Accueil🇫🇷Chercher

Fleury (Manche)

Fleury est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 054 habitants[Note 1].

Fleury
Fleury (Manche)
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Villedieu Intercom
Maire
Mandat
Daniel Vesval
2020-2026
Code postal 50800
Code commune 50185
Démographie
Gentilé Fleurions
Population
municipale
1 054 hab. (2020 en diminution de 0,57 % par rapport à 2014)
Densité 84 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 52″ nord, 1° 16′ 33″ ouest
Altitude Min. 109 m
Max. 201 m
Superficie 12,60 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Villedieu-les-Poêles-Rouffigny
(banlieue)
Aire d'attraction Villedieu-les-Poêles-Rouffigny
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villedieu-les-Poêles
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Fleury
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Fleury
Géolocalisation sur la carte : Manche
Voir sur la carte topographique de la Manche
Fleury
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Fleury

    Géographie

    La commune est en Bocage normand, aux confins de l'Avranchin, du pays de Coutances et du pays saint-lois. L'atlas des paysages de la Basse-Normandie classe la quasi-totalité de la commune dans la partie sud de la « Manche centrale », caractérisée par un bocage fermé au faible relief[1]. Le nord et l'ouest du territoire bordent l'unité des gorges de la Haute-Sienne et du Thar, « paysage de gorges encaissées »[2]. Son bourg est à 4,5 km à l'ouest de Villedieu-les-Poêles, à 12 km au sud-est de Gavray et à 12 km au nord-est de La Haye-Pesnel[3].

    Le territoire et son bourg sont traversés par la route départementale no 924 (ancienne route nationale 24bis) menant à Villedieu-les-Poêles à l'est à Granville à l'ouest. La D 9 s'y raccorde à l'est et permet de rejoindre Gavray au nord. La D 485 croise la D 924 dans le bourg et mène vers La Lande-d'Airou et Ruffigny au sud. La D 562 en part au nord du bourg vers La Bloutière au nord-est. L'échangeur 37 de l'A84 occupe une partie importante de l'est du territoire et permet un accès direct vers Caen et Rennes. La D 33 s’intègre à un de ses accès et permet de rejoindre Le Mesnil-Garnier vers le nord-ouest. D'autres départementales mineures parcourent le territoire communal permettant l'accès aux communes environnantes.

    Fleury est dans le bassin de la Sienne. La départementale 33 sépare le territoire entre son bassin direct et celui de son affluent l'Airou. Ce dernier occupe la plus grande partie, au sud-ouest, drainée par la Hébarbe à l'ouest et surtout la Douquette — qui délimite le sud du territoire — et trois de ses affluents. Les eaux du nord et de l'est sont collectées par la Bérence, la Davière et deux autres courts affluents du fleuve côtier.

    Le point culminant (201 m) se situe au nord-ouest, entre les lieux-dits la Vespellière et la Tondière. Le point le plus bas (109 m) correspond à la sortie de la Douquette du territoire, au sud-ouest. La commune est bocagère.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 1 060 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Coulouvray-Boisbenâtre », sur la commune de Coulouvray-Boisbenâtre, mise en service en 1988[12] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[13] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 378,3 mm pour la période 1981-2010[14].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 23 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[16] à 11,9 °C pour 1981-2010[17], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Fleury est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [19] - [20] - [21].

    Elle appartient à l'unité urbaine de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny, une agglomération intra-départementale regroupant trois communes[22] et 5 729 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[23] - [24]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25] - [26].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (67,1 %), terres arables (21,5 %), zones urbanisées (5,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Floré en 1169, Florie en 1186, Flourie vers 1280, Floury en 1407[29].

    Le toponyme serait issu de l'anthroponyme roman Fleurus[30].

    Le gentilé est Fleurions.

