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Lac de Vallon

Le lac de Vallon se trouve en Haute-Savoie, sur la commune de Bellevaux, dans le massif du Chablais. Le lac est un géosite du Géoparc du Chablais et reconnu comme faisant partie du patrimoine géologique de la région Auvergne-Rhône-Alpes[1].

Lac de Vallon
Image illustrative de l’article Lac de Vallon
Le lac de Vallon - À gauche, le Rocher d'Ombre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
DĂ©partement Haute-Savoie
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Fait partie de GĂ©oparc mondial Unesco du Chablais
Statut Patrimoine géologique, espace naturel sensible et zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 12′ 56″ N, 6° 33′ 35″ E
Type Lac de barrage
Origine Glissement de terrain
Montagne Massif du Chablais
Superficie 109 500 m2
Longueur 830 m
Largeur 290 m
Altitude 1 080 m
Profondeur
· Maximale

10,5 m
Volume 536 600 m3
Hydrographie
Bassin versant 2 100 ha
Alimentation Brevon
Émissaire(s) Brevon
Durée de rétention 10 jours
Divers
Peuplement piscicole truite
Peuplement avifaune canard
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Lac de Vallon
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Savoie
(Voir situation sur carte : Haute-Savoie)
Lac de Vallon

Toponyme

Le lac est initialement nommé « lac de Chauronde »[note 1] par Léon Moret[3] en référence à la localité de Chauronde où le glissement de terrain est venu barrer la vallée du Brevon. L’appellation « lac de Vallon » est finalement définie par Bernard Dussart[2] en référence au nom de la vallée, Vallon.

GĂ©ographie

Le lac est long de 900 m et couvre une superficie de 15 ha. La rive nord-ouest est marquĂ© par une petite pĂ©ninsule tĂ©moin de l'avancĂ©e de la coulĂ©e Ă  l'origine du lac. Les rives latĂ©rales sont relativement abruptes tandis que les rives au nord et au sud forment des pentes douces[4].

Situation

Le lac se situe dans la partie amont de la vallée du Brevon à moins de km de la source du torrent éponyme. Cette partie de la vallée se caractérise par une orientation sud-est - nord-ouest qui lui permet de recouper des plis sous forme de cluse et qui a donné son nom au hameau de La Clusaz en aval du lac. Il est bordé en amont par le hameau de la Chèvrerie et est localisé sur le territoire de Bellevaux. Le lac est accessible depuis la route départementale 236.

Deux falaises verrouillent à l'ouest le vallon où est situé le lac (le rocher d'Ombre au sud et le Rochers de la Mottaz au nord). Il est surplombé sur sa rive nord par les alpages de Tré le Saix puis par la pointe de la Gay et l'arête des Relias vers l'est. La rive sud-est débouche sur le chainon du roc d'Enfer.

GĂ©ologie

Le lac se situe à cheval sur la nappe des Préalpes médianes plastiques à l'ouest et au nord et la nappe des Dranses à l'est et au sud. Cependant les apports sédimentaires comportent aussi des apports de la nappe de la Brèche située au sud via le Brevon.

La nappe des Préalpes médianes plastiques forme l'ossature des reliefs ceinturant le lac de Vallon. Ce sont des calcaires jurassiques à l'ouest et nord-ouest et des Couches Rouges (Crétacé supérieur à Éocène) au nord. La nappe des Dranses correspond à la formation du Biot (« flysch à Helminthoïdes », Crétacé supérieur) qui couvre toute la rive est ainsi que la Tête au Moine sur la rive ouest. Elle recoupée sur la rive est par un mélange coiffant la nappe des Préalpes médianes. Enfin la nappe de la Brèche est représentée par toute sa série stratigraphique depuis le Trias dolomitique jusqu'à la Brèche supérieure (Kimméridgien - Crétacé inférieur).

