grand Juday, également relié à Flacey et son hameau Chanteloup par un chemin herbeux.
    • Le Plessis : sur la route de Châtillon-en-Dunois, compte 40 habitants. L'ancienne seigneurie comportait un château dont il ne reste que des communs et un pigeonnier, devenu gîte rural, et était connue sous le nom de Le Plessis-Hugon.
    • Le Tronchet : au sud-ouest de la commune, compte 39 habitants et a conservé sa mare.
    • Villarmoy : dont le nom signifie « maison éloignée des importuns », compte 30 habitants.
    • Vilsard : du latin « maison bien tenue », est un hameau de 30 habitants.
    • Hameaux de Marboué
    • Mortiers
      Mortiers
    • Vilsard
      Vilsard
    • Anouillet
      Anouillet
    • Le Plessis
      Le Plessis
    • Le Tronchet
      Le Tronchet
    • Villarmoy
      Villarmoy

    Réseau routier

    La commune est située en zone périurbaine de Châteaudun, à km au nord et sur un axe routier important la route nationale 10, ce qui explique sa croissance démographique positive depuis 1982. Plus à l'ouest, la D 955, l'ancienne route nationale 155 reliant Orléans à Saint-Malo traverse également le territoire de la commune.

    Sources : Les contributeurs d'Openstreetmap, Corine Land Cover (European Environment Agency), Institut géographique national.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 631 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Châteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Marboué est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteaudun, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80 %), forêts (11,4 %), prairies (3,8 %), zones urbanisées (2 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Marboué est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Loir. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995, 1999 et 2021[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Marboué.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[23]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 71,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 553 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 448 sont en en aléa moyen ou fort, soit 81 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme latine Marboetum vers 1100[27].

    Histoire

    Préhistoire et antiquité

    De nombreuses traces d'occupation gallo-romaine concernent les environs de Marboué et, en premier lieu, la villa gallo-romaine de Mienne qui attira les spécialistes au XIXe siècle lorsqu'elle fut mise au jour lors de la construction du pont actuel sur le Loir. Les toponymes des hameaux Vilsart (ferme bien tenue) et Villarmoy (ferme en recul) en sont d'autres exemples.

    Moyen Âge, Renaissance et Grand Siècle

    Porte présumée appartenir à l'ancien château du Plessis-Hugon. Détermination par géoréferencement du cadastre napoléonien.

    Le Moulin d'Écoublanc, dont le nom se réfère à la confluence entre la Conie et le Loir, est connu dès le XIIIe siècle. Le Plessis-Hugon, dit aujourd'hui plus simplement Le Plessis, fut le siège d'une seigneurie avec une famille ayant plusieurs propriétés dans les environs. Du château, il ne subsiste que des communs.

    La route royale de Paris à Bayonne est bâtie vers 1777. Elle effectue un coude dans le village par une avenue jusqu'à un fragile pont de bois sur le Loir immédiatement à l'est de l'actuelle piscine, longe cette rivière momentanément et reprend sa course sur le plateau pour dépasser Châteaudun.

    XIXe siècle

    Au XIXe siècle, l’État entreprend plusieurs travaux dans le village. Il construit un pont et une déviation pour la route de Paris à Bayonne et améliore le moulin d'Écoublanc.

    En 1828, Marboué absorbe une partie de la commune de Saint-Lubin-d'Isigny et de ses hameaux, située sur le plateau ouest. Ce village disparait.

    Le maréchal Ney logea au château des Coudreaux.

    XXe siècle

    En juin 1938 est ouverte la piscine-plage de Marboué. Première en date du département, elle est remplie d'eau de la rivière.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, sous l'Occupation, le réseau Comète fait transiter les aviateurs alliés tombés au-dessus du Nord de la France et de la Belgique vers le camp de Fréteval, maquis de la Résistance.

    En , quelques jours après le débarquement, un groupe d'aviateurs (Johnson, Wickman, Hyde, Taylor, Blair, Krol) auparavant pour la plupart cachés à Paris, est en route vers le maquis de Fréteval à travers petites routes et chemins. Ils sont guidés par Virginia d'Albert-Lake et son mari Philippe, qui contribue au réseau à Paris, et Daniel Cogneau, professeur de gymnastique et résistant local sous le pseudonyme Henri.

    Le convoi est surpris à la sortie sud du lieu-dit le Plessis[28], alors qu'une voiture d'Allemands s'engage sur la petite route menant au hameau. Virginia, arrêtée alors que le reste du convoi réussit à s'enfuir dans les bosquets en lisière du hameau, ne révèle ni les noms et adresses des résistants Dunois rencontrés durant la route, ni aucune information mettant en danger le camp de Fréteval.

