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Joseph Chinard

Joseph Chinard né le à Lyon où il est mort le est un sculpteur néoclassique français.

Joseph Chinard
Jean-François Soiron, Joseph Chinard (1801),
localisation inconnue.
Biographie
Naissance
Décès
(Ă  57 ans)
Lyon
SĂ©pulture
Nationalité
Activité
Conjoints
Antoinette Perret (d) (de Ă  )
Marie Berthaud (d) (Ă  partir de )
Autres informations
Membre de
Mouvement
Mécène
Jean Marie Lafont de Juys
Ĺ’uvres principales
Buste de Juliette RĂ©camier, Madame de Verninac en Diane chasseresse (d), fontaine de la Pyramide
signature de Joseph Chinard
Signature

Biographie

DĂ©buts

Madame de Verninac en Diane chasseresse (1808), Paris, musée du Louvre.

Joseph Chinard se destine d’abord à une carrière ecclésiastique, mais son goût l’entraîne dans une autre direction : celle de l'art. Il ne termine pas son instruction et commence son travail de sculpteur en produisant des figurines pour des confiseurs et des pâtissiers[1].

En 1770, Chinard intègre l'école de dessin de la ville de Lyon, dirigée par Donat Nonnotte, puis l’atelier de sculpture de Blaise Barthélémy (Lyon, 1738 - Paris, 1819) à qui on doit les statues de Saint Étienne et de Saint Jean-Baptiste de la primatiale Saint-Jean (1776).

Entre 1780 et 1781, il rĂ©alise, Ă  la suite de la commande par le chapitre de l’église Saint-Paul, les pendentifs du dĂ´me et les figures des quatre ÉvangĂ©listes, Ĺ“uvres dĂ©truites en 1793 sous la Terreur. En 1782, il rĂ©alise pour la chartreuse de SĂ©lignac les statues de Saint Bruno et Saint Jean. Ces diverses rĂ©alisations le font connaĂ®tre dans le monde de l'art et lui permettent de financer le premier de ses trois voyages Ă  Rome[2]. En effet, il est remarquĂ© par Jean Marie Lafont de Juys, le procureur du roi, l’un des seuls collectionneurs de sculpture lyonnaise.

Premier voyage en Italie

De 1784 à , il réside à Rome pour améliorer sa technique et former son goût artistique. Il fait durant son séjour maintes copies d’œuvres antiques en marbre, dont un grand nombre a été acheté par son mécène pour son hôtel de Lyon[3].

Le , il obtient le premier prix du concours Balestra de l’Académie Saint-Luc de Rome avec Persée délivrant Andromède. Il s'agit du seul sculpteur à être resté en compétition alors que les autres artistes français se retiraient. De plus, n’ayant pas étudié à l’Académie royale de Paris, il ne disposait pas du soutien et de l’influence de cette dernière. Ce premier prix n’avait alors pas été reçu par un Français depuis Camille Pachetti, 15 ans auparavant. Les artistes du roi (Allegrain, Mouchy, Boucher, Houdon…) n'obtenaient que le second[4].

Premier mariage

Joseph Chinard se marie le avec Antoinette Perret (1752-1794), brodeuse lyonnaise. Il la connaĂ®t depuis de nombreuses annĂ©es et la considĂ©rait dĂ©jĂ  comme sa femme[5]. Joseph Chinard est le fils d'Étienne Chinard, un marchand, et Antoinette est fille de charpentier : ils sont donc issus de la classe moyenne[6].

Période révolutionnaire

En 1789, acquis aux idées nouvelles, il a conscience que les artistes ont un rôle à jouer dans la Révolution française. Beaucoup d’artistes vont avoir tendance à se réfugier dans le « laconisme des idoles jacobines » alors que Chinard lui préfère la composition allégorique. Grâce à l'éloignement de Paris, des pressions politiques et des actualités, il peut développer un style différent des artistes de son époque en renouvelant l'iconographie[7].