Hydrologie

Le bassin versant du lac recouvre une superficie de 2 100 ha. Il est dĂ©limitĂ© par une ligne de crĂŞte dĂ©butant Ă  la pointe de la Gay Ă  l'est et passant par le col des Follys, le roc d'Enfer au sud et la pointe des Follys Ă  l'ouest. Il est principalement alimentĂ© par le Brevon et le ruisseau de la Diomaz qui drainent respectivement 76,9 % et 12,2 % du bassin versant[4]. C'est un lac oligotrophe en raison notamment de sa forte oxygĂ©nation et de la faible concentration en matière organique dans les sĂ©diments. Cependant, le rejet des eaux usĂ©es de La Chèvrerie dans le Brevon jusqu'en 2020 a favorisĂ© une eutrophisation du lac.

Le lac est aujourd'hui soumis à un phénomène d'engravement qui aboutira à son comblement définitif sans intervention humaine. Il résulte d'un effet combiné d'accumulation de matériaux grossiers à l'embouchure du Brevon, réduisant ainsi la superficie du lac tandis que les sédiments fins décantent au fond du lac, diminuant sa profondeur[5] et d'une érosion de l'enrochement au niveau de l'émissaire[6].

Histoire

Évènements antérieurs

Entre le 8 et le , d’importantes pluies torrentielles s’abattent sur le massif du Chablais de manière continue. Les prĂ©cipitations sont exceptionnelles (28 cm dont 11,5 cm pour la seule journĂ©e du ) et reprĂ©sentent l’équivalent d’un cinquième de la pluviomĂ©trie annuelle moyenne[3]. Le sol, riche en argile, est tellement imbibĂ© d’eau que les habitants s’embourbent ou glissent tandis que des crevasses apparaissent dans la partie haute du ravin de la Chauronde sous la pointe de la Gay. La plus importante s’étend sur 100 m de long pour un mètre de large et prĂ©sente un dĂ©nivelĂ© de m Ă  1,5 m. Elle met environ 200 000 m3 de terrain en Ă©quilibre instable au-dessus de la vallĂ©e[3].

Glissement de terrain

À droite, la trace du glissement de terrain sous la pointe de la Gay, au premier plan, les alpages de Tré le Saix

Durant 2 ans, les crevasses semblent s’être stabilisĂ©es ne suscitant guère d’attention par la population. Mais le , en fin de soirĂ©e, les deux ouvriers italiens (Martinet et Piovano) de la scierie Monnet constate que l’eau destinĂ©e Ă  faire tourner leur roue Ă  aubes ne s’écoule plus[7]. Ils pensent alors Ă  un acte de sabotage par les rĂ©fractaires au STO instaurĂ© trois semaines plus tĂ´t, d’autant plus que les membres de la Resistance sĂ©journent occasionnellement Ă  Malatraix. Puis le lendemain, vers 4 heures du matin, ils rĂ©veillent leur patron et l’alertent qu’une coulĂ©e de boue envahit leur chambre[8]. Dans le mĂŞme temps, un important grondement, probablement gĂ©nĂ©rĂ© par les pans entiers de forĂŞt emportĂ©e par la coulĂ©e, rĂ©veille brutalement la population de la vallĂ©e. Ils dĂ©couvrent avec le lever du Soleil la formation d’une coulĂ©e de boue dans la partie haute du ravin de Chauronde. D'apparence fluide les premiers jours, elle descend de 200-300 m par jour, sa vitesse dĂ©cline au fur et Ă  mesure que la coulĂ©e devient plus visqueuse. Monsieur Pasquier, habitant de La Chèvrerie, indique mĂŞme que la coulĂ©e avançait beaucoup plus lentement au milieu que sur les bords[2].

Schéma de la coulée à l'origine de la formation du lac de Vallon[3] - [note 2].

Très vite les secours s’organisent dans la vallĂ©e. Les maisons situĂ©es sur le chemin de la coulĂ©e de boue sont progressivement Ă©vacuĂ©es. C’est d’abord celles de Chauronde (12-) et de La Beauveau puis les machines de la scierie de Jean Monnet qui sont dĂ©mĂ©nagĂ©s le et , mobilisant près de 40 chevaux[7], avant que le propriĂ©taire assiste Ă  sa disparition le dimanche soir. La scierie Voisin est la suivante. Ă€ chaque fois, tout ce qui peut ĂŞtre transportĂ© est sauvĂ© : mobilier, affaires personnelles mais aussi tavaillons, portes, fenĂŞtres et des parties de la charpente sont ainsi mis Ă  l’abri[8]. Dans certains cas et si les dĂ©lais l’autorisent les maisons sont complètement dĂ©montĂ©es pour ĂŞtre reconstruites plus loin.

