Le Louroux
Le Louroux est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.
Le Louroux | |||||
Église Saint-Sulpice. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Indre-et-Loire | ||||
Arrondissement | Loches | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Loches Sud Touraine | ||||
Maire Mandat |
Éric Deniau 2020-2026 |
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Code postal | 37240 | ||||
Code commune | 37136 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Lourousiens | ||||
Population municipale |
527 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 18 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 47° 09′ 41″ nord, 0° 47′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 79 m Max. 127 m |
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Superficie | 28,87 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Tours (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Descartes | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | lelouroux.com | ||||
GĂ©ographie
Le village du Louroux est situé en Indre-et-Loire, au nord de Manthelan (2,5 km) et à 28 km au sud de Tours, sur la départementale D50 qui relie Tours à Ligueil.
Hydrographie
Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 22,47 km, comprend deux cours d'eau notables, l'Échandon et le Saint-Branchs, et divers petits cours d'eau[1] - [2].
L'Échandon a une longueur totale de 25,7 km. Il prend sa source dans la commune de Manthelan, s'écoule du sud-ouest vers le nord-ouest et constitue la limite communale nord-est. Il se jette dans l'Indre à Esvres, après avoir traversé 6 communes[3]. La station hydrométrique de Saint-Branchs permet de caractériser les paramètres hydrométriques de l'Échandon. Le débit mensuel moyen (calculé sur 51 ans pour cette station) varie de 0,15 m3/s au mois d'août à 1,41 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 55 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 3,01 m ce même jour[4] - [5]. Ce cours d'eau est classé dans la liste 1[Note 1] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Du fait de ce classement, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux[6]. Sur le plan piscicole, l'Échandon est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[7].
Le Saint-Branchs, qui porte localement le nom de « Ruandon », a une longueur totale de 18,3 km. Il prend sa source dans la commune aux abords du hameau de la Basse-Cour au nord-ouest du territoire communal, s'écoule du sud vers le nord et se jette dans l'Indre à Veigné, après avoir traversé 5 communes[8]. Sur le plan piscicole, le Saint-Branchs est également classé en deuxième catégorie piscicole[7].
En 2017, la commune est membre de la communauté de communes Loches Sud Touraine qui est elle-même adhérente au syndicat d'aménagement de la vallée de l'Indre depuis 2019. Créé par arrêté préfectoral du à la suite des crues historiques de et , ce syndicat a pour vocation d'une part l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau par des actions de restauration de zones humides et des cours d'eau, et d'autre part de participer à la lutte contre les inondations par des opérations de sensibilisation de la population ou de restauration et d'entretien sur le lit mineur, et sur les fossés situés dans le lit majeur de l'Indre appelés localement « boires », et de l'ensemble des cours d'eau du bassin versant de l'Indre[9].
Quatre zones humides ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire[10] - [11] : l'étang du Louroux, les étangs de Beauregard, de Gousset et de Daumoin, la vallée de l'Echandon en amont de Saint-Bault et le Gué des Quatre Souris. L'étang du Louroux, d'une superficie de 52 hectares[12], est propriété du conseil départemental depuis 1990 et sa gestion est assurée par la commune. Il accueille de nombreux oiseaux dont certaines très rares[13].
Urbanisme
Typologie
Le Louroux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,5 %), forêts (15,3 %), prairies (11 %), zones agricoles hétérogènes (6,7 %), eaux continentales[Note 4] (2,1 %), zones urbanisées (1,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Risques majeurs
Le territoire de la commune duLouroux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Louans, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 252 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 252 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [25].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990, 1993 et 1996 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Toponymie
Évolution chronologique des mentions du Louroux :
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Le toponyme Louroux est issu du terme latin oratorium, mot qui signifie littéralement oratoire, fait référence à un « lieu de prière »[32] - [33] - [34]. À l'instar du Louroux-Béconnais, en Maine-et-Loire, l'article est doublé[34] - [35].
Le toponyme du Louroux a évolué sous plusieurs formes. En latin, le nom du Louroux a été mentionné sous les termes d'Orodarium et de Loratorium[27]. Son toponyme est également connu sous la forme de Lorouer et Loreux au XIVe siècle, puis de « Le Loroux », en 1536[27] - [29].
Pour l'archéologue Jean-Jacques Bourassé, en s'appuyant sur la Notitia Galliarum[36] et la Vita Martini, ainsi que pour l'archiviste paléographe Louis Émile Mabille[37], le nom du Louroux est associé aux termes latins Leprosum et Leprosus[38]. Toutefois, pour l'archéologue Jacques-Xavier Carré de Busserole, les termes Leprosum et Leprosus ne renvoient pas au Louroux, mais à Levroux, dans l'Indre[28].
