Saint-Mars-la-Jaille
Saint-Mars-la-Jaille [sÉÌ maÊ la Êaj] est une ancienne commune de l'Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Loire-Atlantique, en rĂ©gion Pays de la Loire, devenue le , une commune dĂ©lĂ©guĂ©e de la commune nouvelle de Vallons-de-l'Erdre. C'est le chef-lieu de cette nouvelle commune.
Saint-Mars-la-Jaille | |||||
Vue générale. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Pays de la Loire | ||||
DĂ©partement | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | ChĂąteaubriant-Ancenis | ||||
Commune | Vallons-de-l'Erdre | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays d'Ancenis | ||||
Statut | Commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat |
Michel Gasnier 2018-2020 |
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Code postal | 44540 | ||||
Code commune | 44180 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint-Marsiens | ||||
Population | 2 400 hab. (2015 ) | ||||
Densité | 120 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 31âČ 34âł nord, 1° 11âČ 01âł ouest | ||||
Altitude | Min. 22 m Max. 88 m |
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Superficie | 20,06 km2 | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Ancenis | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
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Saint-Mars fait partie de la Bretagne historique et du Pays nantais, et se trouve sur les limites de l'Anjou. Elle est traversée par l'Erdre.
GĂ©ographie
Saint-Mars-la-Jaille est situĂ©e Ă 18 km au nord d'Ancenis. Les communes limitrophes sont toutes des communes dĂ©lĂ©guĂ©es de la commune nouvelle de Vallons-de-l'Erdre : Saint-Sulpice-des-Landes, BonnĆuvre et Maumusson et FreignĂ©[1].
La commune se situe dans la vallĂ©e de l'Erdre, Ă 30 mĂštres d'altitude moyenne. Le bourg est bordĂ© de collines oĂč alternent les terres agricoles et la forĂȘt.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Terre-de-Mars avant le XIe siÚcle, Saint-Médard au XIIe siÚcle, Saint Mars l'Olivier en 1240[2], Saint-Mars-la-Jaille en 1745
.
Le nom de Saint-Mars viendrait du NP latin (Sanctus) Medardus : « Saint Médard », le patron de la paroisse, mais comme la mention "Terre de Mars" précÚde cette appellation, on en a rapproché le breton marz « marche », « frontiÚre », le territoire étant à la frontiÚre de la Bretagne[3]. Une rencontre de mots homophones n'est pas à exclure. La Jaille serait le nom des seigneurs qui possédaient le bourg au XIIe siÚcle, nom qui peut venir d'un descriptif topographique. En effet, dans le jargon des marins travaillant sur les navires sabliers en Loire, entre Angers et Nantes, le mot jaille désigne du sable de mauvaise qualité. à quelques kilomÚtres seulement de la commune, dans le département voisin du Maine-et-Loire, existe une commune au nom de La Jaille-Yvon.
Au XIIe siĂšcle, la paroisse de Saint-MĂ©dard (du nom de MĂ©dard, Ă©vĂȘque de Noyon et patron de la paroisse de Saint-Mars-la-Jaille Ă la fin du XIe siĂšcle) et la seigneurie de Mars se partageaient son domaine. Le nom de Saint-MĂ©dard s'est transformĂ© en Saint-Mars (Ă©volution phonĂ©tique attestĂ©e pour d'autres toponymes, suivant plusieurs auteurs) et celui de la seigneurie a suivi celui de ses possesseurs.
Olivier de Vritz en devint le seigneur à la fin du XIIe siÚcle et associa son prénom à celui de la paroisse qui devint « Saint-Mars-l'Olivier » (le blason de Saint-Mars possÚde un rameau d'olivier pour rappeler cette trÚs ancienne dénomination). Vers 1250, la seigneurie passa dans la famille de la Jaille. Yves du Creil était un dignitaire de la Cour du roi de France Charles le Simple (879-929), alors située à CompiÚgne.
Son 3e fils, Yvon du Creil, Ă la demande du comte d'Anjou Foulques-Nerra, Ă©leva un chĂąteau-fort sur la Mayenne Ă l'origine de la commune de la Jaille-Yvon prĂšs de ChĂąteau-Gontier.