Deuxième voyage en Italie

En 1791, il entreprend un deuxième voyage en Italie. Il a été chargé de créer deux groupes d’inspiration révolutionnaire, commandés avant son départ par M. Van Risambourg (ou Risamburgh) pour un trépied de candélabre : Jupiter foudroyant l’Aristocratie et le Génie de la Raison foulant aux pieds la Superstition (c'est-à-dire la Religion). Il est dénoncé et arrêté dans la nuit du 22 au au château Saint-Ange sur ordre du pape pour ouvrages subversifs avec Rater, un jeune élève d'architecture lyonnais[8].

On constate une forte mobilisation de l'élite française autour de sa libération, la nouvelle de son incarcération parvient à l'Assemblée. Les membres du Conseil exécutif provisoire (MM. Lebrun, Roland, Monge, Clavière, PracheGarat) signent une lettre pour faire libérer les deux hommes et ipso-facto pour défendre les valeurs et les symboles révolutionnaires en Europe[9]. La lettre aurait même été « tracée secrètement par une femme »[10], en l’occurrence Manon Roland, la femme du ministre de l'Intérieur. En pleine période révolutionnaire aucun représentant de la cour de France n'était présent à Rome, ce qui ralentit encore leur libération. L'épouse de Joseph Chinard joue un rôle important dans la mobilisation autour de son mari en entretenant une correspondance soutenue avec différents personnages influents, notamment avec Manon Roland qui militera pour que son mari se saisisse de la question.

Le pape accepte finalement de les libĂ©rer le sous condition qu’il quitte l’État ecclĂ©siastique en laissant l’ensemble de ses biens et de ses Ĺ“uvres, sans aucune ressource[11]. Ă€ leur retour, ils deviennent des symboles de la lutte rĂ©volutionnaire face Ă  la tyrannie monarchique et religieuse. La libertĂ© rĂ©volutionnaire est opposĂ©e aux despotismes monarchiques dans de nombreux Ă©crits comme dans les MĂ©moires de Madame Roland. Ils sont accueillis en hĂ©ros comme on le voit dans l’exposĂ© Les faits patriotique du citoyen Chinard, rĂ©digĂ© par Joseph Antoine Boisset[12].

Soutien de la municipalité et méfiance du peuple

En 1792, Chinard souhaite s'engager dans l'armĂ©e de François Christophe Kellermann, mais son entourage l'encourage plutĂ´t Ă  utiliser son art pour diffuser les valeurs de la RĂ©volution française. Il propose de rĂ©aliser le portrait des commissaires de la Convention, envoyĂ©s Ă  Lyon pour maintenir l’ordre. Il rĂ©alise Ă  ses frais un groupe composĂ© d'une statue colossale La LibertĂ© et l’ÉgalitĂ© pour remplacer la statue de Louis XIV (Chabry) du fronton de l'hĂ´tel de ville. Il porte ainsi sur le devant de la scène les droits de l’homme et les lois rĂ©publicaines conformes aux idĂ©aux rĂ©volutionnaires. Cette Ĺ“uvre sera dĂ©truite en 1810 sous l'Empire par le prĂ©fet Bondy qui dira « dĂ©truire enfin les derniers vestiges d’anarchie, de terreur et de vandalisme ». Cette rĂ©alisation lui vaut les faveurs de la municipalitĂ© mais les soupçons de certains patriotes, comme le comĂ©dien Antoine Dorfeuille, qui critiquèrent ses Ĺ“uvres et l’accusèrent Ă  tort d’y glisser des symboles royalistes[13].

Ă€ une heure ou l'iconographie rĂ©volutionnaire en est a ses balbutiement, le risque pour l'artiste Ă©tait d’offrir une forme trop conventionnelle ou au contraire trop originale, ne correspondant pas aux attentes des citoyens. Joseph Chinard fait les frais de ce tâtonnement artistique. Il recourt frĂ©quemment Ă  l'allĂ©gorie et recherche une symbolique qui crĂ©erai chez le spectateur un sentiment d’empathie aux idĂ©aux rĂ©volutionnaires, souhaitant ainsi Ă©tablir une lĂ©gitimitĂ© Ă  la RĂ©volution Ă  travers l'art. L'iconographie qu'il crĂ©e fait usage de mots tels que « patrie Â» qu'il inscrit dans ses Ĺ“uvres pour en Ă©clairer la symbolique[7].

