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Hastaire

Hastaire, pseudonyme de Claude Hilaire, né le dans le 16e arrondissement de Paris[1] et mort le à Trouville-sur-Mer, est un peintre, lithographe et écrivain français.

Biographie

Arrière petit-fils du peintre lyonnais Paul Claude Jance (1840-1915), Hastaire est le seul garçon des quatre enfants nés du mariage du peintre Camille Hilaire (1916-2004) et de Simone Jance. Il est élève du collège de Juilly et fréquente l'École nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d'art à Paris avant d'être admis sur concours à l'École nationale supérieure des beaux-arts qu'il fréquente en 1964-1965, puis, après son service militaire qui, effectué en 1966 en tant que barman à bord du croiseur école Jeanne d'Arc, le fait voyager à travers le monde[2], de nouveau en 1968-1969[2].

Il s'installe ensuite quai Louis-Blériot dans le 16e arrondissement de Paris, y vivant de ses dessins, à vocation publicitaire pour les uns, destinés aux pages littéraires du quotidien Combat pour d'autres. Au retour d'un long séjour au Maroc, sa contribution à une exposition collective au musée de Saint-Paul-de-Vence en 1972 le révèle attiré par l'abstraction et pratiquant une peinture inspirée entre autres par Jean Fautrier[2]. La découverte de l'exposition Francis Bacon au Grand Palais à Paris en 1972, puis les encouragements prodigués par l'artiste anglais Graham Sutherland lors d'une exposition, au Palais de l'Europe à Menton en 1975, détournent définitivement le peintre de la non-figuration.

Il Ă©pouse en 1981 Danielle Labrousse avec qui il se partage entre le 56, rue Saint-Georges dans le 9e arrondissement de Paris et la ville de Bordeaux oĂą elle exerce la profession de psychanalyste[2].

À l'avenir, Hastaire lors d'expositions collectives exposera avec des artistes venus d'horizons différents mais que des affinités électives rapprochent comme Alain Lestié, Erro, Peter Klasen, Henri Cueco, Bernard Rancillac, Antonio Segui, Jacques Villeglé ou Étienne Sandorfi.

L'artiste compte plusieurs centaines d'expositions personnelles et collectives (Europe, États-Unis, Canada, Japon, Corée…). Son œuvre est présente dans de nombreuses foires d'art internationales : Fiac (Paris), Art Paris, Actuel (Beyrouth), Istambul Art Fair. Il est cofondateur en 1999, avec Lydie Arickx, Didier Mahieu, Mary Curtis Ratcliff (en), Martin Vaughn-James, Alain Kleinmann, Yuri Kuper, Wang Yan Cheng et Boris Zaborov, du Groupe Mémoires[3] dont il rédige le Manifeste avec Alain Kleinmann[4]. Il est également l'auteur d'ouvrages sur des thèmes qui inspirent sa peinture : les mythologies, la poésie et la peinture elle-même.

Que la série accomplie, le thème épuisé rencontre quelque succès ou indifférence n'a jamais rien changé à ce besoin, ce désir de casser le jeu afin de mieux l'intéresser de nouveau. Par nature, par pensée, Hastaire est l'ennemi du poncif, de la chose peinte qu'on identifie parce qu'elle est le produit d'arrangements picturaux astucieux, le fruit d'une mise au point artisanale supposant un savoir faire minimum. La peinture est pour lui un lieu privilégié d'investigation. Non pas afin d'emmener la peinture plus loin mais bien plutôt pour toujours mener la sienne dans un ailleurs dont il ignore les risques qui le peuplent, une Terra incognita à conquérir, à investir et à enfin, abandonner. Et si ces ailleurs conquis par Hastaire nous sont parfois familiers et participent à notre bonheur de connaître, c'est à cette récurrente remise en question des évidences, cette mise à distance de la banalité que nous le devons.

Hastaire meurt le  dans sa rĂ©sidence de Trouville-sur-Mer[5] - [6].

