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Le Puy-Notre-Dame

Le Puy-Notre-Dame est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Le Puy-Notre-Dame
Le Puy-Notre-Dame
Blason de Le Puy-Notre-Dame
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire
Maire
Mandat
Isabelle Isabellon
2020-2026
Code postal 49260
Code commune 49253
Démographie
Gentilé Ponot, Ponote
Population
municipale
1 154 hab. (2020 en diminution de 4,55 % par rapport à 2014)
Densité 73 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 07′ 30″ nord, 0° 14′ 01″ ouest
Altitude 103 m
Min. 32 m
Max. 106 m
Superficie 15,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Doué-en-Anjou
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Doué-en-Anjou
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Le Puy-Notre-Dame
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Liens
Site web Site du Puy-Notre-Dame

    Géographie

    Commune située au sud du département dans le Saumurois, à la limite des Deux-Sèvres dont elle est séparée par un ruisseau au sud et à l'est par le Thouet, Montreuil-Bellay se trouve à six kilomètres, Doué-la-Fontaine et Thouars à douze kilomètres, la ville de Saumur à vingt-trois kilomètres.

    Une forte majorité de la population se situe dans le bourg, environ un millier, le reste se répartissant dans les villages attenant de Sanziers, Chavannes et Cix.

    La superficie de la commune est de 1 604 hectares dont 540 de vignes, le reste étant en cultures céréalières.

    De nombreuses galeries souterraines créées par l’extraction du tuffeau et du falun utilisés comme matériau de construction, s’étendent dans le sous-sol du Puy-Notre-Dame et même au-delà (de Saumur à Doué-la-Fontaine).

    Certaines de ces galeries ont servi d’habitations appelées troglodytes et d’autres, grâce à une température constante de 12°, servent encore à la conservation des vins et à la culture du champignon de Paris[1] et autres espèces.

    La commune est classée parmi lesvillages de charme du département de Maine-et-Loire.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 658 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mont.-Bellay », sur la commune de Montreuil-Bellay, mise en service en 1986[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 599,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, dans le département de la Vienne, mise en service en 1921 et à 73 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Puy-Notre-Dame est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Doué-en-Anjou, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,6 %), cultures permanentes (27,7 %), zones agricoles hétérogènes (26,5 %), prairies (6,9 %), zones urbanisées (6,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie et héraldique

    Toponymie

    Le nom Puy vient du latin podium pouvant se traduire par éminence ou petite butte.

    Héraldique

    Blason de Le Puy-Notre-Dame Blason
    D'or, à une Notre-Dame de carnation vêtue d'azur et de gueules, tenant dans ses bras l'enfant Jésus de la carnation.
    Détails

    Histoire

    Façade de l'église.

    Préhistoire et Antiquité

    Présence protohistorique.

    Moyen Âge

    Au XIe siècle, une église romane dédiée à Marie avait été érigée sur une colline d’un peu plus de 100 m de hauteur, la « Colline de Marie » (ecclesia beatae Mariae de Podio).

    Vers 1100, Guillaume IX, duc d'Aquitaine, au retour d’une croisade en Palestine y déposa un reliquaire de la Sainte Ceinture de la Vierge. Cette relique, (bande de tissu de soie et de lin, longue d’1,50 m) fit l’objet d’une grande dévotion et attira de nombreux pèlerins (coquille Saint-Jacques sculptée sur la façade d'une maison) et hauts dignitaires.

    Saint Louis, Charles VII[22] et Louis XI viennent successivement faire leurs dévotions. Anne de Bretagne l’utilisera pour le dauphin Charles. Anne d’Autriche la fera venir peu avant la naissance de Louis XIV (copie d’une lettre datée du détenue à l’église)[23]. Charles Louvet, maire de la ville de Saumur, écrivit[24] à Napoléon III afin de proposer à l’impératrice Eugénie les bienfaits de la Sainte Ceinture pour la future naissance du prince Louis-Eugène.

