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Guénange

Guénange [prononcé Genéngen ou Ginnéngen en Platt (francique lorrain)] est une commune française située dans le département de la Moselle, en région Grand Est. Ses habitants sont appelés les Guénangeois.

Guénange
Guénange
Hôtel de ville de Guénange.
Blason de Guénange
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Moselle
Arrondissement Thionville
Intercommunalité Communauté de communes de l'Arc mosellan
Maire
Mandat
Pierre Tacconi
2020-2026
Code postal 57310
Code commune 57269
DĂ©mographie
Gentilé Guénangeois
Population
municipale
7 594 hab. (2020 en augmentation de 5,96 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 909 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 18′ nord, 6° 11′ est
Altitude Min. 153 m
Max. 233 m
Superficie 8,35 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Guénange
(ville-centre)
Aire d'attraction Luxembourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Metzervisse
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Guénange
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Guénange
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Guénange
GĂ©olocalisation sur la carte : Grand Est
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Guénange
Liens
Site web guenange.fr

    Village lorrain jusqu’au dĂ©but des annĂ©es 1950, GuĂ©nange est par la suite devenue une citĂ© dortoir de la sidĂ©rurgie lorraine afin de loger les ouvriers de cette activitĂ© florissante. La citĂ© prend le nom de GuĂ©nange-Grande. D’autres citĂ©s semblables sont construites comme Ă  Saint-Nicolas-en-ForĂŞt. Après la crise sidĂ©rurgique des annĂ©es 1970, GuĂ©nange a perdu une partie de sa population et est dĂ©sormais une petite ville d’environ 7 500 habitants.

    GĂ©ographie

    GuĂ©nange est situĂ©e sur la rive droite de la Moselle entre Metz et Thionville, Ă  8 kilomètres de cette dernière. Elle a pour annexe GuĂ©lange et comme quartiers : Mont Cassin, Saint-BenoĂ®t, Bois carrĂ©, Haselbuch, Vignes de Saint-Antoine, SAMEC, Sous les vignes, Deux flacons, Tournaille et Boucle.

    Son altitude varie de 150 Ă  230 m.

    GĂ©ologie

    Le territoire se présente sous la forme d'affleurements sédimentaires tels des alluvions récents de la Moselle et des argiles à Promicroceras planicosta (Lotharingien).

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Moselle, la Moselle canalisée, la Sée et le ruisseau le Thilbach[Carte 1].

    La Moselle, d’une longueur totale de 560 kilomètres, dont 315 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin Ă  Coblence en Allemagne[1].

    La Moselle canalisĂ©e, d'une longueur totale de 135,2 km, prend sa source dans la commune de Pont-Saint-Vincent et se jette dans la Moselle Ă  KĹ“nigsmacker, après avoir traversĂ© 61 communes[2].

    La SĂ©e, d'une longueur totale de 10,9 km, prend sa source dans la commune de Luttange et se jette dans la Moselle en limite de Bertrangeet d'Illange, face Ă  Uckange, après avoir traversĂ© sept communes[3].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Guénange.

    La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Moselle, de la Moselle canalisée et du ruisseau la See, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    GuĂ©nange est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de GuĂ©nange, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[7] et 9 901 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[8] - [9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10] - [11].

    La commune a été classée une fleur au concours des villes et villages fleuris.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (43 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,4 %), zones urbanisées (25,5 %), forêts (23,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), eaux continentales[Note 3] (2,4 %), prairies (0,5 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Toponymie

    • D'un nom de personne germanique Genno ou Ginno suivi du suffixe -ing francisĂ© en -ange.
    • Gueininga (1157), Geminges (1157), Genninges (1241), Guinnanges (1262), Guenanges (1353), Guiningen (1401), Guenenge (1430), Gynnyngen (1481), Ober et Nieder Geycingen (1514), Gentigen (liste des paroisses du dĂ©canat de Romba ou Redingen), Geyninga/Guemniga/Guerninga/Gerningen/Gueminge (1544), Guinningen (1572), Guenange haute et basse (1793), Niederginingen (1871-1918), Niederganingen (1940-1944).
    • En allemand : Ober et Nieder Giningen[14]. En francique lorrain : GinnĂ©ngen[15] et GenĂ©ngen.

    Historique

    Préhistoire

    Ă€ l’époque prĂ©historique, la plus grande partie de la commune Ă©tait sous les flots de la Moselle, gonflĂ©e par les eaux glaciaires, qui atteignait une largeur de 10 km.

    Époque romaine

    Vers 900 av. J.-C., les Celtes occupent la vallée de la Moselle mais il faut attendre l’époque gallo-romaine, avant le Ve siècle, pour confirmer l’édification de villas prouvées par certaines trouvailles archéologiques et des tumulus dans les bois et les hauteurs de Guelange.