Histoire
À l'époque gallo-romaine, l'occupation du territoire communal est attestée par la présence d'une villa. Les traces de cet établissement antique ont été repérées par archéologie aérienne au lieu-dit de Mazère[39].
En 991 ou 993, Archambault, archevêque de Tours, fit don de trois églises à Bernerius, abbé de Marmoutier, dont celle de « Saint-Sulpice de Oradorio ». Cette dernière sera appelée, au XIIe siècle, « Ecclesia de Loratorio » puis, au XIVe siècle, « Lorouer » ou « Lorreux ». Vers 1536 on l'appellera « Loroux » et enfin « Le Louroux ».
Politique et administration
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[41].
En 2020, la commune comptait 527 habitants[Note 5], en augmentation de 2,53 % par rapport Ă 2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Le Louroux se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Loches.
L'école élémentaire Louis Blanchard accueille les élèves de la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le prieuré avec son ancienne ferme abbatiale et son pigeonnier, monument historique.
- L'église Saint-Sulpice (monument historique) dont l'ostensoir fut offert à la paroisse par Napoléon III.
- Le calvaire au cimetière, monument historique.
- La maison de pays (qui raconte l'histoire du village et de la région).
- Le grand Ă©tang de Louroux, dont on peut faire le tour Ă pied (5 km).
- L'ancienne ferme abbatiale.
- La croix du cimetière.
- Étang du Louroux.
- L'étang de Beauregard, par Eugène Delacroix.
Personnalités liées à la commune
Eugène Delacroix a habité dans le village.
Voir aussi
Bibliographie
- André Montoux, « L'ensemble médiéval du Louroux », Bulletin de la Société archéologique de Touraine, Société archéologique de Touraine, t. 38,‎ (lire en ligne, consulté le ).
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Le classement en liste 1 au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
- « Le Louroux sur Geoportail », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Fiche Sandre - l'Échandon », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/.
- « Station hydrométrique K7514010, l'Échandon à Saint-Branchs », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
- « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Fiche Sandre - le Saint-Branchs », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- « Objectifs du SAVI », sur http://www.savi37.fr/ (consulté le ).
- Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
- « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
- (id) « L'étang du Louroux », sur https://www.touraineloirevalley.com/ (consulté le ).
- (id) « L'étang du Louroux », sur http://www.lpotouraine.fr/ (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Les risques près de chez moi - commune du Louroux », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le )
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- Jean-Jacques Bourassé, « Leprosus vicus, Orodorium, Loratorium vicaria. Le Loroux ou Le Louroux », dans Mémoires de la Société archéologique de Touraine, t. IX, (lire en ligne).
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- Montoux 1978, p. 693.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Navigation : cartes de Cassini », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- « Plan cadastral Le Louroux - Plan d'alignement, développement section G (échelle 1/625) », sur le site des archives départementales d'Indre-et-Loire (consulté le ).
- Roger Brunet, « Les édifices du culte », dans Roger Brunet, Trésor du terroir. Les noms de lieux de la France : Les noms de lieux de la France, CNRS Editions, , 656 p. (lire en ligne), p. 193.
- Jean-Claude Bouvier, « Gendron Stéphane. 2012. L’origine des noms de lieux de l’Indre-et-Loire - Communes et anciennes paroisses [Compte-rendu]. », Nouvelle revue d'onomastique, no 54,‎ , p. 303 (lire en ligne, consulté le ).
- Stéphane Gendron (dir.) (préf. Marianne Mulon), Les noms des lieux en France : essai de toponymie, Errance (lire en ligne), p. 50.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 3 : Formations dialectales (suite) et françaises, Genève, Librairie Droz, , 480 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), p. 1518.
- (la) Adrien de Valois, « Leprosus vicus », dans Notitia provinciarum et civitatum Galliae, Paris, (lire en ligne), p. 272.
- Martine François, « Mabille Louis Emile », sur le site du Comité des travaux historiques et scientifiques, (consulté le ).
- Émile Mabille, « Notice sur les divisions territoriales et la topographie de l'ancienne province de Touraine [deuxième article]. », Bibliothèque de l'école des chartes, t. 24.,‎ , p. 401 (DOI 10.3406/bec.1863.445880, lire en ligne, consulté le ).
- Jacques Dubois, « Archéologie aérienne : prospections de 1987, 1988 et 1989 », bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. 44,‎ , p. 112 et 113 (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.