    En effet, on disait que cette relique possédait la vertu de favoriser la naissance d’enfant mâle, d’adoucir les souffrances des femmes enceintes et de faciliter les accouchements. À la fin du XIIe siècle, la petite-fille de Guillaume IX, Aliénor d’Aquitaine, en hommage à la Sainte Vierge, fit commencer la construction de l'église Notre-Dame sur l'emplacement de la précédente.

    Se pose alors une interrogation sur le pèlerinage effectué le par Isabelle Romée, mère de sainte Jeanne d'Arc, au "Puy" : s'agit-il du Puy-en-Velay ou du Puy-Notre-Dame, sachant qu'ensuite elle rencontre sa fille le à Chinon ? Le de cette année était jour de Jubilé au Puy-en-Velay, mais "Passer par la cité mariale vellave représente un sérieux détour de pénitence, au Sud, compte tenu des moyens de transport de l'époque et des périls encourus" (professeur Roger Briand)[25].

    Collégiale Notre-Dame

    Cet édifice, commencé vers 1154 et achevé vers 1250, s'inspire du plan de la cathédrale de Poitiers ; il offre un mélange de style gothique poitevin et angevin Plantagenêt : trois nefs à six travées, transept et abside à chevet rectangulaire. Il a été complété au XVe siècle par un haut clocher avec flèche de pierre et clochetons, puis restauré au XIXe siècle par Charles Joly Leterme, (architecte connu pour ses nombreuses réalisations) et complété d’une salle désignée comme l’oratoire de Louis XI et d’une salle capitulaire (sacristie actuelle).

    Ville close durant la guerre de Cent Ans et saccagée au XVIe siècle pendant les guerres de religion où fut détruite une grande partie de l'enceinte fortifiée, le Puy-Notre-Dame présente encore quelques vestiges de cette enceinte médiévale. Montreuil-Bellay reste la dernière ville close d'Anjou.

    En 1478, Louis XI y créa un chapitre, qui donnera le nom de collégiale à l'église. Afin que des enfants de chœur soient formés, Louis XI créa également une psalette (maîtrise de l’église) avec un maître à leur tête. Le roi ordonna en , par lettres patentes, la fondation d'un corps et collége de gens de l'église séculiers[26].

    Détail d'une stalle et miséricorde La Régalade de moine.

    Dans le chœur de la collégiale, on peut admirer des stalles magnifiquement sculptées en chêne massif du XVIe siècle servant de siège rabattable aux membres du clergé. La miséricorde était un appui discret quand le clergé était debout durant les offices.

    On peut également admirer une huile de Jean Boucher[27] peinte en 1621 représentant l’Assomption de la Vierge avec la transcription : JOANNES BOUCHER BITURT INVENIT ET FECIT 1620 OU 1621[28].

    Époque contemporaine

    En 1793, Le Puy-Notre-Dame porte le nom de Puy-la-Montagne.

    Vers 1880, le vignoble du Puy-Notre-Dame est dévasté par le phylloxéra réduisant à néant les espérances des vignerons. Les replantations s'effectuent au début du XXe siècle grâce à des plants plus résistants venus des États-Unis.

    Quelques vignerons du Puy-Notre-Dame, Vaudelnay, Brossay et Saint-Macaire-du-Bois se sont regroupés en association et ont pris comme emblème la Régalade de Moine, motif stylisé d'un détail d'une stalle de la collégiale.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    décembre 1989 mars 2008 Dominique Monnier
    mars 2008 mars 2014 Jean-Luc Claeys
    mars 2014 mai 2020 Patrice Mouchard[29]
    mai 2020 En cours Isabelle Isabellon[30] sans étiquette artiste[31]