    Moyen Ă‚ge

    Après la mort de Clovis, Guénange apparaît sous le nom de Ganigas sur un cartulaire de l’abbaye de Gorze. Avec le démantèlement de l’empire de Charlemagne, la région passe sous la domination des seigneurs du Luxembourg en 953 jusqu’en 1443.

    Ses appellations seront : Gueminges (1157), Gananges (1269), Guinanges (de 1280 Ă  1391).

    Guénange passe sous l’autorité de la Bourgogne sous Philippe le Bon en 1443, puis en 1477 sous la domination autrichienne.

    Au Moyen Âge, Guénange était sous la domination des trois seigneurs, celui de Richemont qui avait des droits sur une partie de Guénange-Basse tandis que celui de Bertrange avait la haute, moyenne et basse justice sur presque tout le territoire. Le seigneur de Luttange faisait valoir ses droits sur une petite portion de terre.

    Époque moderne

    Aux XVIe siècle et XVIIe siècle, la commune prend les noms suivants : Aber et Nieder Gegeingen en 1514, Geyninga, Guerningan, Gueninge, Guermingen, et Guénange.

    En 1519, Guénange devient espagnole en dépendant de l'ancien duché de Luxembourg. Elle le restera jusqu’en 1643. En effet, après le siège et la prise de Thionville par les armées françaises du duc de Condé, Guénange entre pour la première fois dans le giron français. Le traité des Pyrénées confirmera officiellement cette prise de possession en 1659.

    Commune indĂ©pendante jusqu’en 1810, GuĂ©lange est aujourd’hui rattachĂ©e Ă  la commune de GuĂ©nange. En 1817, GuĂ©nange (haute et basse), village sur la droite de la Moselle avait pour annexe le village de GuĂ©lange. Ă€ cette Ă©poque il y avait 480 habitants rĂ©partis dans 94 maisons. Ă€ GuĂ©lange, il y avait 149 habitants rĂ©partis dans 33 maisons.

    Époque contemporaine

    1870 : la guerre franco-prussienne éclate. Après la déroute de Sedan, le traité de Francfort, du 10 mai 1871 enlève Guénange à la France.

    Beaucoup d’habitants quittèrent le « Reichsland Elsass-Lothringen » pour rejoindre leur patrie d’origine. En 1918, Guénange redeviendra française, en 1940 elle reviendra à l’Allemagne et sera définitivement rattachée à la France en 1945.

    La conduite héroïque des Guénangeois pendant cette dernière guerre valut à la ville d’être citée avec l’attribution de la croix de Guerre avec étoile de bronze, le 10 octobre 1948.

    Vient l’expansion de la ville avec la construction de la cité. Les usines sidérurgiques des vallées de la Fensch et de l’Orne attirent les ouvriers de tous les coins de France et de l’étranger.

    • En 1952, GuĂ©nange compte 580 habitants.
    • En 1954 : 3 826 habitants
    • En 1960 : 10 062 habitants
    • En 1990 : 6 794 habitants

    Au dernier recensement, Guénange compte 7124 habitants. Cette petite évolution vers la hausse est due aux nouvelles constructions, après la chute inévitable entre 1960 et 1990 due à la récession dans la sidérurgie, ainsi qu’à la démolition de 400 logements collectifs.

    La situation de Guénange, à proximité des zones industrielles d’Ennery et de Basse-Ham laisse espérer son extension par la création de nouveaux quartiers. Des efforts d’urbanisation et le désenclavement de Guénange par la possibilité d’accès à l’autoroute A31, devraient favoriser son expansion industrielle et démographique.

    Situation linguistique

    En 1887, la commune est située sur la frontière linguistique, du côté germanophone[16].

    En 1925, seuls les habitants de plus de 60 ans parlent encore couramment le dialecte francique de Guénange et en 1983 quelques personnes âgées en possèdent encore des rudiments[17].

    HĂ©raldique

    Blason de Guénange Blason
    Mi-parti d'or à la croix de gueules, cantonnée de vingt billettes du même ; et fascé d'or et d'azur de six pièces[18].
    DĂ©tails

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].

