Lempdes-sur-Allagnon
Lempdes-sur-Allagnon est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Lempdes-sur-Allagnon | |||||
Vue aérienne de Lempdes-sur-Allagnon. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Brioude | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Auzon Communauté | ||||
Maire Mandat |
Guy Lonjon 2020-2026 |
||||
Code postal | 43410 | ||||
Code commune | 43120 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Lempdais | ||||
Population municipale |
1 317 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 127 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 45° 23′ 10″ nord, 3° 16′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 425 m Max. 546 m |
||||
Superficie | 10,4 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Issoire (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Sainte-Florine | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
| |||||
GĂ©ographie
La commune est située, à 440 mètres d'altitude, au cœur du Massif central, à la sortie des gorges de l'Alagnon et à l'entrée de la Limagne de Brioude.
Localisation
La commune de Lempdes-sur-Allagnon se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 72 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, à 15 km de Brioude[2], sous-préfecture, et à 5 km de Sainte-Florine[3], bureau centralisateur du canton de Sainte-Florine dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Chambezon (2,2 km), Moriat (2,3 km), Frugerès-les-Mines (2,8 km), Charbonnier-les-Mines (3,7 km), Vergongheon (4,2 km), Sainte-Florine (4,3 km), Léotoing (4,5 km), Saint-Géron (5,2 km).
Lieux-dits
Allard, Baraque d'Arvant, Besse, Congousse, Moulin Bas, Moulin Bossacra, Moulin du Grand Pont, Moulin Graveirat, Moulin Lagarde, Raffeyroux, Moulin de La Ribeyre.
Urbanisme
Typologie
Lempdes-sur-Allagnon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [5] - [I 2] - [6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Issoire, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3] - [I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,3 %), prairies (15,2 %), forêts (11,3 %), zones urbanisées (9,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3 %), mines, décharges et chantiers (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 925, alors qu'il Ă©tait de 879 en 2013 et de 847 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 72,6 % étaient des résidences principales, 6,1 % des résidences secondaires et 21,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 13,3 % des appartements[I 6].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lempdes-sur-Allagnon en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,1 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 68,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (69,6 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].
Histoire
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Lendano au IXe siècle. Il est issu du gaulois lindon désignant un étang ou des eaux stagnantes, même origine celtique que le nom de la ville irlandaise de Dublin, issu du *dubu-lindon, « étang noir ».
Il a été complété afin d'éviter la confusion avec la ville homonyme de Lempdes, dans le Puy-de-Dôme.
Moyen Ă‚ge
- Co-seigneurie des d'Auzon.
- Église Saint-Géraud dépendant de Sauxillanges.
Époque moderne
Les Montaigut de Beaune et de Bouzols sont les derniers seigneurs de Lempdes (1661-1789). Lempdes a dépendu dans la plus haute ancienneté du château de Léotoing dont il relevait en fief, et les seigneurs de Lempdes étaient les vassaux de ceux de Léotoing. Aussi, c'est à ces derniers que les Lempdais d'alors payaient l’impôt. Les premiers seigneurs de Léotoing portaient le nom de leur terre. Ils furent seigneurs jusque vers 1250. À cette époque ils perdirent leur titre au profit des dauphins d'Auvergne qui n'habitaient jamais Léotoing, mais venaient de temps à autre et Hugues Dauphin était seigneur de Lempdes en 1716. Puis Lempdes est portée en dot au vicomte de Polignac, Armand IV, par Béatrice Dauphine. La terre de Lempdes passe ensuite de la branche des Polignac à la maison de Montravel, puis par le jeu des alliances, aux Monboissier-Canillac et aux Montaigut de Bonne.
L'emplacement du château à côté de l'église permet de supposer que l'église était primitivement la chapelle. Il y a un souterrain passant sous l'Allagnon le reliant au château de Moriat. Les habitants de Lempdes marquèrent toujours une certaine indépendance vis-à -vis de leurs maîtres, même s'ils étaient redoutables et vindicatifs, tels les Canillac. Aussi les habitants de Lempdes élisaient des syndics chargés de l'administration de 1661 à Antoine Henri de Montaigut par son mariage avec l’héritière des Montboissier-Beaufort-Canillac, l'ainée des trois filles de Maximilien de Montboissier-Beaufort-Canillac et Marguerite Félicité d'Auzon. L’addition des biens des deux familles donne une liste d'une vingtaine de fiefs. Le château était la résidence habituelle d'Antoine Henri de Montaigut, qui a régulièrement veillé à son entretien.
Les seigneurs de Lempdes ont largement tiré profit de la rivière très poissonneuse à l'époque : le 5 juin 1698, par exemple, Antoine Henri de Montaigut autorise Jean Barrier, meunier à qui sont baillés trois moulins dont un à chanvre, à faire un montant pour prendre les poissons en précisant que les saumons reviendront au seigneur. Le 19 février 1674, il passe un bail de prix fait avec Jean Passion et Jean Aigniel (marié à Isabeau Chalchat), maîtres maçons de Lempdes pour refaire à neuf le four à pain tenu en absence par Denis Rieuf (boulanger) et de resuivre son couvert.
