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Liste des abbés de Sainte-Foy de Conques

Cette liste des abbés de Sainte-Foy de Conques est déduite des Études historiques sur le Rouergue du baron de Gaujal[1], de l'introduction au cartulaire de l'abbaye de Conques par Gustave Desjardins[2], du livre de Jean-Claude Fau, Rouergue roman[3], et des recherches de Frédéric de Gournay[4]. Les sources primaires sont les chartes du cartulaire, et aussi la liste d'abbés improprement appelée « Chronique B de Conques », éditée par Sébastien Fray et Katrinette Bodarwé sous le nom de Nomina abbatum[5].

Liste des abbés

Abbé du VIIIe siècle

  • Dadon, Dado ou Datus, formĂ© sur une abrĂ©viation de Deo datus qui signifie en latin « donnĂ© Ă  Dieu Â»[6]. Fondateur lĂ©gendaire de l'abbaye. Entre 725 et 732, des chrĂ©tiens fuyant les invasions arabes trouvent refuge dans la vallĂ©e pour y bâtir le premier sanctuaire. Les envahisseurs les suivront, pillant la vallĂ©e et laissant un pays dĂ©sert. Le poème d'Ermold le Noir prĂ©sente Dadon comme un dĂ©fenseur de son pays envahi par les Maures. Ceux-ci ayant fait prisonnière sa mère et l'ayant sacrifiĂ©e sous ses yeux, Dadon dĂ©cide de se retirer du monde et de se faire ermite dans un site en forme de coquille (concha en latin) dans un lieu formant un mĂ©plat. La date de cette installation n'est pas connue, probablement vers 790. On sait que les Sarrasins ont franchi les PyrĂ©nĂ©es une dernière fois en 793. Dans un poème latin Ă©crit par Ermold le Noir et dĂ©diĂ© Ă  l'empereur Louis le Pieux le site est dĂ©crit :

« Autrefois asile des bêtes fauves
et des oiseaux mélodieux, ce lieu
était resté inconnu de l'homme
que rebutait son aspect sauvage ».
La réputation de l'ermite vient aux oreilles de Louis le Pieux qui lui propose, en l'an 800, de fonder le monastère de Conques. Une charte datée du et signée par Louis le Pieux[7] fait le récit en partie légendaire de cette installation de Dadon sur le site. Il est rejoint par Medraldus, puis par d'autres. Ils élèvent sur le lieu une église dédiée au Saint-Sauveur. Le monastère respecte la règle de saint Benoît. L'église placée sous le vocable du Saint-Sauveur est citée en 819. Dadon se retire avant 801 à Grand-Vabre.

Abbés du IXe siècle

  • Medrald ou Madrald, vivait au temps de Louis le Pieux. Il est mentionnĂ© en 819 comme l'abbĂ© de Saint-Sauveur de Conques.

En 817, dans un état des charges des monastères de l'empire carolingien (Notitia de servitio monasteriorum), Conques est désigné comme n’ayant ni impôt ni service militaire, mais seulement des prières. L'abbaye reçoit à plusieurs reprises la visite de Louis le Pieux, qui la place sous sa protection. Il la dote en 819 d'une dizaine d'églises.