Ĺ’uvres

Publications

  • Les Phares - Huit allĂ©gories amusĂ©es sur un poème de Charles Baudelaire, Éditions Connivences, 1987 (ISBN 2-86649-011-8).
  • Éloge de la lithographie, Cannes, Éditions Galerie Mengin, 1990.
  • Goya ou la fureur d'ĂŞtre, Éditions Van Wilder, 1992 (ISBN 978-2914304306).
  • Frgments du XXe siècle. Vingt textes sur vingt peintres cĂ©lĂ©brĂ©s par l'auteur : CĂ©zanne, Ensor, Munch, Kandinsky, Matisse, Mondrian, Picabia, Picasso, LĂ©ger, Hopper, Chagall, De Chirico, Miro, Magritte, Bacon, Tapies, Warhol, Jasper Johns, Monory, Kleinmann, Paris, Éditions Art TĂ©moin, 1999.
  • La peinture vagabonde, Éditions Van Wilder, 2002 (ISBN 2-914304-05-6).
  • Cri premier Dernier cri, Éditions Van Wilder, 2005 (ISBN 2-914304-15-3).
  • Flaubert en ses couleurs, Éditions Van Wilder, 2009 (ISBN 978-2914304306).
  • Sans changer Ă  Lisieux, PoĂ©sie du rail, Ă©ditions FVW, 2010[7].
  • EVES. L'Éden dĂ©senchantĂ©, Ă©ditions Van Wilder, 2011 (ISBN 2-914304-41-2).

Peintures

  • Les ĂŽles[2].
  • Scènes d'intĂ©rieur, 1976-1980[2].
  • S.d.b., 1980[2].
  • Les couleurs de l'Afrique, 1981, 1984[2].
  • Peintures de base, 1984, 1988[2].
  • Welcome et bienvenue, 1984[2].
  • Les Phares", 1987[2].
  • Les belles anonymes, 1989-1991[2].
  • L'actualitĂ© de Goya, 1990, 1991[8].
  • La MĂ©moire fragmentĂ©e, 1990[2].
  • Les belles anonymes, 1991[2].
  • Sur la Genèse, 1992, 1995[9] - [10].
  • Mythes et caprices, 1993, 1998[11].
  • Bacchanales, les faunes camĂ©lĂ©ons, 1996, 2002[2].
  • Fragments du XXe siècle, 1999, 2001[2].
  • Eves, 2002[12].
  • La ComĂ©die, Dante, 2000-2003[2].
  • Les Invertueuses, 2004[13].
  • Cri premier, dernier cri, 2005, 2006[14].
  • RĂ©troportraits, 2007, 2008[15] - [16].
  • Juliette et RomĂ©o, 2009
  • Le joyeux vivier, 2010.
  • CĹ“urs lĂ©gers, CĹ“urs lourds, 2012.
  • Les vases MĂ©dicis, 2013.
  • Les fossiles vivants, 2015.
  • Sacerdoces, 2013-2015

Lithographies

  • Nicos NicolaĂŻdis, Bacchanales, huit lithographies originales en Ă©tui signĂ©es de Claude Hastaire, cent quinze exemplaires numĂ©rotĂ©s, signĂ©s par l'auteur et l'illustrateur, Paris, Ă©ditions Galerie Elyette Peyre, 1996.
  • Les ĂŽles. Variations sur un thème exotique, coffret de huit lithographies 76x56cm, signĂ©es, Paris, Ă©ditions Pierre CalbĂ©, sans date.