Pour s'intégrer à son nouvel environnement, Yvon Ier prit alors le nom de la Jaille que l'on conférait au domaine qu'il venait d'élever. C'est son descendant Yvon XII qui érigea le chùteau-fort de Saint-Mars.
Quand Yvon XII de la Jaille édifia, vers 1365, le chùteau fort de Saint-Mars, le nom de la seigneurie devint « la seigneurie de la Jaille ». La Révolution Française supprima administrativement la seigneurie et la paroisse en les unifiant en commune de « Saint-Mars-la-Jaille ».
Saint-Mars-la-Jaille possĂšde un nom en gallo, la langue d'oĂŻl locale : Saint-Mars (en graphie ABCD) prononcĂ© [sÉÌmaÊ][4].
Dans les formes anciennes Saint-Mars-l'Olivier ou Saint-Mars-l'Olive, les mots Olivier ou Olive sont des noms propres (de seigneurs) employés en "cas-régime absolu". Ils signifient "d'Olivier, d'Olive", comme dans les noms de lieux Nogent-le-Rotrou, Baure-le-Ganelon, Sillé-le-Guillaume[5].
Le nom en breton proposé par l'Office Publique de la Langue Bretonne est Sant-Marzh-an-Olivenn, traduction directe de la forme ancienne Saint-Mars-l'Olivier[6]. Ce toponyme n'est cependant pas historiquement attesté, Saint-Mars-la-Jaille se trouvant hors de la zone d'expansion maximale d'usage du breton.
Histoire
Le premier chĂąteau, une forteresse, est construit au XIVe siĂšcle, aux alentours de 1334, par Yvon XII de La Jaille. Il sera tenu par MercĆur lors des Guerres de Religion lors desquelles il est pris par Pierre de la Touche, capitaine de Henri IV, qui y installe une garnison. Le chĂąteau, Ă l'abandon, sera dĂ©mantelĂ© en 1618 sur ordre de Richelieu.
En 1774, le nouveau seigneur, Ferron de La Feyronnays, fait construire à l'emplacement de la forteresse un nouveau chùteau qui sera dévasté lors la Révolution.
Le chùteau actuel a été édifié de 1838 à 1841.
Histoire de la libération de Saint-Mars-la-Jaille et du gendarme Le Gal
Au moment de la Libération, il se trouvait dans la brigade de Saint-Mars-la-Jaille un gendarme nommé Le Gal.
Le , jour de l'arrivée des Américains à Saint-Mars, les Allemands, enfermés dans la propriété de M. de la Feyronnays, ont incendié un important dépÎt de munitions, qui s'y trouvait.
Le gendarme Le Gal, qui n'était pas de service s'est mis spontanément à la disposition des pompiers pour les aider à éteindre l'incendie, malgré le danger des explosions.
Le lendemain , dans la matinĂ©e, un train chargĂ© de matĂ©riel et de soldats allemands est arrivĂ© Ă St-Mars-la-Jaille. Il a Ă©tĂ© attaquĂ© et arrĂȘtĂ© par les FFI et les amĂ©ricains. Au cours du combat, il y a eu plusieurs morts et blessĂ©s allemands.
Dans l'aprÚs-midi, alors que les américains avaient quitté le pays, un autre train allemand, dans lequel se trouvait un nombre important de soldats, est arrivé à l'entrée de la gare.
Le bourg n'était alors défendu que par quelques rares FFI mal armés et peu entraßnés.
Le gendarme Le Gal, qui était de service au chùteau, n'a pas hésité à coopérer à la défense de Saint-Mars-la-Jaille.
Il a tout d'abord réussi à désarmer un Allemand à qui il a pris son fusil et ses cartouches. Ensuite, le gendarme Le Gal a pris position dans un bosquet du parc et là , seul, il a ouvert un feu nourri sur un groupe d'environ quinze Allemands bien armés qui essayaient de franchir la riviÚre pour entrer dans le bourg. Grùce à son courage et son sang froid, les Allemands se sont repliés dans la gare.
On peut affirmer que l'intervention du gendarme Le Gal a évité à la population d'avoir à supporter des représailles qui auraient été certainement terribles, car il y avait à ce moment à la mairie des cadavres d'Allemands et plusieurs blessés.