Emprisonnement : d' Ă 

Après une sĂ©rie d’œuvres, notamment la Statue de la RenommĂ©e et de la Victoire oĂą une couronne de laurier que tient une figure allĂ©gorique Ă©veille la susceptibilitĂ© du club des Jacobins, il est accusĂ© de soutenir la Montagne et est incarcĂ©rĂ© comme contre-rĂ©volutionnaire en Ă  la prison de la Ville Affranchie (Lyon). Ces accusations jugĂ©es comme Ă©tant des inepties par les « rĂ©publicains Ă©clairĂ©s Â» engendre un grand dĂ©bat qui divise la sociĂ©tĂ© civile de l’époque. De nombreux Ă©crits tracent les rĂ©quisitoires en faveur ou contre l’artiste.

On rapporte[14] que c’est une autre figurine modelée en terre, L'Innocence, sous les traits d'une colombe se réfugiant dans le sein de la Justice, envoyée à un des juges, un nommé Cochard, qui lui vaut sa libération. Il est acquitté le . À la suite de sa libération, le Conseil général de la Ville Affranchie lui commande de nombreuses œuvres, notamment une statue de L’Égalité. Il reçoit aussi la commande d'un buste en marbre de Marie Joseph Chalier et Hidens, d’une allégorie de la République et de l’Égalité par la Convention nationale. Il est aussi chargé d’organiser des œuvres pour des fêtes nationales (fête de Jean Jacques Rousseau, fête des Victoires…).

Son Ă©pouse meurt le [5].

Une célébrité sous l'ère napoléonienne

En 1800, de retour de son troisième et dernier voyage romain, il est accueilli à l’Académie de Lyon — réorganisée sous le nom d’Athénée — et nommé correspondant de l’Institut. Il ne quittera désormais plus guère sa ville natale. Le , il avait été nommé, par décret impérial, professeur de sculpture à l’École spéciale de dessin de Lyon[N 1], en 1808, il reçoit la grande médaille d’or du Salon de Paris et en il est nommé membre de la Société littéraire de Lyon.

Il s’installe en 1804 Ă  Carrare en Italie pour profiter des carrières de marbre, mais Ă  la suite d'un diffĂ©rend financier avec la princesse Elisa Baccioni, il doit quitter la toscane en 1808. Il est proche du couple RĂ©camier qui l’invite Ă  Paris rĂ©gulièrement et pour lequel il rĂ©alise le Buste de Juliette RĂ©camier entre 1804 et 1808. Devenu cĂ©lèbre, il vit confortablement ses dernières annĂ©es et reçoit des sollicitations de riches commanditaires. Il rĂ©alise en 1809 les mĂ©daillons du mĂ©decin Stanislas Gilibert (ancien maire de Lyon) et de sa femme, ainsi que le buste du gĂ©nĂ©ral baron Joseph Piston en 1810. Il expose Ă  Paris le Buste colossal du gĂ©nĂ©ral Desaix, on y trouve le beau idĂ©al Ă  travers l’image du hĂ©ros, un des meilleurs ouvrages de l’artiste selon les critiques de l’époque ; il fut conservĂ© au palais du Louvre puis au château de Versailles.

La pĂ©riode du Consulat s’avère très propice pour ses commandes et l’avènement du Directoire lui ouvre une pĂ©riode de stabilitĂ©. Il expose aux Salons parisiens de 1798 Ă  1812. Les faveurs de NapolĂ©on entraĂ®ne une hausse des commandes : portraits de la famille Bonaparte[15], participation aux dĂ©cors de l’arc de triomphe du Carrousel Ă  Paris (1812), sollicitation pour celui de Bordeaux ou encore crĂ©ation d’une statue pour la fontaine de la place de la Douane Ă  Marseille (1809).

En 1811, sous la pression de son entourage (Bredin…), il Ă©pouse Marie Berthaud qu'il avait rencontrĂ©e en 1794 lors de son sĂ©jour en prison. Elle rendait visite Ă  un des dĂ©tenus qui Ă©tait son amant, ils devinrent rapidement bons amis. Avant de passer devant la commission rĂ©volutionnaire, ce dĂ©tenu demanda Ă  Chinard de prendre soin d’elle, ce qu'il fit[16].