Décors de théâtre

Pavillon français, Exposition universelle de Shanghaï, 2010

Expositions

Expositions personnelles

Expositions collectives

RĂ©ception critique

  • « Il est quelques peintures de Hastaire qui, par leur densitĂ© plastique, Ă©motionnelle, atteignent l'humus mĂŞme de la mĂ©moire pour nous en ramener dramatiquement, mais avec noblesse, les alĂ©as mais encore les espĂ©rances de notre existence et ce quelle que soit l'inspiration thĂ©matique du tableau. Oserais-je le suggĂ©rer ? Je rencontre dans maintes Ĺ“uvres de Hastaire un aspect dĂ»ment sacrificiel. Il est des poètes-poètes comme il est des peintres-peintres. Hastaire conjugue ces deux beaux mĂ©tiers par la voie d'une figuration très personnelle transcendĂ©e par une constante mĂ©taphore-mĂ©tamorphose. Cet artiste aime Ĺ“uvrer avec amour et modestie. Il peut pourtant prĂ©tendre Ă  un haut niveau rĂ©fĂ©rentiel parmi les crĂ©ateurs d'aujourd'hui Ă  l'art pictural hors Ă©cole et dont le lyrisme nous subjugue Ă  un point tel que nous en oublions et le thème et le sujet pour ne ressentir que l'ineffable. » - AndrĂ© Verdet[2]
  • « Ce n'est pas un monde doux, doux, doux, mais, Ă  l'inverse, un univers de fer et de sang qui vous entre dans la peau. Et, curieusement, cela passe, cela exalte, cela est beau. Car Hastaire est un peintre de grand talent qui procède par coulures alliĂ©es au trompe-l'Ĺ“il, ce qui est magnifiquement efficace. Ses toiles sont Ă  la fois allusives et prĂ©cises. Il y a dans sa gĂ©nĂ©ration peu de peintres aussi convaincants. » - Jean-Louis Ferrier[2]
  • « Ă€ l'aide, essentiellement, de l'acrylique et de journaux marouflĂ©s, mais aussi en laissant Ă©clore son goĂ»t de la division de l'espace, Hastaire parvient parfaitement Ă  intĂ©grer l'univers de Goya dans une vision picturale ayant toutes les caractĂ©ristiques de l'expressivitĂ© actuelle. Naissent de la sore des images fulgurantes et saisissantes, autant d'explosions oĂą les Ă©clats de la polychromie catapultent le regard vers des horizons jusqu'Ă  prĂ©sent inexplorĂ©s. La gageure s'est mĂ©tamorphosĂ©e en achèvement artistique remarquable. » - Giovanni Sciuto[2]
  • « Hastaire, c'est l'organisation de l'espace dans un chromatisme explosif et en mĂŞme temps contrĂ´lĂ©. Avec, en constance, la permanence du trait, du graphisme. Hastaire, c'est le mouvement jaillissant sur fond pensĂ© d'Ă©criture. » - Bertrand Duplessis[2]
  • « TantĂ´t il nous invite Ă  la contemplation de vestibules, de salles de bains, de scènes d'intĂ©rieur incroyablement habitĂ©es de leur vide apparent, ou bien de blockhaus, de blindages, de bases sous-marines et autres rideaux de fer. TantĂ´t il nous entraĂ®nent chez les maĂ®tres qui le hantent : des poètes comme Baudelaire, plus souvent des peintres, Ă  commencer par David… Nous voici chez un contemporain de David, Goya ; le Goya des DĂ©sastres, de la guerre et de l'affolement, des courses de taureaux. Le Goya qui nous broie, nous brise et en mĂŞme temps nous aide Ă  tout supporter par l'humanitĂ© de son cri… InterprĂ©tant quelques gravures de Goya, les toiles d'Hastaire sont marouflĂ©es avec des exemplaires du quotidien espagnol El Pais. Il les a fait jaunir pour prĂ©venir le vieillissement qui frappe si vite les journaux, il leur donne de l'âge pour leur Ă©pargner les vĂ©ritables altĂ©rations du temps. Comme si le support devait rivaliser avec la pĂ©rennitĂ© du peintre. » - Jean-Pierre Tison[2]
  • « Il nous appartient d'abord de regarder cette Ĺ“uvre raffinĂ©e, d'y pĂ©nĂ©trer comme dans un espace aussi clair que secret, aussi accueillant que dĂ©routant, un espace qu'il ne s'agit pas de conquĂ©rir mais d'autoriser Ă  vous conquĂ©rir. Et puis, il convient de dĂ©couvrir son dire, de lire les textes oĂą il a su exprimer, avec colère parfois, avec franchise et subtilitĂ© toujours, ce que doivent ĂŞtre les rapports entre le crĂ©ateur d'art et ses deux crĂ©atures : l'Ĺ“uvre et son spectateur. » - StĂ©phane Hessel[22]
  • « L'indĂ©pendance d'Hastaire, sa dĂ©fiance vis-Ă -vis des institutions Ă©tatiques ou privĂ©es, son goĂ»t immodĂ©rĂ© pour les voyages l'ont Ă©loignĂ© assez rapidement de la recherche d'une position confortable au sein du monde habituel de la peinture. Peu enclin aux mondanitĂ©s, pas plus dĂ©sireux de prospĂ©rer grâce Ă  un parti, une instance quelconque et, bien que son travail ait Ă©tĂ© très tĂ´t reconnu par des musĂ©es, des centre d'art contemporain et des galeries de qualitĂ©, il a fait le pari d'un choix risquĂ© : celui d'ĂŞtre seul, seul dans le cheminement particulier de son travail pictural. Cette libertĂ© voulue, revendiquĂ©e, avec les dangers qu'elle suppose, est Ă  l'image des libertĂ©s prises par l'artiste tout au long de son parcours. Comme les traces, les empreintes nettes que laissent ses Ĺ“uvres, en leurs dĂ©coupages, Hastaire est un vrai nomade. S'inscrire dans un courant ou Ă  contre-courant lui est Ă©tranger. Il se laisse glisser vers ses dĂ©sirs d'inconnu afin de dĂ©couvrir sans cesse. Certes, il part Ă  un certain moment de l'histoire de la peinture, mais il s'en sert comme tremplin afin de rebondir sur son monde particulier. Et ce monde sera fait de rebonds. Il y aurait chez cet artiste une propension Ă  Ă©puiser ses thĂ©matiques Ă  un point de saturation picturale, intellectuelle, qui ne lui laisserait guère que le choix de se risquer Ă  nouveau Ă  autre chose, jusqu'Ă  l'Ă©puisement de cette dernière et ainsi de suite… » - Édith Charlton[22]

