Lourmais
Lourmais est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 324 habitants[Note 1].
Lourmais | |||||
L'Ă©glise Sainte-Anne. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Bretagne | ||||
DĂ©partement | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Saint-Malo | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Bretagne Romantique | ||||
Maire Mandat |
François Bordin 2020-2026 |
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Code postal | 35270 | ||||
Code commune | 35159 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Lourmaisien | ||||
Population municipale |
324 hab. (2020 en diminution de 5,26 % par rapport Ă 2014) | ||||
Densité | 45 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 27âČ 00âł nord, 1° 43âČ 39âł ouest | ||||
Altitude | 83 m Min. 60 m Max. 111 m |
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Superficie | 7,22 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Rennes (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Combourg | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | www.lourmais.fr | ||||
GĂ©ographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Feins Sa », sur la commune de Feins, mise en service en 2005[7] et qui se trouve Ă 15 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 811,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950 et Ă 28 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,9 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Lourmais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (95,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (98,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (60,9 %), terres arables (22,4 %), prairies (12,6 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,3 %), eaux continentales[Note 8] (1,7 %), forĂȘts (0,1 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Ulmeto au XIIIe siÚcle, Lormeio en 1319[21].
Lourmais viens probablement de la végétation qui devait caractériser la commune. En effet, l'orme se dit en latin Ulmus, en gallo ourmet ou ourmù, des ourmaos au pluriel. Ce qui aurait donné l'Ourmet puis Lourmais.
Lourmais se nomme Loumù en gallo. L'Office public de la langue bretonne a nommé la commune An Oulmeg en breton[22].
Le gentilé est Lourmaisien.
Histoire
La premiÚre mention de la paroisse de Lourmais date de 1319. Elle dépendait auparavant de celle de Combourg[23].
Extrait du pouillĂ© historique de lâarchevĂȘchĂ© de Rennes publiĂ© Ă Rennes en 1884 par le chanoine Guillotin de Corson[24] :
« Autrefois du diocĂšse de Saint-Malo, de lâarchidiaconĂ© de Dinan et du doyennĂ© de BĂ©cherel. En 1884, de lâarchidiocĂšse de Rennes, de lâarchidiaconĂ© de Saint-Malo et du doyennĂ© de Combourg.
ORIGINES : Quoique nous ignorions les commencements de cette paroisse, il est toutefois certain que lâĂ©glise de Lourmais fut donnĂ©e dâassez bonne heure aux moines bĂ©nĂ©dictins de lâabbaye de Marmoutier de Tours. Nous voyons, en effet, ces religieux possĂ©der encore en 1319 le patronage de lâĂ©glise de Lourmais, dont le recteur Ă©tait alors prĂ©sentĂ© par le prieur de Combourg : Ecclesia de Lormeio quam dat dominus prior Comburni
Au XVIIIe siĂšcle, le prieur de Combourg levait encore les dĂźmes de la paroisse de Lourmais, mais il ne prĂ©sentait plus le recteur, que lâĂ©vĂȘque nommait alors. Le pouillĂ© du diocĂšse de Saint-Malo (1739-1767) nous apprend que le recteur de Lourmais avait 800 livres de revenu, et que M. de Trans Ă©tait seigneur de la paroisse.
ĂGLISE : DĂ©diĂ©e Ă sainte Anne, cette Ă©glise se compose dâune simple nef Ă chevet droit ; le tout paraĂźt de la fin du XVIe siĂšcle ou plutĂŽt du commencement du XVIIe siĂšcle ; la fenĂȘtre en ogive du chevet est murĂ©e. On a ajoutĂ© Ă la nef en 1860 une petite tour Ă©galement ogivale.