Mort et postérité

L'Enlèvement de Déjanire (1884-1887), musée des Beaux-Arts de Lyon.

Sa mort survient en 1813 des suites d’une rupture d’anévrisme cardiaque. Il fut d'abord inhumé dans le jardin de sa maison de l’Observance, quai Pierre-Scize à Lyon[N 2]. Sa sépulture est désormais au cimetière de Loyasse à Lyon, allée no 1 (quartier de Fourvière). Il a légué sa terre cuite de Persée et Andromède, L’Enlèvement de Déjanire et la statuette de son Autoportrait en pied au musée des Beaux-Arts de Lyon.

Ayant vécu durant une période troublée et agitée, il n'a pu mener à bien tous ses travaux. Quelques œuvres importantes sont restées inachevées. Elles furent parfois vandalisées et majoritairement dispersées, soit par la variété des commanditaires, soit par l'imprévoyance des héritiers. L’exécution fidèle, délicate et gracieuse de ses bustes, qui rendait magnifiquement les chairs et faisait transparaître le sentiment des personnages, l’imagination, le goût et l’adresse de ses groupes allégoriques en font un des plus grands sculpteurs de son temps, et l'un des meilleurs artistes français du portrait sculpté.

À Lyon, ses ateliers étaient situés au 36, quai du Rhône, maison de l’hôpital, de 1785 à , puis à l'ancienne chapelle des Pénitents de Lorette, place Croix-Paquet, de 1794 à sa mort.

Ĺ’uvres

Centaure dompté par l'Amour (1789), musée des Beaux-Arts de Lyon.
Persée et Andromède (1791), musée des Beaux-Arts de Lyon.
Buste de Mme Chinard (1803), Baltimore, Walters Art Museum.

États-Unis

France

Italie

Suisse

Salons

  • Salon des arts de Lyon de 1786 : Buste de Laocoon, d’après l’antique (n° 41) ; La Vestale d’après l’antique (n° 42) ; TĂŞte d’amour, d’après l’antique du Vatican (n° 43) ; quatre petites figures en terre cuite reprĂ©sentant les quatre Saisons (n° 44)[21].  
  • Salon de 1800 : Andromède, plâtre ; La Justice, terre cuite ; Diane prĂ©parant ses traits.
  • Salon de 1802 : La Paix, terre cuite ; L’Amour sur les flots[N 3] ; HĂ©bĂ© versant le nectar[N 4].
  • Salon de 1806 : Le Prince Eugène, buste.
  • Salon de 1808 : Honneur et Patrie, bas-relief[N 5] ; L’impĂ©ratrice JosĂ©phine, buste ; La Princesse Piombino, buste ; La Princesse A. de Bavière, buste ; Le GĂ©nĂ©ral Desaix, buste[N 6] ; Le GĂ©nĂ©ral Leclerc, buste ; Mme de Verninac en Diane, buste[N 7].
  • Salon de 1812 : La Paix, buste en plâtre[N 8] ; Le GĂ©nĂ©ral Cervoni, statue en plâtre ; La Victoire donnant une couronne ; Otriade mourant sur son bouclier ; L’Amour rĂ©veillĂ© par PsychĂ© ; NiobĂ© frappĂ©e par Apollon ; L’Illusion du bonheur ; PhrynĂ© sortant du bain ; PersĂ©e et Andromède, copie (prix de Rome).

Expositions

RĂ©compenses

  • Premier prix du concours Balestra de l’AcadĂ©mie Saint-Luc de Rome, .
  • MĂ©daille d'or au Salon de 1808.

Élèves

Expositions

Notes et références

Notes

  1. Rétablie par un décret du et située au rez-de-chaussée du palais Saint-Pierre.
  2. On situe la propriété entre la montée de l'Observance (probablement côté de l'ancienne entrée) et la montée du Greillon (au niveau du no 12 aujourd'hui).
  3. Allégorie citée dans les Annales de M. Landon.
  4. La statue fut retrouvée en 1918 par M. Pillet, bouquiniste lyonnais dans la collection du château de Saint-Savin près de Bourgoin et mise en vente à Lyon en 1921.
  5. Destiné à l’arc de triomphe prévu à la porte de Bourgogne à Bordeaux, il ne fut jamais livré car le projet fut abandonné.
  6. Sur commande du général Bonaparte, après Marengo.
  7. Elle est la sœur du peintre Eugène Delacroix et l'épouse du préfet.
  8. Commande marseillaise.

