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Le Vivier-sur-Mer

Le Vivier-sur-Mer est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine en rĂ©gion Bretagne et peuplĂ©e de 1 063 habitants[Note 1]. Il s'agit du principal centre de production de moules de Bretagne nord.

Le Vivier-sur-Mer
Le Vivier-sur-Mer
L'Ă©glise Saint-Nicolas.
Blason de Le Vivier-sur-Mer
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Dol et de la baie du Mont-Saint-Michel
Maire
Mandat
Carole Cerveau
2020-2026
Code postal 35960
Code commune 35361
DĂ©mographie
Population
municipale
1 063 hab. (2020 en augmentation de 1,92 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 475 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 36â€Č 08″ nord, 1° 46â€Č 27″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 8 m
Superficie 2,24 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Saint-Malo
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Dol-de-Bretagne
LĂ©gislatives SeptiĂšme circonscription
Localisation
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Le Vivier-sur-Mer
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Le Vivier-sur-Mer
Liens
Site web www.le-vivier-sur-mer.fr

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes du Vivier-sur-mer
    La Manche
    Vivier-sur-mer
    Hirel Mont-Dol

    Le territoire du Vivier-sur-Mer a une forme de triangle, la base au nord s'appuyant sur la mer, la pointe s'élançant à moins de cinq kilomÚtres, à travers champs, entre les communes de Hirel et de Mont-Dol.

    Carte de la commune.

    Le Vivier a pour limites, au nord, la baie de Cancale, à l'est et au sud-est le biez Guyoult qui sépare son territoire de ceux de Cherrueix et du Mont-Dol, l'ouest le chemin des Moulins, le croisé des Cancales, le chemin de la Planche, qui l'unissent à Hirel.

    Le Guyoult, court fleuve cĂŽtier, borde la commune Ă  l'est.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 718 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Cancale », sur la commune de Cancale, mise en service en 1944[7] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 700,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950 et Ă  21 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  11,6 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Vivier-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (67 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (70,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (61,6 %), zones urbanisĂ©es (32,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,4 %), zones humides cĂŽtiĂšres (0,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Vivarium en 1181, Le Vivier du Hirel en 1513, parochia de Vivario Hireilli en 1516[24].

    Vivarium en 1181, « vivier ». Ce mot dĂ©signait une piĂšce d’eau d’abord amĂ©nagĂ©e par un simple barrage de branchages ou de pierres puis maçonnĂ© sur un cours d’eau oĂč l’on se contentait de nourrir le poisson avant de le pĂȘcher puis « vivier » a fini par dĂ©signer une construction spĂ©cialement destinĂ©e Ă  l’élevage des poissons, les deux conceptions ayant bien sĂ»r pu ĂȘtre contemporaines, ce qui rend difficile l’explication exacte des toponymes.

    Le , Le Vivier devient Le Vivier-sur-Mer.

    Histoire

    Le Vivier-sur-Mer est située sur la cÎte, environ au centre de la baie du mont Saint-Michel-Cancale. Il est cité un port du nom de « Winiau » à l'embouchure du Guyoult, ou débarqua saint Colomban au Ve siÚcle et saint Samson de Dol au VIe siÚcle.

    La paroisse du Vivier faisait partie du doyennĂ© de Dol relevant de l'Ă©vĂȘchĂ© de Dol et Ă©tait sous le vocable de saint Nicolas.

    L'abbaye Notre-Dame du Tronchet possédait des biens dans la paroisse du Vivier[25].

    La RĂ©volution

    Le Vivier est érigé en commune en 1790.

    À la RĂ©volution, Le Vivier-sur-Mer est jugĂ© assez important pour ĂȘtre constituĂ© chef-lieu de canton. Les registres de l'Ă©tat civil, pendant quelques annĂ©es, porte cette mention : « Registre du secrĂ©taire de l'administration municipale du canton du Vivier pour transcrire les actes de dĂ©cĂšs sur les notices des agents des communes en exĂ©cution de la loi du 22 frimaire an VII (14 dĂ©cembre 1799) ». Dans ces registres, on relĂšve les actes de naissances, de mariages et de dĂ©cĂšs des communes voisines de Hirel, VildĂ©-la-Marine, La Fresnais, Lillemer, appartenant au canton du Vivier. La population de la commune est favorable aux changements apportĂ©s par la RĂ©volution française, surtout aprĂšs la fin de la Terreur. La principale fĂȘte rĂ©volutionnaire est celle cĂ©lĂ©brant l’anniversaire de l’exĂ©cution de Louis XVI, accompagnĂ©e d’un serment de haine Ă  la royautĂ© et Ă  l’anarchie, fĂȘtĂ©e Ă  partir de 1795[26].