  • Argofred
  • Anastase, abbĂ© en 823
  • HĂ©lias ou Élie, auquel PĂ©pin, roi d’Aquitaine, donna Figeac qui fut appelĂ©e la Nouvelle Conques. Le , le roi d'Aquitaine PĂ©pin Ier favorise la fondation d'un second monastère pour recevoir une partie des moines de Conques Ă  Figeac. Il promulgue un diplĂ´me indiquant que les deux abbayes, de Conques et de la « Nouvelle Conques » installĂ©e dans la fertile vallĂ©e du CĂ©lĂ©, devaient rester autonomes, mais sous la direction d'un abbĂ© commun.
  • BĂ©gon Ier, dont l’abbatiat commença du temps de Charles le Chauve (il est attestĂ© dans une charte de 852). Les incursions des Vikings se poursuivent, avec, en 862, le siège de Toulouse, puis de nouveau en 864 en Aquitaine. Le , un moine originaire de Conques, Aronside, amène Ă  l'abbaye les reliques de sainte Foy qui se trouvaient dans une Ă©glise des faubourgs d'Agen. La date de 866 est une interpolation tenant compte des incursions des Normands. D’autres historiens donnent une date peu avant 883 qui correspond au changement de vocable de l’abbaye qui prend alors le nom de Sainte-Foy. Il semble que ce rapt de reliques soit la consĂ©quence de l'Ă©chec du vol de reliques de saint Vincent Ă  Valence (Espagne) en 855 par un moine de Conques, Audaldus[8]. De plus les incursions Normandes pouvaient justifier de mettre Ă  l'abri des reliques.
  • Blandinus, mentionnĂ© en 855.
  • Gibert, mentionnĂ© en 883. Les reliques de sainte Foy Ă©taient dĂ©jĂ  transfĂ©rĂ©es Ă  Conques.
  • Frotier ou Frotaire, qui Ă©tait abbĂ© en 888, du temps du roi Eudes.

Abbés du Xe siècle

  • Raoul, abbĂ© citĂ© entre 903 et 930. En 923, Bernard, premier vicomte de Carlat, lui fait don d'une villa situĂ©e Ă  Arpajon-sur-Cère.
  • Jean, abbĂ© du temps du roi Raoul, en 933 et 935.
  • Étienne Ier, abbĂ© avant de devenir Ă©vĂŞque de Clermont entre 942 et 984. Il fait reconstruire l'abbatiale qui est dĂ©crite dans le Livre des Miracles de sainte Foy rĂ©digĂ© par Bernard d'Angers. Elle possède une nef centrale avec des bas-cĂ´tĂ©s et trois absides, celle de droite est dĂ©diĂ©e Ă  saint Pierre, celle de gauche Ă  la Vierge Marie et la principale au Saint-Sauveur. L'Ă©glise s'ouvre Ă  l'ouest par un clocher-porche avec une chapelle haute probablement placĂ©e sous le vocable de saint Michel. La nef est charpentĂ©e.
  • BĂ©gon II, abbĂ© avant de devenir Ă©vĂŞque de Clermont entre 984 et 1010/1014.
  • Hugues. Le testament de Raymond Ier, comte de Rouergue et marquis de Gothie, montre que les abbayes de Conques et de Figeac vivaient en bonne intelligence Ă  cette Ă©poque. Un acte de donation d'une Ă©glise Ă  l’abbaye de Figeac en 972 montre que l'abbaye a un abbĂ© particulier, Castlo.
  • Arlald, abbĂ© Ă  partir de 990. Le miracle de Guibert l'IlluminĂ©, avant l'an 1000, donne une grande ampleur au pèlerinage Ă  Conques. Le Livre des miracles de sainte Foy est rĂ©digĂ© par Bernard d'Angers qui dĂ©die son livre Ă  Fulbert, Ă©vĂŞque de Chartres de 1006 Ă  1028.