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

    En 2020, la commune comptait 1 154 habitants[Note 7], en diminution de 4,55 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7001 6161 6401 5911 6231 5911 5561 5061 530
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4811 5281 5511 5061 5351 5301 5881 5401 386
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4671 5391 5071 3121 3381 2751 2641 2681 388
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 5421 6391 5001 4721 3221 2361 3021 2421 193
    2020 - - - - - - - -
    1 154--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,8 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 570 hommes pour 618 femmes, soit un taux de 52,02 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    2,1
    9,1
    75-89 ans
    12,1
    17,1
    60-74 ans
    18,4
    20,6
    45-59 ans
    18,5
    18,0
    30-44 ans
    16,1
    16,1
    15-29 ans
    14,6
    18,5
    0-14 ans
    18,2
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Économie

    Sur 131 établissements présents sur la commune à fin 2010, 40 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 5 % du secteur de la construction, 39 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[38].

    Culture locale et patrimoine

    Le village vu du coteau.

    Lieux et monuments

    Les rives du Thouet sont jalonnées d'anciens moulins et celui du Puy-Notre-Dame, le Moulin de Couchéx, est un ancien moulin à eau à chaussée, qui transformait le blé en farine. Il est détruit au XVIIIe siècle et reconstruit au XIXe siècle en pierre de tufeau et pierre de taille ; sa toiture est en ardoise, matériau utilisé pour la plupart des constructions de la région. Avec son pignon en pointe, ce bâtiment à trois étages ressemble à une étrave de bateau. Ce moulin cesse son activité dans le courant du XXe siècle. La roue à aubes n'existe plus et son mécanisme est dissimulé sous de fausses poutres.
    • Église Notre-Dame[40]
    • Vestiges de l'enceinte[41]
    • Maisons XVIe siècle, anciens relais de pèlerins.
    • Souterrains-refuges sous le bourg et à Sanziers.
    • Château Le Lys à Sanziers (pressoir)[42].
    • Fuie souterraine (petit colombier) à la Hupponnière.
    • Moulin cavier en ruine.
    • Chapelle du cimetière XVe siècle[43].
    • Ancienne chapelle du couvent des cordelières (grange).

    Personnalités liées à la commune

    • Isabelle Rommée (ou Isabeau Rommée) (1377– ), mère de Jeanne d'Arc, venue faire un pèlerinage a Le Puy.
    • Pierre Quétineau (1756-1794), général des armées de la République, guillotiné à Paris le 27 ventôse an II, y est né.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : N-R, t. 3, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 40869771, lire en ligne), p. 345-349.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. (fr) « La biologie et physilogie du "champignon de Paris" » sur le site personnel Rue des lumières, consulté le 17 août 2009
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Mont.-Bellay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Le Puy-Notre-Dame et Montreuil-Bellay », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Mont.-Bellay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Le Puy-Notre-Dame et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Louis Archon, Histoire De La Chapelle Des Rois De France, , 793 p. (lire en ligne), p. 356.
    23. Louis Archon, Histoire De La Chapelle Des Rois De France, , 793 p. (lire en ligne), p. 779.
    24. Site de la commune du Puy-Notre-Dame
    25. Livre "La Haute-Loire insolite", page 134, du professeur Roger Briand, juillet 2016.
    26. Lettres patentes de Louis XI, Thouars, janvier 1482 (1481 avant Pâques)
    27. Encyclopédie Bourges, Jean Boucher
    28. Ministère de la Culture - Base Palissy
    29. « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
    30. « Le Puy-Notre-Dame. Première : une femme dans le fauteuil de maire », sur ouestfrance.fr, Ouest France, (consulté le ).
    31. « Le Puy-Notre-Dame. Isabelle Isabellon, maire multitâches », sur angers.maville.com, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Puy-Notre-Dame (49253) », (consulté le ).
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
    38. Insee, Statistiques locales du territoire de Le Puy-Notre-Dame (49), consultées le 8 mai 2013
    39. « Moulins à Le Puy-Notre-Dame (49) », notice no IA00054023, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Église », notice no PA00109241, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Fortification d'agglomération », notice no IA00054026, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Manoir Notre-Dame dit Château du Lys », notice no IA00054090, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Chapelle funéraire Saint-Sauveur », notice no IA00054029, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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