Les seigneurs de Lempdes monopolisent les graviers en achetant le 30 septembre 1697 une gravière au Graveyrat (lieu-dit de Lempdes) à Jean Chalchat et Jean Aigniel.
HĂ©raldique
Blason | D'azur à la fasce ondée d'argent, accompagnée en chef d'une couronne comtale d'or, sommée de perles aussi d'argent, accostée de deux feuilles d'orme aussi d'or, et en pointe d'une tête de lion du même. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune de Lempdes-sur-Allagnon est membre de la communauté de communes Auzon Communauté[I 10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Auzon. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[8].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Brioude, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 10].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Sainte-Florine pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 10], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[9].
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[10]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[11].
En 2020, la commune comptait 1 317 habitants[Note 5], en diminution de 0,75 % par rapport Ă 2014 (Haute-Loire : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,3 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 665 hommes pour 669 femmes, soit un taux de 50,15 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
- L'entreprise SIEL, fondée en 1987, spécialisée dans le domaine de la signalétique et de l'enseigne, avec une compétence particulière dans le thermolaquage, a son siège social et deux unités de fabrication dans la commune, employant au total près de 100 salariés[14].
Revenus
En 2018, la commune compte 639 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 1 340 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 970 €[I 13] (20 800 € dans le département[I 14]).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 15] | 9,9 % | 10,9 % | 9,8 % |
DĂ©partement[I 16] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 17] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 763 personnes, parmi lesquelles on compte 75,7 % d'actifs (65,9 % ayant un emploi et 9,8 % de chômeurs) et 24,3 % d'inactifs[Note 7] - [I 15]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était supérieur à celui de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Issoire, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2] - [I 18]. Elle compte 428 emplois en 2018, contre 493 en 2013 et 456 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 505, soit un indicateur de concentration d'emploi de 84,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,2 %[I 19].
Sur ces 505 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 113 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 85,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 7,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église romane Saint-Géraud, du XIe siècle. Chœur des XIIe et XIXe siècles.
- Halle.
- Château.
Personnalités liées à la commune
- Emmanuel des Essarts (1839-1909), poète et professeur d'université, mort à Lempdes.
- Léonce Lagarde (1860-1936), diplomate, né à Lempdes.
Folklore
Une légende orale parle de ce seigneur de Léotoing, Béraud, qui après une longue chasse au loup, arrive de nuit dans sa ville, se rendant en son château. Malgré les avertissements, il longe l'Alagnon et devant le lavoir du village, s'arrête en voyant une femme laver du linge. Il descend de cheval, s'approche pour lui demander la raison de sa présence à cette heure indue de la nuit. Lorsqu'elle se retourne, horreur: visage ridé et cheveux blancs, deux puits de ténèbres à la place des yeux, des horribles chicots sanglants, elle l'attrape par le bras et l'entraîne avec une force terrifiante dans le lavoir pour le noyer. C'est ainsi, dit-on, que le dernier seigneur de Léotoing disparu sans enfant.
Cet esprit malfaisant et terriblement inquiétant, qu'on nomme en Auvergne la Lavandière, se retrouve en réalité ailleurs en Europe : en Ecosse (Bean Nighe), en Bretagne (Kannerezed-noz), en Espagne ou en Sardaigne (Panas Partorienti). Elle occupe les vieux lavoirs la nuit ; le linge qu’elle lave est toujours taché de sang et symbolise votre mort ou celle d’un proche[15].
« Elles battent et tordent incessamment quelque objet qui ressemble à du linge mouillé, mais qui, vu de près, n’est qu’un cadavre d’enfant » (George Sand, Légendes rustiques, 1858).
Annexes
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Lempdes-sur-Allagnon » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Lempdes-sur-Allagnon » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lempdes-sur-Allagnon - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lempdes-sur-Allagnon - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Lempdes-sur-Allagnon » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lempdes-sur-Allagnon (43120) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lempdes-sur-Allagnon » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lempdes-sur-Allagnon » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lempdes-sur-Allagnon » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Lempdes-sur-Allagnon et Le Puy-en-Velay », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lempdes-sur-Allagnon et Brioude », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lempdes-sur-Allagnon et Sainte-Florine », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Lempdes-sur-Allagnon », sur www.villorama.com (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « communauté de communes Auzon Communauté - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- La Montagne, 25 juin 2012.
- Richard Ely et Frédérique Devos, Le Grand livre des Esprits de la Nature : fées, elfes, lutins, faune, sirènes, pixies, dryades et autres créatures des forêts, montagnes, rivières, océans et jardins, Slovénie, Véga, , 128 p. (ISBN 978-2-85829-758-0), p. 63.