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Huriel

Huriel est une commune française, située dans le département de l'Allier en région d'Auvergne-Rhône-Alpes.

Huriel
Huriel
Le donjon roman d'Huriel (la Toque).
Blason de Huriel
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Montluçon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays d'Huriel
(siège)
Maire
Mandat
Stéphane Abranowitch
2020-2026
Code postal 03380
Code commune 03128
Démographie
Gentilé Huriélois [1]
Population
municipale
2 632 hab. (2020 en diminution de 2,52 % par rapport à 2014)
Densité 75 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 22′ 26″ nord, 2° 28′ 39″ est
Altitude Min. 210 m
Max. 418 m
Superficie 34,92 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montluçon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Huriel
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Huriel
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Huriel
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Huriel

    Ses habitants sont appelés Huriélois et Huriéloises.

    Géographie

    Le paysage est caractérisé par à la fois par le bocage bourbonnais et se révèle être la porte de la Châtaigneraie bourbonnaise.

    Localisation

    Selon les calculs, Huriel est considérée comme l'une des 7 communes du centre de la France.

    Huriel est limitrophe avec 6 communes :

    Carte de la commune de Huriel et de ses proches communes.

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Magieure, affluent de rive gauche du Cher. Le bourg d'Huriel domine le vallon de la Magieure, qui passe à quelques centaines de mètres au nord.

    Voies de communication et transports

    La commune est située sur le sentier de grande randonnée de pays : Sur les pas des maîtres sonneurs.

    Le centre-ville est traversé par la RD 916 reliant Boussac à Montluçon. La voie rapide RN 145 (RCEA) est située à proximité et est accessible par l'échangeur 41 situé sur la commune de Lamaids.

    • RD 40 : vers La Chapelaude
    • RD 71 : vers Chambérat
    • RD 114 : vers Vaux
    • RD 151 : vers Quinssaines
    • RD 916 : vers Domérat

    Urbanisme

    Typologie

    Huriel est une commune rurale[Note 1] - [3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montluçon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 58 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (67,7 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %), zones urbanisées (7,5 %), forêts (7,2 %), terres arables (3,9 %), mines, décharges et chantiers (1,1 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Huriel est nommé Uriat en marchois, dialecte qui est traditionnellement parlé dans la région de Montluçon[9]. La commune fait, en effet, partie du Croissant, zone où se rejoignent et se mélangent la langue occitane et la langue d'oïl (ici berrichon)[10].

    Histoire

    Adélaïs d’Huriel (vers 1040-après 1097), fille d’Humbaud, seigneur d’Huriel et de Dèce de Bourbon, mariée à Rainaud III d'Aubusson (vers 1025-). Rainaud III d'Aubusson restitue le monastère de Roseilles à l’église collégiale de Saint-Yrieix-la-Perche.

    Huriel est une ancienne ville close et baronnie, qui fut autrefois un lieu militaire stratégique qu'utilisèrent les Bourbons. La commune conserve aujourd'hui deux vestiges de son histoire : un donjon seigneurial et une église, jadis siège d'un prieuré bénédictin. Ces édifices remarquables, tous deux des XIe et XIIe siècles, sont classés monuments historiques.

    La baronnie d'Huriel fut acquise sur Anne Faure, veuve de Thomas Le Lièvre, marquis de Fourilles, ancien président au Grand Conseil, par Étienne Jehannot (1610-1701), secrétaire du roi, conseiller au Grand Conseil, garde du Trésor royal, par acte du 12 août 1673[11]. Son petit-fils, Louis-Joachim (1711-1748), fut créé marquis de Bartillat d'Huriel par lettres de mars 1744, unissant à la baronnie d'Huriel les terres de Bartillat, Treignat, etc. Le nouveau marquis de Bartillat, sgr de Laage, Villot, Maussat, gendre de M. Pouyvet de la Blinière, obtient la même année (1744) l'agrément du régiment de dragons de Nicolaï, qu'il avait acheté pour 120 000 £. Mais il mourut quatre ans plus tard à Digne le 10 sept 1748, âgé de 37 ans, faisant perdre à sa famille le prix du régiment[12]. Son fils, Louis-François-Jules, fut colonel et maréchal de camp, émigra et mourut à Trèves en 1792. Son fils Armand semble avoir résidé à Saint-Martinien et fut confirmé marquis en 1826[13].

    À la Révolution, les anciennes paroisses de Neuvéglise et de Saint-Christophe ont fusionné avec Huriel.

    Au siècle dernier, un grand vignoble constituait la principale richesse de la commune d'Huriel et la quasi-totalité de la population vivait de la vigne, qui couvrait alors 1 200 hectares. En 1886, le phylloxéra a ravagé la vigne et, aujourd'hui, seuls une dizaine d'hectares subsistent, qui font partie du vignoble de la région de Montluçon.

