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La Jaille-Yvon

La Jaille-Yvon est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.

La Jaille-Yvon
La Jaille-Yvon
Vue générale.
Blason de La Jaille-Yvon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Segré
Intercommunalité Communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou
Maire
Mandat
Pascal Chevrollier
2020-2026
Code postal 49220
Code commune 49161
Démographie
Gentilé Jaonnais, Jaonnaise
Population
municipale
342 hab. (2020 en augmentation de 8,92 % par rapport à 2014)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 43′ 24″ nord, 0° 40′ 10″ ouest
Altitude 80 m
Min. 20 m
Max. 87 m
Superficie 12,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tiercé
Législatives Septième circonscription
Localisation
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La Jaille-Yvon
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La Jaille-Yvon
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La Jaille-Yvon

    Géographie

    Localisation

    Commune angevine du Segréen, La Jaille-Yvon se situe au nord de Chenillé-Changé, en bordure du département de la Mayenne, sur la route D 187, Chambellay[1]. Angers, la préfecture, se trouve à 29 km au sud[2].

    Le Mayenne (rivière) marque la limite est de son territoire[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 696 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Segre », sur la commune de Segré-en-Anjou Bleu, mise en service en 1989[9] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 714,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et à 87 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[13], à 12,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    La Jaille-Yvon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,6 %), terres arables (39,3 %), forêts (11,1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie et héraldique

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté dans le nom de personne latinisé Yvo de Gallia en 1052-1068[23].

    Gallia représente dans ce cas un nom de personne gallo-romain ethnique Gallius « le Gaulois Â»[23] à valeur obscure, suivi du suffixe -a de présence, d'où Galli-a par substitution. Le second élément est l'anthroponyme germanique Yvo, qui a donné Yves au cas sujet et Yvon au cas régime. Ce nom est celui d'un seigneur local au Moyen Âge.

    Héraldique

    Blason de Jaille-Yvon (La) Blason
    D'or au lion léopardé de gueules accompagné de cinq coquilles d'azur 2, 2 et 1.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Jaille-Yvon (La)
    Alias du blason de Jaille-Yvon (La)
    Losangé d’argent et de gueules, à la bande d’argent; à la bordure de sable chargée de huit besants d’or.

    Histoire

    À l'époque féodale, la seigneurie[24] - [25] est associée depuis le XIe siècle à la grande famille de La Jaille, qu'on trouve aussi, aux confins de l'Anjou, du Maine et de la Bretagne, à La Jaille en Chahaignes, à St-Mars-la-Jaille, à St-Michel-du-Bois ; il est probable que les La Jaille du Loudunais (à Beuxes, Sammarçolles, aux Roches de Loudun) et de Touraine (à la Motte-Yvon et Marcilly) appartenaient aussi à cette maison noble. Les sires de La Jaille, probablement apparentés aux barons de Château-Gontier (connectés aux Bellême ?), portaient souvent le nom d'Yvon/Yves et possédèrent également Segré.

    À partir des XVe et XVIe siècles, La Jaille-Yvon passe à de nombreuses autres familles seigneuriales. La châtellenie de La Jaille relevait de Château-Gontier[26].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2008 mars 2014 Maryline Boivin Agricultrice
    mars 2014 En cours
    (au 25 mai 2020)
    Pascal Chevrollier[27] - [28]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes de la région du Lion-d'Angers[29], elle-même membre du syndicat mixte Pays de l'Anjou bleu, Pays segréen, puis, à sa disparition en 2017, de la communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2020, la commune comptait 342 habitants[Note 7], en augmentation de 8,92 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    613525573681719696745757762
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    736698700645628613616603607
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    576516540504436438423381361
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    364306267249239248276275309
    2015 2020 - - - - - - -
    319342-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,8 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 170 hommes pour 156 femmes, soit un taux de 52,15 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,0
    4,5
    75-89 ans
    4,9
    16,9
    60-74 ans
    15,2
    18,5
    45-59 ans
    20,7
    23,6
    30-44 ans
    20,7
    14,0
    15-29 ans
    12,2
    22,5
    0-14 ans
    26,2
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    6,9
    75-89 ans
    9,5
    15,5
    60-74 ans
    16,3
    19,4
    45-59 ans
    18,8
    18,6
    30-44 ans
    17,7
    18,6
    15-29 ans
    17,5
    20,2
    0-14 ans
    18,2

    Économie

    Sur 40 établissements présents sur la commune à fin 2010, 28 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 3 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 53 % de celui du commerce et des services et 10 % du secteur de l'administration et de la santé[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 299-300.
    • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire : D-M, t. 2, Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd. (BNF 34106676), p. 391-392.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. IGN et BRGM, Géoportail La Jaille-Yvon (49), consulté le 4 septembre 2012.
    2. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de La Jaille-Yvon (49) », sur Lion1906 (version du 5 mai 2016 sur Internet Archive), consulté le 21 mai 2014 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Segre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre La Jaille-Yvon et Segré-en-Anjou Bleu », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Segre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre La Jaille-Yvon et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. [Dauzat & Rostaing 1963] Albert Dauzat (publication posthume) et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, éd. Larousse, (réimpr. 1978 (Guénégaud, (BNF 37370106)), 1984, 1989) (OCLC 299732199, BNF 33159244), p. 365a.
    24. Célestin Port 1876, p. 299.
    25. « Famille de La Jaille », sur InfoBretagne, (consulté le ).
    26. « Les seigneurs châtelains de La Jaille, p. 1 à 19 », sur La châtellenie de La Jaille-Yvon et ses seigneurs, p. 1 à 82 ; en ligne sur la Bibliothèque numérique de l'École nationale des Chartes-Sorbonne, document numérisé le 18 décembre 2013 (consulté le 21 juillet 2021).
    27. Ouest-France, Pascal Chevrollier a été élu maire, article du 1er avril 2014.
    28. « La Jaille-Yvon. Pascal Chevrollier est réélu maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    29. Insee, Composition de l'EPCI de la Région du Lion d'Angers (244900585), consulté le 14 décembre 2013.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Jaille-Yvon (49161) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
    36. Insee, Statistiques locales du territoire de La Jaille-Yvon (49), consultées le 14 avril 2013.
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