    Politique et administration

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1949 janvier 1974
    (décÚs)
    André Busson
    (1906-1974)
    Mareyeur
    Officier des Palmes Académiques
    février 1974 mars 1983 Alexis Hodbert Mytiliculteur, maire honoraire
    mars 1983 septembre 1991[27]
    (décÚs)
    Francis Chevalier Directeur d'Ă©cole honoraire
    Chevalier des Palmes académiques
    novembre 1991[27] mars 2014 GĂ©rard Salardaine Mytiliculteur
    mars 2014[28] décembre 2016
    (démission)
    Arnaud Barbé SE Conchyliculteur
    décembre 2016[29] 28 mai 2020 Gérard Salardaine SE Ancien mytiliculteur
    28 mai 2020 En cours Carole Cerveau[30] Assistante d'Ă©ducation
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[32].

    En 2020, la commune comptait 1 063 habitants[Note 8], en augmentation de 1,92 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    580547607725769845847885958
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1149361 0191 000972918882818775
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    775844845757715648613610600
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    7297937539141 0121 0091 0191 0231 014
    2015 2020 - - - - - - -
    1 0491 063-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Véhicule amphibie utilisé par les mytiliculteurs.

    Le Vivier-sur-Mer est le centre de la mytiliculture (Ă©levage des moules) dans la baie du mont Saint-Michel. En 2005, l'activitĂ© des exploitants installĂ©s sur la commune produisait 9 000 tonnes de moules (plus de 10 % de la production française). La mytiliculture, contrairement Ă  l'ostrĂ©iculture (culture de l'huĂźtre) est d'apparition rĂ©cente (1954) et rĂ©sulte du transfert du savoir-faire de mytiliculteurs venus des sites de Charente qui ont apportĂ© la technique de l'Ă©levage sur bouchots et initiĂ© l'importation du naissain depuis la cĂŽte atlantique car les moules ne se reproduisent pas dans la baie. Les sites de culture se sont dĂ©placĂ©s en partie vers l'est (banc des Hermelles) pour faire face Ă  l'expansion de l'activitĂ© et diminuer la densitĂ© de l'Ă©levage vectrice de maladies ; celles-ci ont fait baisser Ă  plusieurs reprises la production dans des proportions trĂšs importantes (jusqu'Ă  50 %). Compte tenu de l'ampleur des marĂ©es dans la rĂ©gion, les distances entre la cĂŽte et les bancs de moules sont considĂ©rables. Les mytiliculteurs du Vivier-sur-Mer utilisent des engins amphibies pour se rendre sur les zones d'exploitation en s'affranchissant des horaires des marĂ©es[35]. L'Ă©conomie de la moule a entrainĂ© une expansion dĂ©mographique significative de la population de la commune.

    Lieux et monuments

    Intérieur de l'église Saint-Nicolas du Vivier-sur-Mer.
    • L'Ă©glise Saint-Nicolas, de style nĂ©o-classique : massif occidental et tour de 1839, corps de l'Ă©difice Ă©rigĂ© par l'architecte malouin Jean-Gabriel Frangeul en 1848[36].

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Cancale - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Le Vivier-sur-Mer et Cancale », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Cancale - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Le Vivier-sur-Mer et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. « Etymologie et Histoire de Le Vivier-sur-Mer », infobretagne (consulté le ).
    25. DĂ©claration de l'Ă©vĂȘque de Dol, 1575.
    26. Louis Dubreuil, « FĂȘtes rĂ©volutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399.
    27. « VƓux : le maire, GĂ©rard Salardaine ne se reprĂ©sente pas », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consultĂ© le ).
    28. « Arnaud Barbé, élu maire, succÚde à Gérard Salardaine », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    29. « Gérard Salardaine est élu maire, avec 4 adjoints », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. « Carole Cerveau, premiĂšre femme maire du Vivier », Le Pays Malouin,‎ , p. 38.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. VĂ©ronique Orain (Dir.), Ille-et-Vilaine. Églises et chapelles. Indicateurs du patrimoine., Association pour l'Inventaire Bretagne, Rennes, 1996, (ISBN 2-905064-25-0).

    Voir aussi

    Liens externes

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