    Depuis la quasi-disparition de la vigne, la population d'Huriel est devenue essentiellement ouvrière et agricole. Il ne reste qu'un seul viticulteur professionnel, au domaine du Champ de la Ronde.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1892 1908
    (démission)
    Charles Sauvanet[14] POF puis SFIO Négociant
    Député de l'Allier (1893 → 1902)
    1908 ? Pierre Sauvanet[15] SFIO
    1947 1977 Émile Chabridon[16] SFIO puis PS Professeur puis directeur de CEG
    Suppléant du député Jean Nègre (1962 → 1968)
    1983 1992
    (décès)
    Paul Micheau
    1992 juin 1995 Maurice Desgranges
    juin 1995 mai 1998 René Lambré
    mai 1998 mars 2008 Jane Galleazzi PS Directrice d'école
    Conseillère régionale d'Auvergne (2004 → 2010)
    mars 2008 mars 2014 Gérard Bouricat PS
    mars 2014 En cours
    (au )
    Stéphane Abranowitch[17] DVD Chef d'entreprise
    Réélu en [18]
    Conseiller départemental depuis 2021

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].

    En 2020, la commune comptait 2 632 habitants[Note 3], en diminution de 2,52 % par rapport à 2014 (Allier : −2,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3311 4281 8402 2602 4072 7302 9182 8112 842
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 6992 7602 9883 0263 0203 0323 1073 1202 912
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 9212 8632 8352 4332 3742 2752 1552 2162 209
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 2542 2372 1472 3472 6062 3772 4502 4602 663
    2017 2020 - - - - - - -
    2 6462 632-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Au recensement de 2012, Huriel est la 20e commune du département[23] et la 84e de la région d'Auvergne[24] en nombre d'habitants. Par rapport au recensement de 2007, la commune a enregistré un gain de 203 habitants, 3e ex æquo avec Abrest[23].

    Économie

    Revenus de la population

    En 2011, le revenu fiscal médian par ménage s’élevait à 28 231 €, ce qui plaçait Huriel au 19 151e rang des communes de plus de 49 ménages en métropole[25].

    Entreprises et commerces : village d'artistes

    Depuis 2006, le village accueille des artistes et artisans d'art, sous l'impulsion de la communauté de communes[26].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et patrimoine bâti

    Huriel offre au visiteur un patrimoine d'un intérêt historique et architectural certain. La commune possède sur son territoire deux monuments remarquables :

    • L'église romane Notre-Dame d'Huriel[27] du XIe siècle, jadis siège d'un prieuré bénédictin. Le prieuré dépendait de la riche et puissante abbaye clunisienne de Déols, en Berry. L'architecture soignée de l'église mêle les influences berrichonnes (secretariae, passages berrichons, nef charpentée), auvergnates (clocher octogonal qui rappelle ceux des églises romanes majeures) et limousines (cordons de billettes qui courent autour des baies). Elle est classée Monument Historique depuis 1862.
    • Plus connu sous le nom populaire de « la Toque »[28] - [29], en raison de son ancienne toiture en forme de toque pointue, le donjon roman d'Huriel est un des rares donjons quadrangulaires français, au même titre que ceux de Montrichard, Beaugency et Loches. Vestige de l'ancien château des seigneurs, entouré de fossés jusqu'au milieu du siècle dernier, il est entièrement construit en blocs de granit régional. Quatre campagnes de construction seront nécessaires pour parvenir à ce que sera le château d'Huriel au temps de sa splendeur (XVe – XVIe siècle). Au XVe siècle, quatre tourelles sont ajoutées aux angles (deux subsistent aujourd'hui), reliées entre elles par des murs d'enceinte. Ayant essentiellement une vocation défensive, le château est laissé à l'abandon jusqu'en 1879 quand il est racheté par la commune. Il est classé Monument Historique depuis 1885 et abrite aujourd'hui un musée. Le musée comprend une salle présentant l'histoire des seigneurs d'Huriel et des salles rappelant le passé viticole de la ville.
    • Le pont de Courtioux, sur le Bartillat, est un pont médiéval à deux arches et sans parapet, appelé erronément « pont romain ».

    Patrimoine culturel

    • Le musée d'Huriel, dans la Toque, retrace l'histoire locale et la tradition viticole de la commune.

