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Lys-lez-Lannoy

Lys-lez-Lannoy [lis le lanwa] est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.

Lys-lez-Lannoy
Lys-lez-Lannoy
La mairie.
Blason de Lys-lez-Lannoy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Charles-Alexandre PROKOPOWICZ
2020-2026
Code postal 59390
Code commune 59367
Démographie
Gentilé Lyssois
Population
municipale
13 797 hab. (2020 en augmentation de 2,75 % par rapport à 2014)
Densité 4 232 hab./km2
Population
agglomération
1 053 636 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 50° 40′ 20″ nord, 3° 12′ 55″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 39 m
Superficie 3,26 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lille (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Croix
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Lys-lez-Lannoy
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Lys-lez-Lannoy
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Lys-lez-Lannoy
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Lys-lez-Lannoy
Liens
Site web http://lyslezlannoy.fr/

    Géographie

    Localisation

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    Lys-lez-Lannoy est attenante à la ville de Roubaix, à proximité de la Belgique. Cette ville est située dans le canton de Croix depuis 2015, avant cette date la ville était comprise dans le canton de Lannoy.

    Elle fait partie de l'arrondissement de Lille, de la Métropole européenne de Lille et de la septième circonscription du Nord.

    Communes limitrophes de
    Lys-lez-Lannoy
    Roubaix Leers
    Lys-lez-Lannoy
    Lannoy

    Hem
    Toufflers

    Quartiers

    • Bon Poste-Nouveau Monde
    • Justice-Lavandière
    • Cohem-Vert Pré
    • Centre
    • Fresnoy
    • Saint-Luc

    Transports

    La ville est traversée par diverses lignes de bus de Ilévia par exemple les lignes Liane 3 (L3), 37,16 … Par le passé, jusque dans les années 1980, la ville possédait une gare commune avec la ville de Lannoy appelée Lannoy-Lys et une ligne de Mongy (Tramway) reliant la ville de Toufflers à Roubaix. La gare est édifiée en 1878 et détruite en 1983[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 692 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roubaix », sur la commune de Roubaix, mise en service en 1965[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 833,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 12 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Lys-lez-Lannoy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[18] et 1 053 636 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième de France en nombre d'habitants, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (99,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (91,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (70 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (29,8 %), terres arables (0,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Lannoy-du-Nord[25].

    Ses habitants sont appelés les Lyssois[26].

    Histoire

    Avant 1789

    Des fouilles archéologiques menées en 1984 ont permis de prouver que le territoire de Lys était occupé dès l'époque gallo-romaine. Le premier document certain attestant l'existence de Lys-lez-Lannoy (orthographié Lis) date de 1164. L'histoire de cette ville est indissociable de la ville de Lannoy. Plusieurs fois ces villes furent en conflit à propos d'une fusion.

    Lys-les-Lannoy était avant la Révolution française, le siège de plusieurs fiefs donnant à leur possesseur le titre de seigneur.

    Millécamps était un de ces fiefs. Peu avant 1789, il est détenu par un membre de la famille de Ghesquière, seigneurs de Nieppe et de Stradin (sur Houthem), etc. : Ignace François Ghesquière (1710-1772), écuyer, fils de Pierre Ghesquière II, est seigneur de Stradin après son père. Il nait à Lille en janvier 1710 (baptisé le ). Après sa réclamation du , il est convoqué aux assemblées des nobles de Flandre. Il est également seigneur de Millécamps, fief pour lequel il verse le relief (paye les taxes) le au prince de Rohan (sans doute Charles de Rohan-Soubise) du fait de son marquisat de Roubaix. Il est ministre général de la bourse des pauvres, receveur de la maison des Vieux Hommes à Lille de 1741 à 1762. Il devient seigneur de Nieppe après la mort de son neveu Louis Balthazar Joseph, et en verse le relief le . Il meurt célibataire le [27] - [28].

    En 1772, Jean Marie Joseph Ghesquière (1755-1791) hérite du fief de Millécamps et succède à son oncle Ignace François. Il est le dernier seigneur de Millécamps (la Révolution française, abolit les titres de noblesse, de seigneur etc.). Jean Marie Joseph Ghesquière est le fils de François Michel Ghesquière, écuyer, seigneur de Nieppe, de Stradin, de Warenghien (sur Avelin), échevin de Lille, trésorier héréditaire de la ville de Lille, administrateur de la charité générale, marguillier de la paroisse de La Madeleine à Lille, et de Marie Claire Chappuzeau de Beaugé. Il nait à Lille en septembre 1755 (baptisé le ), meurt sans alliance à Lille le , est inhumé dans l'église de Nieppe. Il a été officier au régiment provincial de Lille en 1774[29]. Il est le frère jumeau de Michel Antoine Joseph Ghesquière(1755-1788), seigneur de Warenghien[30].

