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LĂ©pin-le-Lac

Lépin-le-Lac est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

LĂ©pin-le-Lac
LĂ©pin-le-Lac
Le chef-lieu sur les rives du lac d'Aiguebelette.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Communauté de communes du Lac d'Aiguebelette
Maire
Mandat
Serge Grollier
2020-2026
Code postal 73610
Code commune 73145
DĂ©mographie
Gentilé Lépinois
Population
municipale
469 hab. (2020 en augmentation de 3,76 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 92 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 32′ 10″ nord, 5° 47′ 43″ est
Altitude Min. 373 m
Max. 1 363 m
Superficie 5,11 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Pont-de-Beauvoisin
(banlieue)
Aire d'attraction Chambéry
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Pont-de-Beauvoisin (Savoie)
Législatives Première circonscription
Localisation
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LĂ©pin-le-Lac

    GĂ©ographie

    Localisation

    Plan du territoire de LĂ©pin-le-Lac

    Le territoire de la commune de Lépin-le-Lac est situé dans le sud-est de la France, à l'ouest du département de la Savoie, sur la rive sud du lac d'Aiguebelette, à l'ouest de la chaîne de l'Épine. La commune fait partie de la petite région naturelle de l'Avant-Pays savoyard.

    Le ruisseau du Thiez (ou Thiers), dans la partie nord de la commune, marque la limite avec la commune de Saint-Alban-de-Montbel, jusqu'au lieu-dit Le Gué des Planches[1]. Ce lieu marque le point de jonction de ces deux communes mais aussi de La Bridoire et d'Attignat-Oncin[1].

    La commune est traversée par deux autres ruisseaux, le ruisseau du Bourg, qui se jette dans le lac au niveau du Grand-Pré, et plus à l'est celui de La Tuilerie[1].

    Hameaux, lieux dits et Ă©carts

    La commune se compose d'un chef-lieu et de plusieurs hameaux ou lieux-dits, pour certains inhabités[2].

    • Au Bernay,
    • La Bageatière,
    • Le Bernadieu,
    • La Chabaudière,
    • Le Chalet,
    • Le Curtelet,
    • Le GuĂ© des Planches',
    • chez Burdin
    • Château de LĂ©pin,
    • Le Grand-PrĂ©,
    • Boffard,
    • Le Micoud,
    • La Maigre,
    • LĂ©pin (chef-lieu),
    • Le Pinet,
    • Le Puits,
    • La Plaine,
    • Le Rossignolet,
    • Le Riondet,
    • Le Rocheray,
    • Les Grimonet,
    • Les Martin-dessus,
    • Les Martin-dessous,
    • La Montagne,
    • Le Port.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par une gare ferroviaire, la gare de Lépin-le-Lac - La Bauche (La Bauche étant une commune située au sud de Lépin-le-Lac) établie sur la ligne de Saint-André-le-Gaz à Chambéry. La gare est desservie par les TER Rhône-Alpes circulant entre Lyon et Chambéry (parfois prolongés vers Modane et Bourg-Saint-Maurice).

    Un accès rapide à l'autoroute A43 est aussi disponible à une dizaine de kilomètres, au nord du lac d'Aiguebelette.

    Urbanisme

    Typologie

    LĂ©pin-le-Lac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine du Pont-de-Beauvoisin, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 13 communes[6] et 21 162 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de ChambĂ©ry dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,1 %), forêts (35,1 %), prairies (14,6 %), eaux continentales[Note 3] (12,3 %), zones urbanisées (3 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Toponymie

    Le nom de la commune, Lépin-le-Lac, est fixé par décret le [12]. Le syntagme Lac est lié au lac d'Aiguebelette baigne la limite nord du territoire.

    Les formes anciennes observées sont Ecclesia de Lepino en 1140, Lespenes en 1278, Prioratus de Lepins en 1308, Parrochia de Lespins au XIVe siècle, L’Epin en 1729, Lepin en 1732[2] - [13] - [14].

    Le toponyme est tiré du latin spinus[13], « prunier sauvage », qui a dérivé en Lespin, Lépin, L'Epin, avec agglutination de l'article[2] - [14].

    En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Lepin, selon la graphie de Conflans[15].

    Histoire

    PĂ©riode antique

    Lépin a été un site antique. Samuel Guichenon (XVIIe siècle) signalait l'existence d'une « inscription dédiée à la victoire d'Auguste », que reprennent les auteurs de l'Histoire des communes savoyardes (1982), sans autres précisions[16]. Un sarcophage, comportant une inscription gréco-latine, a été retrouvée sur la Grande Île, de même que les traces d'un de ce qui pourrait être un temple[16] - [17]. Ce dernier a été découvert lors de la restauration de la chapelle Saint-Vincent[17]. Enfin, au lieu-dit Tuillière, des restes de tuiles gallo-romaines ont été retrouvés[16].

    Plus récemment, une étude a permis de voir dans la croix, installée à la sortie ouest du bourg, l'emplacement d'une borne romaine, permettant d'indiquer la position du tronçon de l'ancienne voie romaine permettant le passage à travers l'Avant-Pays savoyard, sur l'axe Mediolanum—Vienna (Milan–Vienne) [17].