Le le comité de libération de Saint-Mars-la-Jaille écrit un rapport au président du CDL de Nantes dans lequel il déclare que le gendarme Le Gal a toujours été « un bon patriote ». Il réclame également une récompense méritée par son « attitude courageuse ».
HĂ©raldique
Blasonnement :
D'or au léopard lionné de gueules accompagné de cinq coquilles d'azur rangées en orle, au chef de gueules chargé d'un rameau d'olivier d'argent.
Commentaires : Blason de la seigneurie de La Jaille (sceau de 1300), figurant sur le tombeau d'Alix de Bretagne inhumée à l'Abbaye de Villeneuve, redessiné en 1954 par Robert Louis qui adjoignit en chef un rameau d'olivier rappelant l'ancien nom de la commune : Saint-Mars-l'Oliver. |
Politique et administration
DĂ©mographie
Selon le classement établi par l'Insee, Saint-Mars-la-Jaille est une ville isolée qui est le centre d'une aire urbaine et d'un bassin de vie. Elle fait partie de la zone d'emploi d'Ancenis[10]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 94 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 6 % dans des zones « trÚs peu denses »[11].
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[13].
En 2015, la commune comptait 2 400 habitants[Note 1], en diminution de 1,19 % par rapport Ă 2009 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
Les donnĂ©es suivantes concernent l'annĂ©e 2013. La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. Le taux de personnes d'un Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans (25,9 %) est en effet supĂ©rieur au taux national (22,6 %) et au taux dĂ©partemental (22,5 %)[16] - [17] - [18]. Ă l'instar des rĂ©partitions nationale et dĂ©partementale, la population fĂ©minine de la commune est supĂ©rieure Ă la population masculine. Le taux (50,4 %) est du mĂȘme ordre de grandeur que le taux national (51,6 %)[16] - [17] - [18].
Lieux et monuments
- Le chĂąteau de la Ferronnays : Le premier Ă©difice nâexiste plus, un chĂąteau fort Ă©difiĂ© au XIVe siĂšcle et dĂ©truit par ordre du roi Henri IV vers 1598 et par celui de Richelieu vers 1618[19]. Le pigeonnier, transformĂ© en chĂąteau d'eau, est le seul tĂ©moin du domaine primitif. Les plans dâun nouveau chĂąteau sont Ă©tablis en 1764 par l'abbĂ© Pierre Charles Gaignard, natif de BonnĆuvre et principal du collĂšge d'Ancenis. La main dâĆuvre pour la construction est fournie, sous forme de corvĂ©es, par la population des villages de la seigneurie, suscitant un mĂ©contentement qui sâexprime par exemple dans le cahier de dolĂ©ances des habitants de Maumusson[20]. Fortement endommagĂ© sous la RĂ©volution, vendu par lot comme bien national, la famille de la Ferronnays reconstitue la propriĂ©tĂ© au milieu du XIXe siĂšcle. Le logis principal (la partie centrale du chĂąteau), rĂ©duit avant restauration, inhabitĂ©, est dĂ©moli entre 1912 et 1914 dans le dessein de le reconstruire. Du fait de la guerre et de manque de fonds, ce projet nâest pas rĂ©alisĂ©. Mais les dĂ©pendances datant de 1765 sont restaurĂ©es entre 1906 et 1908. Le parc datant du XVIIIe siĂšcle, actuelle propriĂ©tĂ© de la famille de CossĂ©-Brissac, inscrit aux monuments historiques, fait partie des « Jardins de France ».
- La piscine Alexandre-Braud : c'est la premiĂšre piscine construite en Loire-Atlantique. Elle est inscrite aux monuments historiques depuis 2016[21].
- La forĂȘt de Saint-Mars-la-Jaille, qui abrite, entre autres, le chĂȘne Ă clous, vieux de trois cents ans, Ă qui est prĂȘtĂ©e une propriĂ©tĂ© miraculeuse. Dans une niche fixĂ©e Ă son tronc se trouve une statuette de la Vierge Ă l'Enfant. Une priĂšre est gravĂ©e juste au-dessus et quelques clous sont posĂ©s sur une tablette. Le chĂȘne est rĂ©putĂ© pour le traitement des furoncles (appelĂ©s « clous » en Bretagne). Il faut pour les soigner planter un clou pour chaque furoncle dans l'Ă©corce de l'arbre puis en faire sept fois le tour en priant.