Abbés du XIe siècle

  • Girbert, abbĂ© de 996 Ă  1004 environ.
  • Airadus ou Airad, abbĂ© aux alentours de 1013.
  • Adalgerius ou Adalguier, doyen puis abbĂ© aux environs de 1020, informateur de Bernard d'Angers.
  • Lautard, abbĂ© vers 1025-1030.
  • Odolric, abbĂ© de 1031 Ă  1065. Il fait commencer la construction de l’abbatiale actuelle pour pouvoir accueillir les pèlerins. Une bulle accordĂ©e Ă  l'abbaye par le pape Alexandre II citant la cĂ©rĂ©monie et les prĂ©lats y participant a permis de fixer la date de consĂ©cration d'un autel entre 1042 et 1051[9]. Ă€ la mort d'Odolric, l'extrĂ©mitĂ© orientale de l'abbatiale est terminĂ©e. On peut remarquer la similitude du plan de l'Ă©glise avec la basilique Saint-Sernin de Toulouse et de Saint-Jacques-de-Compostelle. Odolric demande l'appui du bras sĂ©culier contre l'abbaye de Figeac. Ă€ sa demande, BĂ©gon de Calmont rĂ©unit de force Figeac Ă  Conques. Pour se libĂ©rer de Conques, les moines de Figeac vont se mettre sous la protection de l'abbaye de Cluny en profitant du fait que le père de BĂ©gon de Calmont, Hugues, Ă©tait devenu moine Ă  Cluny.
  • Étienne II. Il est abbĂ© de 1065 Ă  1087. Il fait continuer les travaux de l’abbatiale. En 1074, BĂ©gon de Calmont, pour se conformer au dĂ©sir de son père, transporte ses droits sur l'abbaye de Figeac sur l'abbaye de Cluny. En 1076, Étienne II, prĂ©sent Ă  Rome pour juger Henri IV, empereur du Saint-Empire, en appelle au pape GrĂ©goire VII. Dans une bulle datĂ©e de 1084, GrĂ©goire VII dĂ©clare que l'abbaye de Figeac doit se soumettre Ă  Conques. Il dĂ©cide que le successeur d'Étienne, abbĂ© de Conques, ou d'Airald, abbĂ© de Figeac, deviendra l’abbĂ© des deux abbayes. Mais Ă  la mort d'Étienne, les moines de Conques refusent.
  • BĂ©gon III, fils de Bernard de Mouret, abbĂ© de 1087 Ă  1108. Il continue les travaux dans l'abbatiale, et entreprend la reconstruction des bâtiments monastiques et du cloĂ®tre.

Bégon III, fils de Bernard de Mouret, abbé de 1087 à 1108. Il continue les travaux dans l'abbatiale, et entreprend la reconstruction des bâtiments monastiques et du cloître. Il fait monter l'étage des tribunes dans l'église. C'est lui qui reçoit la charte de donation d'Hildegarde de Büren qui aboutira à la création de l'église Ste-Foy à Sélestat, en Alsace.

L'abbaye a atteint son apogée. Elle possède des prieurés au Piémont, en Alsace, en Angleterre, en Catalogne et en Navarre, où le culte de sainte Foy – santa Fe en espagnol – s'est développé. Une chapelle de la cathédrale de Saint-Jacques de Compostelle est dédicacée sainte Foy. En 1095, au concile de Clermont, le différend entre les abbayes de Conques et Figeac est jugé. Le pape Urbain II décide, à la lecture de la bulle de Grégoire VII, de déposer l’abbé de Conques et de mettre à sa place l’abbé de Figeac. La discorde entre les deux abbayes est alors à son comble. En 1097, le concile de Nîmes prononce la séparation des deux abbayes et confirme l'appartenance de Figeac à l'ordre clunisien.

Abbés du XIIe siècle

  • Boniface, abbĂ© de 1108 Ă  1125. Il fait rĂ©aliser le couvrement de l'Ă©glise ainsi que la façade occidentale. Fin de la construction de l’abbatiale vers 1120. Il est probable que c'est entre la fin de l'abbatiat de BĂ©gon III et celui de Boniface qu'a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© le tympan du Jugement dernier.
  • Gaucelin, abbĂ© en 1145.
  • Odon ou Eudes, vivant en 1154.
  • Hugues Ier, vivant en 1165.
  • Isarn, abbĂ© en 1167 et 1173.
  • Olric, vivant en 1175.
  • Guilhem Ier, en 1179 et 1183.
  • Bernard, en 1189.
  • Guiraud, abbĂ© en 1190.
  • Sicard, abbĂ© en 1195 et 1196.
  • Pons, abbĂ© en 1199.

Abbés du XIIIe siècle

  • Berard, au dĂ©but du siècle.
  • W., mentionnĂ© en 1218.
  • Vezian, en 1235.
  • Guilhem II, vivant en 1242 et 1244.
  • Umbert, Ă  qui le pape Innocent IV accorda, en 1245, l’usage de la mitre et de l’anneau Ă©piscopal.
  • Hugues II de Panat, abbĂ© en 1250. Il se dĂ©mit en 1265.
  • Raimond du Four, vivant en 1268 et 1308. Il signe une charte datĂ©e de 1288-1289 confirmant, par exemple, l'octroi de privilèges aux syndics de la communautĂ© d’habitants.