Collections publiques

Collections particulières référencées

États-Unis

  • William Lipschutz, New York, Comme le monde est petit, diptyque, acrylique sur carton, 114x228cm, 1990[2].
  • Lynelle Jones et William Lipschutz, Norwalk (Connecticut)[2] :
    • Welcome et bienvenue, acrylique sur toile, 162x300cm, 1984 ;
    • Un goĂ»t de cendres ou La Gradiva, acrylique marouflĂ©e sur toile, 146x97cm, 1994.

France

  • Fondation Rank Xerox, Aulnay-sous-Bois, Peinture de base n°1, huile sur toile, 220x400cm[2].
  • Thomson-TDI, Boulogne-Billancourt, Peinture de base n°10, huile sur toile, 250x400cm[2].
  • Simone Dibo-Cohen, Nice, Les belles anonymes, technique mixte sur toile, 92x73cm, 1991[2].
  • Beverly Goldberg et Pierre CaltĂ©, L'actualitĂ© de Goya, acrylique sur toile, 162x130cm, 1988[2].
  • Alain Kleinmann, Les mĂ©nades, acrylique et laque sur toile, 150x150cm, 1996[2].
  • L'Ĺ’nothèque (Yveline et Daniel HallĂ©e), Bacchanales, acryliques sur toiles formant paravent, 280x90cm, 2002[2].
  • Muriel Reus, Paris, L'actualitĂ© de Goya, peinture acrylique sur journaux marouflĂ©s sur toile, 114x146cm, 1989[2].
  • François de Villandry, Paris, Étude sur la Genèse, acrylique sur papier kraft marouflĂ© sur toile, 30x30cm, 1992.

RĂ©compenses

  • LaurĂ©at du 17e prix international de Monte-Carlo, 1994[23].

