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Article (grammaire)

En grammaire traditionnelle, l’article a plusieurs dĂ©finitions. Selon l’une d’elles, c’est une partie du discours Ă  fonction grammaticale, qui accompagne le nom dans certaines langues, indiquant dans quelle mesure ce que celui-ci dĂ©nomme est connu des participants Ă  une situation de communication donnĂ©e[1]. Du point de vue syntaxique, il fait partie de la classe des dĂ©terminants au sens large (c’est-Ă -dire les termes subordonnĂ©s au nom), sous-classe des dĂ©terminants abstraits[2].

Les articles dĂ©fini et indĂ©fini dans les langues d’Europe
  • articles indĂ©fini et dĂ©fini
  • article dĂ©fini seulement
  • articles indĂ©fini et dĂ©fini enclitique
  • article dĂ©fini enclitique seulement
  • sans articles

D’aprĂšs une autre dĂ©finition, l’article est « le dĂ©terminant minimal, le mot qui permet au nom de s’actualiser, de se rĂ©aliser dans une phrase, si le sens ne rend pas nĂ©cessaire le choix d’un autre dĂ©terminant »[3].

ConformĂ©ment Ă  une autre dĂ©finition encore, l’article est un mot qui, du point de vue logique, individualise ou gĂ©nĂ©ralise le nom qu’il accompagne[4].

D’un autre point de vue, l’article fait partie de la catĂ©gorie des clitiques, c’est-Ă -dire des Ă©lĂ©ments qui ne sont pas des mots Ă  part du point de vue prosodique, Ă©tant gĂ©nĂ©ralement dĂ©pourvus d’accent[5].

Toutes les langues ne possĂšdent pas d’articles. Telles sont, par exemple, le latin et la plupart des langues slaves[6]. Dans les langues qui en ont, le nombre de leurs types dĂ©pend de la langue en question.

Dans la plupart des langues d’Europe, du moins, tous les articles sont proclitiques, c’est-Ă -dire des mots placĂ©s devant le mot dĂ©terminĂ©, mais dans certaines, comme le roumain, le bulgare ou l’albanais, l’article dĂ©fini est enclitique, c’est-Ă -dire ajoutĂ© Ă  la fin du mot dĂ©terminĂ©, tel un suffixe[7].

Les langues sont diffĂ©rentes selon que les articles s’accordent ou non avec le nom dĂ©terminĂ©. Dans les langues romanes occidentales, par exemple, ils s’accordent en genre et en nombre, et en roumain en cas Ă©galement, mais en anglais ou en hongrois, ils ne s’accordent pas. Par l’accord, l’article peut avoir la fonction secondaire d’indiquer les catĂ©gories grammaticales du nom lorsque celui-ci ne le fait pas. En espagnol, par exemple, le nom problema a une terminaison spĂ©cifique pour le fĂ©minin, mais, grĂące Ă  un article (un/el problema), on peut savoir qu’en fait il est masculin[8]. En français, on ne distingue pas Ă  l’oral, dans la plupart des cas, le nombre du mot isolĂ©, mais avec un article il devient Ă©vident : un/le mur [my:ʁ], des/les murs [my:ʁ][9].

Une autre fonction secondaire de l’article est de substantiver des mots appartenant à d’autres classes lexico-grammaticales, ou des syntagmes :

  • (fr) trois mĂąts (syntagme Ă  dĂ©terminant numĂ©ral) → un trois-mĂąts « navire ayant trois mĂąts »[10] ;
  • (en) smell « sentir » (verbe) → a smell « une odeur »[11] ;
  • (ro) bine « bien » (adverbe) → binele « le bien » (notion Ă©thique)[12] ;
  • (hu) jaj « aĂŻe », allelĂșja « allĂ©luia » (interjections) → HĂĄt nem segĂ­t a jaj s az allelĂșja « L’”aĂŻe” et l’”allĂ©luia” ne sont d’aucun secours » (Attila JĂłzsef)[13].

En fonction de la langue, les articles peuvent ou non ĂȘtre employĂ©s avec un autre dĂ©terminant pour accompagner un mĂȘme nom. En français et en anglais, par exemple, l’article, le dĂ©terminant possessif et le dĂ©terminant dĂ©monstratif s’excluent l’un les autres[14] - [15], mais en roumain, lorsque le nom est utilisĂ© avec le dĂ©terminant possessif postposĂ©, il doit avoir en mĂȘme temps l’article dĂ©fini : fiul meu « mon fils »[16]. Il en est de mĂȘme lors de l’emploi du dĂ©terminant dĂ©monstratif postposĂ© (studenta aceasta « cette Ă©tudiante »), bien que ce soit diffĂ©rent quand le dĂ©monstratif est antĂ©posĂ© : această studentă « cette Ă©tudiante »[17].