En 1696, le sire de Combourg se fit maintenir dans son droit de supĂ©rioritĂ© Ă Lourmais ; mais, comme nous venons de le dire, les droits de fondation et de prĂ©Ă©minence appartenaient au XVIIIe siĂšcle au seigneur de Trans. Ce dernier avait mĂȘme, au milieu du chĆur, du cĂŽtĂ© de lâĂ©vangile, un enfeu et un tombeau Ă©levĂ© de terre que lâĂ©vĂȘque de Saint-Malo pria en 1752 Mme de Trans de faire reculer, car les prĂȘtres avaient peine Ă entrer dans la sacristie. Il y avait quelques fondations dans cette Ă©glise, une, entre autres, pour lâentretien de la lampe.
CHAPELLES :
- La chapelle de LandrouyĂšre se trouvait auprĂšs du manoir de ce nom, et lâon en voit encore les vestiges ; elle Ă©tait fondĂ©e de messes, et le Claude Servayan fut pourvu de cette chapellenie.
- La chapelle du Breil vient dâĂȘtre rĂ©cemment construite prĂšs du nouveau manoir de ce mĂȘme nom. »
â AmĂ©dĂ©e Guillotin de Corson, pouillĂ© historique de lâarchevĂȘchĂ© de Rennes
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
Lourmais appartient à l'arrondissement de Saint-Malo et au canton de Combourg depuis sa création. Le redécoupage cantonal de 2014 a modifié sa composition et le canton englobe aujourd'hui la quasi-intégralité de la communauté de communes.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la troisiÚme circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Claudia Rouaux[25] (PS-NUPES). Auparavant, elle a successivement appartenu à la circonscription de Saint-Malo (Second Empire), la 2e circonscription de Saint-Malo (IIIe République), la 6e circonscription (1958-1986) et la 2e circonscription (1988-2012).
Intercommunalité
Depuis le , Lourmais appartient à la communauté de communes Bretagne Romantique. Cette intercommunalité a succédé à l'association pour le développement économique du Combournais puis au SIVOM des cantons de Combourg, Tinténiac et Pleine-FougÚres, fondé en , auquel appartenait la commune.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[26].
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[31].
En 2020, la commune comptait 324 habitants[Note 9], en diminution de 5,26 % par rapport Ă 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
Il nây a pas de monument historique protĂ©gĂ© Ă Lourmais. On trouve cependant plusieurs Ă©difices prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial :
- l'Ă©glise Saint-Anne[34],
- le chĂąteau du Breil, construit par l'architecte Jean-Baptiste Martenot en 1882[35],
- la mairie-Ă©cole[36],
- plusieurs croix de cimetiĂšre et croix de chemin,
- le monument aux morts[37],
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020, légale en 2023.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Feins Sa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lourmais et Feins », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Feins Sa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lourmais et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- HervĂ© Abalain, « Noms de lieux bretons, page 82, Ăditions Jean-Paul Gisserot, ISBN 2877474828 » (consultĂ© le ).
- « Résultats concernant « Lourmais » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
- AndrĂ© ChĂ©deville et NoĂ«l-Yves Tonnerre, La Bretagne fĂ©odale : XIeâââXIIIe siĂšcle, Rennes, Ăditions Ouest-France, coll. « UniversitĂ© », , 440 p. (ISBN 2-7373-0014-2), p. 288.
- Guillotin de Corson 1884, p. 103.
- Elle remplace François André décédé en cours de mandat
- Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- Portail internet des services de l'Ătat
- « Béatrice Duguépéroux succÚde à Abel Erondel », Ouest-France, 3 avril 2014.
- Ouest-France, « Lourmais. François Bordin a été élu maire », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Ăglise paroissiale Sainte-Anne », notice no IA35014253, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
- « Demeure dite chùteau du Breil », notice no IA35015002, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Mairie-école », notice no IA35014935, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Monuments aux morts », notice no IA35014945, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
Bibliographie
- AmĂ©dĂ©e Guillotin de Corson, PouillĂ© historique de l'archevĂȘchĂ© de Rennes, vol. 5, Rennes, (lire en ligne)