Notes et références

  1. État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970
  2. Ouvrage collectif, Hastaire - La peinture est un roman, Ă©ditions Van Wilder / Galerie Dukan, Marseille, 2003.
  3. « Le Groupe Mémoires à la Galerie Dukan », Beaux Arts Magazine, n°202, mars 200°1.
  4. Claude Hastaire et Alain Kleinmann, Manifeste du groupe "Mémoires", Paris, Éditions Art Témoin, 1999.
  5. « Trouville-sur-Mer : Claude Hastaire, peintre poète, est décédé », Ouest-France, .
  6. Sophie Quesnel, « Trouville-sur-Mer : Claude Hastaire, artiste reconnu, figure de la côte fleurie, est décédé », Le Pays d'Auge, .
  7. « Hastaire rêve d'océans sur parcours ferroviaire », sur www.ouest-france.fr (consulté le )
  8. Éric Debarbieux et Paul Grenet, « Hastaire et l'actualité de Goya », ICEM Pédagogie Freinet, 1990
  9. Marie-Laure Steiner (préface d'Édith Cresson), Entretiens avec Hastaire, éditions de la ville de Chatellerault, 1993.
  10. Marie-Laure Steiner (préface de Marie-Odile Andrade), Entretiens avec Hastaire, éditions de la Galerie Mengin, Cannes, 1994.
  11. Hastaire (préfaces de Marie-Paule Romanens et André Verdet), Mythes et caprices, éditions de la Galerie Art'7, Nice, 1999.
  12. Marie-Odile Andrade et Alain Kleinmann Claude Hastaire - Eves, Ă©ditions de la Galerie Dukan, Marseille, 2002.
  13. Hastaire, Les Invertueuses, Ă©ditions Galerie Meyer-Le Bihan, Paris, 2004.
  14. Hastaire, Cri premier, dernier cri, Ă©ditions Frank Van Wilder, 2006.
  15. Médiathèque Maurice-Delange de Honfleur, Hastaire - Rétroportraits, présentation de l'exposition, février 2016
  16. « Claude Hastaire expose des portraits d'écrivains à Honfleur », Ouest-France, 24 février 2016
  17. Le Delarge, GrĂĽnd, 2001, p. 550.
  18. Édith Charlton, « Eves plurielles - Claude Hastaire », Artension, mars 2002.
  19. « Claude Hastaire exposera en 2015 », Ouest-France, 25 septembre 2014
  20. « Honfleur : la médiathèque présente "Rétroportraits" de Claude Hastaire », Paris-Normandie, 20 mars 2016.
  21. « Le Groupe Mémoires à la Galerie Dukan », Beaux-Arts Magazine, n°202, mars 2001.
  22. Édith Charlton (avant-propos de Stéphane Hessel), Couleurs inédites - Hastaire, monographie, édition Van Wilder, 2013.
  23. Musée de Trouville - Villa Montebello, Fauteuil peint par Claude Hastaire