    En 2020, la commune comptait 7 594 habitants[Note 4], en augmentation de 5,96 % par rapport Ă  2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    418427465661686681582569529
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    503479429419542547653753680
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    7697977845443 8268 3609 8629 3978 327
    1990 1999 2006 2007 2012 2017 2020 - -
    6 7947 1246 9666 9387 0577 2107 594--
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee Ă  partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1965 mars 1977 André Maljean Instituteur
    mars 1977 décembre 1997 Jean-Marie Aubron PS Ancien métallurgiste
    Député de la 8e circonscription de la Moselle (1997 → 2007)
    Conseiller général du canton de Metzervisse (1976 → 1982 puis 1988 → 2008)
    décembre 1997 Mai 2020 Jean-Pierre La Vaullée PS Retraité sidérurgiste
    Conseiller général du canton de Metzervisse (2008 → 2015)
    mai 2020 En Cours Pierre Tacconi DVC-MR Ingénieur commercial
    Conseiller départemental remplaçant du canton de Metzervisse (2015 → 2021)
    Conseiller départemental depuis 2021
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Drapeau de l'Allemagne Laer (Allemagne), voir Laer (de) Site Internet

    Société et services publics

    Établissements scolaires

    Guénange permet à sa jeunesse de suivre une scolarité allant de la maternelle au secondaire :

    • Quatre Ă©coles maternelles : les Capucines, Clair-Matin, Saint-Mathieu, (Les Primevères ont fermĂ©)
    • Trois Ă©coles primaires : l’école du Bois(fermĂ©), Saint-Mathieu et Sainte-Scholastique ;
    • Un collège RenĂ©-Cassin
    • Actuellement fermĂ©, il y avait par le passĂ© un lycĂ©e professionnel nommĂ© Joseph-Cressot

    Associations sportives

    Guénange permet également à sa population d’accéder à de nombreuses activités sportives et culturelles, notamment :

    • un club de football
    • un club de danse
    • un club de handball
    • un club d’athlĂ©tisme
    • un club de judo
    • un club de tennis
    • un club de pĂ©tanque
    • Un centre Ă©questre
    • Un club de badminton
    • Un club de cyclotourisme ;
    • Un club de voile

    Culture et patrimoine

    Château Sainte-Marie.
    • Château Sainte-Marie Ă  Basse-GuĂ©nange, datĂ© XVIIIe siècle; le puits est du XVIe siècle; baies du 1er Ă©tage de la façade postĂ©rieure ont Ă©tĂ© repercĂ©es XIXe siècle.
    • Maison des orphelins-apprentis fondĂ©e en 1895, dirigĂ©e par les Frères des Écoles chrĂ©tiennes depuis 1901, dĂ©truite en 2012.
    • Église nĂ©o-gothique Saint-Mathieu. L’église primitive existait en 1157. D’importants travaux furent effectuĂ©s en 1607. La sacristie est construite en 1744. Le clocher est reconstruit en façade en 1803. La nef est dĂ©molie et reconstruite Ă  l’initiative du curĂ© Hilt par l’architecte Laydecker de Metz (Moselle) en 1861. Les voĂ»tes de la nef sont reconstruites en 1876. Le chĹ“ur est transformĂ© en 1878. Le clocher endommagĂ© par les bombardements de novembre 1944 est rebâti en 1947.
    • Presbytère Ă  Haute GuĂ©nange, construit au XVIIIe siècle ; la partie exploitation a Ă©tĂ© remaniĂ©e au XIXe siècle lorsque le nouveau presbytère a Ă©tĂ© construit et celui-ci transformĂ© en ferme
    • Presbytère Ă  Haute GuĂ©nange, construit en 1853 en remplacement de l'ancien presbytère, actuellement ferme.
    • Chapelle Saint-Benoit moderne du XXe siècle.
    • Chapelle de cimetière.
    • Église Saint-Matthieu.
      Église Saint-Matthieu.
    • Chapelle Saint-BenoĂ®t.
      Chapelle Saint-Benoît.
    • Chapelle de Cimetière.
      Chapelle de Cimetière.

    Personnalités liées à la ville

    • Philippe Mathelin, gĂ©nĂ©ral nĂ© en 1831 Ă  GuĂ©nange.
    • Vincent Laurini, footballeur professionnel en Italie, nĂ© en 1989.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Guénange » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".

    Références

    1. Sandre, « la Moselle »
    2. Sandre, « la Moselle canalisée »
    3. Sandre, « la Sée »
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Guénange », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », Insee, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868.
    15. Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1,‎ (ISSN 0762-7440).
    16. (de) Constant This, Die deutsch-französische Sprachgrenze in Lothringen, Straßburg, 1887.
    17. Hemechtsland a Sprooch, no 1, 1983, p. 14.
    18. http://www.genealogie-lorraine.fr/blasons/index.php?dept=57&blason=GUENANGE
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Annexes

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Pierre de la Madie, Histoire de GuĂ©nange, conservĂ©e aux archives municipales ; / Ville de GuĂ©nange, Thionville, 2007.
    • AndrĂ© Maljean, GuĂ©nange, Les grandes heures du siècle : du village Ă  la citĂ© et Ă  la ville d’aujourd’hui, Serge Domini Éditeur / Ville de GuĂ©nange, Thionville, 2002.

    Liens externes

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