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L'Église-aux-Bois

L'Église-aux-Bois (L'Egleisa aus Bòscs en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

L'Église-aux-Bois
L'Église-aux-Bois
L'église Saint-Christophe et le cimetière de L'Église-aux-Bois.
Blason de L'Église-aux-Bois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté de communes Vézère-Monédières-Millesources
Maire
Mandat
Simone Jamilloux-Verdier
2020-2026
Code postal 19170
Code commune 19074
Démographie
Population
municipale
53 hab. (2020 en diminution de 8,62 % par rapport à 2014)
Densité 3,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 59″ nord, 1° 48′ 10″ est
Altitude Min. 518 m
Max. 753 m
Superficie 16,20 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Seilhac-Monédières
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web legliseauxbois.fr

    Géographie

    Localisation

    Commune du Massif central située sur le plateau de Millevaches dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin. Elle est limitrophe du département de la Haute-Vienne.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de L'Église-aux-Bois[1]
    Eymoutiers
    (Haute-Vienne)
    Nedde
    (Haute-Vienne)
    Rempnat
    (Haute-Vienne)
    L'Église-aux-Bois
    Chamberet Lacelle

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2].

    En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 9,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 506 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15,3 j.
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j.

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales.

    Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chamberet », sur la commune de Chamberet, mise en service en 1986[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 305,9 mm pour la période 1981-2010[10].

    Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 48 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    L'Église-aux-Bois est une commune rurale[Note 5] - [15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,2 %), prairies (37,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,7 %), zones urbanisées (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de l'Église-aux-Bois est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Combade et la Ribière. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2001, 2016 et 2018[23] - [21]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Vézère », approuvé le [24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de l'Église-aux-Bois.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 37,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 49 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 21 sont en en aléa moyen ou fort, soit 43 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de l'Église-aux-Bois est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[27].

    Histoire

    Seconde Guerre mondiale

    Un épisode important concernant la Résistance, durant la Seconde Guerre mondiale, ce qu'on pourrait appeler l'« affaire de La Forêt » (qui concerne aussi le moulin de Firmigier), est situé à L'Église-aux-Bois.

    Le , trois véhicules de la commission d'armistice (deux officiers allemands, un officier français) sont capturés par un petit groupe de résistants appartenant au maquis FTP de Georges Guingouin (qui opérait un repli vers Vassivière). La commission venait d'inspecter des camps de travail de réfugiés espagnols, vers Meymac. Les Allemands sont emmenés à La Forêt pour y être interrogés, où ils sont finalement exécutés.

    Le fait que deux résistants aient été espagnols, en fuite depuis les camps pré-cités, n'est sans doute pas étranger au sort des Allemands. Le militaire français est épargné (après renseignements, il était en relation avec un groupe de résistants de l'Armée secrète). L'exécution engendra une fureur terrible du chef maquisard, qui souhaitait interroger les captifs.

    Quelques jours plus tard, le passage de la division SS "B" (du nom de son général, Walter Brehmer), déclenche une série de représailles : interrogatoire ignoble d'un invalide au moulin, incendie d'une partie du village de La Forêt, exécutions sommaires[28].

    Héraldique

    Blason de L'Église-aux-Bois Blason
    D'azur à trois bourdons de pèlerins d'or, ordonnés 2 et 1, celui du milieu surmonté d'une étoile d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988 ? Paul Jamilloux PCF
    mars 2001 mars 2008 Hubert Besnier
    mars 2008 en cours Simone Jamilloux-Verdier[29] Apparentée PCF Retraitée de l'enseignement

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

    En 2020, la commune comptait 53 habitants[Note 6], en diminution de 8,62 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    308289305328320312326309385
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    388400409376374632522510509
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    504502503395361312279235208
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    15013998755941395456
    2020 - - - - - - - -
    53--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Recensement de 1881 manifestement faux : + 40 % en 5 ans (accroissement 8 % annuels, contre 2 % admis). Mais les chiffres des années 1840 à 1870 sont aussi faux. Accroissement modéré et continu jusqu'en 1880 environ (graphique faux également).

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Chaim Rozen (34 ans), résistant, un des onze juifs arrêtés le à Bugeat par des soldats allemands de la division Brehmer, est torturé puis assassiné au lieu-dit L'Omelette ; il est enterré à L'Église-aux-Bois[35] - [36]. Sur sa tombe est inscrit :
      « Ici repose Chaim Rozen (Rozent)
      fils de Ben-Zion Wagner
      appelé Jem dans la région
      assassiné par les nazis le
      parce que juif et résistant. »

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Borzeix, Le Pays de Treignac autrefois, Treignac, éditions de L'Esperluette, 2011
    • Monique Borzeix, Histoire des écoles du canton de Treignac, éditions de L'Esperluette, 2013
    • Yves Lavalade, Les Noms de lieux du canton de Treignac, éditions de L'Esperluette, 2014 (dont L'Église-aux-Bois, pp. 52–59)
    • Jean Vinatier, Villevaleix-le-Soleil. Campagne limousine, Treignac, éditions de L'Esperluette, 2014 (roman - Villevaleix-le-Soleil est un village de la commune)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Chamberet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre L'Église-aux-Bois et Chamberet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Chamberet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre L'Église-aux-Bois et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    15. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    21. « Les risques près de chez moi - commune de l'Église-aux-Bois », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « PPRI Vézère », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le )
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de l'Église-aux-Bois », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    27. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    28. Une stèle a été érigée sur place en 2015.
      Voir « L'Église-aux-Bois n'oublie pas » sur ionard.over-blog.org.
    29. Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « Église paroissiale Saint-Christophe », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    35. Voir sur lamontagne.fr du .
    36. Jean-Marie Borzeix, Jeudi saint, Paris, éditions Stock, 2008.
      Voir sur lefigaro.fr.
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