    Histoire

    Dans le cadre du chantier de construction de l'autoroute A84, les fouilles archéologiques ont mis au jour à la Jouennière (ou Joignière) un site carolingien, et confirmer une occupation ininterrompue du site depuis le IIe siècle. La fouille a permis de définir une frontière architecturale entre le Massif Armoricain et les plaines normandes, à l'est du bassin de Villedieu-les-Poêles[31].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1981[32] 1995 Raymond Dupard Agriculteur
    1995 mars 2008
    juin 2008[33] - [Note 9] mars 2014 Patrick Challier Avocat
    mars 2014[34] mai 2020 Marc Briens Agriculteur retraité
    mai 2020[35] En cours Daniel Vesval SE Retraité Enedis
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[35].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

    En 2020, la commune comptait 1 054 habitants[Note 10], en diminution de 0,57 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Fleury a compté jusqu'à 1 209 habitants en 1831.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0779671 1421 1721 2091 1541 1611 1801 112
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0541 037937894891867860837790
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    774769768687698687707699785
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    6896586116397867608478591 005
    2017 2020 - - - - - - -
    1 0351 054-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église Sainte-Barbe ou Notre-Dame (XIIe, XVe – XIXe siècles). Richard de Fleury, vivant au XIIe siècle, donne l'église et ses droits à Guillaume Tholomé, évêque d'Avranches[31]. Un peu partout, les pierres sont assemblées selon une disposition appelée en « feuilles de fougère » ou « arête-de-poisson » (opus spicatum)[40].
    L'église abrite des fonts baptismaux anciens (XVe) et actuels (XIXe), une Vierge de Pitié (XVIe), une verrière (XXe) de Mazuet et une statuette en pierre (XVe) découverte en 1952.
    • Fontaine et oratoire Notre-Dame-de-la-Jaunisse (fin XIXe siècle). Une légende a été construite autour de la dévotion d'une épouse envers Notre-Dame en l'église paroissiale de Villedieu, dévotion à laquelle fut attribuée la guérison de son mari, médecin à Villedieu, atteint d'une jaunisse tenace dans les années 1880. Il fut raconté que la guérison était due aux vertus d'une fontaine située sur la commune de Fleury et à une apparition sous la forme d'une statuette de la Vierge à proximité. Notre-Dame de la Jaunisse est aujourd'hui invoquée pour les maladies du foie, et un manuscrit y invite le pèlerin à prier et faire dire une messe[41].
    • Croix de cimetière du XVIe siècle.
    • Croix de chemin dite Croix Messire Thomas.
    • L’église Notre-Dame.
      L’église Notre-Dame.
    • La fontaine Notre-Dame de la Jaunisse.
      La fontaine Notre-Dame de la Jaunisse.
    • Le monument aux morts dans le cimetière.
      Le monument aux morts dans le cimetière.

    Activité et manifestations

    Sports

    Fleury Sports fait évoluer une équipe de football en division de district[42].

    Personnalités liées à la commune

    • Michael Vartan (né en 1968), acteur franco-américain, a passé une partie de son enfance à Fleury, de 11 Ã  16 ans[43].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 123.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Le , le conseil municipal nouvellement élu, réuni pour l'élection du maire, annonça la démission de l'ensemble des quinze conseillers, aucun candidat ne voulant accepter les fonctions de maire. « La commune déjà privée de conseil municipal » (consulté le ).
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Les unités de paysage : Unité 4.2.1 - La Manche centrale » [PDF], sur basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr, Dreal Basse-Normandie (consulté le ).
    2. « Les unités de paysage : Unité 7.3.3 - Les gorges de la Haute-Sienne et du Thar » [PDF], sur basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr, Dreal Basse-Normandie (consulté le ).
    3. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    5. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Coulouvray-Boisbenâtre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Fleury et Coulouvray-Boisbenâtre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Coulouvray-Boisbenâtre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Fleury et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Unité urbaine 2020 de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    23. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    28. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    29. Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 452.
    30. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 123.
    31. Gautier 2014, p. 203.
    32. « Décès de Raymond Dupard, ancien maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. « Patrick Challier maire ne se représentera pas », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    34. « Marc Briens élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. « Municipales à Fleury. Daniel Vesval, nouveau maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 80.
    41. Hippolyte Gancel, Les Saints qui guérissent en Normandie, Rennes, Éditions Ouest-France, , 253 p. (ISBN 978-2-7373-4726-9), p. 47.
    42. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Fleury S. » (consulté le ).
    43. « Michael Vartan sur le site « notre Cinéma » » (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.