Comme l’article est un clitique, dans certaines langues sa forme dĂ©pend du phone (son) initial du mot qui le suit, adaptĂ©e Ă  ce phone. C’est pourquoi, en français, les voyelles des articles le et la sont Ă©lidĂ©es devant un mot commençant par une voyelle, ce qui mĂšne Ă  la non-distinction des genres : le chien (masculin), la clĂ© (fĂ©minin), mais l’étĂ© (masc.), l’heure (fĂ©m.)[18]. En espagnol il y a un phĂ©nomĂšne analogue. L’article dĂ©fini fĂ©minin singulier est la (ex. la carta « la lettre ») mais, si le nom fĂ©minin commence par un /a/ (Ă©crit a- ou ha-) accentuĂ©, il reçoit la forme de masculin de l’article dĂ©fini : el agua (fĂ©m.) « l’eau », comme el ĂĄrbol (masc.) « l’arbre »[8]. En anglais, l’article indĂ©fini a deux formes, ex. a visitor « un visiteur » vs an exhibition « une exposition »[19], parce que la forme an forme plus facilement un mot phonĂ©tique (groupe de mots avec un seul accent) avec le mot Ă  initiale vocalique. En hongrois, le cas de l’article dĂ©fini est analogue au prĂ©cĂ©dent : a tanĂĄr « le professeur » vs az ĂșjsĂĄg « le journal »[20].

L’article dĂ©fini

L’article dĂ©fini indique le fait que le nom auquel il est associĂ© est connu des participants Ă  la situation de communication, qu’il est individualisĂ© Ă  un haut degrĂ©, qu’il est exactement dĂ©fini, qu’il dĂ©nomme une certaine chose ou un certain ĂȘtre[1] - [3] - [4]. La connaissance du nom peut dĂ©couler du contexte oral ou Ă©crit [(hu) A könyvet elolvastam « Le livre, je l’ai lu »], ou bien des connaissances que les participants ont du monde en gĂ©nĂ©ral : (hu) Az autĂł gĂ©pjĂĄrmƱ « L’automobile est un vĂ©hicule Ă  moteur »[4].

Dans plusieurs langues, l’origine de l’article dĂ©fini se trouve dans le pronom dĂ©monstratif. Dans les langues romanes, il provient du dĂ©monstratif latin : ILLE (masc.) > (fr) le, (es) el, (it) il, (pt) o, (ro) -l(e) ; ILLA (fĂ©m.) > (fr) la, (es) la, (it) la, (pt) a, (ro) -a ; IPSE (masc.) > (sc) su, IPSA (fĂ©m.) > (sc) sa[21]. En anglais, le seul article dĂ©fini a pour Ă©tymon la forme de masculin singulier nominatif (ĂŸe) du pronom dĂ©monstratif du vieil anglais[22]. En hongrois, parmi les deux formes, a et az, la derniĂšre continue d’ĂȘtre au XXIe siĂšcle identique Ă  celle du pronom dĂ©monstratif d’éloignement dont il provient par conversion[23].

En français, la forme de masculin singulier (le) et celle unique de pluriel (les) se contractent avec deux prĂ©positions : appeler au secours (Ă  + le), parler aux voisins (Ă  + les), le repas du soir (de + le), la veille des vacances (de + les)[24]. Ce sont des cas particuliers de prĂ©sence de deux parties du discours dans un mĂȘme mot.

La particularitĂ© de l’article dĂ©fini roumain est qu’il se dĂ©cline, c’est-Ă -dire qu’il a des formes diffĂ©rentes avec un nom en fonction de sujet ou de complĂ©ment d’objet direct (nominatif-accusatif), et avec un nom exprimant un possesseur ou en fonction de complĂ©ment d’objet indirect d’attribution (gĂ©nitif-datif) : pomul (N-A) « l’arbre », pomului (G-D) « de/Ă  l’arbre » ; pomii (N-A) « les arbres », pomilor (G-D) « des/aux arbres » ; casa (N-A) « la maison », casei (G-D) « de/Ă  la maison »[25]. L’utilisation de l’article dĂ©fini avec des noms propres de personnes au singulier, gĂ©nitif-datif, est la seule situation oĂč il devient proclitique : lui Alexandru « d’/Ă  Alexandru », lui Ionescu « de/Ă  Ionescu »[26].