Annexes

Bibliographie

  • Hastaire (prĂ©face de Walter Pistole), Hastaire - Peintures, Paris, Ă©ditions Arts contemporains, 1975.
  • Beverley Goldberg, Hastaire - Paintings, Washington, Ă©ditions Aaron Gallery, 1976.
  • Tony Duvert, Hastaire - La mĂ©moire immĂ©diate, lithographies de Claude Hastaire, 250 exemplaires numĂ©rotĂ©s, Cachan, Imprimerie Polycolor, 1977.
  • Alain Clerval, Hastaire - Scènes d'intĂ©rieur, Paris, Ă©ditions Galerie Jacques Boulan, 1979.
  • Tony Duvert, « Hastaire », Cimaise, no 145, janvier-fĂ©vrier 1980.
  • Joao Fatela, « Hastaire », Esprit, no 11-12, 1980.
  • Joao Fatela, Entretiens avec Hastaire, Paris, Ă©ditions Galerie Arts contemporains, 1981.
  • Ouvrage collectif, Le tamps des crĂ©ateurs, Paris, Ă©ditions Syros alternative, 1987.
  • GĂ©rard Xuriguera, Les figurations, Ă©ditions Mayer, 1987.
  • GĂ©rard Xuriguera, Le dessin dans l'art contemporain, Ă©ditions Mayer, 1988.
  • JosĂ© Alves, Hastaire - L'actualitĂ© de Goya, Ă©ditions Connivences, 1988 (ISBN 2-86649-014-2).
  • GĂ©rald Schurr, Le Guidargus de la peinture, les Éditions de l'Amateur, 1988.
  • Mustapha Chelbi, L'affiche d'art en Europe, Paris, Ă©ditions Van Wilder, 1989.
  • Jacques Limouzy, Jacqueline Salvan et Marie-Paule Romanens, Hastaire, Castres, Ă©ditions MusĂ©e Goya, 1990.
  • Giovanni Sciuto, Hastaire - La mĂ©moire fragmentĂ©e, Cannes, Ă©ditions Galerie Mengin, 1990.
  • Jean-Louis Ferrier, Hastaire et Jean-Pierre Tison (prĂ©face de Marie-Laure Steiner), Hastaire- Peintures, Oslo, Ă©ditions La Galerie, 1990.
  • Marie-Laure Steiner (prĂ©face d'Édith Cresson), Sur la Genèse - Entretiens avec Hastaire, Ă©ditions de la ville de Châtellerault, 1993.
  • Marie-Odile Andrade, Hastaire, collection « Passeport », Ă©ditions Fragments, 1994 (ISBN 2-908066-47-5).
  • Nicos NicolaĂŻdis, ProlĂ©gomènes - Introduction Ă  l'univers bachique revisitĂ© par les "images" d'Hastaire, HC Éditions, 1996.
  • Emmanuel BĂ©nĂ©zit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, vol.6, GrĂĽnd, 1999.
  • Dominique Stal, 1985-2000, quinze ans de peinture contemporaine, Ă©ditions Maisonneuve-Larose, 1999.
  • Marie-Odile Andrade, Christian Conticini, Myriam Gaume, Henri Gault, Alain Kleinmann, Patrick Lacoste, HervĂ© Page, AndrĂ© Verdet, Georges Werler…, Fragments du XXe siècle, Ă©ditions Art TĂ©moin, 2000 (ISBN 2-913978-04-5).
  • Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, GrĂĽnd, 2001 (lire en ligne).
  • Pierre Restany et Jean-Roger Soubiran, Groupe MĂ©moires - Claude Hastaire, Alain Kleinmann, Yuri Kuper, Didier Mahieu, Mary Curtis Ratcliff (en), Martin Vaughn-James, Wang Yan Cheng, Boris Zaborov, Paris, Ă©ditions Tiempo, 2001.
  • Marie-Odile Andrade et Alain Kleinmann (prĂ©face d'Édith Charlton), Claude Hastaire - Eves, Marseille, Ă©ditions de la Galerie Dukan, 2002.
  • Alain Kleinmann, La peinture et autres lieux, Paris, Ă©ditions Dimla, 2002.
  • Édith Charlton (prĂ©face et entretiens), Jean-Pierre Tison, Tony Duvert, Henri Gault, Jean-Louis Ferrier, Gilbert Lascault, Giovanni Sciuto, Bertrand Duplessis, GĂ©rard Durozoi, AndrĂ© Verdet, Pierre Souchaud, Jean-Marie Tasset, Georges Werler, Alain Kleinmann, FrĂ©dĂ©ric Altmann, Patrick Lacoste, RenĂ© Micha, Pierre Mazars, JoĂŁo Fatela, Hastaire - La peinture est un roman, monographie, Marseille, Éditions Frank Van Wilder / Galerie Dukan, 2003 (ISBN 2-914304-08-0).
  • Jack Lang, Didier Mathus et AndrĂ© Parinaud], Groupe MĂ©moires, Flammarion diffusion, 2004 (ISBN 2-9518049-4-6).
  • Christian Cardon et StĂ©phane Hessel, Hastaire, Ă©ditions de la ville de Trouville-sur-Mer, 2008 (ISBN 2-912076-02-1).
  • Édith Charlton (avant-propos de StĂ©phane Hessel), Couleurs inĂ©dites - Hastaire, monographie, Ă©ditions Van Wilder, 2013 (ISBN 2-914304-49-8).

Liens externes

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