Références

  1. Revue du Lyonnais, recueil historique et littéraire, Tome XXII, Cinquième série, p. 79.
  2. Revue du Lyonnais, recueil historique et littéraire, op. cit., p. 80.
  3. « Hôtel de Juys, puis Bottu de la Barmondière, actuellement Université catholique de Lyon », sur patrimoine.rhonealpes.fr.
  4. Journal de Lyon, 1786, p. 213.
  5. Dict. Académiciens de Lyon, p. 312.
  6. Contrat de mariage de Chinard, sculpteur, et Antoinette Perret, Morel notaire Ă  Lyon.
  7. Philippe Bordes, L’invention d’une iconographie rĂ©volutionnaire : Joseph Chinard (1756-1813).
  8. Intervention de David devant la Convention en la faveur de l'artiste Joseph Chinard.
  9. SĂ©ance de la Convention nationale, .
  10. MĂ©moires de Madame Roland.
  11. Hugou de Bassevile, Bernadote, Les diplomates de la révolution, Paris, Charavay, .
  12. Revue du Lyonnais, recueil historique et littéraire, op. cit., pp. 274 à 278.
  13. Revue du Lyonnais, recueil historique et littéraire, op. cit., pp. 213-215.
  14. Revue du Lyonnais, recueil historique et littéraire, op. cit., p. 280.
  15. Buste de Jérôme Bonaparte, roi de Westphalie, vers 1810, château de Malmaison (Notice no 50160000510, base Joconde, ministère français de la Culture), et Buste d'Élisa Bonaparte, princesse Baciocchi, duchesse de Toscane, vers 1810, château de Malmaison (Notice no 50160000511, base Joconde, ministère français de la Culture).
  16. Revue du Lyonnais, recueil historique et littéraire, op. cit., p. 279.
  17. Augustin Fabre, Les rues de Marseille, 5 volumes, tome 3, Marseille, Chez E. Camoin, 1867-1869, p. 168.
  18. Théodore Lebreton, Biographie normande, tome 3, 1861, p. 246.
  19. Voir Jean-Antoine Houdon, Diane chasseresse.
  20. « Napoléon Bonaparte (1769-1821), premier consul », sur Centre d'iconographie de la Bibliothèque de Genève (consulté le )
  21. Catalogue des ouvrages de peintures, sculptures, dessins et gravure exposé à Lyon au Salon des Art le 25 aout 1786.
  22. Assistant de Chinard en Italie.

Annexes

Bibliographie

  • J. S. P., « Biographies lyonnaises : Joseph Chinard », Revue du Lyonnais, 1re sĂ©rie, vol. 1,‎ , p. 471-474 (lire en ligne).
  • Jean-ChrĂ©tien-Ferdinand HĹ“fer, Nouvelle Biographie gĂ©nĂ©rale, t.10, 1854.
  • Dictionnaire biographique et d’histoire, Jal, 1867.
  • MĂ©moires de La SociĂ©tĂ© littĂ©raire de Lyon, 1891.
  • Michaud, Bibliographie universelle, 1844.
  • Mme Chinard (veuve), Notice sur la vie et les ouvrages de Joseph Chinard.
  • Lyon-Revue littĂ©raire, historique et archĂ©ologique, 1880.
  • Revue du lyonnais, . — Biographie par Passeron.
  • Claire Barbillon, Catherine Chevillot, StĂ©phane Paccoud, Ludmila VirassamynaĂŻken, Sculptures du XVIIe au XXe siècle. MusĂ©e des Beaux-Arts de Lyon.
  • GĂ©rard Bruyère et Dominique Saint-Pierre (dir.), « Chinard Joseph (1756-1813) », dans Dictionnaire historique des AcadĂ©miciens de Lyon : 1700-2016, Ă©d. ASBLA de Lyon, , 1369 p. (ISBN 978-2-9559-4330-4, prĂ©sentation en ligne), p. 311-316. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article

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