    Elle est déportée jusqu'à sa libération[29] et décorée de la Légion d'honneur.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Mars 1995 26 mai 2020 Serge Fauve PS Cadre bancaire
    Conseiller général du canton de Châteaudun (1998-2015)
    26 mai 2020 En cours Gaëlle Chasseloup Assistante commerciale en disponibilité


    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 1 156 habitants[Note 7], en augmentation de 4,71 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6906456266868301 0441 0241 0471 107
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0871 0801 0901 017976971934948942
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0051 0281 001832830799793855900
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 0069519291 0151 0521 1171 1501 1571 113
    2017 2020 - - - - - - -
    1 1471 156-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    La commune a accueilli dans les années 2000, et à cinq reprises, le festival de la Vache Folle, un festival de musiques actuelles.

    Au début du XXIe siècle, le village accueillit une série de festivals musicaux (électlivals).

    Économie

    Sur le bord de la route nationale 10 existe une zone d'activités économiques avec notamment la présence de l'usine Ebly.

    La commune héberge aussi une centrale de méthanisation du groupe Vol-V qui injecte du biométhane dans le réseau de GRDF depuis 2018[34].

    Culture locale et patrimoine

    Château des Coudreaux

    Logo monument historique Inscrit MH (1984)[35]. Le château fut construit au XVIIIe siècle sur l'emplacement d'un ancien manoir. le maréchal Ney y habita[36].

    Église Saint-Pierre

    Logo monument historique Classé MH (1908)[1]. L'église possède un clocher commencé au XIIIe siècle et terminé à la Renaissance.

    Villa gallo-romaine du Croc-Marbot

    Elle fut fouillée au XIXe siècle. Une mosaïque et des chapiteaux du Ve siècle sont en dépôt au musée des Beaux-Arts et d'Histoire naturelle de Châteaudun.

    Cimetière mérovingien

    Il est situé à l'est du village.

    Carrières de pierres

    Ce sont des carrières souterraines, installées dans le coteau du Loir en aval du village, transformées en partie en champignonnière. On peut y voir des restes d'un four à chaux troglodytique.

    • Lieux et monuments de Marboué
    • Le château des Coudreaux entre 1900 et 1920.
      Le château des Coudreaux entre 1900 et 1920.
    • L'église Saint-Pierre, mur nord.
      L'église Saint-Pierre, mur nord.
    • L'église Saint-Pierre, ancien portail.
      L'église Saint-Pierre, ancien portail.

    Personnalités liées à la commune

    • Clément Marot (1496-1544) séjourna à Marboué dans l'ancien manoir des Coudreaux[35] ;
    • Le maréchal Ney (1769-1815) résida au Château des Coudreaux de 1808 à 1815[35] ;
    • Jules Péan (1830-1898), chirurgien, est né à Marboué le . Une rue de la commune et de la ville de Châteaudun porte son nom.

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    taillé au 1) d’azur à l’église d’argent, au 2) coupé de gueules et d’azur au pont droit de quatre arches d’argent maçonné de sable mouvant du flanc senestre et des traits de partition.

    Anecdote

    La commune est le lieu d'une anecdote devenue légende locale, La complainte des amants de Marboué : au début du XIXe siècle, deux amants, les amants de Marboué, se sont suicidés, ne pouvant obtenir l'accord pour se marier de leurs familles respectives[37].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Clocher de l'église », notice no PA00097149, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    2. Archives départementales d'Eure-et-Loir, no E.3530.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Châteaudun - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Marboué et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Marboué », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Marboué », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    27. Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France : essai de toponymie, Errance, , p. 39.
    28. (en) Judy Barrett Litoff, The Diary and Memoir of Virginia d'Albert-Lake, an American Heroine in the French Resistance.
    29. Ludovic Lebreton, Août 1944, l'été de la Libération, Mémoire et Histoire, , 42 p., p. 14.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « À Marboué, l'usine de méthanisation inaugurée aujourd'hui produit gaz et engrais », sur lechorepublicain.fr/, (consulté le ).
    35. « Château des Coudreaux », notice no PA00097148, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Frédéric Levent, « Quand le château des Coudreaux, à Marboué, était la propriété du maréchal Ney », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
    37. Albert Sidoisne, Les Amants de Marboué, Chartres, Impr. de M. Marchand, s.d., 27 p., In-8° (BNF 31364393).
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