De son côté, le sous-préfet de Thonon, Georges Cathal, se rend plusieurs jours sur place pour superviser les évacuations, accompagné d’ingénieurs et d’ouvriers des Ponts et Chaussées[7]. Les soldats italiens qui occupent alors le Chablais ne se déplacent pas mais des membres du Groupe mobile de réserve montent pour surveiller les lieux.

Troncs d'arbres emportés par la coulée et émergeant du lac de Vallon.

Lorsque la coulĂ©e de la Chauronde atteint la vallĂ©e, elle forme un cĂ´ne qui prograde prĂ©fĂ©rentiellement vers l’est, en amont, pour former la coulĂ©e du Brevon. Elle forme un barrage d'environ 18 m d'Ă©paisseur, pour 500 m de long et 300 m de large, qui obstrue la vallĂ©e dans toute sa largeur si bien que l’écoulement du Brevon est interrompu et un lac de barrage se forme. La hausse du niveau lacustre entraine l’inondation de la scierie du hameau de l’Éconduit et deux fermes. Seule la partie supĂ©rieure du toit de la maison de l’Éconduit reste visible le . Celui de la ferme est dĂ©montĂ© après l'inondation tandis que la grange de l’Éconduit s'effondre le . De mĂŞme seul une poutre subsiste or de l'eau du pont de l’Éconduit, reconstruit en 1940[2]. La semaine prĂ©cĂ©dente, la coulĂ©e du ravin de la Chauronde dĂ©borde le et une nouvelle branche se forme en direction du hameau de Malatraix dont seulement deux maisons subsistent puis atteint le pont de Cherny[note 3].

Parallèlement, la coulée du Brevon qui avait détruit la scierie Monnet se déporte en aval à la suite d'un gonflement du barrage de débris et envahit la vallée du Brevon jusqu’au moulin de Porte en remontant le chemin vicinal sur km et détruit la scierie Voisin[3]. Mais son avancée ralentie rapidement en raison d’un faible apport en matériaux depuis le delta. Pendant un temps, le bouchon formé dans la vallée menace de céder et d’engloutir le hameau de La Clusaz ainsi que la centrale électrique de Bellevaux sous la pression de l’eau qui s’accumule. En aval, le hameau de la Chèvrerie est certes épargné par la catastrophe mais se retrouve coupé du monde et des passerelles sont mises en place par des sauveteurs de Rumilly tandis que l’électricité ne sera rétablie que deux mois plus tard[8].

Cinq semaines après la catastrophe, la coulĂ©e de boue s’est stabilisĂ©e[3]. Le lac est indiquĂ© sur la feuille cadastrale au 1/2000e du [2] mais sa gĂ©omĂ©trie Ă©volue. Le niveau lacustre est initialement plus Ă©levĂ©, s'Ă©tendant 100 m plus en amont[2]. La dĂ©crue rĂ©sulte d'un affouillement du lit du Brevon dans les dĂ©pĂ´ts meubles de la coulĂ©e au niveau de l'exutoire.

Conséquences

Au total, 9 granges, 5 fermes, 2 scieries et une maison des hameaux de l’Econduit, de Malatraix, de la Haute Meille, et de Le Cerny sont emportĂ©s par la coulĂ©e dont la ferme de la Chauronde, de la Beauveau et plusieurs bâtiments de Malatraix[1] - [9]. 2 000 m3 de bois sont aussi emportĂ©s par la coulĂ©e[2]. Une grande partie des terrains inondĂ©s appartiennent Ă  un mĂŞme propriĂ©taire, qui possède aussi celui de l'ancienne Chartreuse de Vallon[2]. Le hameau de l'Éconduit est le plus affectĂ© car il disparait dĂ©finitivement des cartes, noyĂ© sous les eaux du lac.

