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La Bloutière

La Bloutière [la blutjɛʁ] est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 445 habitants[Note 1].

La Bloutière
La Bloutière
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Villedieu Intercom
Maire
Mandat
Patrick Orange
2020-2026
Code postal 50800
Code commune 50060
Démographie
Gentilé Bloutierions
Population
municipale
445 hab. (2020 en augmentation de 6,46 % par rapport à 2014)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 30″ nord, 1° 14′ 21″ ouest
Altitude Min. 80 m
Max. 172 m
Superficie 9,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Villedieu-les-Poêles-Rouffigny
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villedieu-les-Poêles
Législatives Première circonscription
Localisation
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La Bloutière

    Géographie

    La commune est au sud du Pays saint-lois. Son bourg est à km au nord de Villedieu-les-Poêles, à km au sud-ouest de Percy et à 10 km au sud-est de Gavray[1].

    Le territoire est traversé par la route départementale no 9 reliant Villedieu-les-Poêles au sud à Gavray au nord-ouest. Du bourg situé à l'est, on y accède par la D 485 au sud-ouest, par la D 562 à l'ouest et par une voie communale au nord-ouest. La D 485 se prolonge à l'est, permettant de rejoindre La Colombe et mène à l'ouest vers Fleury, joignable également par le prolongement plus au nord de la D 562. Partant de la D 9 au Chêne Briant, la D 51 mène au petit bourg de l'Orbehaye (commune de Montaigu-les-Bois) au nord. L'accès à l'A84 vers Caen est à La Colombe (échangeur 38) à km au sud-est, et vers Rennes à Fleury (échangeur 37) à km au sud.

    La Bloutière est dans le bassin de la Sienne qui délimite le territoire à l'est et dont quelques courts affluents dont la Davière parcourent le territoire communal. La Bérence, affluent plus important (11,4 km), sillonne l'ouest, puis part rejoindre le fleuve côtier à Gavray.

    Le point culminant (171 / 172 m) se situe au nord, près du lieu-dit le Chêne Briant. Le point le plus bas (80 m) correspond à la sortie de la Sienne du territoire, au nord. La commune est bocagère.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 1 015 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Coulouvray-Boisbenâtre », sur la commune de Coulouvray-Boisbenâtre, mise en service en 1988[10] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 378,3 mm pour la période 1981-2010[12].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 26 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,9 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    La Bloutière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (62 %), terres arables (20,8 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %), forêts (2,6 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Bloteria en 1189[24], Bloeteria fin du XIIe siècle[25], Bloetaria en 1200[24].

    Issu du suffixe latin -aria, le suffixe français -ière évoque au Moyen Âge la propriété[26]. Le propriétaire dont il est question ici devait s'appeler Blout[27] ou Blouet[26].

    Le gentilé est Bloutierion.

    Histoire

    Un chevalier Richard de Rollos[Note 9] fut chambellan de Guillaume le Conquérant, et son nom figure parmi les bienfaiteurs de l'abbaye de Lessay.

    Il y avait un château, le château de la Roche, disparu dès le XIVe siècle. Sous le règne d'Henri II Plantagenêt, son possesseur devait au château de Gavray le service d'un chevalier, pour le fief de Rollos[28].

    Le château se trouvait près de l'église, sur les bords de la Sienne, et faisait face au château de la Roche-Tesson sis sur la commune de La Colombe. Richard de Rollos, petit-fils de Hugues, comte d'Avranches, fonda en 1199[Note 10], à proximité du château, un important prieuré, dont la fondation fut confirmée la même année par Guillaume de Tournebu, évêque de Coutances, qui consacra l'église. Son frère, Guillaume de Rollos donna le prieuré à l'église de La Bloutière[29]. Les derniers religieux le quittèrent en 1764.

    Politique et administration

    Liste des maires[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1968 Armand Lemaître
    1969 1995 Gaston Le Maistre DVD
    1995[30] mars 2008 Roland Bazire SE Éleveur
    mars 2008[31] mars 2014 Hubert Queuniet SE Retraité (enseignement)
    mars 2014[32] janvier 2018[33] Didier Guilbert SE Ouvrier
    mars 2018[34] En cours Patrick Orange[35] Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[35].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

    En 2020, la commune comptait 445 habitants[Note 11], en augmentation de 6,46 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). La Bloutière a compté jusqu'à 788 habitants en 1836.

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    668639712671702788731660672
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    668648571578582551546535489
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    503458432424425444443454455
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    442398374418428418399396411
    2017 2020 - - - - - - -
    428445-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Sainte Venice, une des saintes thaumaturges les plus populaires du Cotentin, est invoquée dans le trouble des fonctions féminines et le culte qui lui est particulièrement voué à La Bloutière, et dont la réputation dépasse les limites départementales, consiste à découper un ruban à disposition du pèlerin et à en disposer un bout autour du cou de la statue et à en conserver un autre sur soi. La couleur du ruban, blanc (pertes blanches) ou rouge (flux menstruel), dépend du mal à traiter[40].
    • Calvaire (XVIIe – XIXe siècles), croix de cimetière (1804) dont une des marches a été remplacée par une pierre tombale de 1727, croix de chemin armorié (XVIIe siècle), vers Fleury.
    • Logis du prieuré (XVIIIe siècle).
    • Fontaine Saint-Thomas, connue depuis le XIe siècle avec la présence des ermites Hugues et Simon. Son eau était réputée miraculeuse.
    • If funéraire de plus de 1 000 ans dans le cimetière

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 32.
    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 272.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Richard de Rollos a épousé Isabelle, la seconde fille de Richard de la Haye-du-Puits.
    10. Selon René Gautier, il convertit l'ermitage et la chapelle dédiée à Thomas Becket en prieuré[29].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Coulouvray-Boisbenâtre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre La Bloutière et Coulouvray-Boisbenâtre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Coulouvray-Boisbenâtre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre La Bloutière et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 81.
    25. Jean Adigard des Gautries et Fernand Lechanteur, Les noms de communes de Normandie, in Annales de Normandie XIII (juin 1963), p. 346.
    26. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 60-61.
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    28. Livre rouge de l'Échiquier, traduction de Ducarel p. 252, repris dans Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie, année 1827-1828.
    29. Gautier 2014, p. 272.
    30. « Roland Bazire, ancien maire, est décédé », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    31. « Hubert Queuniet, nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. « Didier Guilbert succède à Hubert Queuniet », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. « Avis de décès - 3 janvier 2018 - Didier Guilbert », sur avis-de-deces.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    34. « Patrick Orange élu nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. Réélection 2020 : « Municipales à La Bloutière. Patrick Orange retrouve son fauteuil », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Hippolyte Gancel, Les Saints qui guérissent en Normandie, Rennes, Éditions Ouest-France, , 254 p. (ISBN 978-2-7373-4726-9), p. 63-64.
    41. « Statue : Sainte Venice », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
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