La Pellerine (Maine-et-Loire)
La Pellerine est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
La Pellerine | |||||
L'abside de l'Ă©glise Saint-Aubin. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Pays de la Loire | ||||
DĂ©partement | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Baugeois Vallée | ||||
Maire Mandat |
Christian Boitteau 2020-2026 |
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Code postal | 49490 | ||||
Code commune | 49237 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Pellerinois | ||||
Population municipale |
129 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 27âČ 42âł nord, 0° 07âČ 26âł est | ||||
Altitude | 98 m Min. 54 m Max. 97 m |
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Superficie | 5,3 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Beaufort-en-Anjou | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Cette commune rurale se situe dans le Baugeois, au sud de Méon et au nord de Courléon, enclavée au sein de Noyant-Villages.
GĂ©ographie
Localisation
Ce village angevin de lâouest de la France se situe dans l'Est du Baugeois, au sud de Noyant, sur la routeD 142 qui va de MĂ©on (au nord) Ă Parçay-les-Pins (au sud). BaugĂ© se trouve Ă 19 km et Saumur Ă 27 km[1] - [2]. Son territoire est essentiellement rural.
Le Baugeois est la partie nord-est du département de Maine-et-Loire. Elle est délimitée au sud par la vallée de l'Authion et celle de la Loire, et à l'ouest par la vallée de la Sarthe[3].
Aux alentours
Les communes les plus proches sont Breil (3 km), LiniÚres-Bouton (4 km), Méon (4 km), Parçay-les-Pins (4 km), Noyant (6 km), Meigné-le-Vicomte (7 km), Dénezé-sous-le-Lude (8 km), Mouliherne (8 km), Courléon (8 km) et Auverse (8 km)[2].
GĂ©ologie et relief
L'altitude de la commune varie de 54 Ă 97 mĂštres[4]. Son sous-sol se compose de grĂšs tertiaire et calcaire d'eau douce. On trouve aussi quelques alluvions anciennes au Sud[5].
Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[6], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.
Son territoire s'étend sur plus de 5 km2 (530 hectares)[4]. Une enclave de la commune se situe sur le territoire de Parçay-les-Pins.
La Pellerine se situe sur l'unitĂ© paysagĂšre du Plateau du Baugeois[7]. Une partie de la commune est classĂ©e en zone Natura 2000, pour le lac de RillĂ© et les forĂȘts avoisinantes, et en zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, floristique et faunistique (ZNIEFF), pour les zones des massifs forestiers de la Breille, de Pont MĂ©nard, de la Graine de sapin et zones de transition[8].
Climat
Le climat angevin est tempéré, de type océanique. Il est particuliÚrement doux, compte tenu de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés. Le climat du Baugeois est plus continental : plus sec et chaud l'été[6].
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[9]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Channay/lathan », sur la commune de Channay-sur-Lathan, mise en service en 1992[15] et qui se trouve Ă 11 km Ă vol d'oiseau[16] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 710,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[17]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay, dans le dĂ©partement d'Indre-et-Loire, mise en service en 1959 et Ă 47 km[18], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă 11,7 °C pour 1981-2010[20], puis Ă 12,2 °C pour 1991-2020[21].
Urbanisme
Typologie
La Pellerine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [22] - [23] - [24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25] - [26].
Morphologie urbaine : Le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.
En 2009 on trouvait 94 logements sur la commune de La Pellerine, dont 71 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 76 % des ménages en étaient propriétaires[27]. En 2013, on y trouvait 95 logements, dont 73 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 79 % des ménages en étaient propriétaires[28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (51,6 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (51,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (51,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (22,9 %), prairies (10 %), terres arables (8,6 %), zones urbanisĂ©es (6,9 %)[29].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[30].
Enclave de la Pellerine
Une partie de son territoire était quasi enclavée dans la commune voisine de Parçay-les-Pins jusqu'en 2017. Depuis le , à la suite de la fusion des quatorze communes de la communauté de communes du canton de Noyant entourant La Pellerine, c'est l'intégralité de la commune qui s'est vue enclavée dans la commune nouvelle de Noyant-Villages.
Toponymie
Formes anciennes du nom : Ecclesia in page Andegavo cum villula (...) en 974, Obedientia Preregrina en 1060, La Pelerine vers 1200, La Pellerine aux XVIe et XVIIIe siĂšcles[5].
Origine du nom : La Pellerine Ă©tait Ă l'origine un lieu d'Ă©tape pour les voyageurs, sans qu'ils effectuent pour autant un pĂšlerinage[31].
Une autre commune porte le nom de « La Pellerine » : La Pellerine (Mayenne).
Nom des habitants : les Pellerins ou les Pellerinois[31].
Histoire
Moyen Ăge
DÚs le Xe siÚcle, La Pellerine est un petit centre (villula), avec des moulins sur le ruisseau, une église et un marché[5].
Ancien RĂ©gime
Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépend de la sénéchaussée angevine de Baugé, de son grenier à sel, et sur le plan religieux du diocÚse d'Angers et du doyenné de Bourgueil[5].
Ăpoque contemporaine
Avec la réorganisation administrative sous la Révolution, La Pellerine devient en 1790 une commune du département de Maine-et-Loire. Elle est rattachée successivement au canton de Parçay, puis à celui de Mouliherne en 1791, et enfin à celui de Noyant en 1801[5]. Ce dernier est intégré au district de Baugé, puis en 1800 à l'arrondissement de Baugé, et à sa disparition en 1926, à l'arrondissement de Saumur[32]
Politique et administration
Administration municipale
La commune est créée à la Révolution. Municipalité en 1790[32]. Le conseil municipal est composé de 11 élus[33].