L’article indĂ©fini

L’article indĂ©fini exprime le fait que le nom auquel il est associĂ© dĂ©nomme un animĂ© ou un inanimĂ© inconnu des participants Ă  la communication, au sens qu’il n’en a pas encore Ă©tĂ© question au cours de celle-ci. Il indique Ă©galement que ce qui est dĂ©nommĂ© n’est pas individualisĂ© par rapport Ă  la classe dont il fait partie, et l’article ne fait qu’orienter l’attention sur ce qui est dĂ©nommĂ©, sans le dĂ©terminer exactement[1] - [27] - [28] - [4].

Au singulier, cet article provient du nom du chiffre un, dans certaines langues gardant la mĂȘme forme, comme en français (un, une) ou en hongrois (egy). En anglais, la forme an a pour origine le nombre an du vieil anglais, qui a perdu le n devant les mots commençant par une consonne. Dans la langue actuelle, le nom du chiffre a une tout autre forme, one[29]. En espagnol, l’article masculin est de forme identique Ă  celle de l’adjectif numĂ©ral cardinal (un vs uno – le nom du chiffre), et le fĂ©minin est identique au nom du chiffre et Ă  l’adjectif numĂ©ral : un niño « un enfant », una mesa « une table »[30]. En roumain, l’article indĂ©fini est identique Ă  l’adjectif numĂ©ral, mais diffĂšre du nom du chiffre : un pom « un arbre », o casă « une maison » vs unu, una « un, une ». Cet article aussi a une forme de gĂ©nitif-datif : unui pom « d’/Ă  un arbre », unei case « d’/Ă  une maison »[31].

En anglais ou en hongrois il n’y a pas d’article indĂ©fini pluriel, mais dans d’autres langues il y en a. En français il s’est formĂ© par la contraction de la prĂ©position de et de l’article dĂ©fini pluriel les, ayant une seule forme : Des gens demandent Ă  vous voir[27]. Cet article est considĂ©rĂ© comme d’un autre type aussi par certaines grammaires (voir plus bas). En espagnol aussi il y a des articles indĂ©finis pluriels. Dans cette langue ils se forment par le procĂ©dĂ© habituel de formation du pluriel des parties du discours nominales : unos libros (masc.) « des livres », unas mujeres « des femmes »[30]. Ces mots sont Ă©galement considĂ©rĂ©s comme adjectifs indĂ©finis[32]. En roumain Ă©galement il y a des articles indĂ©finis pluriels. L’un a une forme invariable selon les genres (niște pomi « des arbres », niște case « des maisons »), l’autre a seulement la forme de gĂ©nitif-datif, Ă©tant le pluriel de l’article indĂ©fini au mĂȘme cas, mais de forme unique pour les genres : unor pomi « d’/Ă  des arbres », unor case « de/Ă  des maisons »[31]. Cette forme existe en tant qu’adjectif indĂ©fini aussi. La particularitĂ© de niște est d’ĂȘtre parfois employĂ© avec des noms non nombrables au singulier, ex. niște carne « de la viande »[33].

Autres articles

Traditionnellement, dans les grammaires du français, l’article partitif est considĂ©rĂ© Ă  part, bien qu’il ne soit, « pour la valeur, qu’un article indĂ©fini employĂ© devant un nom pour indiquer qu’il s’agit d’une quantitĂ© indĂ©finie d’une rĂ©alitĂ© non nombrable » (une matiĂšre, une notion abstraite). Exemples : avoir du courage, boire de l’alcool, boire de la biĂšre. Selon certaines grammaires, des est non seulement un article indĂ©fini, mais aussi partitif, quand il est utilisĂ© avec des noms non nombrables sans singulier : manger des rillettes[34].

Dans cette perspective, le roumain niște aussi peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un article partitif lorsqu’il est employĂ© avec des noms non nombrables, mais ce type d’article est ignorĂ© des grammaires roumaines. En revanche, elles prennent en compte deux autres types d’articles.