    Période médiévale

    La première mention de l'église — Ecclesia de Lepino — remonte à l'année 1140, d'après la Gallia Christiana[18] - [13]. L'église du village est dédiée à la Sainte Trinité. Elle est édifiée dans un style de « premier art roman méditerranéen »[17].

    La seigneurie de Lépin est donnée en apanage en 1220 par le comte Thomas Ier de Savoie à sa fille Béatrice[19]. En 1260, elle passe aux Hospitaliers de ordre de Saint-Jean de Jérusalem[19] (cf. ci-après).

    À partir de l'année 1630, la seigneurie appartient à la famille Perrin, qui possède également des terres et des propriétés dans la paroisse[20].

    L'ancienne paroisse de Gresin appartient, au XVIIIe siècle, à celle de Lépin, jusqu'en 1837[12].

    Les Hospitaliers

    En 1260, la seigneurie est donnée à la commanderie des Échelles des Hospitaliers de ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui la possède jusqu'à la Révolution[19].

    PĂ©riode contemporaine

    Au cours de la période d'occupation du duché de Savoie par les troupes révolutionnaires françaises, à la suite du rattachement de 1792, la commune appartient au canton de Pont-de-Beauvoisin, au sein du département du Mont-Blanc[21].

    Le « château de Lépin » (XIXe siècle) est bâti vers 1760 par Noble Charles Perrin, issu d'une vieille famille de la bourgeoisie chambérienne[19], et sénateur au Sénat de Savoie[20]. Les biens de Louis Bonaventure Perrin, comte de Lépin, fils de Charles Perrin, sont confisqués comme biens d'émigré, en 1796[19], et rachetés par Benoit Burdin, homme d'affaires de ce dernier[20]. Le comte de Lépin les achète en 1804, après la loi d'amnistie[19] - [20]. Après sa mort, le château et les terres passèrent à son petit-fils, Tancrède de Rivérieulx de Chambost dit le comte de Lépin[22] - [23] qui restaura le château en 1882[19] - [20]. Son fils, Albert de Rivérieulx de Chambost de Lépin, en hérita[20].

    Durant la Seconde Guerre mondiale la commune, située en zone non occupée, a été le théâtre d'un évènement marquant avec l'assignation à résidence de nombreuses familles juives étrangères dans les structures hôtelières de l'époque. 70 lits en hôtel avaient été réservés au regroupement des juifs étrangers par la Préfecture de Savoie. Le ces familles ont subi une rafle organisée par la police française sous les ordres du gouvernement de Vichy. Plusieurs d'entre elles ont été déportées et assassinées à Auschwitz. Cette rafle massive, organisée dans toute la zone libre, a été préparée par le secrétaire général de la police René Bousquet, en collaboration avec la direction de la police nationale et les préfectures régionales et départementales. Les communes voisines d'Aiguebelette-le-Lac et Saint-Alban-de-Montbel ont, elles aussi, été concernées par cette politique de regroupement des juifs étrangers en vue de leur déportation[24]. Le 24 mai 1944, le cheminot Georges Besson (surnommée Théo), membre des Forces Françaises de l'Intérieur et auteur de nombreux sabotages sur la région lyonnaise, est arrêté en gare de Lépin-le-Lac La Bauche ; conduit à la prison de Montluc, il disparut sans laisser de trace[25].

    Politique et administration

    Ancienne mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Georges Tomamichel
    Monique Duport-Rosand
    Lucien Barret
    Raymonde Girard
    En cours
    (au )
    Serge Grollier

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Lépinois[12].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

    En 2020, la commune comptait 469 habitants[Note 4], en augmentation de 3,76 % par rapport Ă  2014 (Savoie : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    286395435373403412304283283
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    283288476311312288287296291
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    254277253235230199184168190
    1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 -
    191255282347358433454469-
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune de Lépin-le-Lac se situe dans l'académie de Grenoble. À la rentrée 2017-2018, elle administre une école élémentaire publique qui accueille 20 élèves[30].

    Presse Ă©crite

    La presse écrite locale est représentée par la presse quotidienne ou hebdomadaire régionale, notamment le Dauphiné libéré, avec son édition du Chartreuse et de Chambéry, l’Essor savoyard ou encore la Vie Nouvelle.

    Radio et télévision

    La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie ainsi que par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, Radio ISA et Radio Couleur Chartreuse. La chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie, notamment l'émission « La Place du village ». France 3 et sa station régionale France 3 Alpes, peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.

    Économie

    Le commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[31] - [32].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église située au chef-lieu.

    L'église d'origine romane, avec une abside entourée de deux absidioles, a été entièrement restaurée en 1890 d'après les plans de M. Latoud, architecte à Chambéry[33].

    Près de l'église, le prieuré est un bâtiment assez bien conservé qui dépendait de l'abbaye de Saint-Chef dès 1275[33].

    Le « château de Lépin » est édifié vers 1760 par Noble Charles Perrin, issu d'une vieille famille implantée dans la commune au siècle suivant et encore en possession des descendants de la famille dans les années 1980[19] - [20].