La formation du barrage a aussi entrainĂ© une modification du tracĂ© du Brevon. Les relevĂ©s effectuĂ©s au XIXe siècle montrent que la rivière s'Ă©coulait au pied du rocher d'Ombre avant la catastrophe[5]. De mĂŞme, la formation du lac a favorisĂ© le stockage sĂ©dimentaire dans le lac et entrainĂ© une Ă©rosion rĂ©gressive du Brevon en aval, et l’installation d’un delta Ă  l’embouchure de la Diomaz et du Brevon en amont[3]. L'Ă©rosion en aval entraine un important lessivage de la fraction argileuse des dĂ©pĂ´ts de la coulĂ©e qui s'est accumulĂ©e dans la retenue du barrage hydro-Ă©lectrique de Bellevaux[2]. La profondeur thĂ©orique est Ă©valuĂ©e Ă  20-25 m en . Le barrage fait 200 m de large pour une longueur de 900 m (coulĂ©e du Brevon). D'autres glissements ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©s dans le secteur, comme celui d' oĂą une petite coulĂ©e de boue partie du mĂŞme secteur a barrĂ© la route au niveau de Court Champ.

Causes de la catastrophe

Maurice Bouverot, mandatĂ© par le ministère de l’Agriculture pour Ă©crire un rapport sur la catastrophe, Ă©value le volume de la coulĂ©e Ă  200 000 m3 le puis Ă  1,6 millions de m3 le [3]. LĂ©on Moret l’évalue Ă  2 millions de m3 le s’étendant sur 10 ha environ. La niche d’arrachement est situĂ©e Ă  1 500 m d’altitude. Les terrains emportĂ©s par la coulĂ©e sont constituĂ©s par la dĂ©sagrĂ©gation superficielle des couches du flysch des PrĂ©alpes MĂ©dianes (calcschistes) et des sĂ©ries marno-calcaires du CrĂ©tacĂ© de la mĂŞme nappe. La sĂ©cheresse qui a durĂ© 2 ans puis le fonte prĂ©maturĂ©e de la neige et l’arrivĂ©e prĂ©coce des premières pluies du printemps auraient saturĂ© les terrains argileux en eau ce qui a rendu instable les pentes Ă  forte dĂ©clivitĂ©, entrainant leur dĂ©collement et donc leur glissement. Ce mĂ©canisme a par ailleurs Ă©tĂ© accompagnĂ© par la formation de plusieurs entonnoirs de dissolution dont l'un d'eaux mesurait 60 Ă  80 m de diamètre pour 30 Ă  40 m de profondeur[3] et aurait favorisĂ© l'accumulation d'eau dans ces dolines[2]. Il rĂ©sulte de la dissolution des gypses et cargneules triassiques de la nappe des PrĂ©alpes mĂ©dianes plastiques recouvert par les dĂ©pĂ´ts morainiques. SituĂ©s plus au nord, ces poches de dissolution seraient responsables de la coulĂ©e qui a emportĂ© les granges de Vallonnet sur près de 200 m.

La formation du lac résulte quant à elle de l’importante épaisseur des alluvions fluvio-glaciaires relativement argileuses et imperméables au fond de la vallée glaciaire et qui empêche l'infiltration des eaux dans les séries calcaires sous-jacentes[2] - [3] - [4]. De même, le barrage est lui aussi constitué de matériaux argileux.

Changement de propriétaire

Initialement réparti sur plusieurs propriétés à la suite de la catastrophe, le lac se retrouve partagé entre deux propriétaires (familles Félisaz et Meynet) à la fin des années 1980. Les deux familles gèrent alors l'entretien du lac grâce à des fonds publics. Cependant la délivrance de fonds publics sans maitrise du foncier n'étant pas compatible, la commune de Bellevaux a racheté les terrains grâce à l'aide du département de la Haute-Savoie pour en devenir l'unique propriétaire depuis le [10] - [11].

Activités

Tourisme

Panneau d'interprétation du lac de Vallon.

Le site du lac de Vallon est l’un des sites remarquable du Géoparc du Chablais. Il bénéficie d'un sentier d'interprétation installé au bord du lac et composé d'une dizaine de panneaux traitant de son origine et de son évolution.

