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Mairé-Levescault

Mairé-Levescault est une commune française, située dans le département des Deux-SÚvres en région Nouvelle-Aquitaine.

Mairé-Levescault
Mairé-Levescault
Le Pigeonnier de Mairé-Lévescault 79
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Deux-SĂšvres
Arrondissement Niort
Intercommunalité Communauté de communes Mellois en Poitou
Maire
Mandat
Dorick Barillot
2020-2026
Code postal 79190
Code commune 79163
DĂ©mographie
Population
municipale
510 hab. (2020 en diminution de 10,99 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 29 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 09â€Č 18″ nord, 0° 04â€Č 57″ est
Altitude Min. 130 m
Max. 159 m
Superficie 17,38 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Melle
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Mairé-Levescault
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Mairé-Levescault
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Mairé-Levescault
Liens
Site web www.maire-levescault.fr

    GĂ©ographie

    la commune se trouve Ă  2,5 km de SauzĂ©-Vaussais

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 875 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Hanc », sur la commune de Valdelaume, mise en service en 1977[7] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 878,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Niort », sur la commune de Niort, mise en service en 1958 et Ă  46 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  12,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Mairé-Levescault est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (80,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (84,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (64,6 %), forĂȘts (13,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,4 %), zones urbanisĂ©es (5,7 %), prairies (5,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de MairĂ©-Levescault est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mairé-Levescault.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[22]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[23]. 87 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (54,9 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 7] - [24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010, par la sécheresse en 2003 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].

    Toponymie

    Les formes anciennes de Mairé sont : Sanctus Junianus abbas Mariacensis 838[25], in villa que vocatur Matriaco 969[26], apud Mariacum Episcopalem 1085[27], S. Juriani de Mairiaco 1118[28], Mayrec 1260[29], Mayriec 1276[30], Mayré, Mairé 1782[31].

    Le nom de la commune est formĂ© sur episcopia, appartenant Ă  l'Ă©vĂȘque[32].

    Histoire

    En 559, Clotaire Ier, fils de Clovis, au cours d'un sĂ©jour Ă  chĂąteau de Javarzay, lieu fortifiĂ© qui lui appartenait, et oĂč fonctionnait un de ses ateliers monĂ©taires aurait donnĂ© Ă  Junien des terres Ă  MairĂ©, oĂč il fonda une communautĂ© monastique. La femme de Clotaire, qui devint sainte Radegonde, lui tĂ©moigna son amitiĂ©, Junien serait mort le mĂȘme jour qu'elle, le 13 aoĂ»t 587, et il fut inhumĂ© dans son monastĂšre de MairĂ©, devenu l'Évescault parce que dĂ©pendant alors directement de l'Ă©vĂȘque de Poitiers[33]. Depuis, l'Ă©glise fut placĂ©e sous le vocable de saint Junien du pays de MairĂ© ('Sanctus Junianus Mariacensis) comme attestĂ© en 838 (cf. toponymie).

    En 794, ce qui reste du monastĂšre aprĂšs les guerres de PĂ©pin le Bref est rattachĂ© Ă  l'abbaye de NouaillĂ©. En 830, les reliques de Junien aprĂšs avoir sĂ©journĂ© 250 ans Ă  MairĂ©, quittĂšrent le village et furent transfĂ©rĂ©es solennellement dans la crypte de l'Ă©glise de l'abbaye de Saint-Junien de NouaillĂ©. Son sarcophage, dĂ©corĂ© de trois aigles d'Ă©poque carolingienne, est aujourd'hui dans le chƓur de 1690[34].

    Une bulle du pape Gélase II en 1118 confirme la possession de l'église de Saint-Junien de Mairé (Mairiaco) par l'abbaye de Nouaillé[28].

    A la Révolution l'église fut "pillée et dévastée". En 1814 elle fut vendue ainsi que les restes de l'abbaye, puis démolie en 1830[34].

    En 1839 une nouvelle église fut reconstruite dans une ancienne grange. Deux chapiteaux romans aux angles du mur de façade, ainsi que deux modillons dans le muret à gauche[34].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1995 ? Michel Guyton PS Professeur de lycée - Député (1985-1986)
    Conseiller général du canton de Sauzé-Vaussais (1973-1992)
    mars 2001 En cours Dorick Barillot PS puis DVG conseiller général du canton de Sauzé-Vaussais (2004-2015)
    Conseiller départemental du nouveau canton de Melle (depuis 2015)

    DĂ©mographie

    À partir du XXIe siĂšcle, les recensements rĂ©els des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour MairĂ©-Levescault, cela correspond Ă  2007, 2012, 2017[35], etc. Les autres dates de « recensements » (2006, 2009, etc.) sont des estimations lĂ©gales.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9469969701 0261 2081 2981 2441 3361 263
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2031 1691 0961 0751 1851 1031 0281 060921
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    898865879783776730697673606
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    590520513521527505539544571
    2017 2020 - - - - - - -
    532510-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Hanc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Mairé-Levescault et Valdelaume », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Hanc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Mairé-Levescault et Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Niort - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Mairé-Levescault », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-SÚvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    25. DOM MABILLON Annales Ordinis S. Benedicti Occidentalium Monachorum Patriarchae, (1703), t. 1, p. 194.
    26. Archives du Poitou (1874), t. 3, p. 252.
    27. Archives Historiques du Poitou (1886), t. 16, p. 191.
    28. MIGNE (J.P.) Patrologiae Cursus Completus: Series Latina (1854), t. 163, p. 502B. En ligne
    29. BARDONNET (A.) Hommages d'Alphonse comte de Poitier frere de saint Louis. (1872), p. 43.
    30. SYLVANUS LA DU (M.) Chartes et documents poitevins du XIIIe siĂšcle en langue vulgaire, (1964), t. 2, p. 174.
    31. BEAUCHET-FILLEAU (H.) Pouillé du diocÚse de Poitiers (1868), p. 29.
    32. GĂ©raud Lavergne, « Les noms de lieux d'origine ecclĂ©siasticque » (sic), Revue d'histoire de l'Église de France, Tome 15, no 68, 1929, p. 324.
    33. Les petits Bollandistes, vies des saints (1876), t. 9, 24 juil-17 aoĂ», pp. 506-510; p. 559. Gallica en ligne
    34. LEFEBVRE (Jacques) Les Ă©glises du Mellois (2008), p. 185.
    35. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. nominis.cef.fr Nominis : saint Junien du Poitou.
    39. www.forum-orthodoxe.com Forum orthodoxe francophone : Saints pour le 13 août du calendrier ecclésiastique.
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