Abbés du XIVe siècle

  • Hugues III de Milhat, abbĂ© en 1311 et 1316.
  • Pierre de Ulmo
  • Guilhem III de Cardaillac, abbĂ© en 1323. Il est nommĂ© abbĂ© de Saint-Victor de Marseille le [10]
  • Bertrand, abbĂ© de Saint-Gilles. Il est nommĂ© abbĂ© de Conques le . En 1341, Conques compte environ 3 000 habitants. C’est la grande peste de 1348 et la guerre de Cent Ans qui va porter un rude coup au pèlerinage et Ă  la prospĂ©ritĂ© de l’abbaye.
  • Hugues IV vivant en 1356.
  • Bertrand II de la Barrière, abbĂ© en 1364. En 1366, il rĂ©unit un chapitre gĂ©nĂ©ral dans le rĂ©fectoire Ă  cause d’un incendie qui a dĂ©truit le reste du monastère.
  • Raimond II de Reilhac, nommĂ© en 1374.
  • Raimond III de la Salle, nommĂ© en 1390 par Pierre de Thury, Ă©vĂŞque de Maillezais, cardinal de Sainte-Suzanne, dĂ©lĂ©guĂ© Ă  cet effet par le pape ClĂ©ment VII parce que l’abbaye Ă©tait immĂ©diatement soumise au Saint-Siège. Le , il confĂ©ra le baptĂŞme, dans l’église des Cordeliers de Rodez, Ă  Jean d’Armagnac, fils aĂ®nĂ© du comte Bernard, puis connĂ©table, et de Bonne de Berry. Il vivait encore en 1424. Charles VII autorise la tenue de foires annuelles et d’un marchĂ© hebdomadaire permettant le dĂ©veloppement de la ville.

Abbés du XVe siècle

  • Raimond IV de Romiguière
  • Forton Mancip de Flars
  • Étienne III de Barton (ou Barthon). Entre 1460 et 1490, rĂ©alisation de la coupole de la croisĂ©e du transept pour remplacer celle qui s'Ă©tait effondrĂ©e Ă  une date inconnue. La sacristie, situĂ©e au fond du croisillon sud, est rĂ©alisĂ©e au XVe siècle.
  • Louis de Comborn, abbĂ© commendataire. Vivant en 1474. Son frère, Jacques de Comborn, Ă©tait Ă©vĂŞque de Clermont.
  • Louis II de Crevant, vivant en 1482 et 1496.

Abbés du XVIe siècle

  • Louis III de Marcenac
  • Antoine de Rousselet, abbĂ© en 1513. Il se dĂ©mit avant sa mort. En 1514, l'Ă©vĂŞque de Rodez, François d'Estaing, venu faire respecter la règle de saint BenoĂ®t par les moines, est molestĂ© par ceux-ci.
  • Georges d'Armagnac, il Ă©tait en mĂŞme temps abbĂ© de Saint-Ambroise de Bourges. Il a Ă©tĂ© Ă©vĂŞque de Rodez en 1529 et cardinal en 1544. En 1537, pendant qu’il Ă©tait abbĂ©, le roi François Ier obtient du pape Paul III le droit de nommer l’abbĂ© et le droit de rĂ©gale pendant la vacance du siège. Le pape Paul III affranchit les moines de Conques de la règle bĂ©nĂ©dictine qu'ils observaient depuis Medrald. SĂ©cularisĂ©e, la communautĂ© devient un chapitre de chanoines. L'Ă©glise abbatiale devient une collĂ©giale.
  • Claude de Rousselet, abbĂ© en 1544 et 1545.
  • Alexandre de Carretto, abbĂ© en 1566 et 1571. Il Ă©tait en mĂŞme temps abbĂ© de Bonnecombe. En 1568, les protestants pillent l’abbatiale. Une charte du roi de France Charles IX indique : « Il fut faict grand pillage, brullerie et saccagement tant de ladite Ă©glise Sainte-Foy au dit Conques, que des Ă©difices et maisons d'icelle ». L'abbatiale aurait Ă©chappĂ© de peu Ă  l'effondrement provoquĂ© par le feu contre les colonnes de la nef. Les toitures auraient Ă©tĂ© incendiĂ©es, les tours de la façade et celle de la croisĂ©e du transept sont rasĂ©es. Après 1572, les chanoines restaurent l'Ă©glise. Ils ajoutent un deuxième Ă©tage et rĂ©alisent la flèche actuelle de la tour situĂ©e Ă  la croisĂ©e du transept.
  • Jean Mignot