PĂŞche

Avant la formation du lac, la partie supérieure du Brevon bénéficiait d'un réempoissonnement périodique en truite par le service des Eaux et Forêts, les sociétés de Pêche et la pisciculture de la Chèvrerie[2]. La formation du lac a permis d'accroître la productivité biogénique du Brevon avec l'apparition de truites arc-en-ciel et d'ombles de fontaine. Le site est devenu un lieu très fréquenté par les pêcheurs et les chasseurs (canard).

Des aménagements pour les personnes à mobilité réduite sont installés sur la rive nord du lac, le long de la Route de la Chèvrerie, à l'initiative de l’amicale des pêcheurs de Bellevaux[12].

Assainissement

En raison de l'absence d'un réseau d'assainissement, les eaux usées d'une centaine de logements du hameau de la Chèvrerie se déversaient dans le Brevon en amont du lac[13] sans que la qualité de l'eau n'en pâtisse d'après des analyses effectuées à l'exutoire du lac, ce qui sous-entend que le lac servait de bassin de filtration des eaux-usées. Initialement prévu pour 2011, le raccordement du hameau au réseau a débuté en 2016 et devrait s'étendre jusqu'en 2024[14].

Notes et références

Notes

  1. Bernard Dussart mentionne aussi le nom « lac de l'Econduit »[2].
  2. Par convention, les figurés avec triangles désignent les plans de chevauchement. Les triangles étant toujours situés sur l'unité chevauchante.
  3. Le toponyme actuel est Cerny.

Références

  1. « Glissement de terrain et lac de barrage de Vallon », sur DREAL Auvergne-Rhône-Alpes - Patrimoine géologique en Auvergne-Rhône-Alpes, .
  2. Bernard Dussart, « Contribution à l'étude des lacs du Chablais : Le lac de Vallon », Mémoire de l'Académie chablaisienne, no 49,‎ , p. 103-132 (BNF 34438647, lire en ligne).
  3. Léon Moret, « Les conditions géologiques du glissement de terrain de Bellevaux en Haute-Savoie (mars 1943) », Revue de géographie alpine, vol. 31, no 3,‎ , p. 423-428 (DOI 10.3406/rga.1943.4390 Accès libre).
  4. Georges Serra Bertral, Etude morphométrique, physicochimique et sédimentologique de quelques lacs de montagne des préalpes du Chablais (Haute-Savoie), Université Pierre et Marie Curie - Paris IV, , 237 p. (lire en ligne), p. 74-110.
  5. Burgeap, « Etude multifonctionnelle préalable au contrat de bassin : Bassin versant du Brevon. Phase 1 – Etat des lieux et diagnostic », SIAC,‎ (lire en ligne).
  6. Jean Sesiano, Monographie physique des plans d'eau naturels du département de la Haute-Savoie - France, Université de Genève - Département de minéralogie, , 125 p. (lire en ligne), p. 106 et table X
  7. Hugo Delieutraz, « Bellevaux : l’Econduit, Malatrait, Vallonnet… quand le lac de Vallon n’existait pas encore », sur Le Messager, .
  8. Hélène Armand et Jean-Marc Blache, Villages, Didier Richard, , 159 p. (ISBN 978-2-7038-0217-4, lire en ligne).
  9. Lauren Lacrampe, « Les hameaux de Bellevaux lors de la formation du lac de Vallon », sur Le Messager, .
  10. L. Guette, « Bellevaux : le Département soutient l'acquisition du lac du Vallon par la commune », sur Conseil général de la Haute-Savoie, .
  11. « Le lac de Vallon, un espace remarquable et remarqué », Le Dauphiné libéré,‎ , p. 12.
  12. Chantal Peyrani, « Des aménagements réservés aux personnes à mobilité réduite mis en place au lac de Vallon », sur Le Dauphiné Libéré, 7 ami 2021.
  13. Emmanuel Rouxel, « A Bellevaux, le lac de Vallon sert de bassin de décantation au hameau de la Chèvrerie », Le Messager,‎ .
  14. Mathilde Dumur, « Bellevaux : des travaux pour arrêter de polluer le Brevon et le lac de Vallon », sur Le Messager, .

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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