    Depuis 1789

    Au XIXe siècle, il y eut un mariage forcé des deux communes, proposé par le maire de Lannoy et autorisé par le préfet du Nord en . Le Conseil d'État, dans l'un de ses arrêts, a annulé cette union forcée le [1]. À la même époque, la ville se développe avec l'essor industriel. Elle accueille en particulier plusieurs filatures, laineries…

    La commune, au cours des deux guerres mondiales, a été occupée par les Allemands. Pour la Seconde Guerre mondiale, elle a été libérée par les troupes anglaises et polonaises qui ont stationné dans les châteaux de la ville de Lannoy.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1958 mars 1983 André Desmulliez SFIO-PS Député (1973-1978)
    juin 1995 Maurice Codron RPR
    mars 2008 Daniel Chabasse DVD
    mars 2014 Josianne Willoqueau PS
    mai 2020 Gaëtan Jeanne UDI
    En cours Charles-Alexandre Prokopowicz DVD

    Politique de développement durable

    La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[31].

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du Tribunal judiciaire de Lille, de la Cour d'appel de Douai, du Tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Lille Métropole, du Tribunal administratif de Lille et de la Cour administrative d'appel de Douai.

    Jumelages

    La ville de Lys-lez-Lannoy est jumelée depuis 1991 avec la ville de Lotte en Allemagne.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[32] - [Note 8].

    En 2020, la commune comptait 13 797 habitants[Note 9], en augmentation de 2,75 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7504076599039581 0721 1711 3751 349
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4841 7001 9832 4803 0273 7734 2954 8925 604
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    6 2256 5446 6486 2926 9197 2786 9506 5566 746
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    6 94310 41010 98411 07712 30013 01812 63213 37813 340
    2020 - - - - - - - -
    13 797--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 6 504 hommes pour 6 967 femmes, soit un taux de 51,72 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    0,3
    4,4
    75-89 ans
    6,9
    14,8
    60-74 ans
    15,4
    20,2
    45-59 ans
    20,9
    19,9
    30-44 ans
    19,8
    18,5
    15-29 ans
    18,2
    22,0
    0-14 ans
    18,5
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Écoles maternelles

    • Anatole-France
    • Marie-Curie
    • Paul-Bert
    • Saint-Luc (privé)
    • Petit-Prince

    Écoles primaires

    • Petit-Prince
    • Paul-Bert
    • Saint-Luc (privé)

    Enseignement secondaire

    • Collège Léon-Gambetta
    • E.R.E.A. établissement régional d'enseignement adaptée

    Manifestations culturelles et festivités

    gayant Astruc.

    La commune possède un géant (gayant) nommé Astruc mais celui-ci n'est pas l'original car il fut détruit dans un incendie au début du XXe siècle. Il fut reconstruit dans les années 1980 sous l'impulsion de l'adjoint à l'animation de cette époque, Daniel Chabasse, qui fut maire de la commune plus tard.

    • Éden du rire
    • Fête de la ville
    • Salon de la bande dessinée « Bulles en Nord »
    • Festivités du Fresnoy (fin aout)
    • Braderies annuelles des 1er et

    Sports

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Luc de 1904
    • Monument aux morts dans le cimetière
    • Monument du souvenir (guerre mondiale) dans le quartier du Bon Poste
    • Chapelle du Nouveau Monde

    Équipements culturels

    • L'espace culturel Agora
    • La Ferme du Gauquier

    Salles des fêtes

    • Salle des fêtes André-Desmulliez
    • Salle des fêtes Éden

    Patrimoine naturel

    • Parc Maréchal
    • Parc urbain Éden
    • Square du Général-de-Gaulle
    • La trouée verte sur l'emplacement de l'ancienne voie ferrée
    • Parc Jean-Ferrat (anciennement Parc aux Biches)

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Lys-lez-Lannoy se blasonnent ainsi :

    De vair au chef de gueules.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Bernard Moreau, « La gare de Lannoy », sur histoirederoubaix.com, Société d'émulation de Roubaix (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Roubaix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Lys-lez-Lannoy et Roubaix », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Roubaix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Lys-lez-Lannoy et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
    27. Amédée de (Chevalier) Auteur du texte Ternas, Notice généalogique sur la famille de Bouteville, d'après les manuscrits de M. le chevalier Amédée de Ternas,... publiée par sa famille, suivie des généalogies des Masse de Combles, Ghesquière de Stradin, Linart d'Aveluy, Vaillant de Bovent de Brusle, et de Pieffort, (lire en ligne), p. 103-108.
    28. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.307 (lire en ligne).
    29. Amédée de Ternas, Notice généalogique sur la famille de Bouteville, déjà cité, p. 109-112.
    30. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.309 (lire en ligne).
    31. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Lys-lez-Lannoy, consultée le 7 novembre 2017
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lys-lez-Lannoy (59367) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    36. « références », sur terrains multisports 3R Playground, (consulté le ).
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