L’article dĂ©monstratif a un sens proche de celui de l’adjectif dĂ©monstratif, ayant des formes identiques Ă  celles de la variante brĂšve de cet adjectif. Comme l’article dĂ©fini, l’article dĂ©monstratif dĂ©termine le nom de façon dĂ©finie. Exemples [35]:

  • dans l’expression du degrĂ© superlatif relatif : cel mai frumos « le plus beau » ;
  • comme substitut d’un nom devant l’épithĂšte ou le complĂ©ment qui s’y rĂ©fĂšre : – Unde mi-e rochia? – Care, cea neagră? « – OĂč est ma robe ? – Laquelle, la noire ? » ;
  • devant un adjectif numĂ©ral : Cei trei mușchetari « Les trois mousquetaires » ;
  • dans des unitĂ©s phrasĂ©ologiques : Cele rele să se spele, cele bune să se-adune (vƓu) littĂ©ralement « Que les mauvaises (choses) se lavent, que les bonnes s’ammassent » ;
  • dans des noms de monarques : Petru cel Mare « Pierre le Grand » ;
  • devant le deuxiĂšme terme subordonnĂ© Ă  un nom, lorsque les deux sont postposĂ©s : prietena lui cea simpatică « son amie sympathique ».

Cet article aussi a des formes de génitif-datif : celui (masc. singulier), celei (fém. sg.), celor (masc. et fém. pluriel).

Un autre article roumain est appelĂ© possessif. Il exprime une dĂ©termination dĂ©finie dans des constructions possessives, ayant quatre formes accordĂ©es avec l’objet possĂ©dĂ© auquel il se rĂ©fĂšre. Il est utilisĂ© dans les cas ci-dessous [36]:

  • la formation du pronom possessif, Ă©tant mis devant l’adjectif possessif : al meu « le mien » ;
  • dans le deuxiĂšme terme subordonnĂ© Ă  un nom, terme dĂ©nommant le possesseur de ce qu’exprime le subordonnant : pantofii cei noi ai verișoarei mele « les chaussures neuves de ma cousine » ;
  • dans l’attribut qui exprime le possesseur de ce qu’exprime le sujet : Cărțile sunt ale profesorului meu « Les livres sont Ă  mon professeur », A cui este casa aceasta? « À qui est cette maison ? »

Article zéro

Dans certains cas, le nom est utilisĂ© sans article mĂȘme dans des langues qui en possĂšdent.

En français on utilise sans article, par exemple l’attribut sans Ă©pithĂšte ni complĂ©ment, qui dĂ©nomme l’occupation, la profession, la fonction, le titre, l’ethnie, etc. du sujet exprimĂ© par un nom ou par un pronom personnel : Son fils est avocat[37]. L’article est Ă©galement omis dans les cas ci-dessous, qui sont parmi les plus frĂ©quents [38]:

  • complĂ©ment de caractĂ©risation : une table de marbre ;
  • complĂ©ment d’objet indirect indĂ©fini avec la prĂ©position de : Tu t’occupes de bĂȘtises ;
  • complĂ©ment dans des unitĂ©s phrasĂ©ologiques : demander pardon, prĂȘter sur gages ;
  • avec les noms propres de personnes : J’ai rencontrĂ© Jean.

Le dernier est un cas oĂč le nom est en fait dĂ©fini. En anglais, il arrive que des noms communs dĂ©finis soient Ă©galement utilisĂ©s sans article, dans des affirmations gĂ©nĂ©rales : Whisky is expensive « Le whisky est cher », Planes take off from here « Les avions dĂ©collent d’ici »[15].

En espagnol Ă©galement, l’article est absent avec l’attribut nom d’occupation, etc. : Es general de ejĂ©rcito « Il est gĂ©nĂ©ral dans l’armĂ©e »[39]. Il est Ă©galement inexistant devant les noms non nombrables : Tenemos vino « Nous avons du vin »[40].

En roumain aussi, l’article est omis dans le premier cas oĂč il l’est en espagnol : El este student « Il est Ă©tudiant ». Avec les non nombrables aussi, il est plus souvent omis qu’utilisĂ© : Am pĂąine, brĂąnză și vin « J’ai du pain, du fromage et du vin ». Il y a aussi des cas d’omission de l’article dĂ©fini avec des noms en fait dĂ©finis, ceux sans terme subordonnĂ© utilisĂ©s Ă  l’accusatif avec des prĂ©positions : Cartea e pe masă « Le livre est sur la table », Pisica este sub scaun « Le chat est sous la chaise ». Seule la prĂ©position cu « avec » n’exclut pas l’article dans une situation similaire : Mergem cu directorul « Nous y allons avec le directeur ». Avec cette prĂ©position, le nom peut aussi ĂȘtre indĂ©fini, malgrĂ© son utilisation avec l’article dĂ©fini : Mergem cu mașina « Nous y allons en voiture »[41].