    Festivités

    En 2021, le salon du chocolat vertueux Croq Ethiq, manifestation unique en France rassemblant les rares chocolatiers travaillant de la plantation à la tablette et développant des projets solidaires avec les planteurs de cacao est créé sur la commune[34]. A chaque édition, un pays producteur de cacao est mis à l'honneur et des acteurs de la filière cacao durable sont invités pour l'occasion[35]. Après 3 éditions, la manifestation n'est pas reconduite en 2023.

    Cinéma

    • De nombreuses scènes du film Tristesse Club ont Ă©tĂ© tournĂ©es sur le lac d'Aiguebelette et Ă  l'ancien hĂ´tel rond, qui figure mĂŞme sur l'affiche[36].
    • La plupart des scènes de crĂ©puscule du clip de CĂ©lĂ©bration 2 de Luv Resval & Alkpote (extrait de la B.O. inspirĂ©e du film En Passant PĂ©cho) se dĂ©roulent sur le lac, au large de la plage communale[37].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno et AndrĂ© Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes, vol. 1 : ChambĂ©ry et ses environs. Le Petit Bugey, Roanne, Éditions Horvath, , 475 p. (ISBN 978-2-7171-0229-1), p. 295-298. ([PDF] lire en ligne)

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 295-296, « Situation Â».
    2. Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 295, Présentation.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 du Le Pont-de-Beauvoisin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chambéry », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. « Lépin-le-Lac », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
    13. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 253..
    14. Henry Suter, « Lépin-le-Lac », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté en ).
    15. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 21
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
      .
    16. Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 296, « Archéologie ».
    17. Articles de Bernard Kaminski, publiés sur le site grehcognin.fr (Groupe de recherches et d'études historiques de Cognin) :
      • « La voie impĂ©riale romaine du col Sain-Michel (tronçon Labiscone-Lemencum de Vienna Ă  Mediolanum », Centre de Recherche et d'Histoire de Cognin, 2014, 16 pages ([PDF] lecture en ligne) ;
      • « La voie impĂ©riale romaine de Labiscone au col Saint-Michel Â», juin 2017, 14 pages ([PDF] lecture en ligne ou sur le site docplayer.fr).
    18. Gallia Christiana, tome XV, 1860, province de Besançon, preuve 307 lire en ligne).
    19. Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 296-297, « La seigneurie ».
    20. Ph. Falcoz, « Notice sur Aiguebelette et son lac », Mémoires et documents publiés par la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, 2e série, t. 58,‎ , p. 195-196, « Le Château de Lépin » (lire en ligne).
    21. Jules-Joseph Vernier, Étude historique et géographique sur la Savoie, Paris, Le Livre d'Histoire - Res Universis, (réimpr. 1993) (1re éd. 1896), 137 p. (ISBN 978-2-7428-0039-1 et 2-7428-0039-5, ISSN 0993-7129), p. 96-99.
    22. Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, vol. 6, Société du Grand armorial de France, 1939, p. 14 (lire en ligne).
    23. Gustave de Rivoire de La Bâtie, Armorial de Dauphiné contenant les armoiries figurées de toutes les familles nobles et notables de cette province, accompagnées de notices généalogiques complétant les nobiliaires de Chorier et de Guy Allard, Lyon, Imprimerie Louis Perrin (réimpr. 1969 (Allier - Grenoble)) (1re éd. 1867), 821 p. (lire en ligne), p. 616-618.
    24. François Boulet, Les Alpes françaises, 1940-1944 : des montagnes-refuges aux montagnes-maquis, Bordeaux, Presses franciliennes, , 511 p. (ISBN 978-2-9527214-6-2), p. 195.
    25. Jean-Louis Ponnavoy, « fiche de Georges Besson », sur Le Maitron (consulté le )
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. « Savoie (73) > Lépin-le-Lac », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté en ).
    31. [PDF] Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
    32. [PDF] Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46.
    33. Histoire des communes savoyardes, 1982, p. 297, « L'église et son prieuré ».
    34. « ADICAE et son salon du chocolat vertueux reviennent ce week-end », Le Dauphiné Libéré,‎ (lire en ligne)
    35. Savoie News, « reportage sur la 2ème édition du salon du chocolat Croq Ethiq », sur YouTube, (consulté le )
    36. « Dans les coulisses de "Tristesse Club" », sur France Bleue,
    37. Kore, « clip "Célébration II" de Luv Resval & Alkpote »,
    38. Amédée de Foras, Armorial et Nobiliaire de l'Ancien Duché de Savoie (tome 4), Grenoble, Allier Frères, , p. 381.
    39. Notice biographique de Claude Burdin sur le site de l'Ă©cole polytechnique.
    40. Michel Germain, Personnages illustres des Savoie : "de viris illustribus", Lyon, Autre Vue, , 619 p. (ISBN 978-2-915688-15-3), p. 364.
    41. Jean Exertier, « Histoire de nos rues... : Claude Martin (1826-1906) », Vieux Chambéry, no XV,‎ , p. 45-81 (lire en ligne).
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