Jumelages
La commune ne comporte pas de jumelage[36].
Intercommunalité
La Pellerine fait partie, de 2001 à 2016, de la communauté de communes du canton de Noyant. Cette structure intercommunale regroupait les quinze communes du canton, dont Breil, LiniÚres-Bouton, Méon, Noyant et Parçay-les-Pins[37] - [38]. La communauté de communes était membre du Pays des Vallées d'Anjou, structure administrative d'aménagement du territoire, comprenant six communautés de communes : Beaufort-en-Anjou, Canton de Baugé, Canton de Noyant, Loir-et-Sarthe, Loire Longué et Portes-de-l'Anjou.
La commune fait, à cette époque, également partie du SICTOD Nord Est Anjou, membre du SIVERT, syndicat intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l'Est Anjou qui se trouve à Lasse[39], et du SIVU AEP de la région de Noyant pour le traitement de l'eau potable[37].
Le , La Pellerine devient membre de la nouvelle communauté de communes, Baugeois Vallée.
Autres circonscriptions
Jusqu'en 2014, La Pellerine fait partie du canton de Noyant et de l'arrondissement de Saumur[40]. Ce canton compte alors les quinze mĂȘmes communes que celles de la communautĂ© de communes. Dans le cadre de la rĂ©forme territoriale, un nouveau dĂ©coupage territorial pour le dĂ©partement de Maine-et-Loire est dĂ©fini par le dĂ©cret du . La commune est alors rattachĂ©e au canton de Beaufort-en-VallĂ©e, avec une entrĂ©e en vigueur au renouvellement des assemblĂ©es dĂ©partementales de 2015[41].
La commune fait partie de la troisiÚme circonscription de Maine-et-Loire, composée de huit cantons, dont Baugé et Longué-Jumelles. Cette circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[43].
En 2020, la commune comptait 129 habitants[Note 6], en diminution de 17,31 % par rapport Ă 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 23,8 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,2 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 38,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 25,6 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 69 hommes pour 66 femmes, soit un taux de 51,11 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Vie locale
Hormis la mairie, il n'existe pas de services publics sur la commune. Il faut se rendre Ă la commune voisine de Breil ou bien Ă Noyant[37].
LâhĂŽpital local le plus proche se trouve Ă BaugĂ© (95 places) ainsi que plusieurs maisons de retraite[47].
La collecte des déchets ménagers (tri sélectif) est organisée par la communauté de communes du Canton de Noyant[39].
Ăconomie
Tissu Ă©conomique
Commune principalement agricole, en 2009, sur les 15 établissements présents sur la commune, 40 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 18 % sur le département)[48]. L'année suivante, en 2010, sur 15 établissements présents sur la commune, 40 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, aucun du secteur de la construction, 40 % de celui du commerce et des services et 13 % du secteur de l'administration et de la santé[27].
Sur 17 établissements présents sur la commune à fin 2013, 24 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 6 % du secteur de la construction, 53 % de celui du commerce et des services et 12 % du secteur de l'administration et de la santé[28].
Agriculture
Liste des appellations présentes sur le territoire[49] :
- IGP BĆuf du Maine, IGP Porc de la Sarthe, IGP Volailles de LouĂ©, IGP Volailles du Maine,
- IGP Rillettes de Tours, IGP Ćufs de LouĂ©,
- IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
BĂątiment inscrit aux monuments historiques[50] :
- Ăglise paroissiale Saint-Aubin, des Xe XVe XVIIIe et XIXe siĂšcles, Monument historique classĂ© par arrĂȘtĂ© du (PA49000063) en totalitĂ©[51].
Autres ouvrages inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel[50] :
- Plusieurs maisons et fermes, des XVIIe, XVIIIe et XIXe siĂšcles ;
- Plusieurs moulins, des XVIIIe et XIXe siĂšcles ;
- PresbytĂšre du XVIIIe siĂšcle.
Pour approfondir
Bibliographie
- Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : N-R, t. 3, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 40869771, lire en ligne), p. 124-126.
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire : N-Z, t. 3, Angers, LachÚse & Dolbeau, , 1re éd. (BNF 34106676), p. 67-68.
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[12].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- IGN et BRGM, Géoportail La Pellerine (49), consulté le 3 juin 2012.
- Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques Ă partir de La Pellerine (49) », sur Lion1906 (version du 14 mars 2017 sur Internet Archive), consultĂ© le 3 juin 2012 â Les distances affichĂ©es sont des distances orthodromiques (Ă vol d'oiseau).
- P.Wagret J.Boussard J.Levron S.Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Paris, Horizons de France, coll. « Provinciales », (BNF 31614504), p. 10.
- IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 - Données consultables sur WikiAnjou.
- CĂ©lestin Port 1989, p. 124-126.
- Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du 28 janvier 2010 sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
- DĂ©partement de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Ăditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58-71 â DonnĂ©es consultables sur WikiAnjou.
- DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, consultées le 3 juin 2012.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
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- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
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- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Pellerine (49237) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de Maine-et-Loire (49) », (consultĂ© le ).
- Fédération HospitaliÚre de France, HÎpital intercommunal du Baugeois et de la Vallée (Baugé), consulté le 9 novembre 2011.
- Insee, Statistiques 2009 du territoire de La Pellerine, consultées le 3 juin 2012.
- INAO, Fiche de La Pellerine (49), consultée le 3 juin 2012 - AOC Appellation d'origine contrÎlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
- MinistÚre de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, base Mérimée consultée le 10 février 2011.
- « Ăglise Saint-Aubin », notice no PA49000063, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.