En hongrois Ă©galement il y a des cas d’absence d’article avec des noms sans terme subordonnĂ©, comme les noms propres de personnes (TalĂĄlkoztĂĄl mĂĄr GĂ©zĂĄval? « Tu as dĂ©jĂ  rencontrĂ© GĂ©za ? »), y compris quand le nom de famille dĂ©signe toute une famille (Megjöttek Szabóék « Les SzabĂł sont arrivĂ©s »), contrairement au français (les Durand[42]) ou Ă  l’anglais : the Johnsons « les Johnson »[43]. Les noms de pays constituĂ©s d’un seul mot, employĂ©s sans terme subordonnĂ©, ne reçoivent pas non plus d’article : FinnorszĂĄg « la Finlande ». Un cas d’utilisation facultative de l’article dĂ©fini est avec le nom d’objet possĂ©dĂ© pourvu d’un suffixe possessif, correspondant de l’adjectif possessif français : Alig tudta leplezni (az) ingerĂŒltsĂ©gĂ©t « À peine s’il/si elle a pu masquer son irritation »[4].

Par rapport aux autres langues mentionnĂ©s dans cet article, en hongrois, les cas d’absence de l’article indĂ©fini sont beaucoup plus frĂ©quents que ceux de son utilisation. L’attribut, par exemple, est systĂ©matiquement dĂ©pourvu d’article, ex. Ez vicc « C’est une blague »[4].

Références

  1. Constantinescu-Dobridor 1998, article articol.
  2. Constantinescu-Dobridor 1998, article determinant.
  3. Grevisse et Goosse 2007, p. 742.
  4. Bokor 2007, p. 247-248.
  5. KĂĄlmĂĄn et TrĂłn 2007, p. 174.
  6. Bussmann 1998, p. 89. Voir aussi la carte ci-contre.
  7. KĂĄlmĂĄn et TrĂłn 2007, p. 107. Voir aussi la carte ci-contre.
  8. KattĂĄn-Ibarra et Pountain 2005, p. 19.
  9. Grevisse et Goosse 2007, p. 746.
  10. Grevisse et Goosse 2007, p. 112
  11. Crystal 2008, p. 114.
  12. Constantinescu-Dobridor 1998, article substantivare « substantivation ».
  13. P. Lakatos 2006, p. 108.
  14. Grevisse et Goosse 2007, p. 738.
  15. Eastwood 1994, p. 177.
  16. Cojocaru 2003, p. 77.
  17. Cojocaru 2003, p. 82.
  18. Grevisse et Goosse 2007, p. 742-743.
  19. Eastwood 1994, p. 198.
  20. P. Lakatos 2006, p. 25.
  21. TLFi, article LE1, LA1, LES1.
  22. Etymonline, article the.
  23. Zaicz 2006, article az.
  24. Grevisse et Goosse 2007, p. 743.
  25. Cojocaru 2003, p. 34.
  26. Cojocaru 2003, p. 38.
  27. Grevisse et Goosse 2007, p. 745.
  28. Crystal 2008, p. 241.
  29. Etymonline, article an.
  30. KattĂĄn-Ibarra et Pountain 2005, p. 22.
  31. Cojocaru 2003, p. 33.
  32. KattĂĄn-Ibarra et Pountain 2005, p. 53.
  33. Dexonline, article niște.
  34. Grevisse et Goosse 2007, p. 245-246.
  35. Cojocaru 2003, p. 45-46.
  36. Cojocaru 2003, p. 48.
  37. Grevisse et Goosse 2007, p. 753.
  38. Grevisse et Goosse 2007, p. 753-759.
  39. KattĂĄn-Ibarra et Pountain 2005, p. 23.
  40. KattĂĄn-Ibarra et Pountain 2005, p. 20.
  41. Cojocaru 2003, p. 44.
  42. Grevisse et Goosse 2007, p. 1418.
  43. Eastwood 1994, p. 209.

Sources bibliographiques

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