Vie de la commune
« Le Ciné Paumé » est une association créée par des jeunes de la commune passionnés de cinéma. Leur but est de réaliser des films et de les présenter au public[22].
« Le comitĂ© des fĂȘtes » : association existant depuis bien des annĂ©es, mise en veille puis reprise en 2006 par des habitants de la commune motivĂ©s et dynamiques afin de pouvoir faire partager les traditions de Saint-Mars-la-Jaille et aussi faire vivre la commune et ses habitants.
Parmi les activitĂ©s mises en place qu'dĂ©but du XXIe siĂšcle : « Saint-Mars-la-Jaille fĂȘte sa Saint-MĂ©dard » ou encore « concours de la chanson française »
Personnalités liées à la commune
- Henri Marie Auguste Ferron de la Ferronnays (1842-1907), homme politique français mort à Saint-Mars-la-Jaille.
- Paul Guimard (1921-2004), écrivain et journaliste français né à Saint-Mars-la-Jaille.
- Bernard Blanchet, ancien footballeur du FC Nantes né le à Saint-Mars-la-Jaille.
- Alexandre Braud, fondateur de l'entreprise Braud spécialisée dans la construction de moissonneuses-batteuses. L'usine de Saint-Mars-la-Jaille a été en activité de 1898 à 1989. Maire de Saint-Mars.
- Pierre Charles (1890-1976), homme politique.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2018, millésimée 2015, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2017, date de référence statistique : 1er janvier 2015.
Références sur la libération: Archives départementales de Loire Atlantique, fonds du cabinet du préfet cote 1690 W 153
Références
- « cart@compa, portail géographique du Pays d'Ancenis », sur cartacompa.pays-ancenis.com (consulté le )
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis »
- J. Baudry, "Les origines du nom de Saint-Mars-la-Jaille", Revue de Bretagne et de Vendée, 1906, p.66bet sq.
- RĂ©gis AUFFRAY, Le Petit Matao, Rennes, Rue des Scribes, , 1000 p. (ISBN 2-906064-64-5), p. 908
- Guy Raynaud de Lage, Manuel pratique d'ancien français, Paris, SEDES et Paris-Sorbonne, réf. à la derniÚre édition, ch. "Syntaxe"
- Office Publique de la Langue Bretonne, « KerOfis »
- RĂ©Ă©lu en 2008.
- Bertrand THOUAULT, « Pays dâAncenis. Jean-Yves Ploteau Ă©lu maire de Vallons-de-lâErdre », Ouest France,â (lire en ligne, consultĂ© le ) :
« Vallons-de-lâErdre comprend Saint-Mars-la-Jaille, BonnĆuvre, Maumusson, Vritz, Saint-Sulpice-des-Landes et FreignĂ©, depuis le 1er janvier »
- Gwendal LE PRIELLEC, « Jean-Yves Ploteau Ă©lu maire des Vallons-de-lâErdre », L'Eclaireur,â (lire en ligne, consultĂ© le ) :
« les cinq maires délégués (Sophie Gillot de Vritz, Michel Gasnier de Saint-Mars-la-Jaille, Alain Raymond de Freigné, Lucien Talourd de Maumusson et Jean-Daniel Lécaillon de Saint-Sulpice-des-Landes) »
- « Commune de Saint-Mars-la-Jaille (44180) », Insee (consulté le ).
- « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et 2015.
- « Chiffres clĂ©s Ăvolution et structure de la population - Saint-Mars-la-Jaille - POP T0-T3 - Population par sexe et Ăąge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consultĂ© le ).
- « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'ùges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'ùges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
- « Patrimoine de la commune de Saint-Mars-la-Jaille », sur le site de la commune (consulté le ).
- Loire-Atlantique, Paris, Guides Gallimard, , 399 p. (ISBN 2-7424-0008-7), p. 371
- Notice no PA44000060, base Mérimée, ministÚre français de la Culture
- Association Le Ciné Paumé