Abbés du XVIIe siècle

  • Louis IV de Crussol. Il Ă©tait le fils d’Emmanuel, duc d’Uzès, et de Claude d’Ebrard de Saint-Sulpice. AbbĂ© de Conques et de Figeac en 1654. Il quitta l’habit ecclĂ©siastique pour Ă©pouser en 1654 Charlotte de Vernon, veuve de François FumĂ©e, seigneur des Roches-Saint-Quentin, tuĂ© devant Saint-Omer en 1638. Elle Ă©tait la mère du suivant. Il est mort le , Ă  64 ans[11].
  • Jean-Armand FumĂ©e des Roches, mort le .

Abbés du XVIIIe siècle

  • Charles de VĂ©ry de Renouard, abbĂ© nommĂ© le .
  • Paul de Durfort-Deyme, nommĂ© en 1734. Mort en 1754.
  • François-RenĂ© d’AdhĂ©mar de Panat, nommĂ© en 1754. Ancien aumĂ´nier des princesses Henriette et AdĂ©laĂŻde de France, filles de Louis XV. Il Ă©tait encore abbĂ© en 1790, il se retire Ă  Rodez.

Prieurs du XXe siècle

  • Jean-RĂ©gis Harmel, nommĂ© en 1992.

Prieurs du XXIe siècle

  • Cyrille Deverre, nommĂ© en 2007.

Notes et références

  1. Marc-Antoine-François, baron de Gaujal, Études historiques sur le Rouergue : Ouvrage donné par l'auteur au département de l'Aveyron et publié après sa mort par ordre et sous les auspices du conseil général de l'Aveyron, Paris, Paul Dupont, 1858-1859 (lire en ligne)
  2. Gustave Desjardins, Cartulaire de l'abbaye de Conques en Rouergue, Paris, Picard, , cxx-518, pp. xxxix-xlv.
  3. Jean-Claude Fau, Rouergue roman, 3e édition, La Pierre-qui-Vire, Éditions Zodiaque (collection « la nuit des temps » n°17), 1990 (ISBN 2-7369-0148-7)
  4. Frédéric de Gournay, Les documents écrits de l'abbaye de Conques, Université de Toulouse-Le Mirail, mémoire de DEA sous la direction de Pierre Bonnassie, dactyl., , p. 173.
  5. Katrinette Bodarwé et Sébastien Fray, « Les Nomina abbatum de Conques. Édition critique », Revue Mabillon,‎ , p. 147-172.
  6. Marie Renoue, Renaud Dengreville, Conques : moyenâgeuse, mystique, contemporaine, Éd. du Rouergue, , p. 22.
  7. (de) Böhmer-Mühlbacher, Die Regesten des Kaiserreichs unter den Karolingern', 2e éd., 1908, n° 688 ; Gustave Desjardins, Cartulaire de l'abbaye de Conques en Rouergue, Paris, Picard, 1879, Supplément, n° 580.
  8. Persée : Gustave Desjardins - Essai sur le cartulaire de l'abbaye de Sainte-Foi de Conques en Rouergue (IXe-XIIe siècles) - Bibliothèque de l'école des chartes - 1872
  9. Jacques Bousquet, La sculpture à Conques aux XIe – XIIe siècles. Essai de chronologie comparée (Thèse de doctorat), Université de Toulouse-Le Mirail, 1973, tome 2, p. 419 bis.
  10. Google Livres : Louis Caillet - La Papauté d'Avignon et l'Église de France - Presses universitaires de France - 1975
  11. Google Livres : François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois - Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France. Volume 5 - Paris - 1772

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