Lesperon
Lesperon [lÉspÉÊÉÌ] est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement des Landes (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).
Lesperon | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Landes | ||||
Arrondissement | Mont-de-Marsan | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays Morcenais | ||||
Maire Mandat |
HĂ©lĂšne Cousseau 2020-2026 |
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Code postal | 40260 | ||||
Code commune | 40152 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
1 026 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 10 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 58âČ 16âł nord, 1° 05âČ 32âł ouest | ||||
Altitude | Min. 37 m Max. 99 m |
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Superficie | 102,81 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Pays morcenais tarusate | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Landes
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
Commune situĂ©e Ă environ 30 kilomĂštres de la cĂŽte d'Argent, dans la forĂȘt des Landes.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Castets, LĂ©vignacq, Linxe, MĂ©zos, Onesse-Laharie, Rion-des-Landes, Taller et Morcenx-la-Nouvelle.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Michel Escalus », sur la commune de Saint-Michel-Escalus, mise en service en 2008[8] et qui se trouve Ă 16 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 188,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et Ă 29 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă 14,3 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 14,5 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Lesperon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (87,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (92,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (54,1 %), forĂȘts (33,2 %), terres arables (5,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,8 %), zones urbanisĂ©es (1,2 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,8 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Lesperon est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, et le risque industriel[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Lesperon est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent dâun rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă faciliter les interventions des services et Ă limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de lâapport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[23] - [24].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 9,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 514 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, aucun n'est en alĂ©a moyen ou fort, Ă comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO, classée seuil haut[27] : l'usine DRT Vielle-Saint-Girons (notamment pour le stockage de produits inflammables)[28].
Histoire
BĂątie sur une hauteur protĂ©gĂ©e par un ruisseau en contrebas le Vignacq. Son nom primitif Ă©tait Arrast (de « Arx », c'est-Ă -dire citadelle). Vers 1305, Armanieu dâAlbret, seigneur de cette paroisse, affirme son autoritĂ© en construisant un chĂąteau ainsi qu'une Ă©glise. Elle est dotĂ©e dâune imposante tour-clocher fortifiĂ©e, munie de bretĂšches, armĂ©e de meurtriĂšres et percĂ©e de mĂąchicoulis. On suppose quâautour de cette Ă©glise, il y aurait eu quatre colonnes, vestiges passĂ© dâune sauvetĂ©. En ce temps-lĂ Ădouard II d'Angleterre signalait cet endroit Ă ses sujets comme un endroit dangereux du fait de son embranchement important sur un itinĂ©raire vers Saint-Jacques-de-Compostelle, une halte importante dâoĂč lâon peut continuer par la suite soit par la Navarre et Roncevaux, soit par la Biscaye.
Il existe aussi une « lĂ©gende » historique qui dit quâĂ lâĂ©poque oĂč rĂ©gna Henri IV, existait un logis de chasse oĂč celui-ci venait de temps Ă autre en passage vers Pau via Orthez. Lors d'une chasse, pourtant trĂšs bon cavalier, il en perdit son Ă©peron au talon droit qui lui manqua Ă©normĂ©ment pour la continuitĂ© des Ă©vĂ©nements. Aussi son dĂ©sir dâĂȘtre seul, certainement encore pour une amoureuse du coin, il y renvoyĂąt tout son entourage qui lâescortait Ă cette recherche de son Ă©peron. Certains disent que cet Ă©peron Ă©tait d'une grande valeur Ă la vue de lâimportance et du dĂ©sir absolu de le retrouver. Jusqu'Ă ce jour, l'Ă©peron en question n'a jamais Ă©tĂ© retrouvĂ©.
Lieu de passage de chasseurs, brigands et pĂšlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, l'endroit fut maintes fois pointĂ© du doigt comme le village de lâĂ©peron, d'oĂč le nom de Lesperon.
Aujourd'hui, son passĂ© a transformĂ© ce village en une richesse historique oĂč se croisent plusieurs chemins de lĂ©gende oĂč se croisĂšrent jadis pĂšlerins, victimes et voleurs de grands chemins, Ă savoir quâil existe encore des lieux-dits : Tireveste, Tire-culotte, Navarre, Fontaine Saint-JeanâŠ
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[30]. En 2020, la commune comptait 1 026 habitants[Note 6], en diminution de 0,68 % par rapport Ă 2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Ăconomie
- Usine chimique de la DRT.
Lieux et monuments
- ChĂąteau du Souquet.
- Ăglise Saint-Pierre de Lesperon.
- Ăglise Saint-Pierre de Lesperon.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Ăloi Ducom.
- Alain Bergeze né le à Lesperon. Joueur de rugby à XV. Finaliste du championnat de France de rugby à XV en 1967 avec BÚgles. Trois-quarts centre.
- Christian Lasserre né le à Lesperon. Joueur de rugby à XV. Finaliste du championnat de France de rugby à XV en 1956, 1961, 1963 et 1966 avec Dax. Pilier ou deuxiÚme ligne. Il a également participé à de nombreux Paris-Dakar.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Communauté de communes du Pays morcenais
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Michel Escalus - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lesperon et Saint-Michel-Escalus », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Michel Escalus - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lesperon et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Lesperon », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
- « Sites classés Seveso seuilhaut dans les Landes », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.