    Maison des sciences d'Huriel

    La maison des sciences d'Huriel est un lieu dans lequel on peut venir réaliser des expériences et découvrir des phénomènes dans les mathématiques, l'électricité, la mécanique, l'optique, l'acoustique, l'informatique… Parmi les expériences, on peut créer des étincelles avec une lime, des images de synthèse, des ombres chinoises, réaliser un aimant avec de l'électricité…

    Personnalités liées à la commune

    • La famille de Brosse dont Jean Ier de Brosse, maréchal de France et compagnon de Jeanne d'Arc.
    • Philippe Fargin-Fayolle (1814-1879), instigateur de l'insurrection républicaine de la Brande des Mottes en 1849, conseiller général en 1871. Frère du député Sébastien Fargin-Fayolle.
    • Jean Larmanjat, ingénieur en mécanique et inventeur du monorail Larmanjat, né en 1826 à Huriel.
    • Charles Sauvanet (1851-1939), maire d'Huriel, député de l'Allier, né et mort à Huriel.
    • Jean Quinault est un des martyrs de Vingré, fusillé le à Vingré ; son nom est inscrit sur le monument aux morts d'Huriel[30]. Sa tombe à Vallon-en-Sully dans l'Allier porte l'inscription « Martyr de Vingré »[31]. Il a été réhabilité en 1921.

    Héraldique

    Blason de Huriel Blason
    3 gerbes de blé ou brosses d'or liées de gueule sur fond d'azur
    Détails
    Ce sont celles de la famille de Brosse, seigneurs d'Huriel, armes parlantes qui représentent des fagots de broussaille, brosse désignant étymologiquement un lieu planté de broussaille. (Armorial des maisons d'Europe)

    Sport

    La commune est balisée pour les randonnées pédestres, en VTT et avec des ânes.

    Equipements sportifs

    • salle des sports ;
    • stade.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pierre Pizon, Huriel, Moulins, Crépin-Leblond, 1945, 131 p., ill.
    • Pierre Pizon, La Toque d'Huriel, Yzeure, 1984, 86 p.
    • Abbé Duteil, Huriel, pages d'histoire locale, éd. Dechaud, 2011.
    • Bernard Duplaix, Sur les chemins du pays d'Huriel, éd. La Bouinotte, 2015.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/allier-03
    2. Huriel sur Lion 1906
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. Jeanine Berducat, Christophe Matho, Guylaine Brun-Trigaud, Jean-Pierre Baldit, Gérard Guillaume (collectif), Patois et chansons de nos grands-pères Marchois (Haute-Vienne, Creuse, pays de Montluçon), Paris, Éditions CPE, 2010.
    10. « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur https://atlas.limsi.fr/ ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France,
    11. Acte reçu Galloys et Gigault, notaires. Jean-Pierre Babelon, Nouveaux hommages, 1982, tome 2, no 1149.
    12. Voir Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, tome XVI, p. 237-258 ; "les dix premiers degrés sont de pure fantaisie", selon Woelmont ; les états de service du marquis y sont détaillés.
    13. Lettres patentes du 26 avril 1826, avec majorat sur "la terre de Bartillat". Voir Woelmont de Brumagne, Notices généalogiques, tome 5 (1927), p. 619-623.
    14. Notice SAUVANET Charles, Pierre , version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010
    15. Notice SAUVANET Pierre , version mise en ligne le 30 mars 2010, dernière modification le 30 mars 2010
    16. Notice CHABRIDON Émile, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 13 août 2015
    17. Liste des maires de l'Allier [PDF], sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de l'Allier, 8 avril 2014 (consulté le 9 juin 2014).
    18. « Stéphane Abranowitch réélu pour un deuxième mandat de maire à Huriel (Allier) », La Montagne, (consulté le ).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    23. « Recensement : quelles communes de l'Allier ont gagné le plus d'habitants ? », sur La Montagne, (consulté le ).
    24. « Recensement : quelles communes d'Auvergne ont gagné le plus d'habitants ? », sur La Montagne, (consulté le ).
    25. [zip] Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011, Insee.
    26. Pablo Aiquel, « Comment se forger une identité de village d'artistes et d'artisans d'art », La Gazette,‎ .
    27. Notice no PA00093123, base Mérimée, ministère français de la Culture : Église Notre-Dame
    28. Yves Bruand, Le château de Bourbon-l'Archambault, dans Congrès archéologique de France. 146e session. Bourbonnais. 1988, p. 265-272, Société française d'archéologie, Paris, 1991
    29. Notice no PA00093122, base Mérimée, ministère français de la Culture : Ancien château fort dit « La Toque »
    30. MémorialGenWeb.org - Huriel : monument aux morts
    31. Source :Les fusillés de la Grande Guerre et la mémoire collective (1914-1999), Nicolas Offenstadt, Odile Jacob, 1999, p. 85
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