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Halloy (Pas-de-Calais)

Halloy est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Halloy
Halloy (Pas-de-Calais)
L'église Saint-Éloi.
Blason de Halloy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes des Campagnes de l'Artois
Maire
Mandat
Jean-Louis Cauvet
2020-2026
Code postal 62760
Code commune 62404
Démographie
Gentilé Halloyens
Population
municipale
202 hab. (2020 en diminution de 11,4 % par rapport à 2014)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 09′ 30″ nord, 2° 25′ 36″ est
Altitude Min. 115 m
Max. 158 m
Superficie 3,4 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-le-Comte
Législatives Première circonscription
Localisation
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Halloy
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Halloy
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Halloy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Halloy

    La commune fait partie de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois qui regroupe 96 communes et compte 33 179 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    Cartographies de la commune
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    Communes limitrophes d’Halloy
    Grouches-Luchuel Lucheux
    Halloy Pommera
    Amplier Orville

    Paysages

    La commune s'inscrit dans l'est du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1] - [1].

    Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.

    Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.

    L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[2].

    Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : la vallée de la Quillienne, ses vallons adjacents et bois d'Orville, d’une superficie de 2 143 hectares et d'une altitude variant de 65 à 154 mètres. Cette vallée associe des influences thermophiles dans les lisières et sur les pelouses et un caractère psychrophile au niveau des forêts de ravins. Une partie du site est occupée par l’agriculture intensive[3].

    Urbanisme

    Typologie

    Halloy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [4] - [5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72 %), prairies (20,8 %), zones urbanisées (7,3 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Haletum (1120) ; Haleium (1143) ; Halei (1146) ; Hallo vilaris (1147) ; Alerium (1150) ; in territorio Halleii (vers 1150) ; Halo villaris (1155) ; Haleel (1158) ; Haloi (1175) ; Halloi (1221) ; Halloy (1221) ; « cultura de Haloy sitam in territorio de Grandivillare » (1255) ; Halerum (1298) ; de Haloy prope Granviler (1307) ; in villa de Haloy (1307) ; Halloas (1340) ; Hallegum (1350) ; Halloyum (1350) ; Haloy (1373)[11].

    Du germanique hasal « noisetier » et du suffixe roman collectif -etum , ce qui a dû signifier « ensemble de noisetiers »[12].

    Histoire

    Le village a été créé par l’abbaye de Lannoy qui possédait ce lieu dès le XIIe siècle. Ce lieu dépendit de Grandvilliers jusqu’au XIVe siècle (voir la forme du nom de la localité de 1255)[11].

    Halloy comptait avant la Révolution française, une famille noble portant le nom du village[13]. Jeanne de Halloy, vivant en 1236, était l'épouse d' Ansel de Tramecourt, dit Tranchant, chevalier, seigneur de Tramecourt[13].

    Avant la Révolution française, Halloy était le siège d'au moins une seigneurie.

    Maximilien de Gosson, seigneur de Halloy, mort au siège de Bergues-Saint-Winoc, lieutenant de la compagnie d'hommes d'armes du duc d'Arschot. Maximilien est le fils de François Gosson, chevalier, capitaine de 200 chevaux et commis par la reine de Hongrie (Marie de Hongrie (1505-1558), au gouvernement de la ville de Lille, pendant l'absence du seigneur de Courrières, alors en ambassade en Angleterre. François de Gosson était fils de Philippe de Gosson, chevalier et de Charlotte de Ghistelle, et frère de Catherine de Gosson, épouse de Michel de Pressy[14].

    Jean II de Pressy, fils de Michel, chevalier, seigneur de Halloy, a participé à plusieurs actions militaires. Il est issu du côté maternel de la maison de Halloy dont il est l'héritier par la mort de Maximilien de Gosson, seigneur de Halloy, mort au siège de Bergues-Saint-Winoc, lieutenant de la compagnie d'hommes d'armes du duc d'Arschot. Il a épousé Catherine de Gosson.

    Charles de Pressy, fils de Jean II, écuyer, seigneur de Flencques, Halloy, Esterpignie, Ligni, Ambrines, Hondescotte-es-Saint-Nazaire, est fait chevalier par lettres faites à Madrid le 29 décembre 1625. Il a servi dans la compagnie de 300 hauts bourguignons du seigneur de Werp, gouverneur des villes de Maestricht et de Wicq. Puis il a été alfère (porte-drapeau) au tercio (unité militaire) de feu le comte de Solre, avec lequel il a participé au siège de Cambrai, au siège d'Ardres, au siège de Calais, à l'attaque des château et ville de Doullens. En ce lieu, entrant le premier, il a conservé au péril de sa vie le dépôt des munitions. Il a continué de servir en la compagnie du comte de Solre avec 5 ou 6 chevaux à ses frais[14].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    La commune est membre de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois.

    Circonscriptions administratives

    La commune est rattachée au canton d'Avesnes-le-Comte.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Daniel Fournier
    mars 2008 25 décembre 2012 Gilbert Desmet Principal Retraité
    14 mars 2013[15] 2014[16] Aurélien Desmet Avocat
    2014 En cours
    (au 16 mars 2022)
    Jean-Louis Cauvet Gendarme à la retraite[17] - [18]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[19] - [20]

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Halloyens[21].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

    En 2020, la commune comptait 202 habitants[Note 5], en diminution de 11,4 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    432377396427470456494489504
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    597611601523507439442467423
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    403414390394410376364341330
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    298286259250223209213223236
    2014 2019 2020 - - - - - -
    228203202------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 110 hommes pour 100 femmes, soit un taux de 52,38 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,0
    8,5
    75-89 ans
    14,4
    18,9
    60-74 ans
    14,4
    27,4
    45-59 ans
    21,6
    15,1
    30-44 ans
    21,6
    8,5
    15-29 ans
    11,3
    21,7
    0-14 ans
    15,5
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Économie

    → Conseils pour la rédaction de cette section.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique, logotype et devise

    Blason de Halloy Blason
    De sable au lion d'or à senestre; au franc-canton d'argent chargé d'un arbre de sinople[29].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    2. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF 310013768 - Vallée de la Quillienne, ses vallons adjacents et bois d'Orville », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 265.
    12. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 732.
    13. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 23, lire en ligne
    14. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 31-32, lire en ligne.
    15. « Halloy : Aurélien Desmet succède à son père comme maire : À la suite du décès de Gilbert Desmet le 25 décembre 2012, maire de la commune depuis 2008 et conseiller municipal depuis 1983, des élections municipales complémentaires ont été organisées dans la commune », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    16. C. Sabathes (CLP), « Bilan des maires - Halloy - Aurélien Desmet: «des travaux à l’église, au cimetière, à la mairie et des illuminations pour les fêtes» : Élu le 14 mars 2013 à la suite du décès de son père alors premier magistrat de la commune, Aurélien Desmet s’est vu propulser pour son premier mandat dans le fauteuil majoral. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    17. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    18. « Les projets des maires - Halloy - Église, inondations, école, Jean-Louis Cauvet au rapport : Rendre la vie de ses 240 administrés plus agréable, c’est le leitmotiv du mandat de Jean-Louis Cauvet, nouveau venu dans l’arène politique. Ce qui ne l’empêche pas d’être mordant concernant le futur regroupement pédagogique », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    19. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    21. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Halloy (62404) », (consulté le ).
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    28. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    29. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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